Ce cours est destiné aux étudiants suivant le module de mensuration officielle à la Haute école d'ingénierie et de gestion de l'Etat de Vaud. Il présente les principes et l'utilité d'une infrastructure nationale de données géographique.
2. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Plan du cours
• Première partie: 8h30 – 9h30 – De quoi s’agit-il ? Exemples
d’infrastructures – Organismes de normalisation – Normes - Exercice no 1
• Deuxième partie: 9h30 – 10h00 – Pour quelles raisons constitue-t-on une
infrastructure de données géographiques ? Quels coûts ? Quels bénéfices
? Qui finance ? Qui sont les utilisateurs ? Quel est l’intérêt pour la
mensuration officielle ? Exercice no 2 et exercice no 3
• 10h00 – 10h30 – Pause
• Troisième partie: 10h30 – 11h30 - De quelle manière a-t-on standardisé en
Suisse - Rappel des bases légales – Exercice no 4
• Quatrième partie: 11h30 – 12h00 - Conclusion et perspectives -
Démonstration ArcGIS Online
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3. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
1ère partie (8h30-9h30)
De quoi s’agit-il ? Exemples
d’infrastructures – Organismes de
normalisation – Normes - Exercice no 1
4. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Qu’est-ce qu’une infrastructure ?
• Définition
– L'infrastructure est un ensemble d'éléments
structuraux interconnectés qui fournissent le cadre
pour supporter la totalité de la structure (source:
Wikipédia).
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5. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Quelques exemples de types d’infrastructures
• Infrastructure de transport
– Sert au transport de personnes, transport de
marchandises, transport d’énergie
• Infrastructure ferroviaire
• Infrastructure routière
• Infrastructure aérienne
• Infrastructure de production
• Infrastructure de distribution
• Etc.
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6. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Le rôle des standards (normes)
• Pour qu’une infrastructure puisse être créée,
se développer et être maintenue, il faut:
– s’entendre entre tous les partenaires concernés
– établir des standards ou des normes
• Les standards servent de référentiel commun
• Les standards permettent d’établir une
documentation utilisée par les professionnels
du domaine
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8. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Infrastructures standardisées
Exemples d’infrastructures pour
lesquelles un standard est nécessaire
et a été établi ?
9. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exemple du ferroviaire
• En France, le bureau de normalisation
ferroviaire (BNF) travaille sous délégation de
l’AFNOR (Agence française de normalisation)
• Sa mission consiste en particulier à:
– Normaliser les matériels roulants
– Normaliser les installations fixes
(source: Wikipédia)
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10. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exemple du ferroviaire
• Les commissions de normalisation du Bureau de
normalisation ferroviaire (BNF) traitent par exemple
des sujets suivants:
– Interaction entre le véhicule et la voie
– Gabarits
– Qualification des entreprises de travaux de voie
– Qualité géométrique de la voie
– Cabines de conduite
– Systèmes d’alarme et d’urgence
(source: Wikipédia)
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11. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exemple du ferroviaire
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Voie à deux écartements (1435 mm et
1067 mm) à Odawara au Japon.
Source: Wikipédia
Wagon CFF sur rollbock BAM.
Source: Wikipédia
12. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exemple de la construction (normes SIA)
• En Suisse, la Société suisse des Ingénieurs et
des Architectes a établi les normes SIA.
– C’est un recueil de règles comprenant des normes
techniques, des textes de nature réglementaire
ainsi que des conditions générales pour la
construction.
(source: Wikipédia)
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16. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exemple de la géoinformation
• Normes pour l’échange de données (ex: Interlis en
suisse pour l’échange de géodonnées)
• Normes pour les géoservices
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19. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exercice no 1
• Consulter les guichets cartographiques de Fribourg,
Genève, Neuchâtel et Vaud pour le thème
mensuration officielle (dans la région de la gare)
• Que constatez-vous ?
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24. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exercice no 1 (discussion)
• Les données de la mensuration officielle sont-
elles représentées de la même manière ?
• Y a-t-il un système de navigation unifié ?
• Quels sont les utilisateurs qui sont
potentiellement pénalisés par cet état de fait ?
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29. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
2ème partie (9h30-10h00)
Pour quelles raisons constitue-t-on une
infrastructure de données géographiques ?
Quels coûts ? Quels bénéfices ? Qui
finance ? Qui sont les utilisateurs ? Quel
est l’intérêt pour la mensuration officielle ?
Exercice no 2
32. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Infrastructure de données géographique (IDG)
• http://www.swisstopo.admin.ch/internet/swisstopo/fr/home/topics/geodata_inf.html
33. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exercice no 2
• Quels sont les composants qu’il faut
standardiser dans une infrastructure nationale
de données géographiques ? Pensez à ce qui
potentiellement peut poser problème en
l’absence de standard
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35. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Les infrastructures de données géographiques
• Au plan européen: infrastructure européenne
de données géographiques INSPIRE
• Au plan suisse: infrastructure fédérale de
données géographiques IFDG
• Au plan cantonal: infrastructure cantonale de
données géographiques ICG
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41. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Infrastructure fédérale de données géographiques (IFDG)
• http://www.geo.admin.ch/internet/geoportal/fr/home/geoadmin/mission/bgdi.html
42. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Pourquoi constituer une infrastructure
de données géographique ?
Ne peut-on pas se contenter des
guichets cantonaux ?
43. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Avantages et inconvénients des guichets cantonaux
(situation actuelle)
• Avantages: chaque canton est libre d’avancer
selon son propre rythme sur les plans
techniques et financiers. Pas de contrainte de
la Confédération à respecter.
• Inconvénients: l’internaute doit se familiariser
avec les spécificités de chaque guichet
(navigation dans les menus, mode de
représentation des données).
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44. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Avantages et inconvénients des guichets cantonaux
(situation actuelle)
• Inconvénients: l’internaute n’a en principe pas
la possibilité de consulter les données qui se
trouvent en dehors des limites cantonales.
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46. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Programme e-geo.ch
• Le programme egeo.ch a été formellement
lancé en 2003 suite à l’adoption par le Conseil
fédéral du rapport de la COSIG portant sur la
stratégie de la Confédération en matière de
données géographiques.
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47. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Programme e-geo.ch
• Le programme a été piloté par la
Confédération par l’intermédiaire de
swisstopo.
• La structure de coordination mise en place
était constituée d’un comité de pilotage et de
groupes de travail.
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50. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Rôle de la COSIG – coordination Confédération
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http://www.swisstopo.admin.ch/internet/swisstopo/fr/home/docu/pub/kogis.html
57. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Infrastructure informatique
• Chaque canton est responsable de la mise en
œuvre de l’infrastructure informatique
adéquate et en supporte les coûts.
• Il n’y a pas de subvention accordée par la
Confédération pour l’infrastructure
informatique des cantons.
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58. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Adaptation des géodonnées existantes au nouveau
modèle de données
• La loi fédérale sur l’information géographique (Lgéo)
distingue les géodonnées de base des autres
géodonnées.
• La Confédération subventionne l’adaptation des
géodonnées de base au nouveau modèle de données
• Les cantons peuvent allouer des subventions pour
l’adaptation des géodonnées de base par les
communes
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59. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Catalogue des géodonnées
• La Confédération a développé un catalogue qu’elle
met à disposition des cantons (geocat).
• Chaque canton documente à ses frais le catalogue de
façon à ce que les géodonnées de base puissent être
recherchées, consultées et commandées.
• Les cantons ont la possibilité d’alimenter le catalogue
central en interfaçant leur catalogue avec geocat.
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61. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Catalogue des géodonnées - Vaud
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http://www.asitvd.ch/index.php?option=com_easysdi_catalog&view=search&task=listcatalogcontent&contex
t=main&itemid=153&lang=fr
62. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exercice no 3
• Quels sont les bénéfices d’une INDG ?
• Quels sont les coûts évités lorsque l’on dispose d’une
INDG ?
• Est-ce utile pour un bureau de géomètre ?
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67. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
3ème partie (10h30-11h30)
De quelle manière a-t-on standardisé en
Suisse - Rappel des bases légales – Rôle
de la Confédération – Rôle des cantons -
geo.admin.ch – Portail CIGEO
68. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Exercice no 4
• Le géoportail de la Confédération geo.admin.ch offre
la possibilité de consulter de nombreuses données sur
l’ensemble du territoire de la Suisse.
• Lesquelles?
• Les données de la mensuration officielle sont-elles
visibles?
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70. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Portail des données de la mensuration officielle
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http://www.cadastre.ch/internet/cadastre/fr/home/products/webmap/cwm.html
83. Mensuration officielleBéatrice Simos-Rapin, 14 mai 2014
Conclusion
• L’INDG en Suisse est une réalité.
• Il reste cependant encore des travaux à
réaliser, notamment pour adapter les jeux de
données existants.
• Cela est tout particulièrement vrai pour les
données de la mensuration officielle.
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Notas del editor
L’objectif du cours de ce jour est de vous présenter en quoi consiste une infrastructure de données géographique, quels en sont les composants sur le plan technique, quel est le cadre légal qui en régit la constitution et comment cette infrastructure s’articule ou s’insère dans les infrastructures de plus haut niveau; du plan cantonal au plan national; du plan national au plan européen.
Nous verrons à l’aide de quelques exemples à quoi servent les standards, de quelle façon, en l’absence de standards les infrastructures cantonales se développent.
Nous verrons également de quelle façon s’organise l’établissement de standards au plan suisse, au plan européen, au plan mondial.
Finalement au terme de ce cours, vous saurez ce qui se cache derrière le terme d’infrastructure nationale de données géographiques et ce qu’une telle infrastructure apporte au fonctionnement de notre société et à l’économie en général.
Plusieurs études ont été réalisées avant la mise en œuvre de l’infrastructure nationale de données géographiques et des bulletins thématiques ont été rédigés dans le cadre du programme d’impulsion e-geo.ch.
Une infrastructure est un ensemble d’éléments interconnectés. C’est un dispositif organisé qui permet de supporter une structure. Si l’on fait le parallèle avec une infrastructure de données géographiques, cela signifie que l’infrastructure pourrait être un ensemble organisé de dispositions techniques, légales et organisationnelles qui ont pour objectif de permettre de consulter et de manipuler des données géographiques sur une large portion de territoire.
Il existe différents types d’infrastructure, des infrastructures pour transporter des personnes, des marchandises par la route, par le rail, par les airs.
Il existe également des infrastructures destinées au transport de l’énergie comme les lignes de transport du courant électrique pour la haute tension, moyenne tension, basse tension.
Il y a également des infrastructures de type logistique qui permettent de stocker et de livrer des marchandises à leur destinataire.
Il existe aussi des infrastructure de production, comme par exemple les plateformes pétrolières, les usines métallurgiques, etc.
Vous pouvez imaginer que s’il n’y a pas de standard, chacun va essayer de trouver la solution qu’il imagine être la meilleure. Chaque réalisation sera différente et il faudra faire un effort pour s’entendre sur un standard auquel chacun se ralliera.
C’est ce qui s’est passé pour les modèles de données de la mensuration officielle où en l’absence d’un modèle rigoureusement défini, chaque canton a mis en place sa propre solution.
Si vous voyagez, vous avez certainement été confronté à la question des prises électriques. Comme vous le voyez sur cette carte, le standard utilisé en Australie est différent de celui utilisé en Europe et le standard européen est différent du standard suisse. Il n’y a donc pas un standard unique mondial mais plusieurs standards qui cohabitent dans le monde. Cependant il n’y a qu’un standard au plan local.
Est-ce que vous pouvez citer des exemples d’infrastructures pour lesquelles des standards ont été établi ?
Prenons l’exemple du ferroviaire. Comment les standards ferroviaires sont-ils établis en France ? Qui en a la responsabilité ? Sur quoi portent ces standards ?
En France, c’est le bureau de normalisation ferroviaire qui est chargé de faire établir les standards qui concernent aussi bien le matériel roulant (wagon, locomotive) que les installations fixes.
L’agence française de normalisation AFNOR a délégué les questions de normalisation du domaine ferroviaire au BNF.
En Suisse, c’est une organisation similaire qui est en place. Les CFF établissent des normes en délégation de l’organisation de normalisation suisse, la SNV.
Il y a de très nombreux secteurs qui font l’objet de normalisation dans le domaine ferroviaire comme vous pouvez le constater.
Cela va de l’interaction entre le véhicule et la voie jusqua’u système d’alarme et d’urgence en passant par la qualité géométrique de la voie.
Vous avez certainement déjà constaté qu’il y a des voies normales et des voies étroites. Il existe également des voies dites larges. Quelle est la largeur standard de ces voies ? Comment peut-on assurer le transport de matériel roulant conçu pour des voies étroites sur une infrastructure à voie normale ? Et vice-versa ? Pour information, l’écartement de la voie dite normale est de 1.435 m. Toutes les voies dont l’écartement est inférieur sont dites voies étroites. L’intérêt de la voie étroite est de permettre des rayons de courbure plus petits et par là-même de s’adapter plus facilement au terrain.
Par le dispositif de double voie tel qu’il est illustré sur l’exemple japonais ou en utilisant des rollbock tels que ceux qui sont stationnés en gare de Morges et qui permettent de transporter des wagons standards sur la ligne du Bière-Apples-Morges.
Vous connaissez certainement les normes SIA qui sont établies par la société suisse des ingénieurs et des architectes. Ces normes couvrent toutes sortes de domaines de la construction. Celles concernant les tarifs SIA font encore référence quand il s’agit de faire des offres basées sur le temps consacré ou d’établir des devis pour des travaux à réaliser.
En Suisse également nous avons un organisme de normalisation. Il s’agit du SNV (Schweizerischer Norm Verein).
Les normes SNV couvrent de très nombreux domaines.
Il y a par exemple les normes VSS établies par l’association suisse des professionnels de la route et des transports. Ces normes sont utilisées par l’Office fédéral des routes (OFROU) qui y fait référence sur son site.
Dans le domaine de la géoinformation, Interlis est une norme suisse qui a été établie pour procéder à l’échange de géodonnées.
Interlis est utilisé dans la mensuration officielle et est imposé par la Direction fédérale des mensurations cadastrales pour la livraison des données.
Tout au long de ce cours, je ferai référence aux publications qui ont été faites par le programme e-geo.ch. Si vous souhaitez approfondir vos connaissance vous y trouverez des articles d’information et de réflexion qui sont toujours d’actualité.
Au plan mondial, c’est l’International Standard Organisation (ISO) qui est chargé d’établir les normes.
Parmi les plus connues, on peut citer les normes relatives aux systèmes qualité de la série 9’000 et les normes pour le développement durable de la série 14’000.
Pour vérifier quelle est l’importance des normes, je vous propose de faire un premier exercice qui consiste à consulter les données de la mensuration officielle telles que proposées dans 4 guichets cartographiques.
Nous verrons successivement les guichets de Fribourg, de Genève, de Neuchâtel et du canton de Vaud.
Afin d’avoir un foncier et un bâti similaire, je vous propose de systématiquement se localiser sur la gare.
Qui veut commencer cette navigation ?
Durant la démonstration, je vous propose que vous preniez des notes sur ce qui vous frappe afin que l’on en discute au terme de ces 4 présentations.
Quelles sont les utilisateurs ou les professionnels qui pourraient être pénalisés par cet état de fait ?
Agent immobilier qui travaille par exemple dans toute la Suisse romande
Banque qui examine les dossiers de demande de prêt hypothécaire dans ce cas également pour toute la Suisse romande.
L’infrastructure nationale de données géographiques s’articule autour du réseau e.geo.ch. Elle comprend 8 blocs qui sont les géodonnées de base, les géoservices de base, les méta-données, les directives et standards, l’infrastructure technique, les bases juridiques, la stratégie de tarification ainsi que la formation et la recherche.
Chacun de ces blocs a fait l’objet de travaux qui ont abouti à la création de la loi fédérale sur l’information géographique et ses ordonnances et à la mise en place de portails et de services ad hoc.
Ex: portail geoadmin.ch, portail CadastralWebmap
Catalogue des géodonnées: geocat
En 2004, la première idée était de constituer une INDG avec un réseau de serveurs correspondant aux serveurs mis en œuvre dans les cantons.
Ce que l’on voulait éviter c’était la réplication des données des cantons dans un serveur de la Confédération.
Les infrastructures de données géographiques se constituent à plusieurs niveaux par consolidation du niveau inférieur. On ne retrouve pas toutes les données dans les niveaux supérieurs.
Il existe de nombreuses initiatives dans le monde pour constituer des infrastructures de données nationales.
Christine Giger dans l’article paru dans le 1er numéro du bulletin e-geo.ch a recensé les initiatives suivantes: