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R E V U E D E P R E S S E
Mises en scène Anne-Pascale Paris / Compagnie Le Lien Théâtre 2008 – 2016
Un processus de création qui jaillit d’une rencontre
Anne-Pascale	Paris	a	travaillé	25	ans	en	tant	que	comédienne	et	me7euse	en	scène	dans	un	circuit	culturel	
et	 ar9s9que	 tradi9onnel.	 Elle	 souhaite	 avec	 le	 lien	 théâtre	 se	 pencher	 sur	 l’état	 du	 monde	 en	 tant	
qu’ar9ste	 et	 citoyenne.	 Elle	 propose	 une	 démarche	 de	 créa9on	 à	 l’épreuve	 des	 exclusions,	 avec	 des	
personnes	 qui	 se	 9ennent	 /	 se	 sentent	 éloignées	 des	 salles	 de	 théâtre.	 Elle	 associe	 les	 personnes,	 les	
publics	à	sa	réflexion	ar9s9que	:	comment	les	rapports	de	pouvoirs	se	manifestent-ils	dans	notre	société	?	
Anne-Pascale	Paris	est	convaincue	qu’à	par9r	de	l’univers	de	chacun	ou	manière	d’être	au	monde	peuvent	
naître,	non	pas	des	personnages	stéréotypés,	mais	des	figures	porteuses	d’une	réflexion	collec9ve	sur	un	
pouvoir	dont	elles	usent	ou	qui	les	abuse.	
La création de nos spectacles à partir d’une démarche d’ « écriture
au plateau »
Les	 spectacles	 naissent	 d'échanges	 constants,	 d’allers	 retours	 entre	 :	 l’équipe	 de	 créa.on	 (auteur,	
me5euse	 en	 scène,	 comédiens)	 ;	 les	 publics	 ;	 et	 des	 matériaux	 composites	 (collectage	 du	 quo.dien,	
témoignages,	médias	d'informa.on,	textes	du	répertoire	classique	ou	contemporain,	écrits	sociologiques	
et	 philosophique,	 mythes	 fondateurs…).	 La	 démarche	 de	 créa9on	 prend	 une	 forme	 dynamique	 et	
corporelle	qui	fait	la	part	belle	à	l’émo9on.	Parce	que	collec9ve,	elle	favorise	la	progression	d’une	réflexion	
croisée	sur	un	sujet	:	on	voit	de	différents	balcons,	on	éprouve	de	différents	points	de	vue.	
Les	spectacles	ainsi	créés	rendent	compte	du	monde	tel	qu’il	est	et	non	tel	qu’on	voudrait	qu’il	soit.	
Le chantier artistique Mythes et Violence 


Gilgamesh,	un	héros	ordinaire	-	Calin	Blaga	–	créa9on	2013

Gilgamesh	-		Calin	Blaga	–	créa9on	2013

L’homme	armé	-	Calin	Blaga	–	créa9on	2011	
Les spectacles théâtre / éducation / société
Agrément	Inspec.on	Académique	de	Lyon	(Janvier	2015)	


L’ascenseur	-	Calin	Blaga	-	créa9on	2016

Sois	belle	et	tais-toi	!	–	Anne-Pascale	Paris	–	créa9on	2015

	Vous	m’agressez	la	parole	-	Calin	Blaga	–	créa9on	2015

Dis-moi	les	maux	-	Waléry	Doumenc	–	créa9on	2015

Ne	Lâche	pas	le	cadre	-	Waléry	Doumenc	–	créa9on	2014

Entre	deux	mondes	-	Sandrine	Bauer	–	créa9on	2013

T’es	pas	mon	genre	-	Calin	Blaga	–	créa9on	2011

Accro	à	quoi	?	-	Sandrine	Bauer	–	créa9on	2010

Ascenseur	pour	l’égalité	-	Calin	Blaga	–	créa9on	2010

Tu	m’agresses	la	parole		-	Calin	Blaga	–	créa9on	2008	
« Les instantanés » pour mener des interventions artistiques.

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S O M M A I R E
CHANTIER MYTHES ETVIOLENCE 3
Gilgamesh,	Adapta9on	D’après	Jean	Bo7éro	 	 	 	 	 	 	 3	
Gilgamesh,	Un	Héros	Ordinaire	 	 	 	 	 	 	 	 4	
	 Pe9t	bulle9n	n°741	 	 	 	 	 	 	 	 	 5	
	 Les	trois	coups	-	27	janvier	2014		 	 	 	 	 	 	 6	
	 Lyon	Bondy	Blog	-	28	janvier	2014	 	 	 	 	 	 	 7	
	 ARTLyo	mag	-	28	janvier	2014	 	 	 	 	 	 	 	 9	
	 	
L’homme	Armé	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 11	
	 Le	progrès	-	11	janvier	2011	 	 	 	 	 	 	 	 12	
	 DPJJ.net	-	16	juin	2011	 	 	 	 	 	 	 	 	 13	
LES SPECTACLES THÉÂTRE & SOCIÉTÉ 15
L’ascenseur	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 15

	 Revue	d’opinion	-	juillet	2016	 	 	 	 	 	 	 	 15	
	 La	Tribune	de	Lyon	-	8	juillet	2016	 	 	 	 	 	 	 16

Contrecoup	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 17	
Vous	M’agressez	La	Parole	 	 	 	 	 	 	 	 	 18	
	 Revue	d’opinion		-	septembre	2015	 	 	 	 	 	 	 18	
T’es	Pas	Mon	Genre	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 19	
	 Revus	d’opinion	-	2011	 	 	 	 	 	 	 	 	 19	
	 Les	cahiers	pédagogiques	-	n°	519	 	 	 	 	 	 	 20	
	 Le	progrès	-	9	mai	2011		 	 	 	 	 	 	 	 23	
	 Le	progrès	-	26	mars	2011	 	 	 	 	 	 	 	 24	
Ascenseur	Pour	L’égalité	 	 	 	 	 	 	 	 	 25	
	 Revue	d’opinion			 	 	 	 	 	 	 	 	 25	
Accro	À	Quoi	?	 	 	 	 	 	 	 	 	 	 26	
Tu	M’agresses	La	Parole	 	 	 	 	 	 	 	 	 27	
	 Le	progrès	-	12	février	2011	 	 	 	 	 	 	 	 28	
	 La	croix	-	10	juillet	2012		 	 	 	 	 	 	 	 29	
	 Le	progrès	-	28	novembre	2012	 	 	 	 	 	 	 	 30

	 DPJJ.net	-	9	mai	2014	 	 	 	 	 	 	 	 	 31	
	 Viva	interac9f	-	12	juin	2014	 	 	 	 	 	 	 	 32

	 Le	progrès	-	8	octobre	2014	 	 	 	 	 	 	 	 33	
	 Le	Dauphiné	Libéré	-	9	novembre	2016	 	 	 	 	 	 	 34	
	 Lyon	Bondy	Blog	-	12	mars	2013		 	 	 	 	 	 	 35	
	 	
LES INSTANTANÉS 37

	 Ville	en	Vue	-	n°40	-	mars	avril	2016	 	 	 	 	 	 	 37	
	 Le	progrès	-	octobre	2014	 	 	 	 	 	 	 	 38	
	 Lyon	Bondy	Blog	-	15	avril	2013	 	 	 	 	 	 	 	 39	 

	 Le	progrès	-	1er	mars	2011	 	 	 	 	 	 	 	 41

	 

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GILGAMESH - CRÉATION 2013
ADAPTATION CLASSIQUE D’APRÈS LA TRADUCTION DE JEAN BOTTÉRO

Dramaturgie	:	Calin	Blaga		 	 	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Musique	:	Laurent	FRICK		 	 	
Créa.on	Lumière	:	Jus9ne	Nahon.	
Scénographie	:	Anne-Lyse	Gaudet		 	
Distribu.on	:	Michel	LAFOREST	ou	Valérie	MILLÉRIOUX,	Adrien	PEREZ	ou	Robert	PARIZE,	Jennifer	TESTARD	
ou	Anaïs	JOUISHOMME,	Laurent	SECCO

Public	:	à	par9r	de	11	ans		
Note de conception et de mise en scène
«	 Ce	 récit	 légendaire	 est	 le	 seul	 mythe	 qui	 commence	 ouvertement	 dans	 la	 violence	 et	 se	 termine	
posi.vement	 dans	 la	 résilience	 ».	 Anne-Pascale	 Paris	 s’est	 emparée	 d’un	 mythe	 fondateur	 d’origine	
sumérienne:	l’Épopée	de	Gilgamesh.	La	scénographie	s’appuie	sur	la	projec9on	d’images	sur	des	tentures	
nous	 plongeant	 tantôt	 dans	 des	 ambiances	 de	 grandeur,	 tels	 des	 monuments	 majestueux	 et	
grandiloquents	 à	 l’image	 du	 héros	 Gilgamesh	 au	 début	 de	 l’histoire	 ou	 dans	 une	 sensa9on	 de	 tension	
symbolisant	la	chute,	la	brisure	qu’expérimente	le	personnage.	Par	une	alternance	d'ambiances	sonores	et	
de	passages	musicaux,	la	bande	son	du	musicien	Laurent	Frick	accompagne	la	charge	émo9onnelle	d'une	
scène	et	vient	ainsi	rythmer,	faire	respirer	la	narra9on.		
Diffusion

Théâtre	de	l’Iris	(Villeurbanne	-	du	14	au	26	janvier	2014)	
Nos partenaires

Ce7e	créa9on	a	reçu	le	sou9en	de	la	SPEDIDAM,	la	Région	Rhône-Alpes,	Fonda9on	Léopold	Mayer	pour	le	
Progrès	de	l’Homme,	Centre	social	du	Pe9t	Taillis	(Bron).

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CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE
GILGAMESH, UN HÉROS ORDINAIRE - CRÉATION 2013 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	Blaga		 	 	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Musique	:	Laurent	FRICK		 	 	
Créa.on	Lumière	:	Jus9ne	Nahon.	
Scénographie	:	Anne-Lyse	Gaudet		 	
Distribu.on	:	Anaïs	JOUISHOMME,	Valérie	MILLÉRIOUX,	Michel	LAFOREST,		
Adrien	PEREZ	ou	Robert	PARIZE,	Laurent	SECCO,	Jennifer	TESTARD.

Public	:	à	par9r	de	14	ans		 	 	 									
Note de conception et de mise en scène
«	la	démesure,	thème	majeur	de	l’épopée	et	du	texte	de	l’auteur	Calin	Blaga	»	Les	figures	tragiques	de	
Gilgamesh	et	d'Enkidu	peuvent	éclairer	brillamment	toutes	les	formes	de	démesure	qui	frappent	le	monde	
contemporain,	de	l’alcoolisme	au	«star-system»	et	ses	dérives,	en	passant	par	la	guerre	ou	le	militan.sme	
terroriste.	Le	spectateur	est	directement	plongé	dans	deux	histoires	qui	alternent	tout	au	long	de	la	pièce	:	
l’histoire	de	Gilgamesh	PDG	d’entreprise,	et	celle	de	Gilgamesh	du	quar.er,	prêt	à	tout	pour	sor.r	de	sa	
condi.on.	Le	décor	fait	de	guindes	met	en	avant	l’enfermement	et	la	complexité	de	notre	société,	une	toile	
se	 .sse	 comme	 une	 sorte	 de	 réseau	 qui	 s’emmêle.	 Elles	 évoquent	 aussi	 l’envie	 de	 s’élever	 de	 par	 leur	
ver.calité.	
Diffusion

Espace	Jules	Verne	(Saint-Genest	Malifaux	–	novembre	2014),	

Théâtre	de	l’Iris	(Villeurbanne	-	du	14	au	26	janvier	2014),	

Salle	Paul	Garcin	(Lyon	-	novembre	2013),	

Fes9val	Dialogues	en	humanité	(Lyon	-	Juillet	2013),	

Foire	Eco	Bio	(Colmar	–	mai	2013),	

Collège	Théodore	Monod	(Bron	-	septembre	2012)	
Nos partenaires

Ce7e	créa9on	a	reçu	le	sou9en	de	la	SPEDIDAM,	la	Région	Rhône-Alpes,	Fonda9on	Léopold	Mayer	pour	le	
Progrès	de	l’Homme,	Centre	social	du	Pe9t	Taillis	(Bron)	
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CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE


Le petit bulletin n°741
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REVUE DE PRESSE GILGAMESH, UN HEROS ORDINAIRE - JANVIER 2014
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
Les trois coups - 27 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014
"7
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 (suite)

"8
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE


ARLYO mag - 28 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
ARLYO mag - 28 janvier 2014

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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
L’HOMME ARMÉ - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	Blaga		 	 	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Créa.on	sonore	:	Laurent	FRICK		 	 	
Créa.on	arts	numériques	:	Fabien	Collini	
Scénographie	:	Sophie	Toussaint	 	
Distribu.on	:	Yazan,	Al-Mashni,	Sarah	Cornibert,	Waléry	Doumenc,	Anaïs	JOUISHOMME,	Valérie	
MILLÉRIOUX,	Adrien	PEREZ.

Public	:	à	par9r	de	14	ans		 	 	 									
Note de conception et de mise en scène
«Qu’est-ce	qui	nous	pousse	à	réagir	par	la	violence,	à	prendre	les	armes	?	»	La	créa9on	de	L’homme	armé	
part	d’une	recherche	sur	les	mécanismes	de	la	violence	réac9onnelle.	La	vie	sans	violence	est-elle	
possible	?	Est-ce	la	violence	qui	détruit	nos	sociétés	modernes	ou	la	modernité	qui	pousse	la	jeunesse	à	
prendre	les	armes	?	Ces	ques9ons	éminemment	philosophiques	sont	traduites	dans	un	«	scénario	»	où	des	
personnages	sont	suscep9bles	de	les	incarner	jusqu’à	une	certaine	absurdité.	C’est	l’occasion	de	
ques9onner	l’iden9té	sociale	et	culturelle	comme	édifice	de	notre	époque.	La	mise	en	scène	met	en	valeur	
le	découpage	du	texte	et	permet	de	suivre	deux	histoires	en	parallèle,	deux	des9ns	tragiques.	Elle	est	
organisée	de	façon	tri-frontale.	L’espace	scénique	est	coupé	en	deux.	A	jardin,	l’espace	de	Daoud	;	à	cour,	
l’espace	de	Naïma.		
Diffusion

l’Etablissement	Pénitencier	de	Meyzieu	(Rhône	–	8	Juin	2011)

Rencontres	de	St	Antoine	l’Abbaye	(Isère	–	10	Juin	2011)	
Nos partenaires

Le	Lien	Théâtre	a	reçu	le	sou9en	de	la	DRAC	–	disposi9f	Culture	en	Prison	et	du	Ministère	de	la	Jus9ce.

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CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE
Le progrès - 11 juin 2011


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Samedi 11 juin 2011
Meyzieu. Des détenus de l’Etablissement pour mineurs ont
créé leur spectacle
Des détenus de l’Epm ont présenté mercredi une pièce de théâtre sur la violence /Photo Alain Seveyrat
C’est une pièce de théâtre qui parle de violence, de famille, d’argent et de pulsions. Des thèmes somme toute
relativement classiques, mais qui prennent, ici, toute leur importance. Ici, nous sommes à l’intérieur de
l’établissement pour mineurs de Meyzieu (EPM). Et les comédiens sont, pour moitié, de jeunes détenus. Les
textes de la pièce qu’ils interprètent sont d’ailleurs conçus à partir d’improvisations, réalisées dans le cadre d’un
travail débuté en février avec la compagnie villeurbannaise « Le lien théâtre ».
Cette pièce, simplement intitulée « La violence et l’histoire », raconte l’histoire croisée de plusieurs personnages.
Tous auteurs ou victimes de violences, ils ont en commun la pression économique ou sociale. Avec comme
unique moyen de réponse à cette pression, le langage de la violence.
Deux histoires se jouent en même temps sur la scène, par intermittence. Il y a celle d’une jeune fille, qui entre
dans un commissariat et demande la libération immédiate de son petit ami, interpellé quelques jours plus tôt dans
une manifestation. Face à l’inévitable et prévisible refus du commissaire, la jeune fille prend en otage ce dernier.
Il y a aussi l’histoire d’un jeune révolutionnaire, habitant d’un pays ravagé par les guerres ethniques, qui affronte
son cousin, membre de l’armée gouvernementale.
Plus encore que la création et l’interprétation du spectacle, ce sont bien les leçons qu’on peut tirer de ces
situations, qui ont motivé sa réalisation. « C’est un projet transversal, qui oblige les jeunes à prendre du recul sur
eux-mêmes », explique Patrick Weill, responsable du service éducatif de l’EPM. Et de poursuivre : « C’est aussi
une action qui fait appel indirectement à des matières scolaires, comme le français, et qui permet donc de les
travailler ».
Les détenus ont aussi géré une partie des effets sonores et visuels, réalisé les décors, le présentoir pour les
toasts… Ainsi que les toasts eux-mêmes, en collaboration avec l’association « Goûts et couleurs » : cuisses de
volailles farcies, fondants au chocolat, tartelettes et autres cakes.
Une manière comme une autre d’apprendre à faire de bonnes choses.
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
DPJJ.NET - 16 juin 2011


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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
DPJJ.NET - 16 juin 2011 (suite)


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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
L’ASCENSEUR - CRÉATION 2016
Dramaturgie	:	Calin	Blaga	-	Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	-	Musique	:	Laurent	FRICK	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Vincent	ARNAUD,	Maria	Isabel	CAÑÓN,	Léna	DIA,	Benjamin	ESCOFFIER,	
Hicham	ISAMILI	
Public	:	à	par9r	de	15	ans	
Le	spectacle		est	soutenu	par	la	Déléga.on	Interministérielle	à	la	luZe	Contre	le	Racisme	et	l’An.sémi.sme,	le	Groupe	
Abraham,	la	LICRA.	
Note de conception et de mise en scène
Six	jeunes	acteurs,	pouvant	incarner	plusieurs	personnages,	se	retrouvent	dans	un	Ascenseur	qui	clignote,	
se	bloque	-peut-être-	pour	quelques	instants.	Symbolisé	par	un	rectangle	au	sol,	ce7e	Ascenseur	devient	
alors	un	personnage,	il	parle,	il	invite	les	comédiens	à	se	regarder.	Eux,	évoluent	dans	cet	espace	réduit	
mais	aussi	s’évadent,	s’échappent	du	cadre	et	adressent	aux	spectateurs	leur	histoire	personnelle,	leurs	
doutes	et	leurs	espoirs.	
Diffusion

+	Sacrées	paroles,	30	ans	du	groupe	Abraham,	mai	2016

+	Dialogues	en	humanité,	juillet	2016

+	Tout	le	monde	dehors,	juillet	2016

+	Assises	de	la	Laïcité,	octobre	2016	
Nos partenaires

Le	 lycée	 Hélène	 Boucher,	 le	 Refuge,	 La	 Déléga9on	 Interministérielle	 à	 la	 lu7e	 Contre	 le	 Racisme	 et	
l’An9sémi9sme	 (DILCRA),	 la	 ville	 de	 Lyon,	 la	 Mission	 Lyon	 Duchère,	 le	 lieu	 échange	 parents	 du	 collège	
Schoelcher.	
Revue d’opinions

«	On	est	venu	par	hasard	car	la	théma9que	nous	intéresse.	On	a	trouvé	la	forme	de	l’ascenseur	parfaite	
pour	aborder	ces	sujets.	Dans	un	ascenseur	t’es	obligé	de	parler	de	ça	en	frontal.	On	a	aimé	la	fin	et	le	
message	:	le	changement	de	société	va	passer	par	le	regard	que	l’on	porte	les	uns	sur	les	autres	»	–	Paroles	
de	spectateurs	dans	le	cadre	du	Fes9val	Lyonnais	Tout	le	Monde	Dehors	(Juillet	2016)	
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
La tribune de Lyon - 8 juillet 2016
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REVUE DE PRESSE
L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
CONTRECOUP - CRÉATION 2015


	 	 	
Concep.on	et	Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Mathilde	DUTREUIL,	Maxime	MAY

Public	:	à	par9r	de	15	ans		
Note de conception et de mise en scène
Anne-Pascale	 Paris	 s’interroge	 sur	 les	 comportements	 des	 hommes	 et	 des	 femmes	 et	 des	 rapports	 de	
pouvoirs	qu’ils	engendrent,	ce7e	fois,	à	l’épreuve	des	«	violences	conjugales	»	:	qu’appelle-t-on	violence	
conjugale	?	Comment	se	manifeste-t-elle	pour	les	femmes	?	Pour	le	spectacle	«	Sois	belle	et	tais-toi	!	»	elle	
propose	 une	 photographie,	 un	 état	 des	 lieux	 de	 son	 ques9onnement,	 nourri	 de	 rencontres	 avec	 deux	
intervenantes	 sociales	 dans	 les	 commissariats,	 de	 collecte	 de	 témoignages.Me7ant	 en	 voix	 un	 manuel	
d’économie	domes9que	(1960),	le	regard	de	la	société	sur	la	violence	faite	aux	femmes	au	fil	des	époques,	
l’équipe	ar9s9que	aborde	la	place	de	la	femme	dans	le	couple	en	naviguant	entre	une	écriture	historique	
et	 sociologique.	 L’émo9on	 nous	 saisit	 lorsqu’on	 assiste	 aux	 balbu9ements	 des	 premiers	 émois	 où	
s’insinuent	insidieusement	une	volonté	de	contrôle,	des	humilia9ons,	le	regard	d’un	enfant…	D’un	geste	
précis,	d’une	violence	chorégraphiée,	l’équipe	ar9s9que	sait	si	bien	faire	jaillir	une	émo9on	au	fil	du	rasoir,	
qu’elle	déjoue	par	des	scènes	«	décalées	»	pour	déclencher	le	rire	qui	soulage.	Plutôt	qu’un	message,	c’est	
véritablement	un	ques9onnement,	un	«	prêt	à	faire	réfléchir	»	que	le	Lien	Théâtre	propose	au	public	à	
travers	ce	spectacle.	
Diffusion

Fes9val	Brisons	le	silence	-	Espace	Citoyen	Lyon	8	-	23	novembre	2015	
Nos partenaires

Ce7e	créa9on	a	reçu	le	sou9en	de	la	ville	de	Lyon,	de	la	Métropole,	de	l’associa9on	Filac9on,	de	la	Maison	
de	Jus9ce	et	du	Droit	de	Lyon.

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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
VOUS M’AGRESSEZ LA PAROLE - CRÉATION 2015 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	Blaga	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Grégoire	BLANCHON,	Fanélie	DANGER,	Mathilde	DUTREUIL,	Maxime	MAY,	
Valérie	MILLÉRIOUX

Public	:	à	par9r	de	15	ans	
Note de conception et de mise en scène
Ce7e	 pièce	 propose	 une	 interroga9on	 sur	 la	 violence	 :	 les	 jeunes	 d'aujourd'hui	 sont-ils	 plus	 violents	
qu'hier	 ?	 Elle	 se	 manifeste	 dans	 un	 lycée	 sous	 la	 forme	 d'harcèlements	 et	 de	 silences,	 d'insultes,	
d'orienta9on	 non	 choisie,	 de	 tensions	 entre	 les	 personnages	 qu'ils	 soient	 garçons	 ou	 filles,	 élèves,	
professeurs	ou	parents.	Ce	spectacle	laisse	apparaître	une	rupture	entre	adolescents	et	adultes	d'où	peut	
naître	des	difficultés	de	communica9on.	Des	moments	de	respira9ons	ponctuent	ce7e	pièce.	Les	médias	
s'introduisent	dans	l'espace	scénique.	Le	théâtre	devient	alors	documentaire,	moteur	d'une	réflexion	sur	
une	violence	réduite	à	des	faits	et	des	actes.	
Diffusion

3	représenta9ons

+	de	200	spectateurs	
Revue d’opinion

[…]	 [Les	 élèves]	 ont	 été	 par.culièrement	 aZen.fs	 lors	 de	 la	 représenta.on	 théâtrale,	 qui	 ciblait	
parfaitement	les	différentes	probléma.ques	rencontrées	en	lycée	professionnel	(l’orienta.on	par	défaut,	le	
manque	 de	 mo.va.on,	 l'absentéisme,	 les	 respects	 fille	 garçons	 ...).	 L'ensemble	 des	 accompagnateurs	 a	
remarqué	et	apprécié	les	qualités	professionnelles	et	pédagogiques	des	intervenants	[…]

	 	 	 							Alber9ne	Besset,	Infirmière,	Lycée	Professionnel	Mar9n	Luther,	Septembre	2015	
«	J’ai	trouvé	ceZe	pièce	extrêmement	réaliste	et	touchante,	notamment	quand	elle	pointe	la	solitude	et	le	
désarroi	de	certains	personnage	face	à	leur	parent	ou	à	l’ins.tu.on	scolaire.	»		
	 	 	 	 														A7achée	aux	rela9ons	publiques	-	Scène	Na9onale,	Septembre	2015	
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
T’ES PAS MON GENRE - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	Blaga	-	Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	-	Musique	:	Chris9an	FRADIN	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Fanélie	DANGER	ou	Anaïs	JOUISHOMME,	Mathilde	DUTREUIL,	Steven	
FAFOURNOUX,	Valérie	MILLÉRIOUX	
Public	:	à	par9r	de	14	ans	
Le	spectacle		est	soutenu	par	l'Inspec.on	Académique	du	Rhône	et	il	cité	comme	ressources	pour	aborder	la	ques.on	
de	l'égalité	des	chances	des	filles	et	des	garçons.	
Note de conception et de mise en scène
La	 mise	 en	 scène	 souligne	 le	 trouble	 des	 personnages	 et	 le	 danger	 qui	 les	 gue7e.	 Des	 panneaux	 les	
découvrent	 ou	 les	 cachent,	 s’éloignent,	 se	 montent,	 se	 baissent,	 construisant	 comme	 par	 magie	 les	
différents	 espaces	 scéniques	 :	 une	 chambre,	 une	 rambarde	 d’autoroute,	 un	 abri-bus…	 Elle	 permet	 de	
glisser	insensiblement	du	conte	de	fées	au	drame	qui	surprend	les	personnages	comme	les	spectateurs	et	
nous	amène	à	réfléchir	à	la	no9on	de	consentement	dans	la	rencontre	et	le	désir	de	l’autre.		
Diffusion

+	de	22	représenta9ons

+	de	2500	spectateurs	
Nos partenaires

Conseil	départemental	d’Accès	au	Droit	du	Rhône	(CDAD),	la	Région	Rhône-Alpes,	les	villes	de	Lyon,	de	
Villeurbanne,	l’Inspec9on	Académique	du	Rhône,	les	Maisons	de	la	Jus9ce	et	du	Droit	des	villes	de	Lyon,	de	
Villeurbanne.	
Revue d’opinions

T’es	pas	mon	genre	!		se	concentre	avec	réalisme	sur	l’iden.té	adolescente.	Le	spectacle	met	en	scène	les	
souffrances	dues	à	notre	paresse	intellectuelle,	qui	dénie	aux	adolescent-e-s	une	personnalité	propre,	pour	
leur	 faire	 endosser	 des	 rôles	 sexués	 sous	 contrôle,	 dans	 un	 univers	 de	 domina.on-soumission	 plein	 de	
préjugés	et	de	conformisme.		 	 Violaine	 Dutrop-Voutsinos	 -	 Ins9tut	 Egaligone,	 pour	 le	
développement	des	démarches	égalitaires	dans	l'éduca9on	des	enfants.

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THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Les cahiers pédagogiques n° 519
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REVUE DE PRESSE
L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite)

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REVUE DE PRESSE
L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite)
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Le progrès - 9 mai 2011


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Les relations filles-garçons, tout un programme
Quatre collèges de la ville, dont deux cette semaine, expérimentent le projet théâtral
« T’es pas mon genre », qui explore l’égalité des sexes. Six cents élèves
villeurbannais sont concernés
Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps,
n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les
filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à
établir.
« T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action,
cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience
théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de
nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville,
l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite
depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la
Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également
en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse.
A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les
infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à
l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville
revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du
vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers
théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau
avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est
particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met
en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations
filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a
plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa »,
explique Anne-Laure Paris, metteur en scène.
Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce
qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin,
juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début,
Vu 35 fois | Publié le 09/05/2011 à 00:00 Réagissez 1 photo
En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G.
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Quatre collèges de la ville, dont deux cette semaine, expérimentent le projet théâtral
« T’es pas mon genre », qui explore l’égalité des sexes. Six cents élèves
villeurbannais sont concernés
Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps,
n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les
filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à
établir.
« T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action,
cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience
théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de
nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville,
l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite
depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la
Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également
en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse.
A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les
infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à
l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville
revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du
vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers
théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau
avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est
particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met
en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations
filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a
plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa »,
explique Anne-Laure Paris, metteur en scène.
Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce
qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin,
juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début,
certains assurent « qu’elle l’a bien cherché », puis après avoir discuté, ils nuancent, et leur position évolue. La plupart
du temps, ils participent beaucoup et se sentent concernés. »
Les ateliers théâtres sont présentés à 600 élèves, de la 5 e à la 3 e, dans quatre collèges : Môrice-Leroux, Tonkin,
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En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G.
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THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Le progrès - 26 mars 2011
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THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
ASCENSEUR POUR L’ÉGALITÉ - CRÉATION 2010 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	BLAGA	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Musique	:	Simon	Dahan	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Mathilde	DUTREUIL,	Anaïs	JOUISHOMME,	Léïla	Mahi,	Robert	Parize,	
Public	:	à	par9r	de	15	ans	
Synopsis
Six	jeunes	empruntent	l’ascenseur	pour	qui7er	le	Forum	de	l’Avenir	et	de	l’Orienta9on	quand	l’appareil	
tombe	en	panne.	Ils	vont	rester	prisonniers	jusqu’au	lendemain	ma9n.	La	fa9gue,	la	faim,	la	promiscuité,	la	
colère	et	la	peur	vont	révéler	les	personnalités	et	faire	voler	les	préjugés	en	éclat.	La	situa9on	est	prétexte	
à	 faire	 se	 rencontrer	 ou	 s’opposer	 les	 personnages	 sur	 l’orienta9on	 scolaire,	 l’amour,	 la	 sexualité,	 la	
parentalité,	 les	 violences	 familiales,	 l’homosexualité.	 Les	 personnages	 sont	 de	 cultures	 ou	 de	 milieux	
sociaux	très	différents	sans	jamais	être	caricaturaux.	Le	spectacle	ne	se	veut	ni	accusateur	ni	moralisateur.	
Il	est	un	reflet	de	ce	qui	nous	semble	cons9tuer	des	moteurs	ou	des	freins	aux	principes	d’égalité	entre	les	
jeunes,	entre	les	femmes	et	les	hommes.	
Diffusion

+	de	13	représenta9ons

+	de	1170	spectateurs	
Nos partenaires

Conseil	départemental	d’Accès	au	Droit	du	Rhône	(CDAD),	le	Défenseur	des	Droits,	la	Région	Rhône-Alpes,	
les	villes	de	Lyon,	de	Villeurbanne,	l’Inspec9on	Académique	du	Rhône,	les	Maisons	de	la	Jus9ce	et	du	Droit	
des	villes	de	Lyon,	de	Villeurbanne.	
Revus d’opinion

«	Ascenseur	pour	l’égalité	»	aborde	avec	force	et	humanité	plusieurs	préjugés	ordinaires.	[…]	D’après	moi,	Ascenseur	
pour	l’Egalité	parle	de	notre	paresse.	Il	est	en	effet	plus	simple	pour	l’être	humain	d’avoir	des	idées	toutes	faites	sur	les	
gens	que	d’apprendre	à	les	connaître.	L’idée	toute	faite	nous	permet	de	rapidement	photographier	le	monde.	C’est	
efficace,	elle	nous	évite	de	penser	par	nous-mêmes.	Car	c’est	un	effort	d’entrer	en	rela.on	avec	les	autres	pour	mieux	
les	connaître.	Nous	sommes	tous	et	toutes	concerné-e-s	parce	que	la	paresse	est	une	grande	tenta.on	dans	notre	
monde	et	les	idées	toutes	faites	arrivent	de	partout.	Violaine	Dutrop-Voutsinos	-	Ins9tut	Egaligone,	2011	
«	Et	surtout	vous	avez	su	développer	les	différents	aspects	des	rela.ons	filles-garçons	avec	beaucoup	de	nuances,	des	
points	de	vue	différents,	des	évolu.ons	dans	les	rapports	entre	les	personnages	de	façon	dynamique,	montrant	
comment	on	peut	vivre	ensemble	et	se	construire	ensemble	en	se	connaissant.	Vous	avez	aussi	su	intégrer	les	
discrimina.ons	en	général	et	pas	seulement	la	discrimina.on	de	genre,	avec	souplesse.	Le	travail	en	amont	dans	les	
classes	a	donc	été	visiblement	u.le	et	construc.f.	»	Thérèse	Rabatel,	Adjointe	au	Maire	de	Lyon,	déléguée	à	l'Egalité	
des	femmes,	aux	Temps	de	la	ville,	aux	Handicaps.	Mars	2010

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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
ACCRO À QUOI - CRÉATION 2010 - SANDRINE BAUER
Dramaturgie	:	Sandrine	Bauer	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Grégoire	Blanchon,	Fanélie	DANGER,	Yann	DUCRUET,	Mathilde	Dutreuil,	
Valérie	MILLÉRIOUX	
Public	:	à	par9r	de	13	ans	
Synopsis et note de conception
Clément,	Aurélie,	Cédric,	Vanessa,	Cécile	et	Julien	sont	dans	la	même	classe.	Rythmé	par	l’école	et	la	vie	de	
famille,	leur	quo9dien	est	ponctué	de	fêtes	et	d’excès	(alcool,	cannabis,	adrénaline,	jeux	vidéo).	L’histoire	
est	 mise	 en	 scène	 comme	 un	 thriller	 avec	 la	 dispari9on	 de	 Vanessa.	 Par9s	 à	 sa	 recherche,	 ses	 amis	
trahissent	des	angoisses	qu’ils	pensent	maîtriser.	
Diffusion

+	de	30	représenta9ons

+	de	2500	spectateurs	
Revue d’opinion

"	J’ai	beaucoup	apprécié	ceZe	manifesta.on	tant	au	niveau	de	la	presta.on	théâtrale	qu’au	niveau	des	
échanges	avec	les	jeunes	qui	ont	suivi.	Je	les	ai	trouvé	intéressés,	posant	de	bonnes	ques.ons	et	j’ai	trouvé	
que	la	présence	d’Anne-Pascale	et	sa	manière	d’aborder	les	jeunes	facilitait	le	débat	en	les	meZant	à	l’aise	
et	en	s’adaptant	à	leurs	ques.onnements,	en	toute	simplicité	«	

	 	 	 	 										François	JARDEL,	assistante	Préven9on	Santé	Ville	de	Lyon	-	Avril	2015.
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
TU M’AGRESSES LA PAROLE - CRÉATION 2008 - CALIN BLAGA
Dramaturgie	:	Calin	BLAGA	
Mise	en	scène	:	Anne-Pascale	PARIS	
Distribu.on	:	Yazan	AL	MASHNI,	Émilie	CANONGE,	Lysiane	CLÉMENT,	Fanélie	DANGER	ou	Anaïs	
JOUISHOMME,	Mathilde	Dutreuil,	Maxime	MAY,	Valérie	MILLÉRIOUX	
Public	:	à	par9r	de	11	ans	
Synopsis et note de conception
Dans	une	mise	en	scène	précise	et	fouillée,	les	7	comédiens	déroulent	des	scènes	de	vie	de	collégiens	dans	
une	marche	vers	un	drame	tout	juste	évité.	Au	plus	fort	de	l’émo9on,	les	tableaux	se	figent.	Ces	moments	
de	respira9on	perme7ent	de	saisir	la	complexité	des	rapports	humains	et	leur	difficulté	de	communica9on.	
Diffusion

+	de	125	représenta9ons

+	de	6500	spectateurs	
Nos partenaires

La	ville	de	Lyon,	la	ville	de	Villeurbanne,	la	région	Rhône	Alpes,	le	Conseil		Départemental	d’Accès	au	Droit,	
l’Inspec9on	 Académique	 du	 Rhône,	 les	 Maisons	 de	 Jus9ce	 et	 	 de	 Droit	 de	 Lyon	 et	 de	 Villeurbanne,	
l’associa9on	AMELY	(accès	au	droit	et	média9on).
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Le progrès - 12 février 2011


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La croix - 10 juillet 2012
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Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un
outil pédagogique
Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très
performant.
C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en
interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ».
Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la
réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de
collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe
que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue.
Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente
de se suicider.
A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués.
Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait
pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur
scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées
A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat
Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre
avec la maison de la justice dans les jours prochains.
Vu 1 fois | Publié le 28/11/2012 à 06:00 0 Commenter cet article
Les collégiens se sont rendus compte que cette pièce était un peu le miroir de leur vie Photo Jean-Paul Massonnat
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Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un
outil pédagogique
Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très
performant.
C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en
interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ».
Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la
réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de
collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe
que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue.
Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente
de se suicider.
A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués.
Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait
pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur
scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées
A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat
Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre
avec la maison de la justice dans les jours prochains.
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DPJJ.NET - 9 mai 2014
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Viva interactif - 12 juin 2014


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PRÉVENTION
> DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE
le 12/06/2012
Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif
sur le thème du harcèlement en milieu scolaire.
Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents
de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont
invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre.
Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène
leurs propres réactions face à la violence.
« Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc
Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup
de messages.
Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance
et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit.
Pour recevoir toutes les actus de Villeurbanne dans votre boîte mail, inscrivez-vous à la newsletter
DANS LA MÊME RUBRIQUE
ELECTIONS LEGISLATIVES 2012 - Les résultats du second tour à Villeurbanne, le 17/06/2012
Le second tour des élections législatives 2012 a eu lieu dimanche 17 juin. Consultez les résultats...
FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012
PRÉVENTION
> DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE
le 12/06/2012
Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif
sur le thème du harcèlement en milieu scolaire.
Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents
de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont
invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre.
Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène
leurs propres réactions face à la violence.
« Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc
Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup
de messages.
Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance
et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit.
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FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012
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Le progrès - 8 octobre 2014
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Le Dauphiné Libéré - 9 novembre 2016


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Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013
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"Redonner sa place au spectateur citoyen" c'est l'une des intentions majeures de l'association Le Lien Theatre,
compagnie qui crée des spectacles et des actions de théâtre citoyen.
ARTICLE | MARS 12, 2013 - 5:06PM | PAR ELSA LANIESSE
Présente à Lyon et ses alentours, notamment à Bron,
l'association regroupe une trentaine d'artistes, comédiens,
musiciens. « On ne fait pas du théâtre citoyen par défaut,
nous sommes tous passionnés ! J'en avais marre de jouer
devant des spectateurs qui étaient acquis à ma cause et où
il n'y avait pas de réel débat », confie avec ardeur
Anne-Pascale Paris, la directrice artistique, qui a répondu à
nos questions.
LBB : Qu'est-ce que le théâtre citoyen et comment
créez-vous vos pièces?
A-P P. : C'est un théâtre témoignage : avant de créer un
spectacle, on interview, on fait des recherches sur les sujets
qu'on va traiter. Les sujets sont en rapport avec la jeunesse : les rapports hommes/femmes, les relations familiales, l'argent...
On amène les jeunes à s'exprimer par le biais de l'improvisation. On suscite un débat, puis on crée ensuite des scènes qui
serviront de matière et desquelles on va s'inspirer pour créer une œuvre de fiction. Mais notre matière première reste
vraiment le témoignage, la réalité. On cherche à savoir quels sont les problèmes de ces jeunes, ce à quoi ils réfléchissent...puis
on les laisse parler. De cette façon, la parole d'un jeune peut être représentative de celle de tout un groupe. Ensuite, un auteur
professionnel écrit le texte, il est joué et parfois restitué aux habitants du quartier. On le joue sur scène dans des MJC, dans
des centres sociaux mais on ne joue pas au théâtre.
Pour quelles raisons ne jouez-vous pas dans des théâtres?
C'est très compliqué de faire venir les jeunes avec qui nous travaillons au théâtre. Même si on leur dit que la pièce parle d'eux,
qu'ils en sont à l'origine, pour eux la barrière de l'édifice est difficile à franchir. On a déjà essayé plusieurs. Malgré une très
bonne communication, une grande insistance de la part des éducateurs qui ont accompagné les jeunes, ça reste toujours
vraiment difficile de les faire rentrer dans un théâtre. Ils ont l'impression que ce n'est pas pour eux, que ça ne fait pas partie de
leur monde, que ça leur est inaccessible. Alors que quand c'est dans un lieu qu'ils connaissent ça change tout. L'intérêt aussi
pour nous c'est de confronter les débats et de jouer les mêmes pièces dans différents quartiers. Ainsi on se rend compte que
les mêmes thèmes reviennent partout.
Vous parlez de thèmes récurrents, quels sont-ils?
Ce qui me fait le plus de peine c'est qu'on a vraiment l'impression que les jeunes ne se sentent pas intégrés dans la société telle
qu'elle est. Ils ont l'impression que la société est séparée en deux, riches et pauvres, chrétiens et musulmans, français, et gens
d'autres origines. Ils pensent qu'une partie de la société ne leur est pas accessible. Les études aussi...La première idée qu'ils
ont, et qui est peut-être relayée par leur famille qui galère, c'est qu'il y a tout un tas de choses qui ne leur seront jamais
accessibles. C'est comme si on démarrait dans la vie avec des espoirs au ras des pâquerettes. Les études, une belle maison, un
beau métier, les vacances, la politique, ce n’est pas pour eux, ils en sont convaincus...
Pensez-vous que leurs impressions sont justifiées?
Je ne crois pas que la société soit comme ça. J'ai cette envie de croire à une société qui s'améliore et qui travaille pour que tout
le monde ait les mêmes droits. Je crois que c'est la représentation qu'ils se font de leur famille, de l'école, d'eux-mêmes qui
leur font penser que ce n’est pas possible pour eux. Quand on pense ça on a la sensation que tout est foutu d'avance et ça c'est
récurrent dans les quartiers, et ça commence petit a l'école...
L'éducation nationale a-t-elle un rôle à jouer dans ce constat?
Je n'ai pas de conseil à donner, mais je crois que la manière d'aborder l'éducation est peut-être à revoir. Cet apprentissage
Le lien theatre : ''c'est à l'art de se déplacer où les gens se trouvent'' | Ly... http://www.lyonbondyblog.fr/article/le-lien-theatre-cest-à-lart-de-se-dé...
1 sur 3 25/03/2013 11:26
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Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 (suite)


"36
n'est pas adapté à leur situation, à leur manière d'apprendre. Cette forme de cours où on est face à un professeur qui nous
apprend et où il faut apprendre ce qui est dit alors qu'on ne sait pas à quoi ça va nous servir dans la vie plus tard, ça en amène
beaucoup à décrocher. Plus après, quand à la maison on a une famille d'une culture différente, pas forcément valorisée par la
société de consommation. L’école la famille ça fait que très vite on ne se sent pas adapté. Du coup ça peut donner des gamins
qui se sentent protégés dans leurs quartiers et qui ont du mal à sortir, même au centre de Lyon, pour se dire « je vais voir une
pièce de théâtre »...Même si on leur dit que ça parle d’eux, il y a toujours une frontière. C'est pour ça qu'on ne veut pas et
qu'on ne peut pas jouer nos spectacles au théâtre et qu'on les joue dans des centres sociaux, des collèges, des lycées... Mais ce
ne sont en aucun cas des spectacles au rabais! On est convaincu que c'est à l'art d'aller se déplacer où les gens se trouvent.
Et vous ne croyez pas qu'il serait mieux de réussir à amener ces jeunes au théâtre?
Je pense qu'il faut les deux. Si on commence d'abord par jouer dans une salle simple, peut-être que ce sera plus facile de les
amener au théâtre ensuite.
Y a-t-il beaucoup de compagnies comme la vôtre?
Je crois qu'il y a plein de compagnies ayant le même objectif. De plus en plus elles sentent le besoin de redonner au théâtre
une place populaire. Qu'on soit toujours sur le terrain, c'est peut-être ce qui fait notre spécificité : on vient ouvrir le débat
avant le spectacle. Je crois aussi qu'il y a une nécessité pour les artistes d'être dans un rapport direct avec les spectateurs et
également que la culture soit une approche simple.
Avez-vous déjà confronté ces jeunes avec des jeunes d'horizons complètement différents? En voyez-vous
l'intérêt?
L'intérêt, oui! On a pu le faire notamment une fois à Villeurbanne : on a été sollicité par une école privée, ce qui est plutôt rare.
Les publics jeunes venaient de quartiers très différents et le thème concernait les rapports hommes/femmes. Il y avait un
personnage, Salima, qui s'exprimait sur sa difficulté de sortir toute seule, sur le poids de sa famille sur sa vie...on a demandé
aux jeunes s'ils trouvaient les personnages réalistes dans l'ensemble. Les jeunes des quartiers ''favorisés'' ont répondu que
tous les personnages étaient assez crédibles sauf le personnage de cette Salima. Et ceux de la banlieue ont répondu : « vous
rigolez ou quoi ? C'est le plus réaliste ! » et là, ils ont réellement pris conscience de la réalité de chaque groupe et ça c'était
génial!
Enfin, diriez-vous que rendre la culture populaire c'est la niveler par le bas?
C'est pas du tout ça, il ne s'agit pas de tirer la culture par le bas, il s'agit de trouver le langage qui leur convient. Ce sont des
jeunes qui ne savent pas tricher, ils sont d'une spontanéité, d'une vérité très touchante.
TERMES CONNEXES : Culture Anne-Pascale Paris Lyon
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THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
Ville en vue n°40 - mars-avril 2016


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ville en vuewww.gpvlyonduchere.org le journal n°40 / mars-avril 2016
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Figure de quartier
NOUVEAU CENTRE DENTAIRE
LE LIEN THÉÂTRE,
THÉÂTRE CITOYEN
LE MÉDICENTRE, UN PÔLE SANTÉ
POUR TOUT LE QUARTIER
› 4 médecins généralistes
› 1 centre dentaire
› 1 cabinet de masso-kinésithérapie
› 1 ostéopathe
› 1 sage-femme
› 1 sophrologue
› 1 praticienne en médecine
traditionnelle chinoise
3 ATELIERS À LA MJC
le mercredi à 18h pour les jeunes
et le vendredi à 14h pour les parents.
Infos : 04 69 16 08 86
www.lelientheatre.com
Ils ont investi le dernier étage du Médicentre en mai dernier. Trois
chirurgiens-dentistes et un orthodontiste proposent leurs services
aux Duchérois au sein d’un centre parfaitement équipé.
L’art comme moyen d’ouvrir
et transformer notre regard
sur la société, tel est le credo
de la compagnie le Lien Théâtre,
en résidence à la MJC Duchère.
L’espace public est leur scène, les passants
leurs spectateurs : au Lien Théâtre, on a
abandonné le théâtre conventionnel pour
aller au plus proche des gens. « Nous prati-
quons un théâtre citoyen, qui provoque le dia-
logue avec les spectateurs, qui fait réfléchir sur
des questions de société », résume Anne-Pas-
cale Paris, metteuse en scène de la compa-
gnie. Leur résidence à la MJC, soutenue
dans le cadre du Grand Projet de Ville, les
amène depuis deux ans à travailler auprès
d’un public non conquis d’avance : les 16-
25 ans. Au pied des immeubles ou dans
les structures de quartier, ils vont donc
jouer des courtes scènes directement au-
près des jeunes. De quoi susciter réactions
et discussions. « On aborde des questions
qui les touchent : le travail, l’argent, les rap-
ports filles-garçons etc. Et puis on discute, on
réfléchit, on rejoue la scène avec eux. » Entre
leurs instantanés de rue, leurs ateliers heb-
domadaires et leur participation à divers
projets du quartier, les artistes du Lien
Théâtre sont désormais connus et appré-
ciés des jeunes comme des parents. « Et
quand une thématique revient souvent sur le
tapis, on en fait un spectacle, où on aborde
cette question avec une approche artistique »,
explique Anne-Pascale Paris. La metteuse
en scène et son équipe ont d’ailleurs en
projet un spectacle inspiré de leurs expé-
riences duchéroises, consacré au passage
de l’adolescence à l’âge adulte. Sujet com-
plexe qu’ils aborderont via le mythe –
approprié! – du Labyrinthe… Mais pa-
tience, ce sera pour la saison 2017-2018!
Si l’on se fie à leurs agendas bien rem-
plis, les praticiens du centre dentaire ont
déjà su faire leurs preuves à La Duchère.
D’abord parce que l’ouverture de cette cli-
nique répondait à un besoin sur le quar-
tier, jusque-là peu pourvu en dentistes
(seul un est en activité, à Balmont). Mais
aussi grâce à la qualité des soins prodi-
gués dans ce centre moderne. « L’équipe
est expérimentée, avec un matériel de der-
nière génération, à l’image de notre équipe-
ment de radiographie 3D, assure Laurent
De Dona, directeur de la structure. Nous
ne sommes pas une clinique low-cost. Nous
garantissons des soins de qualité, adaptés à
chaque patient ». Soins et prothèses den-
taires, chirurgie orale, orthodontie, les
actes pratiqués sont variés. Les patients,
eux, viennent de La Duchère, Vaise ou
l’Ouest lyonnais. De plus l’établissement
surveille ses tarifs et assure à chacun la
meilleure prise en charge du traitement,
notamment en pratiquant le tiers-payant
Sécurité Sociale et mutuelles. La Couver-
ture Médicale Universelle (CMU) y est
également acceptée. « Rien de plus normal,
assure Laurent De Dona, tout le monde doit
être soigné de la même façon ». Une philoso-
phie renforcée par la présence voisine des
autres professionnels du Médicentre.
« Cette synergie entre professionnels de santé
est essentielle, pour les médecins comme pour
les habitants. Quand nos patients se plaignent
d’autres maux, on les oriente vers les théra-
peutes adaptés. C’est un vrai plus! »
3 CONTACT CENTRE DENTAIRE
5, place Abbé Pierre - 04 28 38 24 80
www.clinique-dentaire-lyon.fr
4
Le progrès - octobre 2014
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Lyon Bondy Blog - avril 2013
LE THÉÂTRE DANS
LES ÉTABLISSEMENTS
PÉNITENTIAIRES POUR
MINEURS
ELSA LANIESSE — 15 AVRIL 2013
 
Les EPM, établissements pénitentiaires pour mineurs, existent depuis 2007. Ils ont été conçus pour permettre l’éducation des jeunes pendant leur
peine et empêcher la récidive. A l’EPM du Rhône, à Meyzieu, les jeunes pratiquent de nombreuses activités obligatoires, dont le théâtre, en
partenariat avec l’association de théâtre citoyen le Lien Théâtre.
Introduire le théâtre en prison, et en l’occurrence dans les EPM, n’est pas chose évidente. La bonne volonté et le professionnalisme ne suffisent
pas. Il faut savoir aussi transmettre l’envie de s’impliquer.  De nombreuses associations ont auparavant tenté, en vain, d’intéresser ces jeunes au
théâtre. Mais leurs méthodes semblaient inefficaces. En cela, la démarche du théâtre citoyen s’est démarquée. Elle a su trouver l’approche
adéquate pour capter l’attention et susciter la curiosité de ces jeunes.
« A ma grande surprise, avec nous ça a marché ! »
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En effet quoi de plus évident que donner de soi lorsqu’on souhaite recevoir ? C’est ainsi que travaille l’équipe du lien théâtre avec les jeunes
incarcérés. « A 9h du matin, lorsqu’on arrive, c’est nous qui jouons une scène. Les jeunes nous remercient
d’avoir donné des émotions et du coup, ils sont plus amenés à donner en retour », explique Anne-Pascale Paris, la
directrice artistique de l’association.
De cette première scène naît le débat. Les spectateurs, s’ils le souhaitent, parlent alors de leur ressenti, commentent la scène, évoquent l’histoire,
réinterprètent un personnage à leur façon. « On ne force personne et généralement ils viennent jouer d’eux-mêmes ».
Ceux qui souhaitent ensuite s’engager et s’impliquer un peu plus se regroupent : Un groupe de volontaires est créé. « Garçons et filles
appartenant à différents groupes sont amenés à se rencontrer. Ce qui n’est bien sûr pas facile mais
d’autant plus intéressant. »
Un franc succès quand la méthode est bonne
Il leur est alors donné un travail sur un thème donné comme « les mythes » en 2011. « On leur propose une situation que l’on
retrouve dans certains mythes puis ils improvisent. Ils restituent des pans entiers de ceux-ci sans même le
connaître. » Une fois la pièce improvisée, un auteur est chargé de la fixer sur le papier. Il leur fournit des lectures de certains mythes,
bibliques, par exemple. « Et ça les intéresse beaucoup. Ils acceptent ensuite plus facilement de lire alors que
généralement ils ont peur ou honte de mal lire. » Le but n’est pas de les confronter directement au thème prédéfini, mais de leur
montrer qu’ils ont des connaissances personnelles, et de les intéresser à un sujet qui peut paraître trop « scolaire ».
En somme, la pédagogie tourne autour de l’écoute, de l’acceptation de la parole de l’autre et du jeu des émotions. Il y a un gros travail sur les
émotions, « ils sont passionnés par les émotions ».
« Le théâtre fait du bien à l’âme »
Quand on demande à Anne-Pascale Paris en quoi le théâtre est utile et qu’est-ce qu’il peut apporter à des jeunes qui souffrent, elle répond que «
le théâtre peut les amener à améliorer leur confiance en eux et en leur expression. Il leur permet ensuite
de se poser des questions sur des thèmes de société qui les concernent. Il les aide à prendre conscience
des codes culturels et des usages du langage. Il les sensibilise aussi au respect d’eux-mêmes, des autres,
aux pratiques de la citoyenneté et de l’inter culturalité ». 
A son avis le théâtre devrait être obligatoire à l’école. Le théâtre comme elle le dit : « fait du bien à l’âme ». Il permet d’éprouver des
émotions sur scène, d’étudier comment elles se produisent, pour apprendre à les maîtriser dans la vie réelle. Il allie découverte et réflexion, action
et compréhension, travail et divertissement.
Et pour preuve qu’il améliore les conditions des jeunes en détention, cela fait maintenant trois ans, depuis 2009, que l’association Le Lien Théâtre
intervient dans l’EPM du Rhône, à Meyzieu. En 2012, l’association n’a pas pu se rendre près des jeunes, car l’établissement manquait de
subventions. Cependant, l’année suivante, le Lien Théâtre a été l’un des premiers intervenants à être rappelé. Même si les adolescents ne
l’expriment pas directement, « il n’y a aucun doute qu’ils en retirent quelque chose ». Anne-Pascale Paris rajoute avec un
radieux sourire : « deux de ces jeunes étaient tellement impliqués dans la pièce qu’on a joué en prison en
2011, L’homme armé, qu’on a réussi à obtenir une autorisation exceptionnelle de sortie culturelle pour
qu’ils viennent jouer le spectacle à l’extérieur pendant deux soirs. Vous ne vous imaginez pas le bonheur
que ça a été pour nous et pour eux ! »
Elsa Laniesse
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Le progrès.fr - 1er mars 2011
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scène à la MJC
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Mardi et vendredi soir, les quatre comédiens du lien théâtre se sont produits à la MJC,
devant près de 250 personnes, sur les deux soirs. Pendant quarante-cinq minutes, les
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A la fin de la représentation, les spectateurs sont montés sur scène pour proposer leur point de vue Photo Laetitia Le
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La relation parents-ados mise en
scène à la MJC
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Mardi et vendredi soir, les quatre comédiens du lien théâtre se sont produits à la MJC,
devant près de 250 personnes, sur les deux soirs. Pendant quarante-cinq minutes, les
comédiens ont relaté les relations parents-adolescents, à travers l’histoire de deux familles.
« Forcément exagérée », la pièce alliait humour et situations réelles. Depuis juin 2010,
l’équipe du lien théâtre a rencontré les adolescents et les parents de la ville de Rillieux et
écrit cette pièce, à partir de leurs témoignages. « On a l’impression de voir dans un miroir »,
souligne une mère de famille. « Mes voisines ont même réglé leurs difficultés pendant la
pièce », glisse Françoise Saly, responsable du secteur parentalité éducation, à la
Confédération syndicale des familles. A la fin de la représentation, la troupe a fait rejouer
certaines scènes aux spectateurs, « Ce qui permet aussi de prendre conscience des choses
à changer », précise Anne-Pascale Paris, metteur en scène.
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Revue de presse générale du Lien theatre

  • 1. R E V U E D E P R E S S E Mises en scène Anne-Pascale Paris / Compagnie Le Lien Théâtre 2008 – 2016 Un processus de création qui jaillit d’une rencontre Anne-Pascale Paris a travaillé 25 ans en tant que comédienne et me7euse en scène dans un circuit culturel et ar9s9que tradi9onnel. Elle souhaite avec le lien théâtre se pencher sur l’état du monde en tant qu’ar9ste et citoyenne. Elle propose une démarche de créa9on à l’épreuve des exclusions, avec des personnes qui se 9ennent / se sentent éloignées des salles de théâtre. Elle associe les personnes, les publics à sa réflexion ar9s9que : comment les rapports de pouvoirs se manifestent-ils dans notre société ? Anne-Pascale Paris est convaincue qu’à par9r de l’univers de chacun ou manière d’être au monde peuvent naître, non pas des personnages stéréotypés, mais des figures porteuses d’une réflexion collec9ve sur un pouvoir dont elles usent ou qui les abuse. La création de nos spectacles à partir d’une démarche d’ « écriture au plateau » Les spectacles naissent d'échanges constants, d’allers retours entre : l’équipe de créa.on (auteur, me5euse en scène, comédiens) ; les publics ; et des matériaux composites (collectage du quo.dien, témoignages, médias d'informa.on, textes du répertoire classique ou contemporain, écrits sociologiques et philosophique, mythes fondateurs…). La démarche de créa9on prend une forme dynamique et corporelle qui fait la part belle à l’émo9on. Parce que collec9ve, elle favorise la progression d’une réflexion croisée sur un sujet : on voit de différents balcons, on éprouve de différents points de vue. Les spectacles ainsi créés rendent compte du monde tel qu’il est et non tel qu’on voudrait qu’il soit. Le chantier artistique Mythes et Violence  
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 Tu m’agresses la parole - Calin Blaga – créa9on 2008 « Les instantanés » pour mener des interventions artistiques.
 "1
  • 2. S O M M A I R E CHANTIER MYTHES ETVIOLENCE 3 Gilgamesh, Adapta9on D’après Jean Bo7éro 3 Gilgamesh, Un Héros Ordinaire 4 Pe9t bulle9n n°741 5 Les trois coups - 27 janvier 2014 6 Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 7 ARTLyo mag - 28 janvier 2014 9 L’homme Armé 11 Le progrès - 11 janvier 2011 12 DPJJ.net - 16 juin 2011 13 LES SPECTACLES THÉÂTRE & SOCIÉTÉ 15 L’ascenseur 15
 Revue d’opinion - juillet 2016 15 La Tribune de Lyon - 8 juillet 2016 16
 Contrecoup 17 Vous M’agressez La Parole 18 Revue d’opinion - septembre 2015 18 T’es Pas Mon Genre 19 Revus d’opinion - 2011 19 Les cahiers pédagogiques - n° 519 20 Le progrès - 9 mai 2011 23 Le progrès - 26 mars 2011 24 Ascenseur Pour L’égalité 25 Revue d’opinion 25 Accro À Quoi ? 26 Tu M’agresses La Parole 27 Le progrès - 12 février 2011 28 La croix - 10 juillet 2012 29 Le progrès - 28 novembre 2012 30
 DPJJ.net - 9 mai 2014 31 Viva interac9f - 12 juin 2014 32
 Le progrès - 8 octobre 2014 33 Le Dauphiné Libéré - 9 novembre 2016 34 Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 35 LES INSTANTANÉS 37
 Ville en Vue - n°40 - mars avril 2016 37 Le progrès - octobre 2014 38 Lyon Bondy Blog - 15 avril 2013 39 
 Le progrès - 1er mars 2011 41
 
 "2
  • 3. 
 GILGAMESH - CRÉATION 2013 ADAPTATION CLASSIQUE D’APRÈS LA TRADUCTION DE JEAN BOTTÉRO
 Dramaturgie : Calin Blaga Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Musique : Laurent FRICK Créa.on Lumière : Jus9ne Nahon. Scénographie : Anne-Lyse Gaudet Distribu.on : Michel LAFOREST ou Valérie MILLÉRIOUX, Adrien PEREZ ou Robert PARIZE, Jennifer TESTARD ou Anaïs JOUISHOMME, Laurent SECCO
 Public : à par9r de 11 ans Note de conception et de mise en scène « Ce récit légendaire est le seul mythe qui commence ouvertement dans la violence et se termine posi.vement dans la résilience ». Anne-Pascale Paris s’est emparée d’un mythe fondateur d’origine sumérienne: l’Épopée de Gilgamesh. La scénographie s’appuie sur la projec9on d’images sur des tentures nous plongeant tantôt dans des ambiances de grandeur, tels des monuments majestueux et grandiloquents à l’image du héros Gilgamesh au début de l’histoire ou dans une sensa9on de tension symbolisant la chute, la brisure qu’expérimente le personnage. Par une alternance d'ambiances sonores et de passages musicaux, la bande son du musicien Laurent Frick accompagne la charge émo9onnelle d'une scène et vient ainsi rythmer, faire respirer la narra9on. Diffusion
 Théâtre de l’Iris (Villeurbanne - du 14 au 26 janvier 2014) Nos partenaires
 Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la SPEDIDAM, la Région Rhône-Alpes, Fonda9on Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme, Centre social du Pe9t Taillis (Bron).
 "3 CHANTIER ARTISTIQUE MYTHES ET VIOLENCE
  • 4. GILGAMESH, UN HÉROS ORDINAIRE - CRÉATION 2013 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin Blaga Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Musique : Laurent FRICK Créa.on Lumière : Jus9ne Nahon. Scénographie : Anne-Lyse Gaudet Distribu.on : Anaïs JOUISHOMME, Valérie MILLÉRIOUX, Michel LAFOREST, Adrien PEREZ ou Robert PARIZE, Laurent SECCO, Jennifer TESTARD.
 Public : à par9r de 14 ans Note de conception et de mise en scène « la démesure, thème majeur de l’épopée et du texte de l’auteur Calin Blaga » Les figures tragiques de Gilgamesh et d'Enkidu peuvent éclairer brillamment toutes les formes de démesure qui frappent le monde contemporain, de l’alcoolisme au «star-system» et ses dérives, en passant par la guerre ou le militan.sme terroriste. Le spectateur est directement plongé dans deux histoires qui alternent tout au long de la pièce : l’histoire de Gilgamesh PDG d’entreprise, et celle de Gilgamesh du quar.er, prêt à tout pour sor.r de sa condi.on. Le décor fait de guindes met en avant l’enfermement et la complexité de notre société, une toile se .sse comme une sorte de réseau qui s’emmêle. Elles évoquent aussi l’envie de s’élever de par leur ver.calité. Diffusion
 Espace Jules Verne (Saint-Genest Malifaux – novembre 2014), 
 Théâtre de l’Iris (Villeurbanne - du 14 au 26 janvier 2014), 
 Salle Paul Garcin (Lyon - novembre 2013), 
 Fes9val Dialogues en humanité (Lyon - Juillet 2013), 
 Foire Eco Bio (Colmar – mai 2013), 
 Collège Théodore Monod (Bron - septembre 2012) Nos partenaires
 Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la SPEDIDAM, la Région Rhône-Alpes, Fonda9on Léopold Mayer pour le Progrès de l’Homme, Centre social du Pe9t Taillis (Bron) "4 CHANTIER ARTISTIQUE MYTHES ET VIOLENCE
  • 5. 
 Le petit bulletin n°741 "5 REVUE DE PRESSE GILGAMESH, UN HEROS ORDINAIRE - JANVIER 2014 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 6. Les trois coups - 27 janvier 2014 "6 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 7. Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 "7 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 8. Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 (suite)
 "8 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 9. 
 ARLYO mag - 28 janvier 2014 "9 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 10. ARLYO mag - 28 janvier 2014
 "10 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 11. L’HOMME ARMÉ - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin Blaga Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Créa.on sonore : Laurent FRICK Créa.on arts numériques : Fabien Collini Scénographie : Sophie Toussaint Distribu.on : Yazan, Al-Mashni, Sarah Cornibert, Waléry Doumenc, Anaïs JOUISHOMME, Valérie MILLÉRIOUX, Adrien PEREZ.
 Public : à par9r de 14 ans Note de conception et de mise en scène «Qu’est-ce qui nous pousse à réagir par la violence, à prendre les armes ? » La créa9on de L’homme armé part d’une recherche sur les mécanismes de la violence réac9onnelle. La vie sans violence est-elle possible ? Est-ce la violence qui détruit nos sociétés modernes ou la modernité qui pousse la jeunesse à prendre les armes ? Ces ques9ons éminemment philosophiques sont traduites dans un « scénario » où des personnages sont suscep9bles de les incarner jusqu’à une certaine absurdité. C’est l’occasion de ques9onner l’iden9té sociale et culturelle comme édifice de notre époque. La mise en scène met en valeur le découpage du texte et permet de suivre deux histoires en parallèle, deux des9ns tragiques. Elle est organisée de façon tri-frontale. L’espace scénique est coupé en deux. A jardin, l’espace de Daoud ; à cour, l’espace de Naïma. Diffusion
 l’Etablissement Pénitencier de Meyzieu (Rhône – 8 Juin 2011)
 Rencontres de St Antoine l’Abbaye (Isère – 10 Juin 2011) Nos partenaires
 Le Lien Théâtre a reçu le sou9en de la DRAC – disposi9f Culture en Prison et du Ministère de la Jus9ce.
 "11 CHANTIER ARTISTIQUE MYTHES ET VIOLENCE
  • 12. Le progrès - 11 juin 2011 
 "12 Samedi 11 juin 2011 Meyzieu. Des détenus de l’Etablissement pour mineurs ont créé leur spectacle Des détenus de l’Epm ont présenté mercredi une pièce de théâtre sur la violence /Photo Alain Seveyrat C’est une pièce de théâtre qui parle de violence, de famille, d’argent et de pulsions. Des thèmes somme toute relativement classiques, mais qui prennent, ici, toute leur importance. Ici, nous sommes à l’intérieur de l’établissement pour mineurs de Meyzieu (EPM). Et les comédiens sont, pour moitié, de jeunes détenus. Les textes de la pièce qu’ils interprètent sont d’ailleurs conçus à partir d’improvisations, réalisées dans le cadre d’un travail débuté en février avec la compagnie villeurbannaise « Le lien théâtre ». Cette pièce, simplement intitulée « La violence et l’histoire », raconte l’histoire croisée de plusieurs personnages. Tous auteurs ou victimes de violences, ils ont en commun la pression économique ou sociale. Avec comme unique moyen de réponse à cette pression, le langage de la violence. Deux histoires se jouent en même temps sur la scène, par intermittence. Il y a celle d’une jeune fille, qui entre dans un commissariat et demande la libération immédiate de son petit ami, interpellé quelques jours plus tôt dans une manifestation. Face à l’inévitable et prévisible refus du commissaire, la jeune fille prend en otage ce dernier. Il y a aussi l’histoire d’un jeune révolutionnaire, habitant d’un pays ravagé par les guerres ethniques, qui affronte son cousin, membre de l’armée gouvernementale. Plus encore que la création et l’interprétation du spectacle, ce sont bien les leçons qu’on peut tirer de ces situations, qui ont motivé sa réalisation. « C’est un projet transversal, qui oblige les jeunes à prendre du recul sur eux-mêmes », explique Patrick Weill, responsable du service éducatif de l’EPM. Et de poursuivre : « C’est aussi une action qui fait appel indirectement à des matières scolaires, comme le français, et qui permet donc de les travailler ». Les détenus ont aussi géré une partie des effets sonores et visuels, réalisé les décors, le présentoir pour les toasts… Ainsi que les toasts eux-mêmes, en collaboration avec l’association « Goûts et couleurs » : cuisses de volailles farcies, fondants au chocolat, tartelettes et autres cakes. Une manière comme une autre d’apprendre à faire de bonnes choses. CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 13. DPJJ.NET - 16 juin 2011 
 "13 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 14. DPJJ.NET - 16 juin 2011 (suite) 
 "14 CHANTIER ARTISTIQUE REVUE DE PRESSE MYTHES ET VIOLENCE
  • 15. L’ASCENSEUR - CRÉATION 2016 Dramaturgie : Calin Blaga - Mise en scène : Anne-Pascale PARIS - Musique : Laurent FRICK Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Vincent ARNAUD, Maria Isabel CAÑÓN, Léna DIA, Benjamin ESCOFFIER, Hicham ISAMILI Public : à par9r de 15 ans Le spectacle est soutenu par la Déléga.on Interministérielle à la luZe Contre le Racisme et l’An.sémi.sme, le Groupe Abraham, la LICRA. Note de conception et de mise en scène Six jeunes acteurs, pouvant incarner plusieurs personnages, se retrouvent dans un Ascenseur qui clignote, se bloque -peut-être- pour quelques instants. Symbolisé par un rectangle au sol, ce7e Ascenseur devient alors un personnage, il parle, il invite les comédiens à se regarder. Eux, évoluent dans cet espace réduit mais aussi s’évadent, s’échappent du cadre et adressent aux spectateurs leur histoire personnelle, leurs doutes et leurs espoirs. Diffusion
 + Sacrées paroles, 30 ans du groupe Abraham, mai 2016
 + Dialogues en humanité, juillet 2016
 + Tout le monde dehors, juillet 2016
 + Assises de la Laïcité, octobre 2016 Nos partenaires
 Le lycée Hélène Boucher, le Refuge, La Déléga9on Interministérielle à la lu7e Contre le Racisme et l’An9sémi9sme (DILCRA), la ville de Lyon, la Mission Lyon Duchère, le lieu échange parents du collège Schoelcher. Revue d’opinions
 « On est venu par hasard car la théma9que nous intéresse. On a trouvé la forme de l’ascenseur parfaite pour aborder ces sujets. Dans un ascenseur t’es obligé de parler de ça en frontal. On a aimé la fin et le message : le changement de société va passer par le regard que l’on porte les uns sur les autres » – Paroles de spectateurs dans le cadre du Fes9val Lyonnais Tout le Monde Dehors (Juillet 2016) "15 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 16. La tribune de Lyon - 8 juillet 2016 "16 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 17. CONTRECOUP - CRÉATION 2015 
 Concep.on et Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Mathilde DUTREUIL, Maxime MAY
 Public : à par9r de 15 ans Note de conception et de mise en scène Anne-Pascale Paris s’interroge sur les comportements des hommes et des femmes et des rapports de pouvoirs qu’ils engendrent, ce7e fois, à l’épreuve des « violences conjugales » : qu’appelle-t-on violence conjugale ? Comment se manifeste-t-elle pour les femmes ? Pour le spectacle « Sois belle et tais-toi ! » elle propose une photographie, un état des lieux de son ques9onnement, nourri de rencontres avec deux intervenantes sociales dans les commissariats, de collecte de témoignages.Me7ant en voix un manuel d’économie domes9que (1960), le regard de la société sur la violence faite aux femmes au fil des époques, l’équipe ar9s9que aborde la place de la femme dans le couple en naviguant entre une écriture historique et sociologique. L’émo9on nous saisit lorsqu’on assiste aux balbu9ements des premiers émois où s’insinuent insidieusement une volonté de contrôle, des humilia9ons, le regard d’un enfant… D’un geste précis, d’une violence chorégraphiée, l’équipe ar9s9que sait si bien faire jaillir une émo9on au fil du rasoir, qu’elle déjoue par des scènes « décalées » pour déclencher le rire qui soulage. Plutôt qu’un message, c’est véritablement un ques9onnement, un « prêt à faire réfléchir » que le Lien Théâtre propose au public à travers ce spectacle. Diffusion
 Fes9val Brisons le silence - Espace Citoyen Lyon 8 - 23 novembre 2015 Nos partenaires
 Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la ville de Lyon, de la Métropole, de l’associa9on Filac9on, de la Maison de Jus9ce et du Droit de Lyon.
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  • 18. VOUS M’AGRESSEZ LA PAROLE - CRÉATION 2015 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin Blaga Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Grégoire BLANCHON, Fanélie DANGER, Mathilde DUTREUIL, Maxime MAY, Valérie MILLÉRIOUX
 Public : à par9r de 15 ans Note de conception et de mise en scène Ce7e pièce propose une interroga9on sur la violence : les jeunes d'aujourd'hui sont-ils plus violents qu'hier ? Elle se manifeste dans un lycée sous la forme d'harcèlements et de silences, d'insultes, d'orienta9on non choisie, de tensions entre les personnages qu'ils soient garçons ou filles, élèves, professeurs ou parents. Ce spectacle laisse apparaître une rupture entre adolescents et adultes d'où peut naître des difficultés de communica9on. Des moments de respira9ons ponctuent ce7e pièce. Les médias s'introduisent dans l'espace scénique. Le théâtre devient alors documentaire, moteur d'une réflexion sur une violence réduite à des faits et des actes. Diffusion
 3 représenta9ons
 + de 200 spectateurs Revue d’opinion
 […] [Les élèves] ont été par.culièrement aZen.fs lors de la représenta.on théâtrale, qui ciblait parfaitement les différentes probléma.ques rencontrées en lycée professionnel (l’orienta.on par défaut, le manque de mo.va.on, l'absentéisme, les respects fille garçons ...). L'ensemble des accompagnateurs a remarqué et apprécié les qualités professionnelles et pédagogiques des intervenants […]
 Alber9ne Besset, Infirmière, Lycée Professionnel Mar9n Luther, Septembre 2015 « J’ai trouvé ceZe pièce extrêmement réaliste et touchante, notamment quand elle pointe la solitude et le désarroi de certains personnage face à leur parent ou à l’ins.tu.on scolaire. » A7achée aux rela9ons publiques - Scène Na9onale, Septembre 2015 "18 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 19. T’ES PAS MON GENRE - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin Blaga - Mise en scène : Anne-Pascale PARIS - Musique : Chris9an FRADIN Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Fanélie DANGER ou Anaïs JOUISHOMME, Mathilde DUTREUIL, Steven FAFOURNOUX, Valérie MILLÉRIOUX Public : à par9r de 14 ans Le spectacle est soutenu par l'Inspec.on Académique du Rhône et il cité comme ressources pour aborder la ques.on de l'égalité des chances des filles et des garçons. Note de conception et de mise en scène La mise en scène souligne le trouble des personnages et le danger qui les gue7e. Des panneaux les découvrent ou les cachent, s’éloignent, se montent, se baissent, construisant comme par magie les différents espaces scéniques : une chambre, une rambarde d’autoroute, un abri-bus… Elle permet de glisser insensiblement du conte de fées au drame qui surprend les personnages comme les spectateurs et nous amène à réfléchir à la no9on de consentement dans la rencontre et le désir de l’autre. Diffusion
 + de 22 représenta9ons
 + de 2500 spectateurs Nos partenaires
 Conseil départemental d’Accès au Droit du Rhône (CDAD), la Région Rhône-Alpes, les villes de Lyon, de Villeurbanne, l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de la Jus9ce et du Droit des villes de Lyon, de Villeurbanne. Revue d’opinions
 T’es pas mon genre ! se concentre avec réalisme sur l’iden.té adolescente. Le spectacle met en scène les souffrances dues à notre paresse intellectuelle, qui dénie aux adolescent-e-s une personnalité propre, pour leur faire endosser des rôles sexués sous contrôle, dans un univers de domina.on-soumission plein de préjugés et de conformisme. Violaine Dutrop-Voutsinos - Ins9tut Egaligone, pour le développement des démarches égalitaires dans l'éduca9on des enfants.
 "19 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 20. Les cahiers pédagogiques n° 519 "20 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 21. Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite)
 "21 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 22. Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite) "22 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 23. Le progrès - 9 mai 2011 
 "23 Newsletters Votre journal en PDFMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Villeurbanne Vendredi 28 octobre 20 Ly A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Vidéos | Salons | A Avis de décès Ma région RecheAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villefranche | Tarare | Villeurbanne | Oullins | Bron | Vénissieux | Rillieux Rechercher une commune+ de zones de vie 0 Recommander + de tags Rhône Villeurbanne Education Enseignement secondaire Société Jeunesse Sexualité Alertes info Soyez les premiers informés : inscrivez- vous à nos alertes mail je m'inscris Les relations filles-garçons, tout un programme Quatre collèges de la ville, dont deux cette semaine, expérimentent le projet théâtral « T’es pas mon genre », qui explore l’égalité des sexes. Six cents élèves villeurbannais sont concernés Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps, n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à établir. « T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action, cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville, l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse. A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa », explique Anne-Laure Paris, metteur en scène. Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin, juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début, Vu 35 fois | Publié le 09/05/2011 à 00:00 Réagissez 1 photo En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G. Notez cet article Newsletters Votre journal en PDF Contactez-nous Abonnez-vousMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Villeurbanne Vendredi 28 octobre 2011 Lyon 16 °C 11 °C A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Vidéos | Salons | Annonces | Avis de décès Ma région RechercherAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villefranche | Tarare | Villeurbanne | Oullins | Bron | Vénissieux | Rillieux Rechercher une commune+ de zones de vie 0 Recommander + de tags Rhône Villeurbanne Education Enseignement secondaire Société Jeunesse Sexualité Alertes info Soyez les premiers informés : inscrivez- vous à nos alertes mail je m'inscris Les relations filles-garçons, tout un programme Quatre collèges de la ville, dont deux cette semaine, expérimentent le projet théâtral « T’es pas mon genre », qui explore l’égalité des sexes. Six cents élèves villeurbannais sont concernés Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps, n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à établir. « T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action, cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville, l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse. A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa », explique Anne-Laure Paris, metteur en scène. Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin, juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début, certains assurent « qu’elle l’a bien cherché », puis après avoir discuté, ils nuancent, et leur position évolue. La plupart du temps, ils participent beaucoup et se sentent concernés. » Les ateliers théâtres sont présentés à 600 élèves, de la 5 e à la 3 e, dans quatre collèges : Môrice-Leroux, Tonkin, Vu 35 fois | Publié le 09/05/2011 à 00:00 Réagissez 1 photo En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G. Notez cet article REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 24. Le progrès - 26 mars 2011 "24 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 25. ASCENSEUR POUR L’ÉGALITÉ - CRÉATION 2010 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin BLAGA Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Musique : Simon Dahan Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Mathilde DUTREUIL, Anaïs JOUISHOMME, Léïla Mahi, Robert Parize, Public : à par9r de 15 ans Synopsis Six jeunes empruntent l’ascenseur pour qui7er le Forum de l’Avenir et de l’Orienta9on quand l’appareil tombe en panne. Ils vont rester prisonniers jusqu’au lendemain ma9n. La fa9gue, la faim, la promiscuité, la colère et la peur vont révéler les personnalités et faire voler les préjugés en éclat. La situa9on est prétexte à faire se rencontrer ou s’opposer les personnages sur l’orienta9on scolaire, l’amour, la sexualité, la parentalité, les violences familiales, l’homosexualité. Les personnages sont de cultures ou de milieux sociaux très différents sans jamais être caricaturaux. Le spectacle ne se veut ni accusateur ni moralisateur. Il est un reflet de ce qui nous semble cons9tuer des moteurs ou des freins aux principes d’égalité entre les jeunes, entre les femmes et les hommes. Diffusion
 + de 13 représenta9ons
 + de 1170 spectateurs Nos partenaires
 Conseil départemental d’Accès au Droit du Rhône (CDAD), le Défenseur des Droits, la Région Rhône-Alpes, les villes de Lyon, de Villeurbanne, l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de la Jus9ce et du Droit des villes de Lyon, de Villeurbanne. Revus d’opinion
 « Ascenseur pour l’égalité » aborde avec force et humanité plusieurs préjugés ordinaires. […] D’après moi, Ascenseur pour l’Egalité parle de notre paresse. Il est en effet plus simple pour l’être humain d’avoir des idées toutes faites sur les gens que d’apprendre à les connaître. L’idée toute faite nous permet de rapidement photographier le monde. C’est efficace, elle nous évite de penser par nous-mêmes. Car c’est un effort d’entrer en rela.on avec les autres pour mieux les connaître. Nous sommes tous et toutes concerné-e-s parce que la paresse est une grande tenta.on dans notre monde et les idées toutes faites arrivent de partout. Violaine Dutrop-Voutsinos - Ins9tut Egaligone, 2011 « Et surtout vous avez su développer les différents aspects des rela.ons filles-garçons avec beaucoup de nuances, des points de vue différents, des évolu.ons dans les rapports entre les personnages de façon dynamique, montrant comment on peut vivre ensemble et se construire ensemble en se connaissant. Vous avez aussi su intégrer les discrimina.ons en général et pas seulement la discrimina.on de genre, avec souplesse. Le travail en amont dans les classes a donc été visiblement u.le et construc.f. » Thérèse Rabatel, Adjointe au Maire de Lyon, déléguée à l'Egalité des femmes, aux Temps de la ville, aux Handicaps. Mars 2010
 "25 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 26. ACCRO À QUOI - CRÉATION 2010 - SANDRINE BAUER Dramaturgie : Sandrine Bauer Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Grégoire Blanchon, Fanélie DANGER, Yann DUCRUET, Mathilde Dutreuil, Valérie MILLÉRIOUX Public : à par9r de 13 ans Synopsis et note de conception Clément, Aurélie, Cédric, Vanessa, Cécile et Julien sont dans la même classe. Rythmé par l’école et la vie de famille, leur quo9dien est ponctué de fêtes et d’excès (alcool, cannabis, adrénaline, jeux vidéo). L’histoire est mise en scène comme un thriller avec la dispari9on de Vanessa. Par9s à sa recherche, ses amis trahissent des angoisses qu’ils pensent maîtriser. Diffusion
 + de 30 représenta9ons
 + de 2500 spectateurs Revue d’opinion
 " J’ai beaucoup apprécié ceZe manifesta.on tant au niveau de la presta.on théâtrale qu’au niveau des échanges avec les jeunes qui ont suivi. Je les ai trouvé intéressés, posant de bonnes ques.ons et j’ai trouvé que la présence d’Anne-Pascale et sa manière d’aborder les jeunes facilitait le débat en les meZant à l’aise et en s’adaptant à leurs ques.onnements, en toute simplicité « 
 François JARDEL, assistante Préven9on Santé Ville de Lyon - Avril 2015. "26 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 27. TU M’AGRESSES LA PAROLE - CRÉATION 2008 - CALIN BLAGA Dramaturgie : Calin BLAGA Mise en scène : Anne-Pascale PARIS Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Émilie CANONGE, Lysiane CLÉMENT, Fanélie DANGER ou Anaïs JOUISHOMME, Mathilde Dutreuil, Maxime MAY, Valérie MILLÉRIOUX Public : à par9r de 11 ans Synopsis et note de conception Dans une mise en scène précise et fouillée, les 7 comédiens déroulent des scènes de vie de collégiens dans une marche vers un drame tout juste évité. Au plus fort de l’émo9on, les tableaux se figent. Ces moments de respira9on perme7ent de saisir la complexité des rapports humains et leur difficulté de communica9on. Diffusion
 + de 125 représenta9ons
 + de 6500 spectateurs Nos partenaires
 La ville de Lyon, la ville de Villeurbanne, la région Rhône Alpes, le Conseil Départemental d’Accès au Droit, l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de Jus9ce et de Droit de Lyon et de Villeurbanne, l’associa9on AMELY (accès au droit et média9on). "27 L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 28. Le progrès - 12 février 2011 
 "28 !"#$%"&&"'$! ()&'"*+),'-.%*"-*/!-!$#&'()'%%$# ! ")(!%)'*. ! *7%)(( 1$)( .)/-!9. -!$%$!2!3%%/ $& 5#;( ! .$&& /,9:(( ,'#-%'-&(./($0'$2 !"#$"%&' 4 ($)*+",)-'.+ 4 (.$&/'"0"12&3' 4 452.*+ 4 !446 4 78 4 82)+).+ 4 9:#*:.' 4 ;)3<2+ 4 4$#2&+ !-)+"3'"3</=+ 9.*'!;<)- 56<- =,'. >)<'" ?.,&"5>)<'" @A"-" 1'+"/2>>:&'+ 6'3A<8"$ 8+$#!4!,&!!':%$#0;'!4!<$%$%'!4!,&!!'(%2$##'!4!>(!!&#&!4!@%$#!4!,-#&&&&'(*!4!B&!!&'(* 5 %# ,%# ,!/( !%)''/(>!? !3)( -!? !0$ 3 !"#$%%&'(") C(-'('$D& B;/#' .$&& /,9:(( 8$&&&%& F!'%''&(&#:$ B)2 3!& -!*, '$ ,- $(!),'7-!2!$(-%,$0 3D 0)/-!5!()-!:& ,. -!':$& '("I&#&0%&& 3 !"#$%%&'(") 8'(0$!!.D'(8$(&&KL$()''(&'#&&2&!&&'(&'&(-!.)'&($( 2()&)%'('#&'"2!'(3 =!G/!'H:", -- -!&:!*:,)& !>K!. &! -.!& !.$., !70)%:. /,!? !&:!*$8% !%)/7 !*:,!& -!%)'7?$ (-!?/ ;$ (! G#76., K! ? 0:(.! & -! 7&80 -! ?/! %)&&8" ! ;)/$-DO)/0 .P! O /?$K! /( ! ? '$D?)/3:$( ! ? %&:-- -! )(.! -/$0$! % ! -* %.:%& K! ?:(-! & ! %:?, ! ? ! &:! =! B ':$( ! ?/! 0$0, ! (- '9& ! >K ),":($-7 !5!&H$($.$:.$0 !?/!%)'$.7!?H7?/%:.$)(!5!&:!-:(.7! .!5!&:!%$.)2 (( .7!? !&H7.:9&$-- ' (.P ;?)9% %.$!!R!B (-$9$&$- ,!& -!% /( -!5!&:!*,70 (.$)(!? !&:!0$)& (% ! .!? -!%)(?/$. -!5!,$-+/ -P ; ! -* %.:%& K! +/$! ' .! (! -%8( ! /( ! #$-.)$, ! -$'*& ! ?H:", --$0$.7! :/! %)&&8" ! (., ! ? /1 7&80 -K!( !- !%)(. (. !*:-!? !')(., ,!&H (%#::( ' (.!? -!!:$.-P!U&!& -!?7')(. K!& -!:(:&2- K .!!:$.!,7:"$,!& -! (!:(.-!+/$!- !')(., (.!.,8-!,7% *.$!-P ; -!-7:(% -!)(.!7.7!-/$0$ -!?H/( !, (%)(., !:0 %!/( !%/,$-. !? !&:!":$-)(!?/!?,)$.K!:!$(!? , & 0 ,!& -!$(!,:%.$)(-!V$(-/&. -K!#:,%8& ' (.!WK! .!? !& -!+/:&$!$ ,!*7(:& ' (.P ; ! %)'$.7! :0:$.! 7":& ' (.! -)&&$%$.7! &:! *)&$% ! (:.$)(:& ! *)/,! :%%)'*:"( ,! /(! .,:0:$&! -/, &H/.$&$-:.$)(!? -!()/0 && -!. %#()&)"$ -P 30 %! &H3--)%$:.$)(! (:.$)(:& ! ? ! *,70 (.$)(! *)/,! &H:&%))&)"$ ! .! &H:??$%.)&)"$ ! V3(*::WK! & - 7&80 -!)(.!7.7!- (-$9$&$-7-!:/1!%)(?/$. -!5!,$-+/ -P X(!*:,:&&8& !5!% -!:%.$)(-K!/( ! 1*)-$.$)(!?/!%)(- $&!"7(7,:&K!=!* !&H (":" ' (.!%)(.$(/!? ()-!",:(? -!,7-$-.:(. -!:/1!! '' -! '9&8' -!? !&:!*:$1!?:(-!& !')(? !>K!:!7.7!$(-.:&&7 ?:(-!& !#:&&!?H (.,7 P 8$(%--$0'&$#(-(()%$D%.& ./!YZ!!)$-!4!![/9&$7!& !YZ]ZZ]YY!5!]]2]] Y!*#).) ; -!%)'7?$ (-!?/!;$ (!G#76., !)(.!%)/7!/( !*$8% !:/!.$., !70)%:. /,!2!=!G/!'?:", -- -!&:!*:,)& !>!![#).)!*:($ && !* 0$(:3 .)-!%)'' (.:$, - ! P$'',(0''($%'&0!' !"#$%"&&"'$! ()&'"*+),'-.%*"-*/01! 2)-&.3&" 5-!-!$#&'()'%%$# ! ")(!%)'*. ! *7%)(( 1$)( .)/-!9. -!$%$!2!3%%/ $& 5#;( ! .$&& /,9:(( ,'#-%'-&(./($0'$2%'(.344 ;2)( !"#$"%&' 4 ($)*+",)-'.+ 4 (.$&/'"0"12&3' 4 452.*+ 4 !446 4 78 4 82)+).+ 4 9:#*:.' 4 ;)3<2+ 4 4$#2&+ 4 !&&2&/'+ !-)+"3'"3</=+ 9.*'!;<)- !5 %# ,%# ,6<- =,'. >)<'" ?.,&"5>)<'" @A"-" 1'+"/2>>:&'+ 6'3A<8"$ 8+$#!4!,&!!':%$#0;'!4!<$%$%'!4!,&!!'(%2$##'!4!>(!!&#&!4!@%$#!4!,-#&&&&'(*!4!B&!!&'(* 5 %# ,%# ,!/( !%)''/(>!? !3)( -!? !0$ 3 !"#$%%&'(") C(-'('$D& B;/#' .$&& /,9:(( 8$&&&%& F!'%''&(&#:$ B)2 3!& -!*, '$ ,- $(!),'7-!2!$(-%,$0 3D 0)/-!5!()-!:& ,. -!':$& '("I&#&0%&& 3 !"#$%%&'(") 8'(0$!!.D'(8$(&&KL$()''(&'#&&2&!&&'(&'&(-!.)'&($( 2()&)%'('#&'"2!'(3 =!G/!'H:", -- -!&:!*:,)& !>K!. &! -.!& !.$., !70)%:. /,!? !&:!*$8% !%)/7 !*:,!& -!%)'7?$ (-!?/ ;$ (! G#76., K! ? 0:(.! & -! 7&80 -! ?/! %)&&8" ! ;)/$-DO)/0 .P! O /?$K! /( ! ? '$D?)/3:$( ! ? %&:-- -! )(.! -/$0$! % ! -* %.:%& K! ?:(-! & ! %:?, ! ? ! &:! =! B ':$( ! ?/! 0$0, ! (- '9& ! >K ),":($-7 !5!&H$($.$:.$0 !?/!%)'$.7!?H7?/%:.$)(!5!&:!-:(.7! .!5!&:!%$.)2 (( .7!? !&H7.:9&$-- ' (.P ;?)9% %.$!!R!B (-$9$&$- ,!& -!% /( -!5!&:!*,70 (.$)(!? !&:!0$)& (% ! .!? -!%)(?/$. -!5!,$-+/ -P ; ! -* %.:%& K! +/$! ' .! (! -%8( ! /( ! #$-.)$, ! -$'*& ! ?H:", --$0$.7! :/! %)&&8" ! (., ! ? /1 7&80 -K!( !- !%)(. (. !*:-!? !')(., ,!&H (%#::( ' (.!? -!!:$.-P!U&!& -!?7')(. K!& -!:(:&2- K .!!:$.!,7:"$,!& -! (!:(.-!+/$!- !')(., (.!.,8-!,7% *.$!-P ; -!-7:(% -!)(.!7.7!-/$0$ -!?H/( !, (%)(., !:0 %!/( !%/,$-. !? !&:!":$-)(!?/!?,)$.K!:!$(!? , & 0 ,!& -!$(!,:%.$)(-!V$(-/&. -K!#:,%8& ' (.!WK! .!? !& -!+/:&$!$ ,!*7(:& ' (.P ; ! %)'$.7! :0:$.! 7":& ' (.! -)&&$%$.7! &:! *)&$% ! (:.$)(:& ! *)/,! :%%)'*:"( ,! /(! .,:0:$&! -/, &H/.$&$-:.$)(!? -!()/0 && -!. %#()&)"$ -P 30 %! &H3--)%$:.$)(! (:.$)(:& ! ? ! *,70 (.$)(! *)/,! &H:&%))&)"$ ! .! &H:??$%.)&)"$ ! V3(*::WK! & - 7&80 -!)(.!7.7!- (-$9$&$-7-!:/1!%)(?/$. -!5!,$-+/ -P X(!*:,:&&8& !5!% -!:%.$)(-K!/( ! 1*)-$.$)(!?/!%)(- $&!"7(7,:&K!=!* !&H (":" ' (.!%)(.$(/!? ()-!",:(? -!,7-$-.:(. -!:/1!! '' -! '9&8' -!? !&:!*:$1!?:(-!& !')(? !>K!:!7.7!$(-.:&&7 ?:(-!& !#:&&!?H (.,7 P 8$(%--$0'&$#(-(()%$D%.& ./!YZ!!)$-!4!![/9&$7!& !YZ]ZZ]YY!5!]]2]] Y!*#).) ; -!%)'7?$ (-!?/!;$ (!G#76., !)(.!%)/7!/( !*$8% !:/!.$., !70)%:. /,!2!=!G/!'?:", -- -!&:!*:,)& !>!![#).)!*:($ && !* 0$(:3 .)-!%)'' (.:$, - ! P$'',(0''($%'&0!' REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 29. La croix - 10 juillet 2012 "29 !"#$%&&'#()*&+'#$"#,"*"$-."&-)*#/'.#/0+-1'.#.2)+3"*-.' !"#&"+)#"$#&"+))#*")#,!"""))#*")#*0&.(*"#"$*))#*")#)"(,!2")#&+3"!2)#)3"55%(2"$*#*"#(.&&"""(#"")#7(.$/.!)#.+-#(1 "") 0"0#"$*.!(")#*"#2%+(*%!)!"< =-"#&"")#*.$)#*(%!)#(0 !%$)#'+!#)"#)%$*#.**.'+0")#.+-#!$2!,!"!*0)#'+!#%$*#2%+()#.#"302%"")#*.$)#"")#)*.*")#%+#*.$)#"") (+")< @=A#BC@@4E=A#!=#FG@@=HIJKLL=#BCMJKNN=LN#@K#FGC@=LB=#F=IJK@=#CI!GLKGI= !4#".++=&$#*@1("$./$1.46##$#2(++$41! --$6#+F'$41$#$23# 4#!(+ -;#< 1,(#+$2#2 3(2% "3(.-2##$#+F --<$#/.41#2 #/1(-"(/ +$6# 4"4-$#B!"#$%%&!'("(##&##C#-F <"+ 3<## -2#+ #".41#.4# 46# !.1#2##$#"$3#<3 !+(22$,$-3##$#CDE#<+=5$2; * 1($.G$1- #$33$#G4%% 1.3./ 3'4(++$#1$#.43$#+ #14,$41#04(#$-%+$#$3#/ 15($-3#)4204$## -2#2.-#!41$ 4;#/ #/+4/ 13##4#3$,/26#3.43#/ 13#"!*$,-&!'#./$0&!##6 #</+.1$.3.$++$6#4-$#(-24+3$6#4-$# 33(34#$#".-2(#<1<$#".,,$#.431 &$ -3$6#+$2#"!2#&3. #&%!*&%!.-/.5.0.67%!#8 J"(6#+$2# &1$22(.-2#5$1! +$2#2.-3#+<&(.-;#G$ 4".4/#/+42#1</ -#4$2#04$#-$#+$#/$-2 (3#!--$.< 2" +$#< 1(26#,$33$42$#$-#2"=-$##$#+ #".,/ &-($#/$ /($-#K'<:31$;#2.(+9#04$+04$2# --<$26#(,,$1&<$## -2#4-#".++=&$6#$++$# #"!$'%&#57!,-&!-$,5&00&!9$#3&!*&!5.$0&-/&:!(//&267&!2(#!6$,%:!;,.!%& 3(-.9&%6&!*&!3(-. #&!2&#-./.&,%&!%$,%!9$#3&!*&!<&,!#8 N -2#+ #%.4+<$6#+ #04 #1 &<- (1$# #"1<<#=,!3$("#&%%&%!0(!2(#$0&#6#4-$#/(="$#04(#2F "'=5$#/ 1#+ #3$-3 3(5$##$#24("(#$##F4-$#)$4-$#%(++$#(,/+(04<$## -2 4-#".-%+(3# 4##</ 13#31=2#.1#(- (1$;#N$/4(2#OEPE6#+ #".,/ &-($#3'<:31 +$#(-3$15($-3## -2#+$2#<3 !+(22$,$-32##$#+ #5(++$#/.41#B##<! - +(2$1#C#+$2 &1$22(.-2#5$1! +$2; /F -#/ 22<6#+$2#<+=5$2##$2#"+ 22$2##$#D$##$#"(-0#<3 !+(22$,$-32##$#2(++$41! --$#.-3# 22(23<#9#+ #/(="$;#N$#+F 5(2#&<-<1 +6#+$#2"<- 1(.# #<3<#)4&<#%.13 1< +(23$;#/ #1$/1<2$-3 3(.-# #<3<#24(5($##F4-##<! 3#/4(26#04$+04$2#).412#/+42#3 1#6##F4-#<"' -&$# 5$"#4-#)41(23$##$#+ #* (2.-##$#+ #)423("$#$3##4##1.(3; /$#2/$"3 "+$6#04$#+ #, (1($#%(- -"$#$-#/ 13($6#"!2&#3&6!*&!9(.#&!2(%%&#!0&!3&%%("&!;,$,-!(/6&!*$(22(#&-/&!(-$*.-!2&,6!(5$.#!*&!"#(5&% /$-%7;,&-/&%!#:#$23(,$#Q(+!$13./4"#N$5(- 86# #).(-3#9#+ #/1<5$-3(.-#$3#+ #2<"41(3<;#J+# #+4(.,>,$# 22(23<#9#+ #/(="$6#$-#/1<2$-"$##$2#/ 1$-32##$2 ".++<&($-26#(-5(3<26#2 -2#+$412#$-% -326#9#4-$#1$/1<2$-3 3(.-;#"!=$,6!0&!3$-*&!&-!2#&-*!2$,#!%$-!"#(*&:!>!/$32#.%!0&%!&-%&."-(-6%!&6!0&%!2(#&-6%:!;,. %$-6!2(#9$.%!*73,-.%!#:#&+(22$#4-$#, , -; N$/4(2#+$#/ 22 &$##$#+ #".,/ &-($#/$#/($-#K'<:31$6#"!0&%!70 5&%!9$-6!20,%!%$,5&-6!(22&0!?!-$,%!(5(-6!;,&!0(!%.6,(6.$-!-$&32.#&!#:#1 //.13$#+ /1(-"(/ +$##4#".++=&$#*@1("$./$1.46;#T3#(+2#.-3# //1(2#9#,.(-2#(-24+3$1#B#9#+F 5$4&+$#C; J+#% 43##(1$#04$6#.431$#+$#2/$"3 "+$6#+F<04(/$#<#4" 3(5$# #,4+3(/+(<#+$2##(2/.2(3(%2#/.41#+433$1#".-31$#+$2#(-"(5(+(3<2#E#$-31$#%(++$2#$3#& 1;.-26#241#W "$!..*! N$1-(=1$#(-(3( 3(5$#$-## 3$6#+ #,(2$#$-#/+ "$##F4-$#,<#( 3(.-#$-31$#/ (12;#D#+ #1$-31<$6##$2#<+=5$2#5.+.-3 (1$2#2$#"' 1&$1.-3##F / (2$1#+$2#3$-2(.-2 $-31$#+$412#" , 1 #$2; # @K#@CGI=OKN@KLNGPH=#F=HN#BQKLE=I#@=#BCMRCIN=M=LN#!=A#7CCNJK@@=HIA Z$2/$"3$1#2.-# #5$12 (1$6#>31$#/.+(# 5$"#3.426#2F$-".41 &$16#-$#/ 2#".-3$23$1#+$2##<"(2(.-2##$#+F 1!(31$6#/1$-#1$#2.(-##4#, 3<1($+;#N$/4(2#OEE[6#"$2 1=&+$2#%(&41$-3#241#+ #"' 13$##4#)$4-$#%..3! ++$41#2(&-<$#/ 1#+$2#$-% -32#$3#+$412#/ 1$-32#+.12##$#+$41#(-2"1(/3(.-## -2#4-#"+4!##$#%..3#$-#/.(1$. !3+ -3(04$; * (2#4-$#%.(2#241#+$#3$11 (-6#+$2#).4$412#.4!+($-3#2.45$-3#"$#9#04.(#(+2#2F<3 ($-3#$-& &<2;#/$#".-2$(+#&<-<1 +# ##.-"#$4#+F(#<$##$#% (1$# //$+#9#4- /27"'.+.&4$;#].-#1@+$#^# - +72$1#+ #2(34 3(.-#$3#(-3$15$-(1# 4/1=2##$2#"+4!2##$#%..3! ++6##$2# 1!(31$26##$2#/ 1$-326##$2#$-31 ?-$4126#$3"; /F<3 3##$2#+($46##1$22<#/ 1#G$131 -##Q4<1(-$ 46#/27"'.+.&4$#2/<"( +(2<## -2#+ #/1<5$-3(.-##4##./ &$# 4#`ab##$#c -3$2#$3#' !(34<#9#24(51$##$2 3'+=3$2##$#' 43#-(5$ 46#,.-31$#04$#2(#+$2#" 2##$#5(.+$-"$#2.-3#31=2#1 1$26#+F 3,.2/'=1$##$2#23 #$2#-F$23#/ 2#3.4).412#2$1$(-$;#/.12##$#" /3 &$2 2.-.1$2## -2#+$2#31(!4-$26#"$##$1-($1# #".-23 3<#B##$2##<1 / &$2#+ -& &($12#/1<.""4/ -326#-.3 ,,$-3##$#+ #/ 13##$#/ 1$-32#04(#-$#, ?31(2$-3#/ 2 +$412#<,.3(.-2#$3#-F'<2(3$-3#/ 2#9#(-24+3$1#+F 1!(31$#C; / #".-%1.-3 3(.-#$-31$#<04(/$2#(224$2##$#04 13($12#/./4+ (1$26##4#"$-31$.5(++$#.4##4#,.-#$#141 +6#242"(3$#<& +$,$-3##$2#3$-2(.-2;#B#@0!&A.%6&!*&% $22$%.6.$-%!*&!%6>0&!$,!*&!/,06,#&:!3(.%!(,%%.!*&%!2B7-$3 -&%!*&!#&20.!/$33,-(,6(.#&:!(5&/!*&%!<&,-&%!;,.!-&!<$,&-6!;,$&-6#&!&,A!&6!*&%!7;,.2&% ;,.!-&!5&,0&-6!20,%!%&!#&-/$-6#&#8##C#T-%(-6#+F 33(34#$##$#)$4-$2#B#;,.!/(%%&-6!0(!5.6#&!*&%!5&%6.(.#&%!$,!2(#6&-6!%(-%!*.#&!(,!#&5$.#!#C#</4(2$#+$2 !<-<5.+$2#$3#1$-%.1"$#+ #".4/41$#$-31$#+$2#).4$412#$3#"$46#04(#+$2#$-" #1$-3; ]$2#(-3$15$-3(.-2#".-2(23$-3##.-"#9#1$-.4$1#+$##( +.&4$#$-31$#+$2#/ 13($2#/1$- -3$2#$3#9#" 22$1#+$2#/1<)4&<2# 4#".412##$#2.(1<$2##F(-%.1, 3(.- !"34 +(3<#d#W1 -"$ # REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 30. Le progrès - 28 novembre 2012 
 "30 La boutique Newsletters Votre journal en PDFMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Pierre-Bénite Mercredi 28 novembre A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Blogs | Vidéos | Ma région ReAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villeurbanne | Bron | Saint Priest | Vénissieux | Tarare | Oullins | Rillieux | Beaujolais Rechercher une commune+ de zones de vie TAGS ASSOCIES Rhône Pierre-Bénite Ste Foy / Francheville TweetTweet 0 Recommander 0 Share 0 Outils et partage Alertes info Soyez les premiers informés : abonnez-vous gratuitement à nos alertes quotidiennes par mail Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un outil pédagogique Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très performant. C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ». Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue. Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente de se suicider. A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués. Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre avec la maison de la justice dans les jours prochains. Vu 1 fois | Publié le 28/11/2012 à 06:00 0 Commenter cet article Les collégiens se sont rendus compte que cette pièce était un peu le miroir de leur vie Photo Jean-Paul Massonnat 0 Réagissez imprimer envoyer à un ami TweetTweet 0 Recommander 0 Share 0 Noter cet article La boutique Newsletters Votre journal en PDF Contactez-nousMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Pierre-Bénite Mercredi 28 novembre 2012 Lyon A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Blogs | Vidéos | Annonces | Av Ma région RechercherAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villeurbanne | Bron | Saint Priest | Vénissieux | Tarare | Oullins | Rillieux | Beaujolais Rechercher une commune+ de zones de vie TAGS ASSOCIES Rhône Pierre-Bénite Ste Foy / Francheville TweetTweet 0 Recommander 0 Share 0 Outils et partage Alertes info Soyez les premiers informés : abonnez-vous gratuitement à nos alertes quotidiennes par mail Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un outil pédagogique Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très performant. C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ». Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue. Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente de se suicider. A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués. Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre avec la maison de la justice dans les jours prochains. Vu 1 fois | Publié le 28/11/2012 à 06:00 0 Commenter cet article Les collégiens se sont rendus compte que cette pièce était un peu le miroir de leur vie Photo Jean-Paul Massonnat 0 Réagissez imprimer envoyer à un ami TweetTweet 0 Recommander 0 Share 0 Noter cet article REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 31. DPJJ.NET - 9 mai 2014 "31 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 32. Viva interactif - 12 juin 2014 
 "32 PRÉVENTION > DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE le 12/06/2012 Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif sur le thème du harcèlement en milieu scolaire. Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre. Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène leurs propres réactions face à la violence. « Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup de messages. Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit. Pour recevoir toutes les actus de Villeurbanne dans votre boîte mail, inscrivez-vous à la newsletter DANS LA MÊME RUBRIQUE ELECTIONS LEGISLATIVES 2012 - Les résultats du second tour à Villeurbanne, le 17/06/2012 Le second tour des élections législatives 2012 a eu lieu dimanche 17 juin. Consultez les résultats... FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012 PRÉVENTION > DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE le 12/06/2012 Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif sur le thème du harcèlement en milieu scolaire. Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre. Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène leurs propres réactions face à la violence. « Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup de messages. Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit. Pour recevoir toutes les actus de Villeurbanne dans votre boîte mail, inscrivez-vous à la newsletter DANS LA MÊME RUBRIQUE ELECTIONS LEGISLATIVES 2012 - Les résultats du second tour à Villeurbanne, le 17/06/2012 Le second tour des élections législatives 2012 a eu lieu dimanche 17 juin. Consultez les résultats... FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 33. Le progrès - 8 octobre 2014 "33 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 34. Le Dauphiné Libéré - 9 novembre 2016 
 "34 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 35. Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 "35 "Redonner sa place au spectateur citoyen" c'est l'une des intentions majeures de l'association Le Lien Theatre, compagnie qui crée des spectacles et des actions de théâtre citoyen. ARTICLE | MARS 12, 2013 - 5:06PM | PAR ELSA LANIESSE Présente à Lyon et ses alentours, notamment à Bron, l'association regroupe une trentaine d'artistes, comédiens, musiciens. « On ne fait pas du théâtre citoyen par défaut, nous sommes tous passionnés ! J'en avais marre de jouer devant des spectateurs qui étaient acquis à ma cause et où il n'y avait pas de réel débat », confie avec ardeur Anne-Pascale Paris, la directrice artistique, qui a répondu à nos questions. LBB : Qu'est-ce que le théâtre citoyen et comment créez-vous vos pièces? A-P P. : C'est un théâtre témoignage : avant de créer un spectacle, on interview, on fait des recherches sur les sujets qu'on va traiter. Les sujets sont en rapport avec la jeunesse : les rapports hommes/femmes, les relations familiales, l'argent... On amène les jeunes à s'exprimer par le biais de l'improvisation. On suscite un débat, puis on crée ensuite des scènes qui serviront de matière et desquelles on va s'inspirer pour créer une œuvre de fiction. Mais notre matière première reste vraiment le témoignage, la réalité. On cherche à savoir quels sont les problèmes de ces jeunes, ce à quoi ils réfléchissent...puis on les laisse parler. De cette façon, la parole d'un jeune peut être représentative de celle de tout un groupe. Ensuite, un auteur professionnel écrit le texte, il est joué et parfois restitué aux habitants du quartier. On le joue sur scène dans des MJC, dans des centres sociaux mais on ne joue pas au théâtre. Pour quelles raisons ne jouez-vous pas dans des théâtres? C'est très compliqué de faire venir les jeunes avec qui nous travaillons au théâtre. Même si on leur dit que la pièce parle d'eux, qu'ils en sont à l'origine, pour eux la barrière de l'édifice est difficile à franchir. On a déjà essayé plusieurs. Malgré une très bonne communication, une grande insistance de la part des éducateurs qui ont accompagné les jeunes, ça reste toujours vraiment difficile de les faire rentrer dans un théâtre. Ils ont l'impression que ce n'est pas pour eux, que ça ne fait pas partie de leur monde, que ça leur est inaccessible. Alors que quand c'est dans un lieu qu'ils connaissent ça change tout. L'intérêt aussi pour nous c'est de confronter les débats et de jouer les mêmes pièces dans différents quartiers. Ainsi on se rend compte que les mêmes thèmes reviennent partout. Vous parlez de thèmes récurrents, quels sont-ils? Ce qui me fait le plus de peine c'est qu'on a vraiment l'impression que les jeunes ne se sentent pas intégrés dans la société telle qu'elle est. Ils ont l'impression que la société est séparée en deux, riches et pauvres, chrétiens et musulmans, français, et gens d'autres origines. Ils pensent qu'une partie de la société ne leur est pas accessible. Les études aussi...La première idée qu'ils ont, et qui est peut-être relayée par leur famille qui galère, c'est qu'il y a tout un tas de choses qui ne leur seront jamais accessibles. C'est comme si on démarrait dans la vie avec des espoirs au ras des pâquerettes. Les études, une belle maison, un beau métier, les vacances, la politique, ce n’est pas pour eux, ils en sont convaincus... Pensez-vous que leurs impressions sont justifiées? Je ne crois pas que la société soit comme ça. J'ai cette envie de croire à une société qui s'améliore et qui travaille pour que tout le monde ait les mêmes droits. Je crois que c'est la représentation qu'ils se font de leur famille, de l'école, d'eux-mêmes qui leur font penser que ce n’est pas possible pour eux. Quand on pense ça on a la sensation que tout est foutu d'avance et ça c'est récurrent dans les quartiers, et ça commence petit a l'école... L'éducation nationale a-t-elle un rôle à jouer dans ce constat? Je n'ai pas de conseil à donner, mais je crois que la manière d'aborder l'éducation est peut-être à revoir. Cet apprentissage Le lien theatre : ''c'est à l'art de se déplacer où les gens se trouvent'' | Ly... http://www.lyonbondyblog.fr/article/le-lien-theatre-cest-à-lart-de-se-dé... 1 sur 3 25/03/2013 11:26 REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 36. Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 (suite) 
 "36 n'est pas adapté à leur situation, à leur manière d'apprendre. Cette forme de cours où on est face à un professeur qui nous apprend et où il faut apprendre ce qui est dit alors qu'on ne sait pas à quoi ça va nous servir dans la vie plus tard, ça en amène beaucoup à décrocher. Plus après, quand à la maison on a une famille d'une culture différente, pas forcément valorisée par la société de consommation. L’école la famille ça fait que très vite on ne se sent pas adapté. Du coup ça peut donner des gamins qui se sentent protégés dans leurs quartiers et qui ont du mal à sortir, même au centre de Lyon, pour se dire « je vais voir une pièce de théâtre »...Même si on leur dit que ça parle d’eux, il y a toujours une frontière. C'est pour ça qu'on ne veut pas et qu'on ne peut pas jouer nos spectacles au théâtre et qu'on les joue dans des centres sociaux, des collèges, des lycées... Mais ce ne sont en aucun cas des spectacles au rabais! On est convaincu que c'est à l'art d'aller se déplacer où les gens se trouvent. Et vous ne croyez pas qu'il serait mieux de réussir à amener ces jeunes au théâtre? Je pense qu'il faut les deux. Si on commence d'abord par jouer dans une salle simple, peut-être que ce sera plus facile de les amener au théâtre ensuite. Y a-t-il beaucoup de compagnies comme la vôtre? Je crois qu'il y a plein de compagnies ayant le même objectif. De plus en plus elles sentent le besoin de redonner au théâtre une place populaire. Qu'on soit toujours sur le terrain, c'est peut-être ce qui fait notre spécificité : on vient ouvrir le débat avant le spectacle. Je crois aussi qu'il y a une nécessité pour les artistes d'être dans un rapport direct avec les spectateurs et également que la culture soit une approche simple. Avez-vous déjà confronté ces jeunes avec des jeunes d'horizons complètement différents? En voyez-vous l'intérêt? L'intérêt, oui! On a pu le faire notamment une fois à Villeurbanne : on a été sollicité par une école privée, ce qui est plutôt rare. Les publics jeunes venaient de quartiers très différents et le thème concernait les rapports hommes/femmes. Il y avait un personnage, Salima, qui s'exprimait sur sa difficulté de sortir toute seule, sur le poids de sa famille sur sa vie...on a demandé aux jeunes s'ils trouvaient les personnages réalistes dans l'ensemble. Les jeunes des quartiers ''favorisés'' ont répondu que tous les personnages étaient assez crédibles sauf le personnage de cette Salima. Et ceux de la banlieue ont répondu : « vous rigolez ou quoi ? C'est le plus réaliste ! » et là, ils ont réellement pris conscience de la réalité de chaque groupe et ça c'était génial! Enfin, diriez-vous que rendre la culture populaire c'est la niveler par le bas? C'est pas du tout ça, il ne s'agit pas de tirer la culture par le bas, il s'agit de trouver le langage qui leur convient. Ce sont des jeunes qui ne savent pas tricher, ils sont d'une spontanéité, d'une vérité très touchante. TERMES CONNEXES : Culture Anne-Pascale Paris Lyon Vous avez aimé cet article, partagez le » Twitter » Le lien theatre : ''c'est à l'art de se déplacer où les gens se trouvent'' | Ly... http://www.lyonbondyblog.fr/article/le-lien-theatre-cest-à-lart-de-se-dé... REVUE DE PRESSE L E S S P E C T A C L E S THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
  • 37. Ville en vue n°40 - mars-avril 2016 
 "37 REVUE DE PRESSE LE CATALOGUE DE SCÈNES L E S I N S T A N T A N É S ville en vuewww.gpvlyonduchere.org le journal n°40 / mars-avril 2016 LIVRAISON DE LOGEMENTS NEUFS 200 NOUVELLES FAMILLES À LA DUCHÈRE p.5 DOSSIERDOSSIER LIVRAISON DE LOGEMENTS NEUFS 200 NOUVELLES FAMILLES À LA DUCHÈRE À votre service Figure de quartier NOUVEAU CENTRE DENTAIRE LE LIEN THÉÂTRE, THÉÂTRE CITOYEN LE MÉDICENTRE, UN PÔLE SANTÉ POUR TOUT LE QUARTIER › 4 médecins généralistes › 1 centre dentaire › 1 cabinet de masso-kinésithérapie › 1 ostéopathe › 1 sage-femme › 1 sophrologue › 1 praticienne en médecine traditionnelle chinoise 3 ATELIERS À LA MJC le mercredi à 18h pour les jeunes et le vendredi à 14h pour les parents. Infos : 04 69 16 08 86 www.lelientheatre.com Ils ont investi le dernier étage du Médicentre en mai dernier. Trois chirurgiens-dentistes et un orthodontiste proposent leurs services aux Duchérois au sein d’un centre parfaitement équipé. L’art comme moyen d’ouvrir et transformer notre regard sur la société, tel est le credo de la compagnie le Lien Théâtre, en résidence à la MJC Duchère. L’espace public est leur scène, les passants leurs spectateurs : au Lien Théâtre, on a abandonné le théâtre conventionnel pour aller au plus proche des gens. « Nous prati- quons un théâtre citoyen, qui provoque le dia- logue avec les spectateurs, qui fait réfléchir sur des questions de société », résume Anne-Pas- cale Paris, metteuse en scène de la compa- gnie. Leur résidence à la MJC, soutenue dans le cadre du Grand Projet de Ville, les amène depuis deux ans à travailler auprès d’un public non conquis d’avance : les 16- 25 ans. Au pied des immeubles ou dans les structures de quartier, ils vont donc jouer des courtes scènes directement au- près des jeunes. De quoi susciter réactions et discussions. « On aborde des questions qui les touchent : le travail, l’argent, les rap- ports filles-garçons etc. Et puis on discute, on réfléchit, on rejoue la scène avec eux. » Entre leurs instantanés de rue, leurs ateliers heb- domadaires et leur participation à divers projets du quartier, les artistes du Lien Théâtre sont désormais connus et appré- ciés des jeunes comme des parents. « Et quand une thématique revient souvent sur le tapis, on en fait un spectacle, où on aborde cette question avec une approche artistique », explique Anne-Pascale Paris. La metteuse en scène et son équipe ont d’ailleurs en projet un spectacle inspiré de leurs expé- riences duchéroises, consacré au passage de l’adolescence à l’âge adulte. Sujet com- plexe qu’ils aborderont via le mythe – approprié! – du Labyrinthe… Mais pa- tience, ce sera pour la saison 2017-2018! Si l’on se fie à leurs agendas bien rem- plis, les praticiens du centre dentaire ont déjà su faire leurs preuves à La Duchère. D’abord parce que l’ouverture de cette cli- nique répondait à un besoin sur le quar- tier, jusque-là peu pourvu en dentistes (seul un est en activité, à Balmont). Mais aussi grâce à la qualité des soins prodi- gués dans ce centre moderne. « L’équipe est expérimentée, avec un matériel de der- nière génération, à l’image de notre équipe- ment de radiographie 3D, assure Laurent De Dona, directeur de la structure. Nous ne sommes pas une clinique low-cost. Nous garantissons des soins de qualité, adaptés à chaque patient ». Soins et prothèses den- taires, chirurgie orale, orthodontie, les actes pratiqués sont variés. Les patients, eux, viennent de La Duchère, Vaise ou l’Ouest lyonnais. De plus l’établissement surveille ses tarifs et assure à chacun la meilleure prise en charge du traitement, notamment en pratiquant le tiers-payant Sécurité Sociale et mutuelles. La Couver- ture Médicale Universelle (CMU) y est également acceptée. « Rien de plus normal, assure Laurent De Dona, tout le monde doit être soigné de la même façon ». Une philoso- phie renforcée par la présence voisine des autres professionnels du Médicentre. « Cette synergie entre professionnels de santé est essentielle, pour les médecins comme pour les habitants. Quand nos patients se plaignent d’autres maux, on les oriente vers les théra- peutes adaptés. C’est un vrai plus! » 3 CONTACT CENTRE DENTAIRE 5, place Abbé Pierre - 04 28 38 24 80 www.clinique-dentaire-lyon.fr 4
  • 38. Le progrès - octobre 2014 "38 REVUE DE PRESSE LE CATALOGUE DE SCÈNES L E S I N S T A N T A N É S
  • 39. Lyon Bondy Blog - avril 2013 LE THÉÂTRE DANS LES ÉTABLISSEMENTS PÉNITENTIAIRES POUR MINEURS ELSA LANIESSE — 15 AVRIL 2013   Les EPM, établissements pénitentiaires pour mineurs, existent depuis 2007. Ils ont été conçus pour permettre l’éducation des jeunes pendant leur peine et empêcher la récidive. A l’EPM du Rhône, à Meyzieu, les jeunes pratiquent de nombreuses activités obligatoires, dont le théâtre, en partenariat avec l’association de théâtre citoyen le Lien Théâtre. Introduire le théâtre en prison, et en l’occurrence dans les EPM, n’est pas chose évidente. La bonne volonté et le professionnalisme ne suffisent pas. Il faut savoir aussi transmettre l’envie de s’impliquer.  De nombreuses associations ont auparavant tenté, en vain, d’intéresser ces jeunes au théâtre. Mais leurs méthodes semblaient inefficaces. En cela, la démarche du théâtre citoyen s’est démarquée. Elle a su trouver l’approche adéquate pour capter l’attention et susciter la curiosité de ces jeunes. « A ma grande surprise, avec nous ça a marché ! » "39 REVUE DE PRESSE LE CATALOGUE DE SCÈNES L E S I N S T A N T A N É S
  • 40. En effet quoi de plus évident que donner de soi lorsqu’on souhaite recevoir ? C’est ainsi que travaille l’équipe du lien théâtre avec les jeunes incarcérés. « A 9h du matin, lorsqu’on arrive, c’est nous qui jouons une scène. Les jeunes nous remercient d’avoir donné des émotions et du coup, ils sont plus amenés à donner en retour », explique Anne-Pascale Paris, la directrice artistique de l’association. De cette première scène naît le débat. Les spectateurs, s’ils le souhaitent, parlent alors de leur ressenti, commentent la scène, évoquent l’histoire, réinterprètent un personnage à leur façon. « On ne force personne et généralement ils viennent jouer d’eux-mêmes ». Ceux qui souhaitent ensuite s’engager et s’impliquer un peu plus se regroupent : Un groupe de volontaires est créé. « Garçons et filles appartenant à différents groupes sont amenés à se rencontrer. Ce qui n’est bien sûr pas facile mais d’autant plus intéressant. » Un franc succès quand la méthode est bonne Il leur est alors donné un travail sur un thème donné comme « les mythes » en 2011. « On leur propose une situation que l’on retrouve dans certains mythes puis ils improvisent. Ils restituent des pans entiers de ceux-ci sans même le connaître. » Une fois la pièce improvisée, un auteur est chargé de la fixer sur le papier. Il leur fournit des lectures de certains mythes, bibliques, par exemple. « Et ça les intéresse beaucoup. Ils acceptent ensuite plus facilement de lire alors que généralement ils ont peur ou honte de mal lire. » Le but n’est pas de les confronter directement au thème prédéfini, mais de leur montrer qu’ils ont des connaissances personnelles, et de les intéresser à un sujet qui peut paraître trop « scolaire ». En somme, la pédagogie tourne autour de l’écoute, de l’acceptation de la parole de l’autre et du jeu des émotions. Il y a un gros travail sur les émotions, « ils sont passionnés par les émotions ». « Le théâtre fait du bien à l’âme » Quand on demande à Anne-Pascale Paris en quoi le théâtre est utile et qu’est-ce qu’il peut apporter à des jeunes qui souffrent, elle répond que « le théâtre peut les amener à améliorer leur confiance en eux et en leur expression. Il leur permet ensuite de se poser des questions sur des thèmes de société qui les concernent. Il les aide à prendre conscience des codes culturels et des usages du langage. Il les sensibilise aussi au respect d’eux-mêmes, des autres, aux pratiques de la citoyenneté et de l’inter culturalité ».  A son avis le théâtre devrait être obligatoire à l’école. Le théâtre comme elle le dit : « fait du bien à l’âme ». Il permet d’éprouver des émotions sur scène, d’étudier comment elles se produisent, pour apprendre à les maîtriser dans la vie réelle. Il allie découverte et réflexion, action et compréhension, travail et divertissement. Et pour preuve qu’il améliore les conditions des jeunes en détention, cela fait maintenant trois ans, depuis 2009, que l’association Le Lien Théâtre intervient dans l’EPM du Rhône, à Meyzieu. En 2012, l’association n’a pas pu se rendre près des jeunes, car l’établissement manquait de subventions. Cependant, l’année suivante, le Lien Théâtre a été l’un des premiers intervenants à être rappelé. Même si les adolescents ne l’expriment pas directement, « il n’y a aucun doute qu’ils en retirent quelque chose ». Anne-Pascale Paris rajoute avec un radieux sourire : « deux de ces jeunes étaient tellement impliqués dans la pièce qu’on a joué en prison en 2011, L’homme armé, qu’on a réussi à obtenir une autorisation exceptionnelle de sortie culturelle pour qu’ils viennent jouer le spectacle à l’extérieur pendant deux soirs. Vous ne vous imaginez pas le bonheur que ça a été pour nous et pour eux ! » Elsa Laniesse "40
  • 41. Le progrès.fr - 1er mars 2011 "41 Newsletters Votre journal en PDFMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Rillieux-la-Pape Vendredi 28 octobre A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Vidéos | Salons | Avis de décès Ma région ReAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villefranche | Tarare | Villeurbanne | Oullins | Bron | Vénissieux | Rillieux Rechercher une commune+ de zones de vie Rillieux-La-Pape. 0 Recommander + de tags La relation parents-ados mise en scène à la MJC 4 / 4 Mardi et vendredi soir, les quatre comédiens du lien théâtre se sont produits à la MJC, devant près de 250 personnes, sur les deux soirs. Pendant quarante-cinq minutes, les Vu 16 fois | Publié le 01/03/2011 à 00:00 4 photos A la fin de la représentation, les spectateurs sont montés sur scène pour proposer leur point de vue Photo Laetitia Le Gloanne Newsletters Votre journal en PDF Contactez-nous AbMélanie Perron Mon compte Déconnexion Vous êtes ici : Accueil Rhône Rillieux-la-Pape Vendredi 28 octobre 2011 Lyon 16 °C A la Une | Faits Divers | France - Monde | Sports | ASSE | OL | Loisirs | Culture | Vidéos | Salons | Annonces | Avis de décès Ma région RechercherAin Jura Loire Haute-Loire Rhône Mes communes Archives Lyon | Villefranche | Tarare | Villeurbanne | Oullins | Bron | Vénissieux | Rillieux Rechercher une commune+ de zones de vie Rillieux-La-Pape. 0 Recommander + de tags Rhône Rillieux-la-Pape Rillieux / Neuville Loisirs Alertes info La relation parents-ados mise en scène à la MJC 4 / 4 Mardi et vendredi soir, les quatre comédiens du lien théâtre se sont produits à la MJC, devant près de 250 personnes, sur les deux soirs. Pendant quarante-cinq minutes, les comédiens ont relaté les relations parents-adolescents, à travers l’histoire de deux familles. « Forcément exagérée », la pièce alliait humour et situations réelles. Depuis juin 2010, l’équipe du lien théâtre a rencontré les adolescents et les parents de la ville de Rillieux et écrit cette pièce, à partir de leurs témoignages. « On a l’impression de voir dans un miroir », souligne une mère de famille. « Mes voisines ont même réglé leurs difficultés pendant la pièce », glisse Françoise Saly, responsable du secteur parentalité éducation, à la Confédération syndicale des familles. A la fin de la représentation, la troupe a fait rejouer certaines scènes aux spectateurs, « Ce qui permet aussi de prendre conscience des choses à changer », précise Anne-Pascale Paris, metteur en scène. Vu 16 fois | Publié le 01/03/2011 à 00:00 4 photos A la fin de la représentation, les spectateurs sont montés sur scène pour proposer leur point de vue Photo Laetitia Le Gloanne Notez cet article REVUE DE PRESSE LE CATALOGUE DE SCÈNES L E S I N S T A N T A N É S