2. POURQUOI ?
• Première utilisation avec beaucoup de succès et de plaisir l’an dernier.
• Les photographies ci-dessous montrent l’exemple classique d’un TBI, nous
utilisions celui-ci lors de nos cours de français avec la classe.
3. LE MATERIEL NECESSAIRE
• Il faut un écran blanc tactile, un ordinateur et un vidéoprojecteur.
• L’ordinateur envoie l’image affichée sur son écran au vidéoprojecteur.
• Le vidéoprojecteur projette les images sur le tableau.
• Le tableau, relié ou non par un fil à l’ordinateur lui renvoie les actions de
l’utilisateur : consignes et réponses pour les exercices, devoirs à faire…
• Les accessoires associés :
o Les stylets
o Les feutres effaçables
o Les boîtiers de vote
o Les tablettes de fil
4. HISTORIQUE
• 1988 : naissance du « Liveboard » : tableau interactif à projection arrière
permettant l’annotation de documents ouverts sur un bureau virtuel.
• 1992 : Tivoli (application logicielle) est commercialisé avec le Liveboard : il est
possible d’écrire, de dessiner et de déplacer les annotations avec le stylet.
• 1997/1998/2005 : la société Smart (localisée au Canada) sort ses séries à
technologie tactile.
• EN FRANCE
• 2004 : l’opération PrimTICE (la création d’un répertoire de scénarios pédagogiques
mettant en œuvre les TICE dans les situations de classe) permet la popularisation
des TBI en classe : une dizaine avant 2004, environ 2 500 fin 2007.
5. APPORTS PEDAGOGIQUES
• Interactivité entre le professeur et les élèves
o suscite la curiosité et l’intérêt des enfants bénéfice sur l’attention et
o rend les enseignements plus ludiques et stimulants la concentration des
élèves.
o regain de motivation pour les enseignants ils s’investissent davantage.
• Première exposition aux TIC
o Intégrer naturellement les TIC durant les leçons les élèves se familiarisent
au jour le jour à l’environnement informatique
• Facilitation de travail commun
o Tous les élèves regardent la même chose en étant plus attentif qu’avec un livre ou
une photocopie.
o Possibilité de travaux en communs : rédaction collective d’un texte, découverte de
livres numérisés, navigation sur Internet…
6. APPORTS PEDAGOGIQUES (2)
• Le gain de temps
o A long terme : les professeurs réutilisent ou recyclent des supports de cours d’une
année sur l’autre.
• La mémoire de la classe
o En cas d’absence d’un élève, ou pour revenir sur une précédente leçon.
o Possible d’imprimer le fichier ou le mettre en ligne sur le site web de l’école.
o Plus forte continuité entre les enseignements.
7.
8. LIMITES PEDAGOGIQUES
• Le prix
o Il faut compter entre 2 000 et 5 000€ (selon l’équipement choisi) , ce qui explique
les difficultés de sa diffusion en France.
• Un investissement lourd pour le professeur
o Cet outil demande beaucoup de temps et de persévérance pour apprendre à
maîtriser ses fonctionnalités comme pour préparer des supports interactifs et
adaptés.
• Le manque de ressources et de formation
o Très peu de professeurs reçoivent une formation pour utiliser le TBI et doivent
apprendre seuls.
9. T.B.I DANS LE MONDE
•Selon une étude réalisée en juillet 2007, 98% des établissements sont équipés (22
tableaux par établissement), on attend 100% pour les écoles primaires (8 tableaux par
école) : pays précurseur et le mieux équipé en la matière.
•D’autres aussi sont bien équipés : les Etats-Unis et les pays du nord de l’Europe
(environ 35%).
•Globalement le taux de pénétration mondial des TBI serait de l’ordre de 7%
(Futuresource, 2010).
10. CE QUE L’ON PEUT FAIRE AVEC
• Glisser-déposer
• Capturer
• Mettre en évidence/cacher
• Annoter et modifier
232 232
x 6 x 6
1392
Effectuez l’opération puis utiliser la Effectuez l’opération puis utiliser la
gomme pour révéler la réponse gomme pour révéler la réponse
11. CONCLUSION
• Les tableaux blancs interactifs ne doivent-ils pas être considérés plutôt comme une
simple évolutionqu’une révolution dans le monde de la technologie ?
12. SYNTHESE
•Les TBI sont relativement récents (ils ont été crée il y a environ 20 ans).
•Ils permettent de favoriser l’interactivité entre les élèves et les professeurs, de
faciliter le travail en commun, de faire le lien entre les enseignements, d’exposer les
élèves à l’informatique dès leur plus jeune âge, de faire gagner du temps au
professeur pour la préparation des cours.
•Ils sont cependant relativement chers ce qui peut expliquer le fait qu’il y en ait si peu
en France. Très souvent les professeurs doivent se former tout seuls pour utiliser les
logiciels qui vont avec.
•Ils sont très répandus dans le monde, et plus spécialement dans les pays
anglophones.