VISION AUJOURD'HUI DE ABASSI MADANI RAHIMAHOU ALLAH .
Les médias sociaux montrent ils le vrai visage de notre monde actuel
1. Les médias sociaux montrent-ils le vrai
visage de notre monde actuel ?
Suisse Romande Network
C’est une question que je me pose depuis quelques années déjà.*
Depuis les premiers balbutiements, ou les professionnels avait un sourire de compassion
pour toutes ces pauvres créatures qui perdaient leur temps ici et ailleurs, les choses ont bien
changés. Aujourd’hui (presque) tout le monde veut en être et faire savoir qu’il existe et
qu’il propose le meilleure service ou/et produit. En d’autres termes, les médias sociaux sont
devenus une vraie machine de marketing ou peu de personnes sont réellement intéressés de
partager de vraies informations utiles pour les lecteurs et autres poseurs de commentaires.
Vu de cet angle je dirais que les médias sociaux semblent être parfaitement dans le tir de la
société, nombriliste et peu enclin à donner quoi que ce soit gratuitement.
Quel est votre avis ?
Pierre
Pierre Raynaud
Consultant et Ecrivain
Et bien Martin... je crois que c'est là un des multiples paradoxes du web et des réseaux
sociaux : on veut que tout soit gratuit et on cherche en même telmps à tout prix à gagner de
l'argent. Mais vous avez touché du doigt un point très négatif des réseaux et qui fait que je
m'éloigne de certaines pratiques : chacun veut montrer qu'il est le plus beau ce qui est la
meilleure et la plus rapide façon de montrer sa laideur.
Je crois qu'il faut uitiliser les réseaux sociaux pour rencontrer de vrais partenaires que ce soit
pour l'amitié, l'échange d'idées ou les affaires... et passer son chemin devant les élucubrations
des milliers de coaches qui vendent tous la même chose sans montrer qu'ils en ont au moins
un échantillon sur eux.
Bonjour à la Suisse... et n'oubliez pas de faire du vélo !
2. Michaël
Michaël Lemaire
A la recherche d'un nouveau challenge dans l'encadrement et ou la gestion de projets.
Les médias sociaux ne sont guère différents des discussions de bistrots.
Beaucoup de blabla et peu de choses qui ne font pas avancer le schimlblig.
Voici un sujet en tout cas, qui ne fera pas avancer ma recherche d'emploi :-)
Michael
Michael Ritson
CEO chez MC Keystone Intl.
Le paradoxe de la société actuelle : un volume croissant d’échange d'informations, et de
moins en moins de communication. La culture de la désidérabilité sociale a son paroxysme.
Isabelle-France
Isabelle-France Carlier
Assistante senior éco-responsable
Adieu les notes sur les bons vieux tableaux d'affichage. Bonjour les mails d'information qui
filent tout droit dans la poubelle. Il faut connaître le chinois, le russe, en tout cas une bonne
dizaine de langues pour que ne pas perdre une miette d'information. Dites-moi, ça existe
encore la communication ?
Michael
Michael Ritson
CEO chez MC Keystone Intl.
Ha ! le "management" par E-mails... tout un programme!
3. Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Pierre - Oui, c'est un fait qu'il y a une redondance importante dans ce qui est proposé sur les
médias sociaux. Je pense également qu'il est possible de rencontrer des personnes
intéressantes pour échanger, mais cela reste tout de même l'exception... malheureusement ! En
ce qui concerne le vélo, j'attends des jours meilleurs, car avec quelque degré seulement, je
préfère regarder et pratiquer le sport à la maison ;-)
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Michaël - allez savoir ... !
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Michael - C'est vrai que c'est une phrase que je lis et entend régulièrement et, on pourrait, en
effet, dire les choses ainsi. Heureusement que nous avons le "pouvoir" de faire différemment
et de communiquer ensemble de manière libre et non intéressé.
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Isa - Oui, cela existe ! En ce qui concerne les courriels, ce ne sont pas des médias sociaux. J'y
vois rien d'autre qu'un remplacement du courrier postal qui est simplement plus rapide... du
moins dans l'envoi. Cela dit, la question que je me pose est ; "avons-nous, dans une généralité,
vraiment communiqué un jour ensemble ?"
4. Michael
Michael Ritson
CEO chez MC Keystone Intl.
Martin - La communication verbale est de l'ordre de 20% dans la "Communication avec un
grand C". Nombre de personnes oublient de prendre en compte la capacité de l'autre à
recevoir un message, sans être péjoratif bien entendu.
Isabelle-France
Isabelle-France Carlier
Assistante senior éco-responsable
Ha oui, Martin, on a appris à communiquer, déjà l'homme de Néandertal ou Néandertalien
donnait des coups de gourdin ! C'est après que ça a dérapé !
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Michael - Absolument d'accord avec votre affirmation. Même que les choses peuvent toujours
être interprétées de manière erronée. Que ce soit virtuel ou en life, tout peut toujours arriver.
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Isa - Je me demande si tu n'as pas vu trop souvent la pub Sinalco ... ;-))
5. Isabelle-France
Isabelle-France Carlier
Assistante senior éco-responsable
@ Martin
C'était pas Henniez ?
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Isa - C'est aussi possible. J'ai en tête la pub Sinalco, qui se passait au temps des hommes des
cavernes, qui m'est restée en mémoire.
Sadek
Sadek KHEDDACHE
Consultant en management, innovation et développement d’entreprises / ex Directeur
Général de plusieurs entreprises.
Ces réseaux sociaux planétaires sont pour moi juste des espaces de défoulement, et
d’échanges d'idées parfois intéressantes. Mais ça reste juste des discussions de café.
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Sadek - La légèreté ou le sérieux d'une discussion ne dépendent nullement de l'endroit, mais
des personnes qui y participent. J'ai déjà entendu ou participé à des discussions très
intéressantes et profondes dans des cafés, comme quoi tout dépend de nous et de notre
entourage.
Alain
Alain Curchod
Membre du comité central chez Adlatus Suisse
Contributeur principal
Toujours le petit mot qui touche, cher PM. Et qui touche juste. Santé !
6. Germante
Germante KAVALIAUSKAS
Artisan créateur en TRICOT avec Germante KAVALIAUSKAS
Internet...
Internet ce vaste réseau où aujourd'hui tout le monde peut trouver ce qu'il recherche (c'est un
point positif des réseaux sociaux, je n'évoquerais pas ici les points négatifs).
En ce qui concerne le réseau social LINKEDIN, étant nouvelle sur ce site, je trouve qu'il est
intéressant, parce qu'il a un niveau plus élevé que le réseau social FACEBOOK ou
TWEETER par exemple.
Sur Facebook on peut retrouver tout et n'importe qui, sur linkedin on partage des informations
plus sérieuses, à tendance fortement professionnelle. Ce réseau social devient une sorte de
médias plus confirmé. Car bien sûr Facebook, tweeter ou youtube sont également des médias
par le biais desquels untel ou untel peut se faire connaître, ou faire connaître son activité si
vous préférez. Mais linkedin semble être une branche plus sérieuse.
Ce qui est intéressant sur les réseaux sociaux en général, c'est que chacun trouve ce qu'il lui
corresponde.
Et pour répondre au dernier point: Le nombrilisme. Oui il est tout à fait là. Nous sommes tous
un peu nombrilistes, puisque nous avons consenti à divulguer sur nous même dans nos
propres profils ici, des informations non pas qui nous dévalorisent, mais nous valorisent: le
terme radical serait: "pour nous vendre nous-même".
Grossièrement c'est ce que c'est. Mais si on a l'esprit plus subtile on dira: "pour découvrir,
échanger, connaître d'autres personnes, participer à un réseau social".
Participer à un réseau social signifie "faire partie d'un groupe", faire partie de qqch. En tant
qu'humains nous aimons bien cela, c'est notre nature à tous, "faire partie d'un groupe qui me
ressemble" (je me croirais, là par exemple, en train de vendre "meetic" avec le "qui me
ressemble")...
Nous savons que sur internet nous trouverons ce que nous cherchions.
Et moi je suis contente d'être sur ce réseau social depuis peut.
Je pense que nous vivons simplement avec notre ère, la technologie est là et on est tous
curieux, car d'autres médias que nous regardons (JT, tv en général par exemple), nous rappelle
cette existence de l'idée de "connectivité" au monde, d'internet. Je pense que les ingénieurs en
informatique et vrais geek professionnels, ont plus d'une idées à nous revendre par jour en
1minute sur internet.
L'idée que nous puissions communiquer alors que nous ne nous connaissons pas, nous
débattons ici alors que nous ne nous connaissons pas. Cela ne vous donne-t-il pas envie d'y
revenir sur internet?
Bien sûr que oui, car finalement le nombrilisme dont nous parlions est associé à une
multitudes de petits instants qui caractérisent les individus en général: sur le plan
7. professionnel, amical, de marketing ou autre, nous saisissons des instants pour parler à qqun
de soi ou de parler à un autre ou de nous exprimer sur un réseau social avec des gens qu'on ne
connaît pas, etc.
Ce n'est peut être pas spécialement un problème d'être nombriliste, le problème c'est l'excès,
l'immoralité des individus ne voyant pas les limites et qui s'amusent ou arnaquent des gens sur
la toile...
Tout est devenu "e-" aujourd'hui: le e-commerce, le e-learning, le e-darling, le e-mail, etc.
On y trouve de tout sur internet, c'est une énorme rue de Tokyo.
Mais je crois qu'on aime tous cela non? Un peu?
Qu'en pensez vous?
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Germante - Votre commentaire en dit long sur votre approche des médias sociaux. Si
globalement je suis d’accord avec vous, il y a cependant un sujet qui m’interpelle. Lorsque
vous parlez d’excès et limites, ou elles sont ? C’est bien là que réside le problème, car c’est
subjectif. Ce qui est dans les limites pour l’un, est hors limite pour un autre. Pour cette raison,
il circule des tonnes de documents qui donnent des lignes de base sur le comportement online
(j’en ai d’ailleurs écrit un). Mais voilà, après c’est à chacun de prendre et laisser ce qui lui
convient.
Germante
Germante KAVALIAUSKAS
Artisan créateur en TRICOT avec Germante KAVALIAUSKAS
En effet, c'est à chacun de prendre et laisser ce qui lui convient. Nous ne pourrons empêcher
la diffusion de documents falsifiés, de faux-profils, de fausses informations. Il est nécessaire à
l'utilisateur d'être averti lui même, par ses propres connaissances ce qu'il doit prendre pour
vrai ou pas, ce à quoi il doit adhérer ou pas.
La police du net , même si elle est timidement présente, elle ne l'est pas encore suffisamment,
de ce fait les champs sont complètement libres pour tous. Et évidemment dans cette
expression de la liberté, certains n'ont pas les mêmes limites que d'autres..
Allons nous vers une sécurisation de plus en plus globale et réelle des sites, des informations
diffusées? Ou pas?
Je pense que tel est le but des nouveaux "policiers" de la toile, mais qu'il ne sera sans doute
8. jamais possible de rendre sécure totalement les réseaux sociaux et les profils qui y participent
(qui peuvent eux aussi être imposteurs).
Sadek KHEDDACHE
Consultant en management, innovation et développement d’entreprises / ex Directeur
Général de plusieurs entreprises.
@Martin et a PM , j'ajoute que ces discussions sur
internet restent des discussions électroniques , donc "robotiques" et
inhumaines . Elles manquent de chaleur humaine, de présence et des
interactions émotives et des sens .Quand j'ai dit " de café" , ça veut
dire "singulières" , marginales , non importantes . A part
l’information, les sites web pour le marketing et la documentation
très riches ou encore quelques astuces pour régler son problème de
véhicule etc.....sur internet, qu'est ce qu'apporte réellement les
forums de discussions quand il y'a les frontières et il y'a les
différences de cultures au plan individuel, professionnel , social et
politique . ?J e ne pense pas qu'elles apportent réellement de bonnes
choses concrètes . Il y'a honnêtement 7 raisons qui nous pussent a
discuter, que je viens tout juste d’identifier :
1- On veut mesurer notre savoir par rapport aux autres .
2- On veut se faire une pub pour sa propre personne.
3- On veut se faire des connaissances.
4- On veut apprendre en prêchant le faux pour avoir le vrai.
5- On veut influencer des gens.
6- On veut se défouler, quand on aime écrire, et faire du sport
cérébral, a main levée
7- On veut savoir comment pensent les autres , des autres pays pour
connaitre leurs niveau culturel et croyances .
Voila pour moi, quelles seraient les raisons qui poussent les gens a
discuter, sans ajouter les maladies psychologiques et de comportement
social, tel que la timidité qui renvoi la personne auprès de son
écran pour discuter .
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
9. Germante - La police du net, comme vous la nommez, existe depuis le début. C'est certain que
leur but n'est pas de débusquer des petits poissons, qui écrivent quelques balivernes ou
donnent une fausse identité.
Cela dit, je préfère qu'il en reste ainsi et que chacun (j'en exclus les enfants, ou c'est bien les
parents qui doivent faire leur part de surveillance) de nous soit responsable de ce qu'il fait. En
d'autres termes, qu'il apprenne à gérer ses interventions et qu'il reste vigilant sur son
entourage.
Germante
Germante KAVALIAUSKAS
Artisan créateur en TRICOT avec Germante KAVALIAUSKAS
Pour poursuivre Sadek KHEDDACHE, je suis d'accord avec le manque de singularité que
procurent ces discussions sur forums ou comme ici, parce qu'elles refroidissent aussi tôt
qu'elles peuvent enflammer. Parce que fasse à toutes ces expressions de personnalités très
variées (et c'est le point positif ici), via l'écran, on a un comportement tel qu'il se doit:
individuel, impersonnel, direct, mais mêlé de plusieurs intérêts qui nous sont propres à
chacun, sans pour autant considérer qu'ils soient tous négatifs ou positifs. Je suis d'accord
avec tous les points énumérés dans la liste de Sadek KHEDDACHE
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Sadek – Oui, c’est une interprétation possible des médias sociaux. Pour ma part je considère
ce support comme moyen pour créer le premier contact, qui peut se poursuivre dans la vie
réelle si la proximité géographie le permet.
En ce qui concerne les 7 raisons génériques que vous évoquées, oui, ils peuvent absolument
compter parmi les motivations des uns et des autres.
Ma question : pensez-vous réellement que les choses soient différentes dans la vie réelle ? Si
je transforme vos « on veut » en mots, c’est EGO – EGO – EGO – TROMPERIE –
MANIPULATION – JOUERIE – pour la réponse 7, je mettrais deux mots qui sont
OUVERTURE / CONTRÔLE ou quelque chose dans le genre. En ce qui me concerne, je ne
m’identifie pas à beaucoup de ces points.
Pour la question des maladies psychologiques, je les assimile bien plus au manque de
confiance de l’individu qu’aux médias sociaux.
10. Sadek KHEDDACHE
Consultant en management, innovation et développement d’entreprises / ex Directeur
Général de plusieurs entreprises.
D'accord Martin pour les renvois des "on veut»,
mais encore si vous vous identifier a un seul de ces points , c'est
qu'on a plus ou moins bien analyser la problématique .
@ Germante , nous sommes bien sur la même longueur d'onde.
Savez-vous combien LINKEDIN gagne sur nos dos ???
Chiffre d’affaire /
En 2010, le chiffre d’affaires de LinkedIn est passé de 123 à 243
millions de dollars, soit une hausse de 102%. Et la société, qui a
déposé son projet d'introduction en Bourse fin janvier (document
consultable ici), serait valorisée plus de 2,5 milliards de dollars.
De son côté, Viadeo pourrait se coter à la Bourse de Hongkong dans les
prochains mois, en mettant sur le marché 20 à 30% de son capital. Sur
cette base, le site français – qui tire pour l’instant 60% de ses
revenus de ses comptes Premium - serait valorisé 750 millions de
dollars.
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Sadek - Oui, comme je le disais, je pense que vous êtes dans le juste avec votre analyse .
Sadek KHEDDACHE
Consultant en management, innovation et développement d’entreprises / ex Directeur
Général de plusieurs entreprises.
OK, Martin, mais je crois qu'il faut encore ajouter un autre point dans lequel je me retrouve
bien aussi.
11. 8 - On veut s'enrichir de connaissances mutuellement, et partager ce
que nous avons acquis comme savoirs et connaissances et éventuellement
bien conseiller, amicalement, les autres.
Axel
Axel de Pontbriand
Enseignant chez Etat de Vaud
eh bien, ils ne sont ni meilleurs ni moins bons, ils reflètent les gens qui sont souvent les
mêmes en dehors, chacun veut aussi passer pour le meilleur, ça n'amuse que peu de gens de
passer pour un loser ou un raté et cela parce qu'en général les gens fuient la misère, la tristesse
ou la défaite et s'accrochent à ceux qui réussissent en espérant bénéficier de quelques miettes
Isabelle-France
Isabelle-France Carlier
Assistante senior éco-responsable
Les médias sociaux montrent-ils le vrai visage de notre monde actuel ?
Moi, je pense que oui. Ce qui est important c’est l’écrit que nous sommes toutes et tous
obligés d’utiliser. Les premiers commentaires peuvent donner le change sur une personne,
mais celle-ci ne peut pas demeurer passive face à un fait qui va la toucher ou mettre un point
sur sa vraie personnalité. Cette personne va réagir d’une manière ou d’une autre. Soit en
quittant la discussion ou même le réseau social qui ne lui correspond pas et passera à un autre.
C’est vrai que parfois, nous devons travailler nos écrits pour que les sentiments qui nous font
bondir ne transparaissent pas ou peu au travers de nos commentaires. C’est donc vrai, que
peut-être « nous sommes » sans être vraiment le « qui » nous sommes. Exit dans les réseaux la
faiblesse, l’échec, la franchise, etc. On se doit d’être les meilleurs sans état d’âme. Et les
médias sociaux montrent notre vrai visage, celui que l’on dévoile, celui qu’on attend de nous.
Et comme le dit Martin, heureusement, on peut considérer ce support comme moyen pour
créer le premier contact, qui peut se poursuivre dans la vie réelle si la proximité géographie le
permet.
12. Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
Hm, oui, Axel... c'est une approche qui se défend sur le fond. Cela dit, le fait de se mettre en
avant, ne signifie pas nécessairement que l'on est un gagnant, surtout sur les médias sociaux
ou, comme on dit si bien, le papier se laisser écrire.
Martin
Martin Gysler
Business Owner of Martin Gysler | Art Of Networking
C'est certainement ainsi Isa. Je dirais qu'il est également possible d'être qui on est, toute
proportion gardé... bien sure et, de faire part de son point de vu. Ce qui compte, c'est de rester
courtois et de tenir compte du fait que nous ne détenons de loin pas toujours la bonne
solution.