2. Démarrage d’activité
CA
Temps
Point
d'équilibre
financier du
projet
Découverte du Client Validation par les Clients Création de Clients Développement
Énergie développée
Défaillance de lassitude
Hystérie productive
Fidélisation
Amorçage
Engagement
Croissance
Maturité
Étude de
marché
Offre Pricing Marketing Prospection Attitude
Manque
de recul
www.cmorel.fr
3. Plan
• Communiquer
– Bases de la communication
– Analyse transactionnelle
– Programmation Neuro Linguistique
– Systémique
• Techniques de ventes
– La posture du vendeur en B2C
– Les 7 étapes de la vente en B2B
– Phoning acheteur vs vendeur
– Réseautage et prescription
• Argumenter
– Repérer les objections
– Traiter les objections
– Le carré d’argumentation
– Contre-Argumenter
– Top 10 des objections
– Argumenter le prix
• Battles
JOUR 1
JOUR 2
JOUR 3
5. Négocier
La résistance à l’acte d’achat est chose normale, car
acheter signifie payer.
D’instinct, le prospect, même convaincu, se jugerait
déconsidéré si, avant de se rendre, il ne livrait pas
bataille pour la forme.
7. DISC
HumainTechnique
Sociale
Personnel
d i
c s
Dominant
Centré sur l’action et
l’atteinte des résultats.
Peu enclin au consensus
Conforme
Motivé par la qualité des
réalisations le respect de la
bonne manière de faire.
Ne voit pas l’intérêt d’ajouter
de la chaleur dans la
communication.
Influent
Centré sur l’optimisme,
l’envie de rencontrer de
nouvelles personnes.
Peu porté sur le détail des
réalisations.
Stable
Laisse le temps au temps.
Chacun peu s’exprimer et
avancer avec méthode.
Réfractaire à l’urgence et au
changement pour le
changement.
9. Avant
• Listez les caractéristiques de son offre
• Listez les avantages du point de vue du client
• Listez les preuves pour rassurer
• Listez les arguments adaptés à la typologie
10. Préparation en 3 phases
1. Créer un scénario
2. Préparer l’argumentaire
3. Préparer un objectif de diversion
11. Créer un scénario
• Enjeux
– Quantifiez le temps de préparation en fonction de l’enjeux
• Objectifs
– Quantitatif :
Borne haute et basse de votre négociation
– Qualitatif :
Quels compromis avec quelles contreparties.
– Démarrage : Borne haute
• Les intérêts
– Les vôtres
– Ceux de la partie adverse
12. Préparation en 3 phases
1. Créer un scénario
2. Préparer l’argumentaire
3. Préparer un objectif de diversion
13. Préparer l’argumentaire
• Carré d’argumentation
– Factuel
Les faits, les chiffres, les témoignages…
– Logique
La démonstration, le raisonnement…
– Conditionnement
Jouer sur les motivation ou les freins…
– Injonction
La Loi, les règles, le pouvoir extérieur…
• Prévoir les contres arguments de la partie adverse
• Préparer l’argument de réfutation
14. l’argument de réfutation
Je visite un appartement que je désir acheter. Il est en centre
ville, proche de la gare et de la voie ferrée. Je veux faire baisser
le prix.
A propos du bruit :
• (Moi) Argument :
La voie de chemin de fer est proche
• (Vendeur) Contre argument :
Les fenêtre sont en triple vitrage, on n’entend rien
• (Moi) Argument de réfutation :
Oui mais l’été, quand j’ouvre les fenêtres ?
15. Préparation en 3 phases
1. Créer un scénario
2. Préparer l’argumentaire
3. Préparer un objectif de diversion
16. Préparer un objectif de diversion
• Objectif non prioritaire
– Laissez la partie adverse s’user sur cet objectif
puis cédez.
• Valorisez votre sens de la concession
– Vous avez fait des concessions, vous attendez la
même chose de la partie adverse.
17. Pendant
• Sélection des arguments
• Personnalisation des arguments
• Contrôle de la portée des arguments
• Un comportement positif
• Un élément visuel
• Une farde de présentation
19. Comportement du négociateur (4C)
• Crédibilité
– Vous êtes l’expert, vous êtes précis, vous vous appuyez sur
des faits…
• Cohérence
– Argumentaire construit, logique et hiérarchisé…
• Consistance
– Utilisez le « JE », vous parlez avec conviction et utilisez les
intonations qui vont avec.
• Connivence
– Utilisez le « NOUS » pour faire adhérer
23. Distinguer les objections
• Sincères et fondées
• Sincères et non fondées
• Non sincères et fondées
• Non sincères et non fondées
24. les objections
• Les objections justifiées
– Ces objections sincères et fondées, vous poussent
à compenser par des arguments forts.
Cette version logiciel va
réellement me
permettre de piloter
mes éditions
comptables ?
Oui, ce sera un gain de
temps pour les éditions,
mais aussi pour
l’analyse de vos
chiffres…
25. les objections
• Les objections NON justifiées
– Ces objections sincères (de bonne foi) et non
fondées, sont l’occasion de fournir des
éclaircissements supplémentaires.
Cette fonctionnalité me
fera gagner du temps ?
Oui, Car dans votre
activité, c’est une tâche
répétitive. Vous y
gagnerez dès la seconde
utilisation.
26. les objections
• Les objections « Prétexte »
– Ces objections non sincères et fondées, sont
volontairement grossies par le client. Elles sont à
ignorer ou à minimiser.
Votre machine à café
avec tous ses boutons
ressemble à un cockpit
de navette spatiale ?
J’entends votre
remarque, pourtant
cette machine à de
nombreuses fonctions
utiles comme…
27. les objections
• Les objections « Fausses barbes »
– Face à ces objections non sincères et non fondées de
pure défense ou de tentative de déstabilisation, on
peut adopter une réaction de silence qui conduit le
client à s’expliquer
Votre entreprise est connue pour
ses produits bas de gamme et la
mauvaise qualité du service après
vente ?
…
29. Limitez vos arguments
• En garder sous le coude
• Maintenir l’attention de mon interlocuteur
• Limiter la controverse
• Cibler les arguments qui répondent aux
besoins, aux motivations et aux attentes de
mon interlocuteur
30. Traiter
• Les 4 étapes incontournables
– Acceptez et valorisez
– Comprenez l’objection
– Traitez l’objection
– Vérifiez l’impact
1. Vous avez raison…
2. Et je vous comprends…
3. C’est pour cette raison que
notre produit permet de…
4. Vous ais-je bien compris ?
31. Traiter
• Le Boomerang
J’ai déjà un
fournisseur ! Bien entendu, c’est la raison
pour laquelle je voulais vous
rencontrer…
33. Traiter
• La compensation
Je ne trouve pas
votre produit
très esthétique !
Je comprends votre point de
vue, n’oublions pas qu’avec
lui vous pourrez faire plus de
choses…
34. Traiter
• La reformulation interrogative
Je perds mon
temps !
Je vous entends, pourtant
combien de temps êtes vous
prêt a perdre pour en
gagner…
35. Traiter
• L’écran
C’est du déjà
vu !
Je comprends votre soucis et
j’y reviendrai dans un instant.
Avant permettez-moi de vous
préciser…
37. Traiter
• L’implication
Votre offre n’est
pas adaptée à ma
clientèle !
D’après-vous, qu'est-ce qui
serait de nature à convaincre
vos clients ?
38. Acceptez valorisez traitez
Je n’ai pas le
temps !
Je comprends que votre temps soit
précieux.
Combien de temps pouvez-vous me
consacrer à une solution qui vous
en fera gagner…
39. Acceptez, valorisez et traitez
Ça ne m’intéresse pas ! Je comprends votre réaction.
Pourriez-vous être plus précis.
41. Acceptez valorisez traitez
J’ai déjà un
fournisseur ! C’est tout à fait normal.
Si je vous propose une solution
plus performante, je suis sûr
que vous seriez intéressé.
42. Acceptez valorisez traitez
Vos produits ne
m’intéressent pas ! Votre point de vue m’intéresse.
J’aimerai que vous me
précisiez…
43. Acceptez valorisez traitez
Vous me faites
combien !
J’ai très envie de travailler avec
vous. Pour que nous puissions
bâtir notre relation j’aimerai
savoir... (demandes techniques,
chiffrées…)
44. Acceptez valorisez traitez
Ne perdons pas de
temps, montrez-moi
votre catalogue !
Le catalogue c’est moi !
Nous proposons des solutions sur
mesure, ainsi ne vous proposer
que les produits d’un catalogue ne
vous apportera pas nécessairement
une solution.
48. Le top 10 des objections
C'est trop cher ! Par rapport à quoi ?
49. Le top 10 des objections
Avec la crise j'ai pas
le budget !
L'objectif de ce rendez-vous
n'est pas de vous vendre mon
service mais de vous en
démontrer les avantages que
vous pourriez en retirer.
1 fois sur 2 c'est du
pipeau
50. Le top 10 des objections
J'ai besoin de rien ! Je me doute que vous ne m'avez
attendu, toutefois pour bien
comprendre votre société,
comment procédez vous pour ...?
Question Ouverte
J'imagine bien, c'était vrai aussi pour un
certain nombres d'acteurs de votre
secteur d'activité avec lesquels je
collabore aujourd'hui, pourtant…
Faire un parallèle avec des société
analogue a la sienne
Un classique pour
expédier rapidement son
interlocuteur
51. Le top 10 des objections
Non merci mais cela
ne n'intéresse pas.
J’entends, cependant
comment procédez-vous
pour...?
Vous piquez ma curiosité.
Compte tenu de votre
activité, comment faites vous
pour...?
52. Le top 10 des objections
Je travaille déjà avec
un fournisseur !
Ils sont très compétent dans
leurs domaines, toutefois au
dire de nos clients, on a un
vrai segment de
différenciation avec eux en
matière de ...
53. Le top 10 des objections
Je dois réfléchir.
A quoi exactement ?
Qu'est ce qui vous fait hésiter ?
Quelles questions vous posez vous
Concrètement, qu'est qui fait que l'on
pourrait travailler ensemble ?
C'est sûr, il n’est pas
convaincu par votre
argumentation
54. Le top 10 des objections
Envoyer moi une
documentation !
Volontiers, j'ai rendez-vous le 8 près
de chez vous, je vous l'apporte
directement en sortant.
Nos offres sont sur mesure, une
documentation ne vous révèlerai
pas toute la force de nos produits
pour votre service.
55. Le top 10 des objections
Je n’ai pas le temps
actuellement !
En termes d'échéancier, a quel
moment aurez vous un peu plus de
disponibilité ?
J'en suis pleinement conscient, et je
ne prendrais pas plus de temps que
vous pourrez m'en accorder
Accordez moi dix minutes pas plus, et
la vous aurez une idée vraiment
précise de ce que je peux vous
apporter.
56. Le top 10 des objections
Ce n'est pas moi qui
prend la décision !
Qui est la personne qui décide, et sur
quels critères va t'il décider ?
Est il possible de nous organiser un
nouveau rendez avec cette personne ?
57. Le top 10 des objections
Ce n’est pas le moment rappeler
moi en début d'année ou dans
quelques mois ?
Prenons rendez-vous le 14
Qu'est qui va changer d'ici la ?
59. l’objection du prix
• Le prix se présente toujours en fin
d’argumentation
• Le vendeur doit l’assumer et être convaincu de
son adéquation
• Le vendeur doit se présenter avec assurance
• Votre client / Prospect conteste le prix ?
60. Contestation du prix
• L’addition des avantages
Vous vous démarquez de vos
concurrent ET EN PLUS vous
bénéficiez…
Notre super cafetière
espresso, fait non seulement
un très bon café, mais son
horloge intégrée permet de
préparer votre café au sot du
lit…
61. Contestation du prix
• La soustraction
Hélas je ne POURRAI PAS
faire cette offre dans un
mois…
62. Contestation du prix
• La multiplication
En choisissant ce modèle,
vous MULTIPLIEREZ votre
chiffre d’affaire…
65. En résumé : Préparez-vous
• Créez un scénario
– Enjeux
– Objectifs
– Les intérêts
• Préparez l’argumentaire
– Carré d’argumentation : Factuel, Logique, Conditionnement,
Injonction
• Prévoir les contres arguments de la partie adverse
– Préparer l’argument de réfutation
• Préparez un objectif de diversion
– Objectif non prioritaire
– Valorisez votre sens de la concession
66. En résumé : Comportez-vous
• Pendant la négociation
– Adoptez un comportement positif
– Usez d’éléments visuels, ayez une farde de présentation
– N’oubliez pas vos 4C : Crédibilité, Cohérence, Consistance, Connivence
• Repérez les objections
– Justifiées, Non Justifiées, Prétexte, Fausse barbe
• Traitez les objections
– Acceptez et valorisez, Comprenez l’objection, Traitez l’objection, Vérifiez
l’impact
• Limitez vos arguments
– Garder sous le coude, Limitez la controverse, Ciblez les arguments qui
répondent aux besoins, aux motivations et aux attentes de votre interlocuteur
• Traitez l’objection du prix
– Le prix se présente toujours en fin d’argumentation
– Le vendeur doit l’assumer et être convaincu de son adéquation
– Utilisez les méthodes : Addition, Soustraction, Division et Multiplication
Notas del editor
A. Préparer l'argumentation
Pour bien maîtriser la négociation, le commercial doit lister les caractéristiques de son offre.
1. Les caractéristiques pour tout connaître de l'offre
Le vendeur doit parfaitement connaître son entreprise, ses concurrents, ses produits et/ou ses services en termes techniques (la machine X contient des composants électroniques XW) et commerciaux (les délais de paiement sont de deux mois...).
Cependant, ces éléments ne seront pas toujours explicites pour le client, sauf si celui-ci lui demande à les connaître pour s'assurer de la véracité des avantages exposés.
2. Les avantages pour impliquer le client
Le commercial doit donc traduire toutes les caractéristiques en avantages correspondant aux motivations d'achat du client (« Grâce à nos délais de paiement, vous aurez vendu les produits avant d'avoir à les payer... »), En lui montrant les conséquences positives pour lui de l'achat envisagé (« C'est donc très. avantageux pour vous, compte tenu des problèmes de trésorerie que vous évoquiez tout à l'heure... »).
3. Les preuves pour le rassurer
Ce sont des faits aussi fondés que possible qui pourront, le cas échéant, tranquilliser un client qui doute (« Voici le résultat des tests qui ont été pratiqués sur la machine X... »). Les preuves, pour être crédibles, peuvent prendre la forme de caractéristiques techniques, d'une démonstration, de témoignages, de tests réalisés, d'articles de presse, etc.
4. Les arguments adaptés à la typologie
Seuls les arguments qui répondent aux attentes et à la logique du prospect doivent être présentés. En effet, le client n'adhère pas à un argument pour lui-même, mais pour les avantages qu'ils lui procurent en fonction de la satisfaction de ses critères.
« Notre nouvelle solution (nouveauté) est tout à fait adaptée à une entreprise aussi en pointe que la vôtre (orgueil). Nous avons déjà de nombreuses références (sécurité), car elle permet de gagner en productivité (argent) et est très simple à mettre en œuvre (confort). »
C. Adapter l’argumentaire
1. Sélection des arguments
Face au client, le vendeur n'utilise pas son argumentaire tel quel mais l'adapte par rapport à ses besoins objectifs découverts précédemment. En effet, le client est intéressé, non pas par « ce que fait » ni « de quoi est fait » le produit dans l'absolu, mais par ce qu'il peut lui apporter concrètement. Donc, le vendeur, après avoir reformulé les besoins exprimés, n'utilise que les arguments sélectionnés en fonction des centres d'intérêt du client.
2. Personnalisation des arguments
Le vendeur se place du point de vue du client en personnalisant ses arguments par rapport aux motivations subjectives du client. Pour cela, il utilise le vocabulaire adapté à la typologie SONCAS, crédibilisant ainsi sa proposition, qui apparaît dès lors « sur mesure ». Les arguments sont personnalisés pour convaincre le client que la solution est en adéquation totale avec sa problématique.
3. Contrôle de la portée des arguments
II s'agit de s'assurer que le client est convaincu par la pertinence et l'adéquation des arguments avancés pour satisfaire son besoin, l'objectif étant d'obtenir une réponse positive de sa part en utilisant une question de contrôle (« C'est bien ce que vous recherchez ? », « C'est important pour vous, n’est-ce pas ? »).
A. Se préparer aux objections
1. Compréhension des objections
Le vendeur est souvent perçu comme cherchant à imposer une décision d'achat, provoquant chez le client une réaction de résistance, de repli, voire de suspicion, se manifestant par l'expression d'objections. De son côté, le vendeur, convaincu de présenter une bonne solution à son client, se sent naturellement rejeté, voire agressé personnellement. Or, les objections sont avant tout une marque d'intérêt et le système naturel de défense du client.
2. L'anticipation des objections
En préparant ses outils d'aide à la vente (plan de découverte, argumentaire, etc.), le vendeur doit s'attendre à rencontrer des objections et donc tenter d'en dresser la liste avant d'entreprendre une négociation. Il lui appartient donc d'y réfléchir en amont en utilisant les techniques adéquates qui lui permettront de savoir les traiter de façon positive et efficace.
3. L'adaptation du comportement
Le vendeur doit être particulièrement attentif et pratiquer l'empathie pour détecter et savoir réagir avec calme face aux objections : par exemple, ne pas répondre trop vite, ni s'énerver, encourager par des mots ou par une attitude le développement de l'objection. Restant maître de lui-même, il adopte une attitude assurée et apaisante. Il ne peut ni rejeter (« Vous avez tort », « C'est faux »...), ni contredire les interventions de son interlocuteur, gardant à l'esprit qu'il est à la recherche d'un accord entraînant de légitimes interrogations de la part du prospect.
B. Distinguer les objections
Le vendeur doit repérer si les objections sont « sincères » (le client croit vraiment ce qu'il dit) ou « non sincères », « fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre ne peut pas répondre) ou « non fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre peut répondre).
1. Les objections justifiées
Ces objections sincères et fondées poussent le vendeur à les compenser par des arguments forts. Face à une proposition un peu complexe, par exemple, le client objecte :
« Les opérateurs auront trop de mal à l'utiliser. »; le vendeur répond : « La façon de l'utiliser est un point effectivement capital, c'est pourquoi je vous propose, à l'occasion de la mise en service, une journée de formation pour vos opérateurs. »
2. Les objections non justifiées
Ces objections sincères, car émises de bonne foi, mais non fondées, sont l'occasion pour le vendeur de fournir des éclaircissements supplémentaires. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « J'ai peur de ne pas savoir m'en servir. »; le vendeur répond : « Vous faites bien d'attirer mon attention sur ce point; regardons ensemble, voyez comme c'est simple. »
3. Les objections « prétextes »
Ces objections non sincères et fondées sont justifiées, mais volontairement grossies par le client. Elles sont donc à ignorer ou à minimiser. Par exemple, face à une proposition un peu complexe, le client objecte : « II faut avoir fait Polytechnique pour se servir de votre machine !» ; le vendeur répond : « Soyez rassuré, quelques heures de pratique et vous serez totalement à l'aise ! »
4. Les objections « fausses barbes »
Face à ces objections non sincères et non fondées de pure défense (« Je n'ai besoin de rien ») ou de déstabilisation (« Vous dites tous la même chose »), on peut adopter une réaction de silence, qui conduit le client à s'exprimer davantage ou à faire diversion. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « Vous n'en vendrez jamais, c'est trop compliqué !» ; le vendeur répond : « Je vous propose de regarder ensemble les gains de productivité que vous pourrez dégager. »
B. Distinguer les objections
Le vendeur doit repérer si les objections sont « sincères » (le client croit vraiment ce qu'il dit) ou « non sincères », « fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre ne peut pas répondre) ou « non fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre peut répondre).
1. Les objections justifiées
Ces objections sincères et fondées poussent le vendeur à les compenser par des arguments forts. Face à une proposition un peu complexe, par exemple, le client objecte :
« Les opérateurs auront trop de mal à l'utiliser. »; le vendeur répond : « La façon de l'utiliser est un point effectivement capital, c'est pourquoi je vous propose, à l'occasion de la mise en service, une journée de formation pour vos opérateurs. »
2. Les objections non justifiées
Ces objections sincères, car émises de bonne foi, mais non fondées, sont l'occasion pour le vendeur de fournir des éclaircissements supplémentaires. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « J'ai peur de ne pas savoir m'en servir. »; le vendeur répond : « Vous faites bien d'attirer mon attention sur ce point; regardons ensemble, voyez comme c'est simple. »
3. Les objections « prétextes »
Ces objections non sincères et fondées sont justifiées, mais volontairement grossies par le client. Elles sont donc à ignorer ou à minimiser. Par exemple, face à une proposition un peu complexe, le client objecte : « II faut avoir fait Polytechnique pour se servir de votre machine !» ; le vendeur répond : « Soyez rassuré, quelques heures de pratique et vous serez totalement à l'aise ! »
4. Les objections « fausses barbes »
Face à ces objections non sincères et non fondées de pure défense (« Je n'ai besoin de rien ») ou de déstabilisation (« Vous dites tous la même chose »), on peut adopter une réaction de silence, qui conduit le client à s'exprimer davantage ou à faire diversion. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « Vous n'en vendrez jamais, c'est trop compliqué !» ; le vendeur répond : « Je vous propose de regarder ensemble les gains de productivité que vous pourrez dégager. »
B. Distinguer les objections
Le vendeur doit repérer si les objections sont « sincères » (le client croit vraiment ce qu'il dit) ou « non sincères », « fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre ne peut pas répondre) ou « non fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre peut répondre).
1. Les objections justifiées
Ces objections sincères et fondées poussent le vendeur à les compenser par des arguments forts. Face à une proposition un peu complexe, par exemple, le client objecte :
« Les opérateurs auront trop de mal à l'utiliser. »; le vendeur répond : « La façon de l'utiliser est un point effectivement capital, c'est pourquoi je vous propose, à l'occasion de la mise en service, une journée de formation pour vos opérateurs. »
2. Les objections non justifiées
Ces objections sincères, car émises de bonne foi, mais non fondées, sont l'occasion pour le vendeur de fournir des éclaircissements supplémentaires. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « J'ai peur de ne pas savoir m'en servir. »; le vendeur répond : « Vous faites bien d'attirer mon attention sur ce point; regardons ensemble, voyez comme c'est simple. »
3. Les objections « prétextes »
Ces objections non sincères et fondées sont justifiées, mais volontairement grossies par le client. Elles sont donc à ignorer ou à minimiser. Par exemple, face à une proposition un peu complexe, le client objecte : « II faut avoir fait Polytechnique pour se servir de votre machine !» ; le vendeur répond : « Soyez rassuré, quelques heures de pratique et vous serez totalement à l'aise ! »
4. Les objections « fausses barbes »
Face à ces objections non sincères et non fondées de pure défense (« Je n'ai besoin de rien ») ou de déstabilisation (« Vous dites tous la même chose »), on peut adopter une réaction de silence, qui conduit le client à s'exprimer davantage ou à faire diversion. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « Vous n'en vendrez jamais, c'est trop compliqué !» ; le vendeur répond : « Je vous propose de regarder ensemble les gains de productivité que vous pourrez dégager. »
B. Distinguer les objections
Le vendeur doit repérer si les objections sont « sincères » (le client croit vraiment ce qu'il dit) ou « non sincères », « fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre ne peut pas répondre) ou « non fondées » (l'objection traduit un besoin auquel l'offre peut répondre).
1. Les objections justifiées
Ces objections sincères et fondées poussent le vendeur à les compenser par des arguments forts. Face à une proposition un peu complexe, par exemple, le client objecte :
« Les opérateurs auront trop de mal à l'utiliser. »; le vendeur répond : « La façon de l'utiliser est un point effectivement capital, c'est pourquoi je vous propose, à l'occasion de la mise en service, une journée de formation pour vos opérateurs. »
2. Les objections non justifiées
Ces objections sincères, car émises de bonne foi, mais non fondées, sont l'occasion pour le vendeur de fournir des éclaircissements supplémentaires. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « J'ai peur de ne pas savoir m'en servir. »; le vendeur répond : « Vous faites bien d'attirer mon attention sur ce point; regardons ensemble, voyez comme c'est simple. »
3. Les objections « prétextes »
Ces objections non sincères et fondées sont justifiées, mais volontairement grossies par le client. Elles sont donc à ignorer ou à minimiser. Par exemple, face à une proposition un peu complexe, le client objecte : « II faut avoir fait Polytechnique pour se servir de votre machine !» ; le vendeur répond : « Soyez rassuré, quelques heures de pratique et vous serez totalement à l'aise ! »
4. Les objections « fausses barbes »
Face à ces objections non sincères et non fondées de pure défense (« Je n'ai besoin de rien ») ou de déstabilisation (« Vous dites tous la même chose »), on peut adopter une réaction de silence, qui conduit le client à s'exprimer davantage ou à faire diversion. Par exemple, face à une offre simple d'utilisation, le client objecte : « Vous n'en vendrez jamais, c'est trop compliqué !» ; le vendeur répond : « Je vous propose de regarder ensemble les gains de productivité que vous pourrez dégager. »
C. Savoir répondre aux objections
Pour s'adapter à toute situation de manière efficace, le vendeur doit maîtriser le processus de traitement des objections.
1. Acceptation et valorisation de l'objection
Le vendeur doit laisser s'exprimer l'objection tout en soulignant son intérêt sans interrompre son interlocuteur (« Vous faites bien d'attirer mon attention sur... » ; « II est normal que vous pensiez cela pour le moment... » ; « Vous avez raison de soulever ce point... », Etc.).
2. Compréhension de l'objection
II faut chercher à comprendre ce qui se cache derrière l'objection en posant des questions en retour pour faire préciser son contenu.
En posant des questions, le vendeur favorise l'expression de l'objection pour la transformer en demande d'information, ce qui contribue à l'effriter. (Ex. : « C'est-à-dire ? »; « Pouvez-vous m'en dire plus ? »; « Qu'est-ce qui vous préoccupe plus particulièrement ?» ; « Je ne suis pas sûr de vous avoir compris, pouvez-vous préciser ? »)
3. Traitement de l'objection
Selon les cas, le vendeur pourra utiliser diverses techniques pour répondre aux objections de son client :
le boomerang : « J'ai déjà un fournisseur. »/« C'est la raison pour laquelle je voulais vous rencontrer. » ;
l'affaiblissement : « Je ne suis pas intéressé. »/« Si je comprends bien, vous hésitez encore... » ;
la compensation : « Je ne trouve pas votre produit très esthétique. »/« Je comprends votre point de vue mais n'oublions pas qu'avec lui, vous pourrez... ») ;
la reformulation interrogative : « Je vais perdre du temps... »/« En fait, vous vous demandez si... » ;
l'écran : « C'est du déjà vu... »/« Je comprends votre souci et j'y reviendrai dans un instant. Avant, permettez-moi de vous préciser...»;
le témoignage : « Votre société n'est pas connue. »/« Voici quelques-uns de nos clients... » ;
l'implication : « Votre offre n'est pas adaptée à ma clientèle. »/« D'après vous, qu'est-ce qui serait de nature à convaincre vos clients ?»
4. Vérification de l'impact
II convient alors de vérifier l'adhésion du client aux explications données par une question de contrôle. À défaut de s'assurer que l'objection est bien traitée, celle-ci risquerait de revenir, compromettant cette fois l'évolution favorable de la négociation (« Ai-je répondu à votre inquiétude ? » ; « Êtes-vous rassuré ? » ; « Nous sommes d'accord ? »).
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
Quels que soient les services ou les produits qu'on a la charge de vendre, c'est presque toujours les même objections qui reviennent et il en va de même pour les réponses.
Alors comment les traiter efficacement:
1/ C'est trop cher !
"Par rapport à quoi ?"
2/ Avec la crise ou actuellement, j'ai pas le budget ! (1 fois sur 2 c'est du pipeau)
"L'objectif de ce rendez-vous n'est pas de vous vendre mon service mais de vous en démontrer les avantages que vous pourriez en retirer."
3/ J'ai besoin de rien ! (Un classique pour expédier rapidement son interlocuteur)
La question ouverte, " Je me doute que vous ne m'avez attendu, toutefois pour bien comprendre votre société, comment procédez vous pour ...?"
Faire un parallèle avec des société analogue a la sienne "J'imagine bien, c'était vrai aussi pour avec un certain nombres d'acteurs de votre secteur d'activité avec lesquels je collabore aujourd'hui"
4/ Non merci mais cela ne n'intéresse pas.
"c'est à dire, comment procédez-vous pour...?"
"Je m'en étonne car compte tenu de votre activité, comment faites vous pour...?
5/ Je travaille déjà avec tel boite ! J'ai déjà un fournisseur !
"Ils sont très compétent dans leurs domaines, toutefois au dire de nos clients, on a un vrai segment de différenciation avec eux en matière de ..."
6/ Je dois réfléchir. (C'est SUR, il est pas convaincu par votre argumentation)
"A quoi exactement ?"
"Quelles questions vous posez vous ?"
"Qu'est ce qui vous fait hésiter ?"
"Concrètement, qu'est qui fait que l'on pourrait travailler ensemble?"
7/ Envoyer moi une documentation !
"Volontiers, j'ai rendez-vous tel jour près de chez vous, je vous l'apporte directement en sortant"
"Honnêtement, si vous m'accordez un petit quart d'heure pour vous présentez mon offre, ce serait beaucoup plus révélateur pour vous de ce que mes services pourraient vous apportez."
8/ J'ai pas le temps actuellement !"En termes d'échéancier, a quel moment aurez vous un peu plus de disponibilité ?"
"J'en suis pleinement conscient, et je ne prendrais pas plus de temps que vous pourrez m'en accorder"
"Accordez moi dix minutes pas plus, et la vous aurez une idée vraiment précise de ce que je peux vous apportez"
9/ C'est pas moi qui prend la décision !
"Qui est la personne qui décide, et sur quels critères va t'il décider ?"
"Est il possible de nous organiser un nouveau rendez avec cette personne"
10/ C'est pas le moment rappeler moi en début d'année ? ou dans quelques moi ?
"Pour quelle raison, qu'est qui va changer d'ici la? "
"Prenons rendez-vous a tel date, comme ça vous connaitrez mes services au moment où l'occasion ce présentera"
D. Surmonter l'objection du prix
C'est au vendeur de présenter le prix en fin d'argumentation, lorsqu'il reformule les avantages de son offre. Il doit « l'assumer », convaincu lui-même de son adéquation par rapport à la solution retenue et donc le présenter avec assurance.
Lorsque le prix est contesté par le client, le vendeur peut utiliser plusieurs techniques :
l'addition des avantages acceptés pour justifier le prix (« Vous vous démarquez de vos concurrents et en plus, vous bénéficiez d'une garantie de trois ans et d'un SAV performant... ») ;
la soustraction soulignant une perte d'argent en cas de non-achat immédiat (« Hélas, je ne pourrai pas vous faire la même offre dans un mois... ») ;
la multiplication, qui amplifie les avantages en les multipliant par leur durée d'utilisation (« En choisissant ce modèle, vous multipliez votre chiffre d'affaires par... ») ;
la division du prix du produit par sa durée d'utilisation (« Cela vous revient à moins de 10 euros par jour. »).