2. Détails organisationnels… La séance durera de 09h à 11h Une pause café-croissants interviendra au milieu (à peu près) La connexion wifi du CIDOC est à votre disposition! Mot de passe : Johannis316 Un dossier ad hoc est remis à chacun d’entre vous ainsi que la copie des présents slides. La présentation powerpoint elle-même est disponible sur slideshare.
4. Une certitude… On ne pourra pas tout voir! Proposition : axer sur des outils « généraux » qui peuvent (ou non) vous servir
5. Pour être clair Phase de recherche Phase du résultat : qu’en fait-on? Durant la séance nous allons nous axer plus fortement sur ce second moment.
6. Au menu du jour… Quelques principes élémentaires de recherche (sur Google ou ailleurs…) Alertes / flux RSS Surveillances de pages web
7. Comment s’informer dans un monde pareil? (quelques chiffres en vrac…) En septembre 2010, 26 milliards de pages web étaient indexées par les plus grands moteurs de recherches (Google, Bing, Yahoo!). http://www.worldwidewebsize.com/ 1.8 milliards de personnes sont connectées à internet. http://www.ufunk.net/web/la-veritable-taille-de-google-expliquee-avec-une-grande-infographie/
8. Google donne aussi le vertige… 87 milliards de requêtes sur Google en un mois (en 2010). http://royal.pingdom.com/2010/02/24/google-facts-and-figures-massive-infographic/ En 2008, Google était le moteur de recherche par défaut de 93% des suisses -> monopole de l’informationhttp://www.zorgloob.com/2009/03/14/les-parts-de-marche-de-google-dans-le-monde/
9. Sans compter le web invisible… Le web invisible est l’ensemble des données non indexables par les moteurs de recherche. Il serait 90% plus volumineux que la partie visible du web.
10. Principes méthodologiques embryonnaires S’informer, c’est d’abord savoir sélectionner ses sources. C’est un travail que vous devez faire vous-même en vous posant la question : Qu’est-ce que je cherche? Où est-ce que je veux avoir l’information? Comment est-ce que je veux la recevoir? L’idée c’est d’avoir une démarche active, et qui ne soit pas chronophage ( = perte de temps)
11. Savoir distinguer le type d’information Recherchez-vous une information factuelle? Exemple : date des vacances scolaires du canton de Vaud Recherchez-vous un ensemble d’informations sur un sujet donné? Exemple : sur les traductions de la Bible en texte intégral gratuitement disponibles en ligne?
13. Solutions possibles contre le bruit Utiliser les fonctions avancées de votre moteur de recherche Affiner la recherche avec une requête supplémentaire (ex : Bible + Atlas) Limiter les documents depuis une date de parution (ex : après 1995) Limiter les documents à ceux qui sont adressés à une catégorie d’âge …et ainsi de suite!
15. Solutions possibles contre le silence Changer de mot-clé! (rechercher des synonymes) Enlever un de vos critères (si vous en avez trop mis) Contrôler si vous comprenez bien dans quel champ vous avez mis votre requête. Une chose est CERTAINE : ce n’est pas parce que vous ne trouvez rien qu’il n’y a rien sur le sujet!
18. Opérateurs booléens + critères avancés de recherche Il s’agit de très bon outils pour combattre le bruit dans les recherches que vous effectuez (voir document annexe) La plupart d’entre eux sont très peu utilisés mais gagnent beaucoup à être mieux connus
19. Google n’est pas (toujours) le meilleur… Exemple (comparaison Exalead et Google sur une recherche link:www.cidoc.ch ). Cela devrait montrer qu’il est utile, surtout lorsqu’on fait une recherche extensive, thématique, d’aller croiser ses informations en utilisant d’autres moteurs de recherche. Cependant, faute de place nous en resterons là pour les moteurs de recherche.
20. Conclusion intermédiaire: Ces principes basiques sont valables pour tous les moteurs de recherche et tous les catalogues que vous consultez chaque jour du plus petit au plus grand…y compris Google!
22. Que faire des résultats intéressants que l’on a obtenus…? Si vous visitez régulièrement les mêmes sites. Si vous voulez être mis au courant lorsqu’une information est publiée sur le web sans devoir à chaque fois manuellement contrôler si c’est bien le cas?
24. Mais qu’est-ce que ça veut dire? Veille Il s’agit d’un terme technique qui consiste à mettre en place un dispositif afin d’être informé lorsqu’une nouveauté ou une information qui nous intéresse est publiée. Il y a de très nombreux outils de veille. Nous allons nous recentrer sur deux principaux :
25. Deux outils en revue… Leurs noms vous sont peut-être inconnus Alertes Flux RSS Et en complément : Détection de changement de page
32. Lexique RSS : really simple syndication Agrégateur : outil qui permet de rassembler les flux RSS et de les lire Un navigateur (Internet Explorer, MozillaFirefox) Votre messagerie personnelle (Outlook, MozillaThunderbird) Un agrégateur à télécharger en local sur votre propre machine Un agrégateur en ligne (Google Reader, Netvibes) Abonnement : souscription à un flux RSS (et qui est gratuite, contrairement à ce que la terminologie pourrait faire croire…)
33. A quoi bon les flux RSS? (1) Permettent de gérer/parcourir l’information beaucoup plus rapidement… …un peu comme si vous lisiez un journal électronique en fait (sauf que c’est vous qui décidez ce qu’il y a dans ledit journal) Avantage : en principe vous n’aurez que des informations qui vous intéressent Inconvénient : vous restez dans un seul schéma de pensée : le vôtre!
34. A quoi bon les flux RSS? (2) Si vous attendez une information, vous n’avez plus besoin d’aller quotidiennement sur le site qui vous intéresse pour savoir s’il y a du nouveau. Le flux RSS vous amène l’information chez vous.
36. Pour ceux qui ont un ordinateur portable Créez-vous (si vous le désirez!) un login Google – ou utilisez celui que vous avez déjà Abonnez-vous aux liens suivants : www.questiondieu.com www.pointkt.org http://www.cath-vd.ch http://www.evangile-et-liberte.net/ http://www.protestinfo.ch/
37. Et si le site n’a pas de flux RSS? (1) Ça arrive… Il est possible de créer (facilement) un flux RSS manuellement avec www.ponyfish.com
38. Et si le site n’a pas de flux RSS? (2) Vous pouvez également utiliser un site d’alerte comme http://www.changedetection.com/ Vous recevrez des alertes par email (ou par flux RSS)
39. Pourquoi (encore) GOOGLE? C’est vrai qu’on est dans une logique de centralisation (Google tente de rendre captif son public en offrant un maximum de services gratuits). Et si un jour Google (ou certains de ses services) devient payant (c’est possible…mais pas maintenant!) que faire?
40. REPONSE : Google offre la possibilité d’exporter ses données dans un fichier OPML… …qui peut ensuite être intégré dans un autre agrégateur de Flux RSS. C’est donc une sécurité pour garder ses données… N’oublions pas que les données sur le web sont les plus instables qui soient!
42. GOOGLE READER : mode d’emploi Créer un compte Sélectionner les sites qui vous intéressent S’abonner aux flux (2/3 grandes techniques): Cliquer sur l’icône/le lien du flux RSS Copier/Coller l’URL en allant sur votre Google Reader En employant une third-party service…(ponyfish, changedectection)
43. Ce qui est bien avec les flux RSS Permet de gérer très facilement les sites pour lesquels vous voulez être tenu au courant. Permet (s’ils sont bien gérés) de gagner un temps conséquent Donne (peut-être) le sentiment de maîtriser un peu mieux un environnement informationnel numérique qui paraît souvent écrasant.
44. INTERROGATIONS… Dans une utilisation extensive de Google Reader, on peut se retrouver dans la situation que l’on voulait éviter au départ : Se retrouver submergé par une foule d’informations qu’on ne lira jamais… D’où l’importance d’une discipline personnelle : se poser à chaque fois la question : ce site (et son flux RSS) est-il réellement intéressant à long terme?
45. INTERROGATIONS… Pour aller sur un angle philosophique, voire théologique : On est dans une société qui « consomme » de l’information… …au point que s’informer est devenu une forme de divertissement… ( = infotainment)! Est-ce réellement si sain? On se dirige vers une situation où nous sommes connectés (et donc atteignables) en permanence. Et qui valorise l’immédiateté (à outrance?)