1. R E V U E D E P R E S S E
Mises en scène Anne-Pascale Paris / Compagnie Le Lien Théâtre 2008 – 2016
Un processus de création qui jaillit d’une rencontre
Anne-Pascale Paris a travaillé 25 ans en tant que comédienne et me7euse en scène dans un circuit culturel
et ar9s9que tradi9onnel. Elle souhaite avec le lien théâtre se pencher sur l’état du monde en tant
qu’ar9ste et citoyenne. Elle propose une démarche de créa9on à l’épreuve des exclusions, avec des
personnes qui se 9ennent / se sentent éloignées des salles de théâtre. Elle associe les personnes, les
publics à sa réflexion ar9s9que : comment les rapports de pouvoirs se manifestent-ils dans notre société ?
Anne-Pascale Paris est convaincue qu’à par9r de l’univers de chacun ou manière d’être au monde peuvent
naître, non pas des personnages stéréotypés, mais des figures porteuses d’une réflexion collec9ve sur un
pouvoir dont elles usent ou qui les abuse.
La création de nos spectacles à partir d’une démarche d’ « écriture
au plateau »
Les spectacles naissent d'échanges constants, d’allers retours entre : l’équipe de créa.on (auteur,
me5euse en scène, comédiens) ; les publics ; et des matériaux composites (collectage du quo.dien,
témoignages, médias d'informa.on, textes du répertoire classique ou contemporain, écrits sociologiques
et philosophique, mythes fondateurs…). La démarche de créa9on prend une forme dynamique et
corporelle qui fait la part belle à l’émo9on. Parce que collec9ve, elle favorise la progression d’une réflexion
croisée sur un sujet : on voit de différents balcons, on éprouve de différents points de vue.
Les spectacles ainsi créés rendent compte du monde tel qu’il est et non tel qu’on voudrait qu’il soit.
Le chantier artistique Mythes et Violence
Gilgamesh, un héros ordinaire - Calin Blaga – créa9on 2013
Gilgamesh - Calin Blaga – créa9on 2013
L’homme armé - Calin Blaga – créa9on 2011
Les spectacles théâtre / éducation / société
Agrément Inspec.on Académique de Lyon (Janvier 2015)
L’ascenseur - Calin Blaga - créa9on 2016
Sois belle et tais-toi ! – Anne-Pascale Paris – créa9on 2015
Vous m’agressez la parole - Calin Blaga – créa9on 2015
Dis-moi les maux - Waléry Doumenc – créa9on 2015
Ne Lâche pas le cadre - Waléry Doumenc – créa9on 2014
Entre deux mondes - Sandrine Bauer – créa9on 2013
T’es pas mon genre - Calin Blaga – créa9on 2011
Accro à quoi ? - Sandrine Bauer – créa9on 2010
Ascenseur pour l’égalité - Calin Blaga – créa9on 2010
Tu m’agresses la parole - Calin Blaga – créa9on 2008
« Les instantanés » pour mener des interventions artistiques.
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2. S O M M A I R E
CHANTIER MYTHES ETVIOLENCE 3
Gilgamesh, Adapta9on D’après Jean Bo7éro 3
Gilgamesh, Un Héros Ordinaire 4
Pe9t bulle9n n°741 5
Les trois coups - 27 janvier 2014 6
Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 7
ARTLyo mag - 28 janvier 2014 9
L’homme Armé 11
Le progrès - 11 janvier 2011 12
DPJJ.net - 16 juin 2011 13
LES SPECTACLES THÉÂTRE & SOCIÉTÉ 15
L’ascenseur 15
Revue d’opinion - juillet 2016 15
La Tribune de Lyon - 8 juillet 2016 16
Contrecoup 17
Vous M’agressez La Parole 18
Revue d’opinion - septembre 2015 18
T’es Pas Mon Genre 19
Revus d’opinion - 2011 19
Les cahiers pédagogiques - n° 519 20
Le progrès - 9 mai 2011 23
Le progrès - 26 mars 2011 24
Ascenseur Pour L’égalité 25
Revue d’opinion 25
Accro À Quoi ? 26
Tu M’agresses La Parole 27
Le progrès - 12 février 2011 28
La croix - 10 juillet 2012 29
Le progrès - 28 novembre 2012 30
DPJJ.net - 9 mai 2014 31
Viva interac9f - 12 juin 2014 32
Le progrès - 8 octobre 2014 33
Le Dauphiné Libéré - 9 novembre 2016 34
Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 35
LES INSTANTANÉS 37
Ville en Vue - n°40 - mars avril 2016 37
Le progrès - octobre 2014 38
Lyon Bondy Blog - 15 avril 2013 39
Le progrès - 1er mars 2011 41
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3.
GILGAMESH - CRÉATION 2013
ADAPTATION CLASSIQUE D’APRÈS LA TRADUCTION DE JEAN BOTTÉRO
Dramaturgie : Calin Blaga
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Musique : Laurent FRICK
Créa.on Lumière : Jus9ne Nahon.
Scénographie : Anne-Lyse Gaudet
Distribu.on : Michel LAFOREST ou Valérie MILLÉRIOUX, Adrien PEREZ ou Robert PARIZE, Jennifer TESTARD
ou Anaïs JOUISHOMME, Laurent SECCO
Public : à par9r de 11 ans
Note de conception et de mise en scène
« Ce récit légendaire est le seul mythe qui commence ouvertement dans la violence et se termine
posi.vement dans la résilience ». Anne-Pascale Paris s’est emparée d’un mythe fondateur d’origine
sumérienne: l’Épopée de Gilgamesh. La scénographie s’appuie sur la projec9on d’images sur des tentures
nous plongeant tantôt dans des ambiances de grandeur, tels des monuments majestueux et
grandiloquents à l’image du héros Gilgamesh au début de l’histoire ou dans une sensa9on de tension
symbolisant la chute, la brisure qu’expérimente le personnage. Par une alternance d'ambiances sonores et
de passages musicaux, la bande son du musicien Laurent Frick accompagne la charge émo9onnelle d'une
scène et vient ainsi rythmer, faire respirer la narra9on.
Diffusion
Théâtre de l’Iris (Villeurbanne - du 14 au 26 janvier 2014)
Nos partenaires
Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la SPEDIDAM, la Région Rhône-Alpes, Fonda9on Léopold Mayer pour le
Progrès de l’Homme, Centre social du Pe9t Taillis (Bron).
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CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE
4. GILGAMESH, UN HÉROS ORDINAIRE - CRÉATION 2013 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin Blaga
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Musique : Laurent FRICK
Créa.on Lumière : Jus9ne Nahon.
Scénographie : Anne-Lyse Gaudet
Distribu.on : Anaïs JOUISHOMME, Valérie MILLÉRIOUX, Michel LAFOREST,
Adrien PEREZ ou Robert PARIZE, Laurent SECCO, Jennifer TESTARD.
Public : à par9r de 14 ans
Note de conception et de mise en scène
« la démesure, thème majeur de l’épopée et du texte de l’auteur Calin Blaga » Les figures tragiques de
Gilgamesh et d'Enkidu peuvent éclairer brillamment toutes les formes de démesure qui frappent le monde
contemporain, de l’alcoolisme au «star-system» et ses dérives, en passant par la guerre ou le militan.sme
terroriste. Le spectateur est directement plongé dans deux histoires qui alternent tout au long de la pièce :
l’histoire de Gilgamesh PDG d’entreprise, et celle de Gilgamesh du quar.er, prêt à tout pour sor.r de sa
condi.on. Le décor fait de guindes met en avant l’enfermement et la complexité de notre société, une toile
se .sse comme une sorte de réseau qui s’emmêle. Elles évoquent aussi l’envie de s’élever de par leur
ver.calité.
Diffusion
Espace Jules Verne (Saint-Genest Malifaux – novembre 2014),
Théâtre de l’Iris (Villeurbanne - du 14 au 26 janvier 2014),
Salle Paul Garcin (Lyon - novembre 2013),
Fes9val Dialogues en humanité (Lyon - Juillet 2013),
Foire Eco Bio (Colmar – mai 2013),
Collège Théodore Monod (Bron - septembre 2012)
Nos partenaires
Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la SPEDIDAM, la Région Rhône-Alpes, Fonda9on Léopold Mayer pour le
Progrès de l’Homme, Centre social du Pe9t Taillis (Bron)
"4
CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE
5.
Le petit bulletin n°741
"5
REVUE DE PRESSE GILGAMESH, UN HEROS ORDINAIRE - JANVIER 2014
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
6. Les trois coups - 27 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
7. Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
8. Lyon Bondy Blog - 28 janvier 2014 (suite)
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
9.
ARLYO mag - 28 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
10. ARLYO mag - 28 janvier 2014
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
11. L’HOMME ARMÉ - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin Blaga
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Créa.on sonore : Laurent FRICK
Créa.on arts numériques : Fabien Collini
Scénographie : Sophie Toussaint
Distribu.on : Yazan, Al-Mashni, Sarah Cornibert, Waléry Doumenc, Anaïs JOUISHOMME, Valérie
MILLÉRIOUX, Adrien PEREZ.
Public : à par9r de 14 ans
Note de conception et de mise en scène
«Qu’est-ce qui nous pousse à réagir par la violence, à prendre les armes ? » La créa9on de L’homme armé
part d’une recherche sur les mécanismes de la violence réac9onnelle. La vie sans violence est-elle
possible ? Est-ce la violence qui détruit nos sociétés modernes ou la modernité qui pousse la jeunesse à
prendre les armes ? Ces ques9ons éminemment philosophiques sont traduites dans un « scénario » où des
personnages sont suscep9bles de les incarner jusqu’à une certaine absurdité. C’est l’occasion de
ques9onner l’iden9té sociale et culturelle comme édifice de notre époque. La mise en scène met en valeur
le découpage du texte et permet de suivre deux histoires en parallèle, deux des9ns tragiques. Elle est
organisée de façon tri-frontale. L’espace scénique est coupé en deux. A jardin, l’espace de Daoud ; à cour,
l’espace de Naïma.
Diffusion
l’Etablissement Pénitencier de Meyzieu (Rhône – 8 Juin 2011)
Rencontres de St Antoine l’Abbaye (Isère – 10 Juin 2011)
Nos partenaires
Le Lien Théâtre a reçu le sou9en de la DRAC – disposi9f Culture en Prison et du Ministère de la Jus9ce.
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CHANTIER ARTISTIQUE
MYTHES ET VIOLENCE
12. Le progrès - 11 juin 2011
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Samedi 11 juin 2011
Meyzieu. Des détenus de l’Etablissement pour mineurs ont
créé leur spectacle
Des détenus de l’Epm ont présenté mercredi une pièce de théâtre sur la violence /Photo Alain Seveyrat
C’est une pièce de théâtre qui parle de violence, de famille, d’argent et de pulsions. Des thèmes somme toute
relativement classiques, mais qui prennent, ici, toute leur importance. Ici, nous sommes à l’intérieur de
l’établissement pour mineurs de Meyzieu (EPM). Et les comédiens sont, pour moitié, de jeunes détenus. Les
textes de la pièce qu’ils interprètent sont d’ailleurs conçus à partir d’improvisations, réalisées dans le cadre d’un
travail débuté en février avec la compagnie villeurbannaise « Le lien théâtre ».
Cette pièce, simplement intitulée « La violence et l’histoire », raconte l’histoire croisée de plusieurs personnages.
Tous auteurs ou victimes de violences, ils ont en commun la pression économique ou sociale. Avec comme
unique moyen de réponse à cette pression, le langage de la violence.
Deux histoires se jouent en même temps sur la scène, par intermittence. Il y a celle d’une jeune fille, qui entre
dans un commissariat et demande la libération immédiate de son petit ami, interpellé quelques jours plus tôt dans
une manifestation. Face à l’inévitable et prévisible refus du commissaire, la jeune fille prend en otage ce dernier.
Il y a aussi l’histoire d’un jeune révolutionnaire, habitant d’un pays ravagé par les guerres ethniques, qui affronte
son cousin, membre de l’armée gouvernementale.
Plus encore que la création et l’interprétation du spectacle, ce sont bien les leçons qu’on peut tirer de ces
situations, qui ont motivé sa réalisation. « C’est un projet transversal, qui oblige les jeunes à prendre du recul sur
eux-mêmes », explique Patrick Weill, responsable du service éducatif de l’EPM. Et de poursuivre : « C’est aussi
une action qui fait appel indirectement à des matières scolaires, comme le français, et qui permet donc de les
travailler ».
Les détenus ont aussi géré une partie des effets sonores et visuels, réalisé les décors, le présentoir pour les
toasts… Ainsi que les toasts eux-mêmes, en collaboration avec l’association « Goûts et couleurs » : cuisses de
volailles farcies, fondants au chocolat, tartelettes et autres cakes.
Une manière comme une autre d’apprendre à faire de bonnes choses.
CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
13. DPJJ.NET - 16 juin 2011
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
14. DPJJ.NET - 16 juin 2011 (suite)
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CHANTIER ARTISTIQUE
REVUE DE PRESSE
MYTHES ET VIOLENCE
15. L’ASCENSEUR - CRÉATION 2016
Dramaturgie : Calin Blaga - Mise en scène : Anne-Pascale PARIS - Musique : Laurent FRICK
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Vincent ARNAUD, Maria Isabel CAÑÓN, Léna DIA, Benjamin ESCOFFIER,
Hicham ISAMILI
Public : à par9r de 15 ans
Le spectacle est soutenu par la Déléga.on Interministérielle à la luZe Contre le Racisme et l’An.sémi.sme, le Groupe
Abraham, la LICRA.
Note de conception et de mise en scène
Six jeunes acteurs, pouvant incarner plusieurs personnages, se retrouvent dans un Ascenseur qui clignote,
se bloque -peut-être- pour quelques instants. Symbolisé par un rectangle au sol, ce7e Ascenseur devient
alors un personnage, il parle, il invite les comédiens à se regarder. Eux, évoluent dans cet espace réduit
mais aussi s’évadent, s’échappent du cadre et adressent aux spectateurs leur histoire personnelle, leurs
doutes et leurs espoirs.
Diffusion
+ Sacrées paroles, 30 ans du groupe Abraham, mai 2016
+ Dialogues en humanité, juillet 2016
+ Tout le monde dehors, juillet 2016
+ Assises de la Laïcité, octobre 2016
Nos partenaires
Le lycée Hélène Boucher, le Refuge, La Déléga9on Interministérielle à la lu7e Contre le Racisme et
l’An9sémi9sme (DILCRA), la ville de Lyon, la Mission Lyon Duchère, le lieu échange parents du collège
Schoelcher.
Revue d’opinions
« On est venu par hasard car la théma9que nous intéresse. On a trouvé la forme de l’ascenseur parfaite
pour aborder ces sujets. Dans un ascenseur t’es obligé de parler de ça en frontal. On a aimé la fin et le
message : le changement de société va passer par le regard que l’on porte les uns sur les autres » – Paroles
de spectateurs dans le cadre du Fes9val Lyonnais Tout le Monde Dehors (Juillet 2016)
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
16. La tribune de Lyon - 8 juillet 2016
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REVUE DE PRESSE
L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
17. CONTRECOUP - CRÉATION 2015
Concep.on et Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Mathilde DUTREUIL, Maxime MAY
Public : à par9r de 15 ans
Note de conception et de mise en scène
Anne-Pascale Paris s’interroge sur les comportements des hommes et des femmes et des rapports de
pouvoirs qu’ils engendrent, ce7e fois, à l’épreuve des « violences conjugales » : qu’appelle-t-on violence
conjugale ? Comment se manifeste-t-elle pour les femmes ? Pour le spectacle « Sois belle et tais-toi ! » elle
propose une photographie, un état des lieux de son ques9onnement, nourri de rencontres avec deux
intervenantes sociales dans les commissariats, de collecte de témoignages.Me7ant en voix un manuel
d’économie domes9que (1960), le regard de la société sur la violence faite aux femmes au fil des époques,
l’équipe ar9s9que aborde la place de la femme dans le couple en naviguant entre une écriture historique
et sociologique. L’émo9on nous saisit lorsqu’on assiste aux balbu9ements des premiers émois où
s’insinuent insidieusement une volonté de contrôle, des humilia9ons, le regard d’un enfant… D’un geste
précis, d’une violence chorégraphiée, l’équipe ar9s9que sait si bien faire jaillir une émo9on au fil du rasoir,
qu’elle déjoue par des scènes « décalées » pour déclencher le rire qui soulage. Plutôt qu’un message, c’est
véritablement un ques9onnement, un « prêt à faire réfléchir » que le Lien Théâtre propose au public à
travers ce spectacle.
Diffusion
Fes9val Brisons le silence - Espace Citoyen Lyon 8 - 23 novembre 2015
Nos partenaires
Ce7e créa9on a reçu le sou9en de la ville de Lyon, de la Métropole, de l’associa9on Filac9on, de la Maison
de Jus9ce et du Droit de Lyon.
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
18. VOUS M’AGRESSEZ LA PAROLE - CRÉATION 2015 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin Blaga
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Grégoire BLANCHON, Fanélie DANGER, Mathilde DUTREUIL, Maxime MAY,
Valérie MILLÉRIOUX
Public : à par9r de 15 ans
Note de conception et de mise en scène
Ce7e pièce propose une interroga9on sur la violence : les jeunes d'aujourd'hui sont-ils plus violents
qu'hier ? Elle se manifeste dans un lycée sous la forme d'harcèlements et de silences, d'insultes,
d'orienta9on non choisie, de tensions entre les personnages qu'ils soient garçons ou filles, élèves,
professeurs ou parents. Ce spectacle laisse apparaître une rupture entre adolescents et adultes d'où peut
naître des difficultés de communica9on. Des moments de respira9ons ponctuent ce7e pièce. Les médias
s'introduisent dans l'espace scénique. Le théâtre devient alors documentaire, moteur d'une réflexion sur
une violence réduite à des faits et des actes.
Diffusion
3 représenta9ons
+ de 200 spectateurs
Revue d’opinion
[…] [Les élèves] ont été par.culièrement aZen.fs lors de la représenta.on théâtrale, qui ciblait
parfaitement les différentes probléma.ques rencontrées en lycée professionnel (l’orienta.on par défaut, le
manque de mo.va.on, l'absentéisme, les respects fille garçons ...). L'ensemble des accompagnateurs a
remarqué et apprécié les qualités professionnelles et pédagogiques des intervenants […]
Alber9ne Besset, Infirmière, Lycée Professionnel Mar9n Luther, Septembre 2015
« J’ai trouvé ceZe pièce extrêmement réaliste et touchante, notamment quand elle pointe la solitude et le
désarroi de certains personnage face à leur parent ou à l’ins.tu.on scolaire. »
A7achée aux rela9ons publiques - Scène Na9onale, Septembre 2015
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
19. T’ES PAS MON GENRE - CRÉATION 2011 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin Blaga - Mise en scène : Anne-Pascale PARIS - Musique : Chris9an FRADIN
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Fanélie DANGER ou Anaïs JOUISHOMME, Mathilde DUTREUIL, Steven
FAFOURNOUX, Valérie MILLÉRIOUX
Public : à par9r de 14 ans
Le spectacle est soutenu par l'Inspec.on Académique du Rhône et il cité comme ressources pour aborder la ques.on
de l'égalité des chances des filles et des garçons.
Note de conception et de mise en scène
La mise en scène souligne le trouble des personnages et le danger qui les gue7e. Des panneaux les
découvrent ou les cachent, s’éloignent, se montent, se baissent, construisant comme par magie les
différents espaces scéniques : une chambre, une rambarde d’autoroute, un abri-bus… Elle permet de
glisser insensiblement du conte de fées au drame qui surprend les personnages comme les spectateurs et
nous amène à réfléchir à la no9on de consentement dans la rencontre et le désir de l’autre.
Diffusion
+ de 22 représenta9ons
+ de 2500 spectateurs
Nos partenaires
Conseil départemental d’Accès au Droit du Rhône (CDAD), la Région Rhône-Alpes, les villes de Lyon, de
Villeurbanne, l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de la Jus9ce et du Droit des villes de Lyon, de
Villeurbanne.
Revue d’opinions
T’es pas mon genre ! se concentre avec réalisme sur l’iden.té adolescente. Le spectacle met en scène les
souffrances dues à notre paresse intellectuelle, qui dénie aux adolescent-e-s une personnalité propre, pour
leur faire endosser des rôles sexués sous contrôle, dans un univers de domina.on-soumission plein de
préjugés et de conformisme. Violaine Dutrop-Voutsinos - Ins9tut Egaligone, pour le
développement des démarches égalitaires dans l'éduca9on des enfants.
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L E S S P E C T A C L E S
THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
21. Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite)
"21
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22. Les cahiers pédagogiques n° 519 (suite)
"22
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23. Le progrès - 9 mai 2011
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Les relations filles-garçons, tout un programme
Quatre collèges de la ville, dont deux cette semaine, expérimentent le projet théâtral
« T’es pas mon genre », qui explore l’égalité des sexes. Six cents élèves
villeurbannais sont concernés
Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps,
n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les
filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à
établir.
« T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action,
cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience
théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de
nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville,
l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite
depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la
Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également
en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse.
A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les
infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à
l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville
revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du
vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers
théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau
avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est
particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met
en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations
filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a
plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa »,
explique Anne-Laure Paris, metteur en scène.
Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce
qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin,
juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début,
Vu 35 fois | Publié le 09/05/2011 à 00:00 Réagissez 1 photo
En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G.
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villeurbannais sont concernés
Entre les femmes et les hommes, c’est « je t’aime moi non plus » depuis la nuit des temps,
n’est-ce pas ? Alors, il n’y a guère de raison que ce soit différent à l’adolescence, entre les
filles et les garçons, au détail près que la communication est parfois (encore) plus difficile à
établir.
« T’es pas mon genre », c’est l’intitulé du projet dont une nouvelle phase entre en action,
cette semaine, dans les collèges du Tonkin et de l’Immaculée-Conception. Une expérience
théâtrale autour du thème de l’égalité et des relations filles-garçons qui implique de
nombreux partenaires : l’Education nationale, bien sûr, le service jeunesse de la Ville,
l’association Le lien théâtre et la Maison de justice et du droit de Villeurbanne. Conduite
depuis février dans quatre collèges villeurbannais (1), elle s’inscrit dans le cadre de la
Biennale universitaire pour l’égalité, initiée par Lyon 1, en mars dernier ; elle est également
en cohérence avec la thématique de la Fête du livre jeunesse.
A l’origine, il y a eu une demande des collèges. « Le personnel pédagogique, mais aussi les
infirmières, ont exprimé un besoin de mener un travail sur cette question, particulièrement à
l’Immaculée-Conception », explique Olivier Legroux, directeur du service jeunesse. La Ville
revendique un réel partenarait avec les établissements scolaires, lors de la Semaine du
vivre ensemble en particulier. Elle a ainsi consacré un budget à l’expérience d’ateliers
théâtre, animés par une association spécialisée en théâtre social et qui travaille en réseau
avec des spécialistes des thématiques qu’elle aborde. Le processus de création est
particulier, avec une part d’improvisation. Au final, un spectacle d’environ une heure qui met
en scène des situations quotidiennes. « Selon le milieu social et l’éducation, les relations
filles-garçons d’une classe à l’autre. Du coup, pour être le plus universel possible, l’auteur a
plutôt écrit sur ce que les filles pensent que les garçons attendent d’elles, et vice-versa »,
explique Anne-Laure Paris, metteur en scène.
Le spectacle est suivi d’un échange, en présence d’une juriste et une greffière de la MJD. « Nous redisons le droit, ce
qu’il y a de répréhensible dans la pièce, l’importance d’avoir une justice des mineurs », explique Claudine Bodin,
juriste ». Lorsqu’il est question d’agression sexuelle, on rappelle les notions de consentement et de limites. Au début,
certains assurent « qu’elle l’a bien cherché », puis après avoir discuté, ils nuancent, et leur position évolue. La plupart
du temps, ils participent beaucoup et se sentent concernés. »
Les ateliers théâtres sont présentés à 600 élèves, de la 5 e à la 3 e, dans quatre collèges : Môrice-Leroux, Tonkin,
Vu 35 fois | Publié le 09/05/2011 à 00:00 Réagissez 1 photo
En mars dernier, représentation au collège Môrice-Leroux / Archives J. G.
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24. Le progrès - 26 mars 2011
"24
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25. ASCENSEUR POUR L’ÉGALITÉ - CRÉATION 2010 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin BLAGA
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Musique : Simon Dahan
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Mathilde DUTREUIL, Anaïs JOUISHOMME, Léïla Mahi, Robert Parize,
Public : à par9r de 15 ans
Synopsis
Six jeunes empruntent l’ascenseur pour qui7er le Forum de l’Avenir et de l’Orienta9on quand l’appareil
tombe en panne. Ils vont rester prisonniers jusqu’au lendemain ma9n. La fa9gue, la faim, la promiscuité, la
colère et la peur vont révéler les personnalités et faire voler les préjugés en éclat. La situa9on est prétexte
à faire se rencontrer ou s’opposer les personnages sur l’orienta9on scolaire, l’amour, la sexualité, la
parentalité, les violences familiales, l’homosexualité. Les personnages sont de cultures ou de milieux
sociaux très différents sans jamais être caricaturaux. Le spectacle ne se veut ni accusateur ni moralisateur.
Il est un reflet de ce qui nous semble cons9tuer des moteurs ou des freins aux principes d’égalité entre les
jeunes, entre les femmes et les hommes.
Diffusion
+ de 13 représenta9ons
+ de 1170 spectateurs
Nos partenaires
Conseil départemental d’Accès au Droit du Rhône (CDAD), le Défenseur des Droits, la Région Rhône-Alpes,
les villes de Lyon, de Villeurbanne, l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de la Jus9ce et du Droit
des villes de Lyon, de Villeurbanne.
Revus d’opinion
« Ascenseur pour l’égalité » aborde avec force et humanité plusieurs préjugés ordinaires. […] D’après moi, Ascenseur
pour l’Egalité parle de notre paresse. Il est en effet plus simple pour l’être humain d’avoir des idées toutes faites sur les
gens que d’apprendre à les connaître. L’idée toute faite nous permet de rapidement photographier le monde. C’est
efficace, elle nous évite de penser par nous-mêmes. Car c’est un effort d’entrer en rela.on avec les autres pour mieux
les connaître. Nous sommes tous et toutes concerné-e-s parce que la paresse est une grande tenta.on dans notre
monde et les idées toutes faites arrivent de partout. Violaine Dutrop-Voutsinos - Ins9tut Egaligone, 2011
« Et surtout vous avez su développer les différents aspects des rela.ons filles-garçons avec beaucoup de nuances, des
points de vue différents, des évolu.ons dans les rapports entre les personnages de façon dynamique, montrant
comment on peut vivre ensemble et se construire ensemble en se connaissant. Vous avez aussi su intégrer les
discrimina.ons en général et pas seulement la discrimina.on de genre, avec souplesse. Le travail en amont dans les
classes a donc été visiblement u.le et construc.f. » Thérèse Rabatel, Adjointe au Maire de Lyon, déléguée à l'Egalité
des femmes, aux Temps de la ville, aux Handicaps. Mars 2010
"25
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THÉÂTRE & SOCIÉTÉ
26. ACCRO À QUOI - CRÉATION 2010 - SANDRINE BAUER
Dramaturgie : Sandrine Bauer
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Grégoire Blanchon, Fanélie DANGER, Yann DUCRUET, Mathilde Dutreuil,
Valérie MILLÉRIOUX
Public : à par9r de 13 ans
Synopsis et note de conception
Clément, Aurélie, Cédric, Vanessa, Cécile et Julien sont dans la même classe. Rythmé par l’école et la vie de
famille, leur quo9dien est ponctué de fêtes et d’excès (alcool, cannabis, adrénaline, jeux vidéo). L’histoire
est mise en scène comme un thriller avec la dispari9on de Vanessa. Par9s à sa recherche, ses amis
trahissent des angoisses qu’ils pensent maîtriser.
Diffusion
+ de 30 représenta9ons
+ de 2500 spectateurs
Revue d’opinion
" J’ai beaucoup apprécié ceZe manifesta.on tant au niveau de la presta.on théâtrale qu’au niveau des
échanges avec les jeunes qui ont suivi. Je les ai trouvé intéressés, posant de bonnes ques.ons et j’ai trouvé
que la présence d’Anne-Pascale et sa manière d’aborder les jeunes facilitait le débat en les meZant à l’aise
et en s’adaptant à leurs ques.onnements, en toute simplicité «
François JARDEL, assistante Préven9on Santé Ville de Lyon - Avril 2015.
"26
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27. TU M’AGRESSES LA PAROLE - CRÉATION 2008 - CALIN BLAGA
Dramaturgie : Calin BLAGA
Mise en scène : Anne-Pascale PARIS
Distribu.on : Yazan AL MASHNI, Émilie CANONGE, Lysiane CLÉMENT, Fanélie DANGER ou Anaïs
JOUISHOMME, Mathilde Dutreuil, Maxime MAY, Valérie MILLÉRIOUX
Public : à par9r de 11 ans
Synopsis et note de conception
Dans une mise en scène précise et fouillée, les 7 comédiens déroulent des scènes de vie de collégiens dans
une marche vers un drame tout juste évité. Au plus fort de l’émo9on, les tableaux se figent. Ces moments
de respira9on perme7ent de saisir la complexité des rapports humains et leur difficulté de communica9on.
Diffusion
+ de 125 représenta9ons
+ de 6500 spectateurs
Nos partenaires
La ville de Lyon, la ville de Villeurbanne, la région Rhône Alpes, le Conseil Départemental d’Accès au Droit,
l’Inspec9on Académique du Rhône, les Maisons de Jus9ce et de Droit de Lyon et de Villeurbanne,
l’associa9on AMELY (accès au droit et média9on).
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30. Le progrès - 28 novembre 2012
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Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un
outil pédagogique
Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très
performant.
C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en
interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ».
Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la
réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de
collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe
que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue.
Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente
de se suicider.
A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués.
Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait
pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur
scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées
A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat
Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre
avec la maison de la justice dans les jours prochains.
Vu 1 fois | Publié le 28/11/2012 à 06:00 0 Commenter cet article
Les collégiens se sont rendus compte que cette pièce était un peu le miroir de leur vie Photo Jean-Paul Massonnat
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Pierre-Bénite Le théâtre au collège peut être un
outil pédagogique
Pour faire passer un message pédagogique, le théâtre est sans doute un moyen très
performant.
C’est ce que la troupe le Lien Théâtre a accompli lundi au collège Marcel-Pagnol en
interprétant devant les élèves de 4 e, sa pièce « Tu m’agresses la parole ».
Dans une mise en scène, dénuée de tout décor pour être encore plus proche de la
réalité, les 7 comédiens ont déroulé devant les adolescents des scènes de leur vie de
collégien, avec leurs mots et leur comportement. Tableau de violence autant en classe
que dans la cour, puis un retour à la maison où règne une ambiance tendue.
Cruauté entre élèves, au point qu’une adolescente, devenue la souffre-douleur, tente
de se suicider.
A la fin de la pièce les élèves étaient subjugués.
Ensuite, ils ont discuté avec les acteurs qui leur ont demandé : « Qu’est ce qui aurait
pu être fait, pour éviter un tel drame ? » Pour leur proposer ensuite de monter sur
scène, et d’interpréter les solutions qu’ils avaient trouvées
A l’initiative du Comité d’Éducation à la Santé et la Citoyenneté (CESC) et du Contrat
Urbain de Cohésion Sociale (CUCS), le message sera complété par une rencontre
avec la maison de la justice dans les jours prochains.
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Les collégiens se sont rendus compte que cette pièce était un peu le miroir de leur vie Photo Jean-Paul Massonnat
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31. DPJJ.NET - 9 mai 2014
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32. Viva interactif - 12 juin 2014
"32
PRÉVENTION
> DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE
le 12/06/2012
Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif
sur le thème du harcèlement en milieu scolaire.
Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents
de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont
invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre.
Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène
leurs propres réactions face à la violence.
« Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc
Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup
de messages.
Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance
et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit.
Pour recevoir toutes les actus de Villeurbanne dans votre boîte mail, inscrivez-vous à la newsletter
DANS LA MÊME RUBRIQUE
ELECTIONS LEGISLATIVES 2012 - Les résultats du second tour à Villeurbanne, le 17/06/2012
Le second tour des élections législatives 2012 a eu lieu dimanche 17 juin. Consultez les résultats...
FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012
PRÉVENTION
> DU THÉÂTRE CONTRE LA VIOLENCE À L’ÉCOLE À VILLEURBANNE
le 12/06/2012
Jeudi 24 mai, les parents d'élèves de cinq collèges villeurbannais ont participé à un atelier de théâtre interactif
sur le thème du harcèlement en milieu scolaire.
Tensions, agressions physiques, harcèlement : quand la violence s'invite dans la cour de l'école, difficile pour les parents
de trouver les mots. Les directeurs des collèges Morice-Leroux, Jean-Macé, des Iris, Louis-Jouvet, du Tonkin ont
invité les parents d'élèves à une représentation de théâtre-forum, proposée par la compagnie Lien Théâtre.
Cette forme de théâtre interactif leur a permis de participer à la pièce pendant la représentation, mettant ainsi en scène
leurs propres réactions face à la violence.
« Nous avons choisi de proposer une forme originale pour aborder ces questions difficiles, a expliqué Gilbert-Luc
Devinaz, adjoint à la Prévention et à la sécurité. Le théâtre-forum est un bon outil qui permet de faire passer beaucoup
de messages.
Cette action est menée en collaboration avec la Ville et le Conseil local de sécurité et prévention de la délinquance
et en partenariat avec la Maison de la justice et du droit.
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FRESQUE AU TONKIN - Quatre jeunes redonnent des couleurs au quartier, le 12/06/2012
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33. Le progrès - 8 octobre 2014
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34. Le Dauphiné Libéré - 9 novembre 2016
"34
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35. Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013
"35
"Redonner sa place au spectateur citoyen" c'est l'une des intentions majeures de l'association Le Lien Theatre,
compagnie qui crée des spectacles et des actions de théâtre citoyen.
ARTICLE | MARS 12, 2013 - 5:06PM | PAR ELSA LANIESSE
Présente à Lyon et ses alentours, notamment à Bron,
l'association regroupe une trentaine d'artistes, comédiens,
musiciens. « On ne fait pas du théâtre citoyen par défaut,
nous sommes tous passionnés ! J'en avais marre de jouer
devant des spectateurs qui étaient acquis à ma cause et où
il n'y avait pas de réel débat », confie avec ardeur
Anne-Pascale Paris, la directrice artistique, qui a répondu à
nos questions.
LBB : Qu'est-ce que le théâtre citoyen et comment
créez-vous vos pièces?
A-P P. : C'est un théâtre témoignage : avant de créer un
spectacle, on interview, on fait des recherches sur les sujets
qu'on va traiter. Les sujets sont en rapport avec la jeunesse : les rapports hommes/femmes, les relations familiales, l'argent...
On amène les jeunes à s'exprimer par le biais de l'improvisation. On suscite un débat, puis on crée ensuite des scènes qui
serviront de matière et desquelles on va s'inspirer pour créer une œuvre de fiction. Mais notre matière première reste
vraiment le témoignage, la réalité. On cherche à savoir quels sont les problèmes de ces jeunes, ce à quoi ils réfléchissent...puis
on les laisse parler. De cette façon, la parole d'un jeune peut être représentative de celle de tout un groupe. Ensuite, un auteur
professionnel écrit le texte, il est joué et parfois restitué aux habitants du quartier. On le joue sur scène dans des MJC, dans
des centres sociaux mais on ne joue pas au théâtre.
Pour quelles raisons ne jouez-vous pas dans des théâtres?
C'est très compliqué de faire venir les jeunes avec qui nous travaillons au théâtre. Même si on leur dit que la pièce parle d'eux,
qu'ils en sont à l'origine, pour eux la barrière de l'édifice est difficile à franchir. On a déjà essayé plusieurs. Malgré une très
bonne communication, une grande insistance de la part des éducateurs qui ont accompagné les jeunes, ça reste toujours
vraiment difficile de les faire rentrer dans un théâtre. Ils ont l'impression que ce n'est pas pour eux, que ça ne fait pas partie de
leur monde, que ça leur est inaccessible. Alors que quand c'est dans un lieu qu'ils connaissent ça change tout. L'intérêt aussi
pour nous c'est de confronter les débats et de jouer les mêmes pièces dans différents quartiers. Ainsi on se rend compte que
les mêmes thèmes reviennent partout.
Vous parlez de thèmes récurrents, quels sont-ils?
Ce qui me fait le plus de peine c'est qu'on a vraiment l'impression que les jeunes ne se sentent pas intégrés dans la société telle
qu'elle est. Ils ont l'impression que la société est séparée en deux, riches et pauvres, chrétiens et musulmans, français, et gens
d'autres origines. Ils pensent qu'une partie de la société ne leur est pas accessible. Les études aussi...La première idée qu'ils
ont, et qui est peut-être relayée par leur famille qui galère, c'est qu'il y a tout un tas de choses qui ne leur seront jamais
accessibles. C'est comme si on démarrait dans la vie avec des espoirs au ras des pâquerettes. Les études, une belle maison, un
beau métier, les vacances, la politique, ce n’est pas pour eux, ils en sont convaincus...
Pensez-vous que leurs impressions sont justifiées?
Je ne crois pas que la société soit comme ça. J'ai cette envie de croire à une société qui s'améliore et qui travaille pour que tout
le monde ait les mêmes droits. Je crois que c'est la représentation qu'ils se font de leur famille, de l'école, d'eux-mêmes qui
leur font penser que ce n’est pas possible pour eux. Quand on pense ça on a la sensation que tout est foutu d'avance et ça c'est
récurrent dans les quartiers, et ça commence petit a l'école...
L'éducation nationale a-t-elle un rôle à jouer dans ce constat?
Je n'ai pas de conseil à donner, mais je crois que la manière d'aborder l'éducation est peut-être à revoir. Cet apprentissage
Le lien theatre : ''c'est à l'art de se déplacer où les gens se trouvent'' | Ly... http://www.lyonbondyblog.fr/article/le-lien-theatre-cest-à-lart-de-se-dé...
1 sur 3 25/03/2013 11:26
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36. Lyon Bondy Blog - 12 mars 2013 (suite)
"36
n'est pas adapté à leur situation, à leur manière d'apprendre. Cette forme de cours où on est face à un professeur qui nous
apprend et où il faut apprendre ce qui est dit alors qu'on ne sait pas à quoi ça va nous servir dans la vie plus tard, ça en amène
beaucoup à décrocher. Plus après, quand à la maison on a une famille d'une culture différente, pas forcément valorisée par la
société de consommation. L’école la famille ça fait que très vite on ne se sent pas adapté. Du coup ça peut donner des gamins
qui se sentent protégés dans leurs quartiers et qui ont du mal à sortir, même au centre de Lyon, pour se dire « je vais voir une
pièce de théâtre »...Même si on leur dit que ça parle d’eux, il y a toujours une frontière. C'est pour ça qu'on ne veut pas et
qu'on ne peut pas jouer nos spectacles au théâtre et qu'on les joue dans des centres sociaux, des collèges, des lycées... Mais ce
ne sont en aucun cas des spectacles au rabais! On est convaincu que c'est à l'art d'aller se déplacer où les gens se trouvent.
Et vous ne croyez pas qu'il serait mieux de réussir à amener ces jeunes au théâtre?
Je pense qu'il faut les deux. Si on commence d'abord par jouer dans une salle simple, peut-être que ce sera plus facile de les
amener au théâtre ensuite.
Y a-t-il beaucoup de compagnies comme la vôtre?
Je crois qu'il y a plein de compagnies ayant le même objectif. De plus en plus elles sentent le besoin de redonner au théâtre
une place populaire. Qu'on soit toujours sur le terrain, c'est peut-être ce qui fait notre spécificité : on vient ouvrir le débat
avant le spectacle. Je crois aussi qu'il y a une nécessité pour les artistes d'être dans un rapport direct avec les spectateurs et
également que la culture soit une approche simple.
Avez-vous déjà confronté ces jeunes avec des jeunes d'horizons complètement différents? En voyez-vous
l'intérêt?
L'intérêt, oui! On a pu le faire notamment une fois à Villeurbanne : on a été sollicité par une école privée, ce qui est plutôt rare.
Les publics jeunes venaient de quartiers très différents et le thème concernait les rapports hommes/femmes. Il y avait un
personnage, Salima, qui s'exprimait sur sa difficulté de sortir toute seule, sur le poids de sa famille sur sa vie...on a demandé
aux jeunes s'ils trouvaient les personnages réalistes dans l'ensemble. Les jeunes des quartiers ''favorisés'' ont répondu que
tous les personnages étaient assez crédibles sauf le personnage de cette Salima. Et ceux de la banlieue ont répondu : « vous
rigolez ou quoi ? C'est le plus réaliste ! » et là, ils ont réellement pris conscience de la réalité de chaque groupe et ça c'était
génial!
Enfin, diriez-vous que rendre la culture populaire c'est la niveler par le bas?
C'est pas du tout ça, il ne s'agit pas de tirer la culture par le bas, il s'agit de trouver le langage qui leur convient. Ce sont des
jeunes qui ne savent pas tricher, ils sont d'une spontanéité, d'une vérité très touchante.
TERMES CONNEXES : Culture Anne-Pascale Paris Lyon
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37. Ville en vue n°40 - mars-avril 2016
"37
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LE CATALOGUE DE SCÈNES
L E S I N S T A N T A N É S
ville en vuewww.gpvlyonduchere.org le journal n°40 / mars-avril 2016
LIVRAISON
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À votre service
Figure de quartier
NOUVEAU CENTRE DENTAIRE
LE LIEN THÉÂTRE,
THÉÂTRE CITOYEN
LE MÉDICENTRE, UN PÔLE SANTÉ
POUR TOUT LE QUARTIER
› 4 médecins généralistes
› 1 centre dentaire
› 1 cabinet de masso-kinésithérapie
› 1 ostéopathe
› 1 sage-femme
› 1 sophrologue
› 1 praticienne en médecine
traditionnelle chinoise
3 ATELIERS À LA MJC
le mercredi à 18h pour les jeunes
et le vendredi à 14h pour les parents.
Infos : 04 69 16 08 86
www.lelientheatre.com
Ils ont investi le dernier étage du Médicentre en mai dernier. Trois
chirurgiens-dentistes et un orthodontiste proposent leurs services
aux Duchérois au sein d’un centre parfaitement équipé.
L’art comme moyen d’ouvrir
et transformer notre regard
sur la société, tel est le credo
de la compagnie le Lien Théâtre,
en résidence à la MJC Duchère.
L’espace public est leur scène, les passants
leurs spectateurs : au Lien Théâtre, on a
abandonné le théâtre conventionnel pour
aller au plus proche des gens. « Nous prati-
quons un théâtre citoyen, qui provoque le dia-
logue avec les spectateurs, qui fait réfléchir sur
des questions de société », résume Anne-Pas-
cale Paris, metteuse en scène de la compa-
gnie. Leur résidence à la MJC, soutenue
dans le cadre du Grand Projet de Ville, les
amène depuis deux ans à travailler auprès
d’un public non conquis d’avance : les 16-
25 ans. Au pied des immeubles ou dans
les structures de quartier, ils vont donc
jouer des courtes scènes directement au-
près des jeunes. De quoi susciter réactions
et discussions. « On aborde des questions
qui les touchent : le travail, l’argent, les rap-
ports filles-garçons etc. Et puis on discute, on
réfléchit, on rejoue la scène avec eux. » Entre
leurs instantanés de rue, leurs ateliers heb-
domadaires et leur participation à divers
projets du quartier, les artistes du Lien
Théâtre sont désormais connus et appré-
ciés des jeunes comme des parents. « Et
quand une thématique revient souvent sur le
tapis, on en fait un spectacle, où on aborde
cette question avec une approche artistique »,
explique Anne-Pascale Paris. La metteuse
en scène et son équipe ont d’ailleurs en
projet un spectacle inspiré de leurs expé-
riences duchéroises, consacré au passage
de l’adolescence à l’âge adulte. Sujet com-
plexe qu’ils aborderont via le mythe –
approprié! – du Labyrinthe… Mais pa-
tience, ce sera pour la saison 2017-2018!
Si l’on se fie à leurs agendas bien rem-
plis, les praticiens du centre dentaire ont
déjà su faire leurs preuves à La Duchère.
D’abord parce que l’ouverture de cette cli-
nique répondait à un besoin sur le quar-
tier, jusque-là peu pourvu en dentistes
(seul un est en activité, à Balmont). Mais
aussi grâce à la qualité des soins prodi-
gués dans ce centre moderne. « L’équipe
est expérimentée, avec un matériel de der-
nière génération, à l’image de notre équipe-
ment de radiographie 3D, assure Laurent
De Dona, directeur de la structure. Nous
ne sommes pas une clinique low-cost. Nous
garantissons des soins de qualité, adaptés à
chaque patient ». Soins et prothèses den-
taires, chirurgie orale, orthodontie, les
actes pratiqués sont variés. Les patients,
eux, viennent de La Duchère, Vaise ou
l’Ouest lyonnais. De plus l’établissement
surveille ses tarifs et assure à chacun la
meilleure prise en charge du traitement,
notamment en pratiquant le tiers-payant
Sécurité Sociale et mutuelles. La Couver-
ture Médicale Universelle (CMU) y est
également acceptée. « Rien de plus normal,
assure Laurent De Dona, tout le monde doit
être soigné de la même façon ». Une philoso-
phie renforcée par la présence voisine des
autres professionnels du Médicentre.
« Cette synergie entre professionnels de santé
est essentielle, pour les médecins comme pour
les habitants. Quand nos patients se plaignent
d’autres maux, on les oriente vers les théra-
peutes adaptés. C’est un vrai plus! »
3 CONTACT CENTRE DENTAIRE
5, place Abbé Pierre - 04 28 38 24 80
www.clinique-dentaire-lyon.fr
4
38. Le progrès - octobre 2014
"38
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LE CATALOGUE DE SCÈNES
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39. Lyon Bondy Blog - avril 2013
LE THÉÂTRE DANS
LES ÉTABLISSEMENTS
PÉNITENTIAIRES POUR
MINEURS
ELSA LANIESSE — 15 AVRIL 2013
Les EPM, établissements pénitentiaires pour mineurs, existent depuis 2007. Ils ont été conçus pour permettre l’éducation des jeunes pendant leur
peine et empêcher la récidive. A l’EPM du Rhône, à Meyzieu, les jeunes pratiquent de nombreuses activités obligatoires, dont le théâtre, en
partenariat avec l’association de théâtre citoyen le Lien Théâtre.
Introduire le théâtre en prison, et en l’occurrence dans les EPM, n’est pas chose évidente. La bonne volonté et le professionnalisme ne suffisent
pas. Il faut savoir aussi transmettre l’envie de s’impliquer. De nombreuses associations ont auparavant tenté, en vain, d’intéresser ces jeunes au
théâtre. Mais leurs méthodes semblaient inefficaces. En cela, la démarche du théâtre citoyen s’est démarquée. Elle a su trouver l’approche
adéquate pour capter l’attention et susciter la curiosité de ces jeunes.
« A ma grande surprise, avec nous ça a marché ! »
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40. En effet quoi de plus évident que donner de soi lorsqu’on souhaite recevoir ? C’est ainsi que travaille l’équipe du lien théâtre avec les jeunes
incarcérés. « A 9h du matin, lorsqu’on arrive, c’est nous qui jouons une scène. Les jeunes nous remercient
d’avoir donné des émotions et du coup, ils sont plus amenés à donner en retour », explique Anne-Pascale Paris, la
directrice artistique de l’association.
De cette première scène naît le débat. Les spectateurs, s’ils le souhaitent, parlent alors de leur ressenti, commentent la scène, évoquent l’histoire,
réinterprètent un personnage à leur façon. « On ne force personne et généralement ils viennent jouer d’eux-mêmes ».
Ceux qui souhaitent ensuite s’engager et s’impliquer un peu plus se regroupent : Un groupe de volontaires est créé. « Garçons et filles
appartenant à différents groupes sont amenés à se rencontrer. Ce qui n’est bien sûr pas facile mais
d’autant plus intéressant. »
Un franc succès quand la méthode est bonne
Il leur est alors donné un travail sur un thème donné comme « les mythes » en 2011. « On leur propose une situation que l’on
retrouve dans certains mythes puis ils improvisent. Ils restituent des pans entiers de ceux-ci sans même le
connaître. » Une fois la pièce improvisée, un auteur est chargé de la fixer sur le papier. Il leur fournit des lectures de certains mythes,
bibliques, par exemple. « Et ça les intéresse beaucoup. Ils acceptent ensuite plus facilement de lire alors que
généralement ils ont peur ou honte de mal lire. » Le but n’est pas de les confronter directement au thème prédéfini, mais de leur
montrer qu’ils ont des connaissances personnelles, et de les intéresser à un sujet qui peut paraître trop « scolaire ».
En somme, la pédagogie tourne autour de l’écoute, de l’acceptation de la parole de l’autre et du jeu des émotions. Il y a un gros travail sur les
émotions, « ils sont passionnés par les émotions ».
« Le théâtre fait du bien à l’âme »
Quand on demande à Anne-Pascale Paris en quoi le théâtre est utile et qu’est-ce qu’il peut apporter à des jeunes qui souffrent, elle répond que «
le théâtre peut les amener à améliorer leur confiance en eux et en leur expression. Il leur permet ensuite
de se poser des questions sur des thèmes de société qui les concernent. Il les aide à prendre conscience
des codes culturels et des usages du langage. Il les sensibilise aussi au respect d’eux-mêmes, des autres,
aux pratiques de la citoyenneté et de l’inter culturalité ».
A son avis le théâtre devrait être obligatoire à l’école. Le théâtre comme elle le dit : « fait du bien à l’âme ». Il permet d’éprouver des
émotions sur scène, d’étudier comment elles se produisent, pour apprendre à les maîtriser dans la vie réelle. Il allie découverte et réflexion, action
et compréhension, travail et divertissement.
Et pour preuve qu’il améliore les conditions des jeunes en détention, cela fait maintenant trois ans, depuis 2009, que l’association Le Lien Théâtre
intervient dans l’EPM du Rhône, à Meyzieu. En 2012, l’association n’a pas pu se rendre près des jeunes, car l’établissement manquait de
subventions. Cependant, l’année suivante, le Lien Théâtre a été l’un des premiers intervenants à être rappelé. Même si les adolescents ne
l’expriment pas directement, « il n’y a aucun doute qu’ils en retirent quelque chose ». Anne-Pascale Paris rajoute avec un
radieux sourire : « deux de ces jeunes étaient tellement impliqués dans la pièce qu’on a joué en prison en
2011, L’homme armé, qu’on a réussi à obtenir une autorisation exceptionnelle de sortie culturelle pour
qu’ils viennent jouer le spectacle à l’extérieur pendant deux soirs. Vous ne vous imaginez pas le bonheur
que ça a été pour nous et pour eux ! »
Elsa Laniesse
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41. Le progrès.fr - 1er mars 2011
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A la fin de la représentation, les spectateurs sont montés sur scène pour proposer leur point de vue Photo Laetitia Le
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La relation parents-ados mise en
scène à la MJC
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Mardi et vendredi soir, les quatre comédiens du lien théâtre se sont produits à la MJC,
devant près de 250 personnes, sur les deux soirs. Pendant quarante-cinq minutes, les
comédiens ont relaté les relations parents-adolescents, à travers l’histoire de deux familles.
« Forcément exagérée », la pièce alliait humour et situations réelles. Depuis juin 2010,
l’équipe du lien théâtre a rencontré les adolescents et les parents de la ville de Rillieux et
écrit cette pièce, à partir de leurs témoignages. « On a l’impression de voir dans un miroir »,
souligne une mère de famille. « Mes voisines ont même réglé leurs difficultés pendant la
pièce », glisse Françoise Saly, responsable du secteur parentalité éducation, à la
Confédération syndicale des familles. A la fin de la représentation, la troupe a fait rejouer
certaines scènes aux spectateurs, « Ce qui permet aussi de prendre conscience des choses
à changer », précise Anne-Pascale Paris, metteur en scène.
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A la fin de la représentation, les spectateurs sont montés sur scène pour proposer leur point de vue Photo Laetitia Le
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