4. Depuis l’origine des temps, des personnes sont contraintes de se déplacer à travers leur pays et à travers le monde. Elles recherchent des zones plus faciles à vivre, elles fuient les catastrophes naturelles (volcans, tremblements de terre, inondations), les guerres, recherchent de meilleures terres agricoles, moins de sécheresse, de l’herbe pour leurs troupeaux. Souvent elles vont vers les villes, où elles pensent trouver du travail et de la richesse. Aujourd’hui beaucoup d’habitants des pays du sud tentent, parfois au péril de leur vie, de venir dans nos pays, avec l’espoir d’une vie meilleure.
5. Je dois prendre cette décision pour le bien de mes enfants. Si papa quittait le pays nous aurions un avenir meilleur Nous pourrions voir cet arc-en-ciel plus joli Je pourrai avoir ma maison et un avenir meilleur Nicaragua Madroño Gloria
6. Les migrations ont toujours existé. Depuis les origines, de tous temps… des hommes sillonnent le monde à la recherche d’une vie meilleure… Et s’installent dans de nouveaux lieux.
7. Le département de Loreto, le plus étendu du Pérou, a été habité depuis les temps anciens par des tribus nomades et semi-nomades. L'évangélisation de la forêt, entre autres par les jésuites et les franciscains au 18 ème siècle a donné naissance aux villages de Borja, Yerberos et La Laguna. En 1740, le jésuite José Bahamonde fonda les hameaux de Santa Bárbara de Nanay et Santa María de Iquitos, sur la rivière Mazán. Tous les peuples s'unirent et émigrèrent des hautes rives entre les rivières Amazonas, Nanay et Itaya. Selon la tradition, Iquitos fut fondé en 1757 par les jésuites avec le nom de San Pablo de los Napeanos, comme le premier port fluvial de la rivière Amazonienne. Histoire des migrations en Amazonie péruvienne Pérou CanoArte Ulisse
8. La princesse Yénenga s’empare des fétiches familiaux, symboles de la royauté, et s’enfuit du palais situé au Ghana voisin. Amazone à cheval, elle erre et rencontre par hasard un jeune chasseur du nom de Rialé. Ils se marient et de leur union naitront les Mossis, peuple et ethnie majoritaire du Burkina-Faso. Burkina-Faso Tchénés
9. Valentine Une migration historique qui a touché la famille royale du Rwanda en 1931. Le roi Musinga est obligé par les colons belges de quitter son trône pour partir en exil forcé au Congo, à Moba. Il vit misérablement dans la brousse. Rwanda Amohoro Iwacu
10. Parbati Ces personnes se déplacent à l’intérieur de leur pays, le Népal. Népal Surya
11. Pour beaucoup, le voyage est dangereux. Il faut traverser de grands fleuves, prendre la mer… Dans l’espoir d’un avenir meilleur.
12. Dans le pays voisin, oui, on vit mieux. Je sortirai de cette pauvreté si je m’en vais Je traverserai ce fleuve pour aller de l’autre côté. Comme ils me traitent bien ici! On vivra mieux ici. Brandon,7 ans Nicaragua Madroño
13. 1 Les migrations liées aux conflits armés Bénin Gamesu Anahi Ortiz Morales, 11 ans
15. Rwanda Amohoro Iwacu Rulinda Deo En 1994 au Rwanda, de nombreuses personnes fuient leur pays le Rwanda, et s’entassent dans les camps de réfugiés.
16. RD/Congo Tumaini Je présente une caravane de déplacés de guerre qui demandent asile à d’autres pays.
17. Inde-Ladakh Tibetan Art Children Beaucoup de personnes qui ont du s’exiler, sont très attachées à leurs origines. Mais pour avoir les mêmes droits que ceux qui habitent le pays qui les accueille, elles demandent la nationalité de ce pays. Cet homme est est né au Tibet.
18. Vol de Zébus Madagascar mamabé Jean-Aimé, 9 ans Les habitants du village ont beaucoup de zébus La nuit tombe, les gens attachent les zébus. Les habitants quittent le village Les voleurs de zébus attaquent le village.
21. C’est l’heure de nous dire au revoir Je dois partir Les personnes de mon pays doivent émigrer au Costa Rica et aux Etats-Unis pour trouver du travail Nicaragua Sacuanjoche Nous nous reverrons. Je m’appelle Jamal et je vais vous raconter une histoire Tu me manques papa. Quand reviens-tu? Viens vite. Jamal Samora, 7 ans
22. Je ne trouve pas de travail. Je vais sortir du pays pour aller chercher du travail Maintenant au travail. Nicaragua Madroño
23. Une partie de la famille (le père, la mère, certains enfants) part au loin, pour chercher du travail.
24. Jamal Zamora Et quand va venir ta famille ? Bonjour, comment vas-tu? je ne peux pas la faire venir, je n’ai pas d’argent pour cela. Allons-y, mon travail est loin. Maman, tu n’as pas de nouvelles de papa? Nicaragua Madroño
25. Mes sœurs sont parties au Chili Les filles, pourquoi allez-vous si loin ? Mes sœurs sont partis au Chili pour travailler . Alors nous sommes allés au terminal pour leur souhaiter bonne chance. Pour aider mes sœurs. Alors mes sœurs sont montées dans le bus et ont commencé le voyage. Au bout de 4 jours elles sont arrivées au Chili. Bolivie Mesa Verde Anahi Ortiz Morales, 11 ans
26. Dans la ville de Chile elles sont allées à l'hôtel car il faisait nuit. Très tôt, mes sœurs sont allées chercher du travail et elles n'ont rien trouvé. Mais, l'autre jour, enfin, elles ont trouvé le travail qu'elles cherchaient. Après le travail, elles ont appelé ma mère pour tout lui raconter. Mes sœurs sont heureuses au Chili. La nuit, elles regardent le ciel et se souviennent de leur Bolivie On les a engagées comme secrétaires. Anahi Ortiz Morales, 11 ans Bolivie Mesa Verde
27. Danitza Ortiz Morales, 9 ans Bolivie Mesa Mesa Mon frère est allé en Espagne Pourquoi pars-tu? Mon frère est parti travailler en Espagne Pour aider la famille Mon frère est monté tristement dans l’avion en pensant à nous. Finalement l’avion est parti pour l’Espagne
28. Danitza Ortiz Morales, 9 ans Bolivie Mesa Mesa Maman, on ne m’a pas renvoyé jusqu'à maintenant. Ça va bien. Et par chance on lui a donné. L’autre jour mon frère est allé chercher du travail. L’entreprise de construction Lascano S.A.Y a embauché mon frére. Aujourd’hui même il travaille là. Je m’en réjouis, prends soin de toi Mes enfants, on n’a pas renvoyé votre frère. Cela va très bien dans son travail J’espère trouver un travail pour aider ma famille. Ah comme c’est bien maman. On est très contents
29. Maman, où es-tu, j’aimerais te voir. J’aimerais que maman revienne. Je suis triste. Joy, tu n’as rien de tout cela. Quand je n’ai pas de travail, je ne peux plus faire de rêves. Je serai bientôt avec ma fille Nicaragua Madroño Stèphanie Mazielle
30. Je ne veux pas que maman quitte le pays. Maman doit chercher du travail. On l’a licenciée. Enfin j’arrive. J’espère trouver du travail. Adieu! Ma maman a maintenant du travail Adieu mon fils Nicaragua Madroño Teran, 7 ans
31. Nicaragua Sacuanjoche Bonjour papa, comment vas-tu? Tu nous manques! Moi aussi tu me manques. Bientôt, je serai avec vous. On voulait te dire que l'on étudie beaucoup au collège pour avoir de bonnes notes. On fait beaucoup d'efforts pour étudier. On t'embrasse, fais attention à toi, tes enfants, Gabriela et René. Gabriela Pineda, 8 ans
32. Le voyage de papa A l’aéroport nous nous sommes sentis tristes. Mon papa Est parti en Argentine pour travailler. Avec ma famille on est allé li dire au revoir. José Armando, prends soin de tes petits frères. Alors papa est parti. Avec mes frères on a pleuré. Bolivie Urkupiña Armando Chuca Llanos,9 ans
33. Quand le père revient, c’est la fête. Surtout un jour d’anniversaire. C’est difficile d’avoir les parents d’un côté et de l’autre.
34. Comme c’est bon de t’avoir de nouveau! Pablo attend de voyager à Santa Cruz pour rendre visite à sa maman. Pablo est heureux car son voyage approche Je suis heureux de voir maman. Je suis triste parce que je pars de la maison Esther Mora Nicaragua Madroño Bolivie Urkupiña
35. Pourvu que mon souhait se réalise. Et que papa vienne au Nicaragua pour fêter mon anniversaire. Je vais envoyer des lettres à ma famille. Nicaragua Madroño Brisa (détails) A quelles belles fleurs. Je souhaite que mon papa, ma maman et moi nous soyons réunis.
36. Beaucoup de personnes quittent la campagne pour aller chercher du travail en ville. Elles espèrent une vie meilleure.
38. Tello vit en Amazonie, au Pérou. Il vivait à la campagne, il vit dans la ville d’Iquitos. Tello Pérou CanoArte
39. Brésil 4Varas Au Brésil, beaucoup de familles du Sertão, zone désertique du Nordeste, ont dû quitter leur terre pour aller grossir les favelas , dans les villes, avec l’espoir de vivre mieux.
43. En Bolivie, le pays le plus pauvre d’Amérique du Sud, beaucoup de personnes quittent les montagnes et vont à la ville . Sur cette toile de 6 mètres de long, les enfants ont peint les étapes de ce voyage Bolivie Ñanta Travail de groupe
44. Le voyage de René Daza Mon chien YUYO se trouve près des champs de maïs et il remue la queue. Il ne voulait pas aller à la ville et il est resté à la campagne avec mes grands-parents. Je me souviens que parfois j’allais à la ville avec mon père et sa fille pour acheter des boissons, du riz, des pates et de l’épicerie. C’était très loin, environ à 4 heures de chez nous. C’est moi (j’aime bien cette casquette et cette couleur bleu). Ma maison se trouve derrière ; elle était petite mais convenait pour toute la famille. Ma maison était prés de la rivière et souvent on y allait avec mes frères pour pêcher et voir les crapauds. Quand il avait beaucoup plu, les poissons étaient très nombreux et on pouvait les pêcher facilement et les ramener à la maison pour le diner. Bolivie Ñanta René Daza
45. C’est le bus dans lequel toute ma famille a voyagé ; il était bleu et jaune. J’aime bien les bus jaunes ; un jour je conduirai un bus comme ça. C’est le bus qui arrive en ville; ce jour là j’avais un peu peur car on ne connaissait pas grand monde en ville; je n’ai que 2 cousins qui vivent à Sucre, les autres sont partis à Cochabamba. C’est la gare routière de Sucre où je travaille, au milieu des bus et des voyageurs. Vous pouvez me voir en train de cirer les chaussures ….Mes 2 frères et moi travaillons dans la gare comme cireurs de chaussures. Bolivie Ñanta Le voyage de René Daza René Daza
46. Quand il n’y a pas de travail, on chante dans les bus locaux, on nettoie les bus et parfois on aide les voyageurs à porter leurs bagages. Je me rappelle la première fois où je suis arrivé à la gare routière après notre arrivée à Sucre . je suis descendu du bus et j’ai commencé à cirer les chaussures des messieurs. Un jour de pluie, on m’a dit « Gamin! Viens nettoyer ce bus ! » et c’est comme ça qu’on a commencé à nettoyer les bus ; parfois on gagne pas mal d’argent en nettoyant les bus. Bolivie Ñanta Le voyage de René Daza René Daza
47. Parfois, la population fuit la ville pour chercher le calme et fuir la peur et l’insécurité.
48. Madagascar Mamabé Anicet. 10 ans De la ville à la campagne pour trouver le calme après des grèves violentes Beaucoup de gens se cachent chez eux; ils ont peur de mourir. Grève Les malgaches attaquent les indiens Les gens du village vont à la campagne qui est calme.
49. Les parents envoient parfois leurs enfants loin pour qu’ils puissent étudier. C’est une chance pour eux, et en même temps une souffrance.
50. Le voyage de Daniel Il voulait emmener ses amis pour qu’ils connaissent la maison. Daniel a pris le bus avec ses amis pour aller étudier. Daniel et ses amis étaient très heureux. Mais ceux-ci voyageaient vers un autre lieu. Daniel descendit à Potosi. Bolivie Urkupiña Daniel rêvait d’arriver vite à la maison de sa tante. Job Josue Ignojosa Saavedra,8 ans
51. Daniel va à l’école et se fait de nouveaux amis. L’après-midi, ils prennent du thé et regardent des dessins animés. Daniel reste à la récréation parce qu’il n’a pas fini ses exercices. Daniel se sent triste quand il sort de l’école mais il est heureux parce qu’il va chez sa tante ou il vit heureux Bolivie Urkupiña Job Josue Ignojosa Saavedra,8 ans Daniel est dans la maison de sa tante. Celle-ci est très heureuse de le voir.
53. Bolivie Ñanta Je pars à la ville pour travailler et je dis au revoir à ma maman. Me voilà arrivée en ville. J'arrive enfin! Quelle joie ! Eulogia Solis, 12 ans Migration d’’Elogia
54. Bolivie Ñanta Je vends des biscuits, des bonbons. je dois sauter a hauteur de ceinture maintenant (elle joue à l’élastique). Aller à l'école pour apprendre à lire parfaitement. Allez, dépêche toi d’aller à l’école, Andrea! Eulogia Solis, 12 ans
56. 2 Les migrations 3 Les migrations suite aux catastrophes naturelles Nicaragua Madroño Adriana,8ans,
57. Phénomènes progressifs (sécheresse, déforestation..) ou brutaux (volcans en éruptions, séismes, inondations..), obligent les populations à partir.
58. Au secours Vévé, 14 ans Madagascar Mamabé On va s’installer ailleurs Dépêchez-vous Regarde, les gens du village nous accueillent On va s’installer ici, papa et maman. Un feu de brousse
59. Ces personnes ont faim. Elles fuient les éléphants qui mangent et déciment les récoltes. Jean Tsongo RD/Congo Tumaini
61. Les nomades n'ont plus d'eau pour eux et leurs moutons. Les femmes nomades souffrent de la rareté de l'eau (utilisée pour la cuisson et l’hygiène). Maroc Titrite Hamza,Samir,Myriam Plus d'eau dans la montagne ; il faut quitter ces montagnes .
62. Le père nomade et son fils sont en pleine montagne à la recherche d'herbe et d'eau pour les moutons. Maroc Titrite Hamza,Samir,Myriam C'est vraiment une misère d'aller chercher de l'eau si loin.
63. La vie des chèvres et des moutons menacée par le manque d'eau et de pâturages. Maroc Titrite Hamza,Samir,Myriam «Il faut aller ailleurs, père ». Il n’y a rien à brouter ici dans ces montagnes .
64. La migration à la recherche d’un lieu meilleur. Maroc Titrite Hamza,Samir,Myriam
70. En République Démocratique du Congo les gens fuient les laves des volcans et la guerre civile. RD/Congo Tumaini Ziza, 8 ans
71. Mariam Xilena Abarca, 10 ans L’histoire de Mariam Nicaragua Nicaragua Pinta Je vis avec mon papa, ma maman et mon petit frère J’aime m’occuper des animaux Bonjour mon amie, comment vas tu? J’ai déjà acheté la nourriture des animaux
72. Mariam Xilena Abarca, 10 ans Nicaragua Nicaragua Pinta Bonjour, je suis Mariam. Mon rêve est de devenir peintre. Un jour on a entendu que quelquchose s’éboulait- Mon papa est sorti voir et c’était la lave. Après on est sorti en courant
73. Mariam Xilena Abarca, 10 ans Nicaragua Nicaragua Pinta Le volcan crachait du feu et il a emporté notre maison. Nous sommes allés vivre ailleurs et je n’ai pas pu réaliser mon rêve
74. Dépêchons-nous. Il va pleuvoir Courrons, il va pleuvoir Mon Dieu, aidez-nous! C’est un ouragan. Nous avons perdu notre maison, Nous n’avons nulle part pour habiter. Oui , mais maintenant comment ferons nous pour survivre? Nous avons émigré au Costa Rica à cause de l’ouragan qu’il y a eu au Nicaragua. Nicaragua Nicaragua Pinta Nahomy Espinoza, 10 ans
75. Nous devons nous sauver Le volcan va exploser Nous devons sortir de ce lieu Courrons! Nicaragua Madroño Leonardo, 7 ans
77. Ils se retrouvent au Zaïre (aujourd’hui la République Démocratique du Congo) et n’ont qu’une cabane pour abri de fortune. Valentine Une famille a quitté sa belle maison et abandonné son véhicule au Rwanda. pour se retrouver au Zaïre, en brousse. Valentine Rwanda Amohoro Iwacu Ils sont dans un camp de réfugiés, n’ayant pour abri qu’une bâche qu’on surnomme blindé. Spéciose
78. Des passeurs débarquent les réfugiés sur les plages. Ces hommes et ces femmes qui arrivent n’ont pas de papiers. Ils ont payé très chers le voyage. Ils ne savent pas s’ils pourront rester dans le pays. Ce sont des immigrés clandestins.
80. Partir avec les habitudes de son pays, et acquérir les habitudes du pays ou l’on arrive, C’est parfois difficile.
81. Aimé Florent Shimwa Mon pays c’est le Rwanda. En 1994 j’ai fui mon pays en guerre. J’ai pris les habitudes de la République Démocratique du Congo, le pays qui m’a accueillie. Revenue au Rwanda, on m’appelle la congolaise. Rwanda Amohoro Iwacu
82. Parfois les histoires de migrations se terminent bien. Une personne de la famille trouve du travail, les enfants vont à l’école.
83. Jean-Claude Le grand pas symbolise l’empressement de l’homme à changer de lieu. Sa détermination eut comme résultat un nouvel habitat avec des conditions de vie meilleures. Rwanda Amohoro Iwacu
84. Voyage de Kevin à Iquitos Pérou CanoArte Juan Diego Paredes Cisneros
85. Aujourd’hui je dois aller à Iquitos avec toute ma famille. Dans la « chakra » on ne peut pas vivre en paix parce qu’il y a beaucoup de Zancudos et beaucoup de moustiques. Maman, pouvons nous y aller? Oui allons y! Pérou CanoArte Cesar Augusto, 10 ans Juan Diego Paredes Cisneros
86. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Alors nous sommes montés dans un bateau Yamacari en direction de la ville d’Iquitos, sans savoir où nous allions habiter car nous n’avons pas de famille là-bas. Juan Diego Paredes Cisneros
87. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Le bateau continuait de naviguer et je voyais de nouvelles vaches et de nouveaux serpents. J’aime voyager parce que je peux connaitre d’autres communautés Juan Diego Paredes Cisneros
88. Pérou CanoArte Maman, maman, réveilles-toi! Tu ne vois pas que nous sommes arrivés à Iquitos. Regardes comme la ville est belle, regardes les enfants qui jouent sur le bord du fleuve, comme ils ont l’air heureux! Regardes les belles maisons. Juan Diego Paredes Cisneros
89. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Enfin nous amarrons dans le port de Belen. Comme je suis fatigué! Nous allons chercher un lieu pour rester dormir et tôt demain matin je sortirai pour chercher un travail. Juan Diego Paredes Cisneros
90. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Le jour suivant… J’ai un travail. Maman, maman nous allons nous en sortir, je te le promets et nous serons heureux dans cette nouvelle ville. Juan Diego Paredes Cisneros
93. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Kevin, 10 ans Je vais vous raconter l’histoire de ma famille et comment nous sommes arrivés à la ville d’Iquitos Je suis Kevin. J’ai 12 ans et je vivais dans la chakra avec mes parents.
94. Voyage à Iquitos Pérou CanoArte Kevin J’aime aider mes parents dans l’agriculture. Nous cultivons des fruits et des légumes.
95. Pérou CanoArte Kevin Un jour mes parents me dirent que nous devions voyager en canot jusqu’à la ville d’Iquitos pour travailler dans une usine.
96. Pérou CanoArte Kevin Nous avons voyagé sur le fleuve Arizona presque toute la journée. Le voyage m’a beaucoup plus parce que j’ai pu voir de beaux paysages et beaucoup d’animaux.
97. Pérou CanoArte Kevin Quand je suis arrivé à Iquitos, je suis resté impressionné par les immeubles et les maisons si jolies. Les rues, les voitures. Tout était très beau.
98. Pérou CanoArte Kevin Quand mon papa sortait du travail, je l’accueillais dans mon petit canoé, puis nous allions à la maison ou ma maman nous attendait, ma maman avec mes autres petits frères et nous étions très heureux ici.
100. Le voyage de Pepito Tout a commencé quand on a appelé mon papa pour travailler. C’est l’histoire de mon voyage à Santa Cruz. On lui a offert un travail de maçon. Alors nous sommes partis avec toute ma famille à Santa Cruz. Bolivie Urkupiña Cesar Augusto, 10 ans
101. Quelle jolie ville. Je suis heureux d’y venir avec toute ma famille chérie. Je suis heureux de vous voir tous aujourd’hui à Santa Cruz. Papa , maman et moi vivons heureux dans la maison de ma tante. Je vais travailler Alors j’ai construit un immeuble de 11 étages; avec mes outils j’ai construit un immeuble.
102. Pérou CanoArte Lima Esmid Ytalaque, 10 ans Ma maman est très travailleuse. Elle est venue à Lima parce qu’il n’y avait pas de travail dans son village de Huarochiri . Elle a rencontré mon papa qui est de Lima. Où je suis né. Je suis heureux de de vivre près de mes parents et qu’ils me fassent aimer la terre d’où nous venons pour que je puisse un jour connaitre la terre de ma maman.
103. Se retrouver en famille, être bien accueilli, trouver un travail, un logement décent, donner la possibilité à ses enfants d’aller à l’école sont des conditions pour être heureux.
104. Papa, ici je vais pouvoir étudier Ici, il y a des aides pour cultiver. Nicaragua Madroño José. 8 ans (détail) Cette famille a migré car il n’y avait pas de récolte à cause du mauvais temps.
105. Moi aussi Je vais sortir du pays pour chercher du travail Arnold Pérez,7 ans Je vais à l’aéroport. Adieu ami Nicaragua Sacuanjoche
106. Cet homme est bien accueilli dans le nouveau pays. Ce n’est pas toujours les cas. Bienvenue dans mon pays. Nicaragua Sacuanjoche
107. Bien souvent l’immigrant épargne l’argent gagné et le porte ou l’envoie au pays. Ce que je gagne ici, je vais le porter au pays. Nicaragua Sacuanjoche Arnold Pérez,7 ans
108. maman Je vais au pays, ami. Oui ami amie fils amie Nicaragua Sacuanjoche Arnold Pérez,7 ans
109.
110. Les migrations ne laissent jamais indifférent. Que devient celui qui part ? Quel lien garde t’il avec sa terre d’origine…Qui est cet étranger qui arrive, que vient-il faire, qu’apporte t-il, que laisse t-il sur son passage et s’il reste comment est-il accueilli, comment est-il considéré ? Comment s’insère t-il dans notre région ou notre pays et en quoi fait-il changer la vie autour de nous ?
Notas del editor
commentaire
Pourquoi ici plutôt avant ou après
id
Mettre au début. Migrations éco. Une partie de la famille part
Commentaire???
NON
Peu compréhensible
Voir diapo 43
Peu compréhensible
Les inondations peuvent faire de très nombreuses victimes. Dans