2. (Source: Baromètre 2012 de l’Organisation mondiale du Tourisme, dépendant de l’ONU)
Touriste international = personne qui séjourne entre 1 nuit et moins d’1 an à l’étranger
7. La France N°1 de la fréquentation
mais N°3 des recettes
• Fréquentation • Recettes
(Source: Baromètre 2012 de l’Organisation mondiale du Tourisme)
8. France: le tourisme en chiffres
• 83 millions de touristes étrangers ont dépensé 35,8 milliards d’euros (+6%) en France en 2012.
La consommation touristique représentait 7,9% du PIB en 2010. La France occupe le 9e rang pour
le total des recettes par visiteur.
• Le nombre de touristes français est resté stable mais la durée du séjour a raccourci. Ils ont
dépensé 43,3 milliards d’euros (+1,3 %)
• Tendances:
o Forte progression des clientèles extra-européennes, principalement en Ile-de-France, et
surtout des Chinois (+38,6%), des touristes du Proche et du Moyen-Orient, des Etats-Unis,
d’Amérique Centrale et du Sud.
o Côté européen, chute de la fréquentation des Espagnols, Italiens et Néerlandais, stabilité
pour les Allemands et Belges.
o Progression des clientèles russe, scandinave, suisse et britannique.
• Les régions les plus touristiques en France métropolitaine: le Sud-Est et l’Ile-de-France. Celle-ci
représente 28,4% de l’emploi touristique et est la première destination des touristes étrangers.
(Source: ministère du Commerce, de l’artisanat et du tourisme/ Atout France)
9. Européens et Américains d’abord
Origine des
touristes
En France
Europe Allemagne GB Amérique USA Brésil Asie Chine Japon
Touristes
en 2012
(millions)
69,3 12,2 12,2 6,5 3 1,2 4 1,4 0,7
Part dans
l’ensemble
83,4% 14,7% 14,7% 7,8% 3,6% 1,4% 4,8% 1,7% 0,9%
(Source: Direction générale de l’industrie, de la compétitivité et des services)
11. Les villes les plus touristiques
0 5 10 15 20 25 30 35
PARIS
LOURDES
LYON
TOULOUSE
NICE
LA ROCHELLE
HONFLEUR
CARCASSONNE
STRASBOURG
LE MONT
ST-MICHEL
BORDEAUX
(Source: La Dépêche, 23/04/2013)
13. Paris perd sa 1ère place mondiale…
15, 98 millions
de visiteurs en 2012
13, 92 millions15, 96 millions
(Source: MasterCard Index of Global Destination Cities 2013)
14. …est très critiquée…
Paris est 33e/40 du classement 2012 des villes les mieux
notées par les utilisateurs de Trip Advisor
15. …mais reste la plus aimée !
(Source: du Top 25 des destinations du Traveller's Choice 2013 Trip Advisor)
Viennent ensuite: Rome, Barcelone, Venise, San Francisco, Florence, Prague, Sydney
16. Le tourisme à Paris
0 4,000,000 8,000,000
SUISSE
PROCHE/MOYEN-ORIENT
ESPAGNE
JAPON
ALLEMAGNE
ITALIE
GB
ASIE/OCEANIE
USA
AMERIQUES
EUROPE
FRANCE
ETRANGER
Arrivées hôtelières
(Source: Office du Tourisme de Paris)
Durée moyenne de séjour pour les touristes étrangers: 2,8 nuitées/1,9
nuitée pour les Français; Salon professionnel: 4 jours/2,5 jours
17. Les dépenses des touristes
(Source: Office du Tourisme de Paris)
18. Paris y gagne moins que Londres
PARIS
• Dépense moyenne des étrangers: environ
140 € par jour en 2009 (y compris
l’hôtellerie), soit plus de deux fois celle des
Français (63€ par jour).
• Dépense moyenne de la clientèle venant
pour un salon professionnel: 300€/jour pour
un étranger et 150€ pour un Français.
LONDRES
• Dépense des touristes étrangers: 229€/jour
• Dépense des touristes britanniques:
198€/jour
19. Motivations des touristes étrangers
0 10 20 30 40 50 60 70
Découverte de la ville
Visite de musées
et monuments
Shopping
Gastronomie
Parcs et jardins
Motivation des
touristes étrangers (%)
(Source: Office du Tourisme de Paris)
20. Activités des touristes étrangers
0 20 40 60 80 100
Visite de musées et monuments
Découverte de la ville
Shopping
Parcs et jardins
Gastronomie
Visite de marchés
Sorties la nuit
Découverte des quartiers branchés
Parcs d'attractions
Spectacles
Evénements culturels
Touristes
d’affaires
Touristes
de loisirs
(Source: Office du Tourisme de Paris)
21. Les monuments les plus visités
• La cathédrale Notre-Dame est le premier site français cité dans le classement du Magazine du
Tourisme des attractions les plus visitées du monde. Elle arrive en 13e position, devant
Disneyland Paris (17) et le Sacré-Cœur (18).
Les cinq premières places sont occupées par Times Square, Central Park (New York), Union
Station (Washington DC), Las Vegas et les chutes du Niagara.
• Les 20 principaux musées et monuments parisiens les plus fréquentés, payants ou non :
o Cathédrale Notre Dame de Paris, Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, Musée du
Louvre, Tour Eiffel, Centre Pompidou, Musée d’Orsay, Cité des sciences et de l’industrie de
La Villette, chapelle Notre Dame de la médaille miraculeuse, Muséum national d’histoire
naturelle, Galeries nationales du Grand Palais, Arc de triomphe, Hôtel National des
Invalides-Musée de l’Armée, Musée du quai Branly, Musée Grévin, Sainte Chapelle, Tour
Montparnasse, Musée Rodin, Panthéon, Musée de l’Orangerie, Petit Palais.
o Le Louvre reste le musée le plus fréquenté du monde: record de 9,72 millions de
visiteurs en 2012, devant le National Museum of Natural History de Washington DC (7,6
millions d'entrées selon le Theme Index 2012).
(Source: Office du Tourisme de Paris)
37. 2.Tourisme à la carte
• Les touristes sont de plus en plus demandeurs de séjours
personnalisés (Do It Yourself, DIY) afin d’échapper aux parcours
balisés du tourisme de masse
• Le tourisme participatif répond à la recherche d’expérience unique
et de connexion authentique avec la population locale
• Internet donne accès à l’information directe et permet de se
préparer un tourisme sur mesure, de façon segmentée et en
dernière minute, surtout avec les appareils mobiles comme les
smartphones et tablettes
38. 3.Le tourisme participatif
Le tourisme participatif est un tourisme alternatif. Il consiste à faire participer la population
d’accueil aux activités touristiques ou les visiteurs à la vie locale du territoire (re)visité.
Les objectifs:
- Répondre à la demande d’authenticité des touristes
- Répondre à la demande de personnalisation de l’offre touristique
- Diversifier l’offre touristique
- Mettre en valeur la notion de partage, d’expérience et de rencontre avec la population
locale: créer une communauté
Exemples (payants ou non):
- Balades et visites réalisées par les habitants du crû: YummyGuest 2.0, Greeters, Localers…
- Hébergement chez l’habitant: Couchsurfing, AirBnB, Meeting The French…
- Repas chez l’habitant: YummyGest 1.0, CooknMeet, Voulez-vous dîner…
« Paris souhaite promouvoir un tourisme plus qualitatif, plus sensible à la convivialité et à
l’échange culturel entre les individus »
Jean Bernard BROS – Adjoint au tourisme à la Mairie de Paris, 2012
40. C. E-tourisme
1.Internet à toutes les étapes
2.Les critères de choix
3.Le m-tourisme
4.Responsive, m-site ou application?
41. Le tourisme N°1 de l’e-commerce
• Le tourisme est le premier poste du e-commerce en France: il représente environ 35% de la
valeur totale du commerce électronique. En 2012, il a généré 12 milliards d’euros de volume
d’affaires effectués exclusivement en ligne, selon Guy Raffour Interactif.
• En France, plus de 4 voyages sur 10 sont achetés sur Internet et plus de 9 sur 10 sont préparés
en ligne; 44% des Français partis en 2012 (13,6 millions) ont réservé tout ou partie de leur séjour
sur Internet en payant intégralement en ligne; Un taux de conversion élevé: 73% des Français
ayant préparé leurs séjours en ligne en 2012 ont ensuite réservé.
• Le client recherche moins la bonne affaire que le meilleur rapport qualité-prix . Quelque 12
milliards d’euros ont été dépensés par les français sur les sites de “travel” l’an passé. Dans l’achat
touristique, très impliquant car coûteux, en moyenne 2.000 euros par an et par foyer, selon une
étude du cabinet Guy Raffour Interactif.
• Aux États-Unis, le taux de voyages payés online avoisine les 60%.
41
42. Le tourisme N°1 de l’e-commerce
• Le tourisme est le premier poste du e-commerce en France: il représente environ 35% de la
valeur totale du commerce électronique. En 2012, il a généré 12 milliards d’euros de volume
d’affaires effectués exclusivement en ligne, selon Guy Raffour Interactif.
• En France, plus de 4 voyages sur 10 sont achetés sur Internet et plus de 9 sur 10 sont préparés
en ligne; 44% des Français partis en 2012 (13,6 millions) ont réservé tout ou partie de leur séjour
sur Internet en payant intégralement en ligne; Un taux de conversion élevé: 73% des Français
ayant préparé leurs séjours en ligne en 2012 ont ensuite réservé.
• Aux États-Unis, le taux de voyages payés online avoisine les 60%.
42
43. 1.Internet à toutes les étapes
Trouver une
idée de
séjour, de sortie
ou d’activité
Sélectionner
des produits
répondant à
cette idée
Etre rassuré
sur la
pertinence et le
sérieux de
l’offre
Comparer les
fournisseurs
pour trouver la
meilleure offre
Réserver et
préparer son
séjour, sa
sortie, son
activité
Les voyageurs utilisent désormais Internet à toutes les étapes du processus: avant, pendant et
après le voyage.
- AVANT le voyage:
- PENDANT:
Vérifier les
informations du
voyage
Se déplacer
Se
renseigner, comparer
et réserver
des offres sur place
Partager son
expérience sur les
réseaux sociaux
- APRES:
Raconter son
voyage sur les
médias sociaux
Donner son avis sur
le voyage
Chercher une
idée pour les
prochaines
vacances…
43
44. Avant: 38 sites consultés en moyenne
(Source: étude Millward Brown Digital pour Expedia Media
Solutions, 2013) 44
45. Les moteurs de recherche avant tout
La visibilité de
l’offre touristique
passe
impérativement
par les moteurs
de recherche:
référencement
naturel et
référencement
payant
45
51. USA: top 10 des sites de e-tourisme
Top 10 site web (en parts des
visites, déc. 2012):
1. Google Maps: 16,32%
2. MapQuest: 8%
3. Expedia: 2,75%
4. Southwest Airlines: 2,33%
5. TripAdvisor: 2,27%
6. Priceline.com: 1,99%
7. Delta Air Lines: 1,53%
8. CheapOair: 1,36%
9. Travelocity: 1,35%
10.Orbitz: 1,23%
Top 10 des sites de m-voyage (en
visites uniques, juin 2012):
1. Google Maps: 17,4 millions
2. TripAdvisor: 4,2 millions
3. MapQuest: 3,8 millions
4. Yahoo! Local: 2,7 millions
5. Southwest Airlines: 2 millions
6. Priceline: 1,6 million
7. Expedia: 1,6 million
8. Marriott: 1,5 million
9. United Airlines: 1,4 million
10.Hotels.com: 1,4 million
(Source: European Travel Commission, juin 2013)
51
52. La France dans la tendance
• Près de 15 millions de Français ont consulté des sites de vente d’hôtels, de vols, ou autres
séjours en avril 2013, soit 38% des internautes, selon le baromètre JDN/ Kantar Media
Compete.
• Booking.com est N°1 en termes de trafic généré par les moteurs sur la recherche d’un
produit de voyage.
52
53. Voyages-sncf.com N°1 des agences
Le site d’agence de voyage le plus consulté en ligne est Voyages-sncf.com, avec près de 7 milliards de
visiteurs uniques moyens par mois (soit 517.000 VU/jour).
53
56. La vidéo pèse de plus en plus lourd
Au moins 9 voyageurs sur 10 regardent des vidéos en ligne lors de la préparation
56
57. Les réseaux sociaux
• En 2012, comme en 2011, 20% des e-touristes ont consulté les réseaux sociaux pour
préparer leur séjour, mais 96% se disent influencés par les avis de leurs amis. La
nouvelle fonctionnalité de Facebook, Graph Search, leur permet par exemple de
connaître les préférences touristiques de leurs amis.
• Les médias sociaux ont bouleversé la communication. Il ne s'agit plus simplement de
diffuser un discours, mais de converser avec les touristes, voire d'interagir avec eux.
• Leurs priorités sur les médias sociaux:
o des descriptions visuelles
o des idées de destinations
o la découverte d’actualités festives et culturelles
o 75% des 18-34 ans utilisent les réseaux sociaux pour trouver des idées de
destinations en Europe: Facebook, Twitter, mais aussi d’autres plateformes plus
spécialisées comme Instagram pour les photos ou Vine pour les vidéos
57
58. Pendant: l’info pratique, le partage
Selon le Daily Mail, 70% des voyageurs actualisent leur page Facebook en vacances
58
59. Pendant: Internet de séjour et wifi
• L’« Internet de séjour" est le compagnon du visiteur. Il lui donne accès à Internet et
à des informations pratiques à application immédiate. Etant donné le coût de
l’accès au Web par téléphone portable à l’étranger, le wi-fi devient nécessaire en
mobilité.
Pour 38% des voyageurs, l’accès
gratuit au wi-fi est une condition
sine qua non de leur réservation
dans un hôtel.
(Etude Xirrus et Moonblink, août
2013)
De plus en plus de grandes villes
proposent des spots wi-fi
gratuits, comme à Paris dan les
parcs publics par exemple.
59
63. La révolution mobile
• Depuis deux ans, l’Internet mobile se développe de manière exponentielle. Plus d’un quart
de la population mondiale possède un smartphone et la totalité du parc de téléphonie
mobile devrait être couverte d’ici 2020.
• D’ici 2015, la majorité des connexions devraient se faire par l’intermédiaire d’un appareil
mobile –smartphone ou tablette-, y compris dans la préparation des voyages, comme c’est
déjà la tendance.
• 26% des e-touristes ont utilisé leur smartphone pour leurs séjours de loisirs: services et
applications donnent accès à des offres géolocalisées et en temps réel, selon leurs
envies, besoins et profils. C’est un compagnon de voyage qui permet le sur-mesure.
• Les médias sociaux représentent la 2e activité la plus populaire sur les appareils
mobiles, après l’accès à Internet, selon une enquête réalisée à l’été 2012. La plupart des
mobinautes passent en moyenne plus de 17 minutes par jour sur leurs comptes sociaux. 58%
des utilisateurs de Facebook y accèdent sur un appareil mobile.
=> Le e-tourisme, N°1 du e-commerce, doit se penser mobile.
64. SO-LO-MO: SOcial-LOcal-MObile
• LOcal: que faire, là où je me trouve, lorsque je m'y trouve? L'offre
touristique, géolocalisée, doit être accessible et consommable
immédiatement
• MObile: exploiter toutes les fonctionnalités du mobile
(géolocalisation, couponing, réalité augmentée…) afin de faciliter
les déplacements, accroître la consommation de produits
touristiques et enrichir l'expérience sur place.
• SOcial: le touriste souhaite participer activement à la promotion
d'un produit touristique et en devenir un ambassadeur auprès de
sa communauté
64
65. Le profil des mobinautes
(Source: RDV Etourisme M Tourisme Anglet 18 oct.
2012) 65
71. 4 types d’accès en mobilité
• Il existe aujourd’hui 4 types d’accès à l’Internet en mobilité:
o Sur la version conçue pour l’Internet fixe: le site Web est complet mais le format mobile
ne permet pas forcément d’accéder à toutes les informations et fonctionnalités et le
temps de chargement peut être long, ce qui multiplie le risque d’abandon.
o Sur un site « responsive », qui s’adapte au format de l’écran, smartphone ou tablette: le
site et ses fonctionnalités sont accessibles mais le temps de chargement est plus long et
donc le risque d’abandon plus élevé, surtout sur un site marchand.
o Sur une version mobile du site Web: l’interface est spécifique et les fonctionnalités
limitées au nécessaire en mobilité.
o Sur une application dédiée: il s’agit d’un logiciel développé spécialement pour l’usage
sur appareil mobile (2 terminaux principaux: Android et iPhone), pour répondre aux
besoins et contraintes de la mobilité en termes de simplicité, d’ergonomie et de rapidité
de chargement notamment. Dans ce cas de figure optimal, le mobinaute ne se trouve
plus sur le Web. L’application a accès à toutes les fonctionnalités avancées du terminal.
=> Objectif: améliorer le taux de conversion: 35% des internautes français ont préparé leurs
vacances depuis leur téléphone mobile en 2012 mais seuls 10% ont acheté des biens et des
services touristiques depuis leur smartphone. Il faut les rassurer sur la sécurité des données
et transactions. Les étrangers, eux, s’inquiètent du coût de connexion.
71
72. Le moteur de recherche devant l’appli
72
L’application dédiée n’est
pas le premier réflexe des
touristes mobinautes, qui
passent plutôt par le
moteur de recherche pour
réserver
74. Un choix stratégique et financier
• Toutes les grandes marques possèdent aujourd'hui une version mobile de leur site
Internet, voire une application native permettant d'élargir l'accès à leur offre. Les moyens
de paiement sont également simplifiés pour favoriser l’achat d’impulsion, en « 3 clics ». Ces
tendances devraient encore s'amplifier avec le développement du marché des tablettes
tactiles, qui apportent une navigation plus fluide.
Mais le développement d’une application coûte cher et seuls les acteurs majeurs du tourisme
possèdent les moyens financiers et humains de proposer leur offre sur les deux
plateformes. En outre, étant donné la multitude d’applications existantes, il faut prévoir un
budget de communication pour faire connaître l’application auprès des utilisateurs.
• La problématique pour les PME et TPE est toujours la même: exister à côté des gros acteurs.
Si l’entreprise ne possède pas pour le moment un budget suffisant pour développer une
application et la faire connaître, la Direction générale de la compétitivité de l’industrie et des
services (DGCIS) conseille le site mobile, moins coûteux à développer, et le travail avec des
sites agrégateurs capables de valoriser leur offre.
74
75. Les infomédiaires
75
Les « infomédiaires » sont des sites d'information ou communautés qui produisent
et diffusent une information qualifiée et proposent un lien direct pour passer
commande auprès d'un marchand en ligne. L'infomédiaire joue donc à la fois le
rôle de prescripteur et d'intermédiaire, sans intervenir directement dans la
transaction.
76. Etre visible
Le dispositif mobile doit se rendre visible:
o Sur les moteurs de recherche:
Référencement naturel: optimiser les titres, balises, images, mots-clés, produire du
rich-content, renvoyer le mobinaute vers le site mobile, créer un sitemap mobile
Référencement payant
o Sur les sites Web des offices de tourisme locaux, annuaires locaux ou spécialisés et les
infomédiaires touristiques:
Inscription (ex: creative.org, creativetourismnetwork.org, atoutfrance.com,
Display
Affiliation
o Sur les médias sociaux: Facebook, Twiter, les blogs influents, Pinterest, Youtube…
o Emailing
o Physiquement: par du marketing « classique»: affichage, Qrcode, tractage, partenariats
locaux, événements, salons, relations de presse…
76
78. Mobile first…mais pas seulement!
Les dispositifs mobiles constituent donc un nouveau canal de diffusion de l'offre touristique
permettant de toucher une clientèle plus large et plus diversifiée, mais ils ne se substituent
aucunement aux autres supports de communication.
78
« Le déploiement de services mobiles n'a de sens
que s'il répond à une stratégie multi-canal basée
sur les attentes d’une cible touristique et
répondant à des objectifs précis »
(Ministère du Tourisme, « Prospectives du m-
tourisme », 2011)