Journal réalisé par les étudiants de la Licence Pro Comen 2014-2015 de l'IUT de Dijon, dans le cadre du cours de communication interne-externe de Lise Gardavot.
Objectif : accroître la visibilité et la notoriété de la licence et, plus largement, de la filière Info-Com à Dijon auprès des étudiants et futurs étudiants, des dirigeants d'entreprises et, au sein de l'Université de Bourgogne
3. Avec le développement des nouveaux moyens de communication, notamment
les réseaux sociaux, les possibilités offertes à chacun d’entre nous de s’exprimer se sont
encore accrues. Face à ce flux constant d’informations et d’opinions diverses et variées,
les marques souhaitant communiquer sont aujourd’hui contraintes de revoir leur stratégie.
Ilnes’agitplusseulementdetransmettreuneinformationàsonpublicmaisd’échanger
avec lui, d’entendre les avis exprimés. Il importe pour cela, de s’appuyer sur de véritables
professionnels de la communication, formés à l’utilisation des nouveaux outils et capables
de se positionner en médiateurs. C’est justement l’objectif poursuivi par la Licence Comen.
Certainement plus que les années précédentes, les étudiants de la promotion
2014-2015 savent d’ailleurs aujourd’hui qu’ils ont un rôle clé à jouer dans cette nouvelle
organisation du monde de l’information et de la communication.
En attendant, leur formation se poursuit et c’est dans ce cadre, qu’un nouveau
numéro du «Comen Déchaîné» vous est proposé.
Bonne lecture.
Edito
COMEN Déchainé - Février 20154
La liberté d’expression est depuis
quelques semaines sur toutes les lèvres, au bout
de chaque plume, sur chaque clavier. Mais
avons-nous vraiment conscience aujourd’hui
de ce que représente, pour chacun d’entre
nous, cette si précieuse liberté d’expression ?
L’internaute, qui commente un article, qui
donne son avis sur une marque ou un produit,
celui qui publie une information sur Facebook
ou sur Twitter a-t-il pleinement conscience de
cette liberté, dont il dispose, d’exprimer ainsi
son opinion, plus encore aujourd’hui qu’hier ?
Vraisemblablement pas. Et ce, pour une bonne
raison, la liberté d’expression en France est
un droit fondamental, un principe intangible,
depuis suffisamment longtemps pour que nous
la considérions comme une évidence.
2012 - L. GARDAVOT
4. Directeur de la publication
Jean-Philippe DUPUY
Codirectrice
Lise GARDAVOT
Mise en page
Marie MARRAS - Amélie THEVENIN
Photos
Les étudiants de COMEN sauf indication contarire.
Contact
IUT Dijon / Auxerre
Boulevard Docteur Petitjean
BP 17867 21078 Dijon CEDEX
FRANCE
SOMMAIRE
Février 2015 - COMEN Déchainé 5
Dijon sous tous les angles P7
Vivre sur le Campus P29
La filière Info-Com P45
6. Février 2015 - COMEN Déchainé 7
DIJONSOUS TOUS LES ANGLES
7. TOP 5 DE CE QUE TOUT ETUDIANT DECOUVRE
EN ARRIVANT À DIJON !
Toi étudiant, perdu, qui viens d’arriver à Dijon, cet article t’intéressera. Oui, quand on
te dit Dijon, tu penses à la moutarde… Mais non, rassure toi, il n’y a pas que ça, il y a
tellement de belles choses à Dijon et de nombreux lieux à découvrir.
Rien que pour toi, voici 5 lieux clés que tu vas forcément fréquenter.
1er : L’endroit où tu vas passer 7 à 8 heures par jour, où tu vas rencontrer des
nouvelles personnes, vivre de bons et de moins bons moments : le campus. Il faut savoir
quand même que Dijon est 5ème au classement des grandes villes étudiantes. Autant te
prévenir dès maintenant, tu seras perdu au début, comme tout le monde (moi y compris)
mais tu verras, c’est une nouvelle vie qui commence : la vie étudiante ! L’IUT n’est qu’une
petite partie de la fac, mais bonne ambiance et convivialité t’attendent !
2ème : Pour te détendre après ta journée de cours ou pendant tes week-ends,
Dijon a la chance d’avoir THE centre commercial : la Toison d’or. Véritable temple pour
tout passionné du shopping qui se respecte, ce centre commercial est le plus important de
Bourgogne Franche - Comté. Depuis plus d’un an, tu as désormais plus de 160 magasins à
ta disposition (dont Primark, un des seuls de France !). Plus de 8 millions de visiteurs s’y sont
rendus depuis sa rénovation il y a seulement un an. Avoue que tu aimes de plus en plus
Dijon !
Petite date à connaitre : les soldes commencent le 24 juin prochain.
Dijon sous tous les angles
COMEN Déchainé - Février 20158
2013 Photographe Alain Potignon
La sapin de Noël se dresse sur la place du piano.
WikimediaCommon
8. Emmannuelle RHOTON
3ème : Véritable emblème de Dijon, porte-bonheur chéri
des Dijonnais, la Chouette attise la curiosité des touristes. Figée dans
la pierre du contrefort nord de l’église Notre-Dame depuis des lustres
(XVème siècle), nombre de touristes viennent l’apercevoir. Si tu as envie
de découvrir l’histoire de notre belle ville, viens participer au Parcours
de la Chouette. Suis les 22 petites chouettes dorées, posées sur le sol et
parcours la ville de Dijon et son histoire.
Petite anecdote : viens toucher le ventre de la Chouette avec
ta main gauche et fais un vœu. Qui sait, elle te portera chance…
4ème : Le tram. Oh oui, joli tram ! Tous les dijonnais l’attendaient
avec impatience, depuis 2 ans. Finis les trajets des bus plein de détours,
vive la rapidité. Le tram a facilité la vie de bons nombres de riverains et
d’étudiants. Tout neuf (et tout violet), le tram te permet par exemple de
te rendre à la fac en 20 minutes depuis la gare.
PSSSS : ça reste entre nous, mais je préfère te prévenir tu risques
d’être un peu serré pendant les heures de pointe (7h-9h et 16h-19h).
Mais profite-en pour faire connaissance avec ton voisin ou ta voisine, un
coup de foudre, ça arrive n’importe quand.
5ème : Petit moment culturel, Dijon possède de nombreux
musées proposant une diversité importante d’œuvres d’arts et d’artistes.
Le musée des Beaux arts (1 rue Rameau à Dijon) est l’un des plus riches
musées de France grâce à ses nombreuses œuvres exposées, dont
notamment les tombeaux des ducs de Bourgogne, ses tableaux primitifs
flamands, suisses et rhénans. Découvre aussi des moulages d’œuvres du
célèbre sculpteur Dijonnais Francois Rude dans son musée 8 rue Vaillant
à Dijon.
De nombreux musées t’ouvrent leurs portes, alors sois curieux et
découvre notre ville.
Signé : Une étudiante Dijonnaise, prête à vous faire découvrir
Dijon dans ses moindres recoins.
Février 2015 - COMEN Déchainé 9
« Prêts à vous faire
découvrir Dijon dans
ses moindres recoins ? »
9. LE PATRIMOINE DE DIJON, UNE HISTOIRE DE
VIEILLE CHOUETTE ?
Le rite lié à la chouette de l’église Notre Dame conquiert de plus en plus de touristes visitant
la ville aux 100 clochers. Qui sont ces adeptes d’une nouvelle forme de tourisme de masse ?
Un rite d’adoration bien étrange…
Chinois, Allemands, voir même pour
certains Français, des dizaines de touristes venus
de toute la planète se donnent rendez-vous en
un lieu public pour pratiquer un rite étrange...
: caresser une vieille chouette accrochée à la
façade d’une des églises les plus anciennes de
la capitale des ducs de Bourgogne.
Ainsi, chaque jour, ces courageux adeptes
de l’Aventure au coin de la rue, mais qui restent
attachés à un fond de superstition païen,
rendent un culte à cet oiseau qui symbolisa au
Moyen-Age toutes les frayeurs attachées à un
être vivant de nuit.
Qu’est-ce qui pousse donc ces touristes à
polir de leurs mains avides, un animal qu’il n’y a
pas longtemps encore on clouait sur les portes ?
entre moutarde de luxe, grands crus prestigieux
et kir légendaires, qu’est ce qui motivent nos
foules passagères à errer ainsi au fond de ruelles
nocturnes ?
C’est que la chouette de Notre Dame fait
partie du parcours dont elle porte le nom. Celui-
ci traverse les fameux quartiers de Dijon. Suivez le
guide et sortez votre porte-monnaie car l’oiseau
nocturne vous allègera de quelque trois euros
cinquante pour vous conduire jusqu’au Puits de
Moïse en 15 étapes.
COMEN Déchainé - Février 201510
Dijon sous tous les angles
10. Manuel REIGNER
Fausse chouette pour vrais touristes !
Mais nous ne sommes plus au temps des sorcières et de leurs animaux
fétiches : au temps des digital native que nous sommes, le touriste prépare
sa visite sur le site internet de l’office de tourisme, se meut en segway, ces
vélos électriques à deux roues dotées de gyroscopes - ou télécharge sur
son smartphone l’application Click’nVisit pour aller jusqu’à Beaune.
La retour à la réalité conduira aussi notre visiteur à découvrir que
la chouette n’est pas plus en pierre du XIIe siècle que la résine qui la
constitue est naturelle. Non, la chouette est hybride, suite à la réparation
dont elle fit les frais en 2001. Un trublion l’avait martyrisé à coup de pic.
Fausse icône pour vrais touristes, le parcours de la chouette vaut
le détour : vous y trouverez plus de profit en musardant dans les rues
adjacentes. L’aventure est peut être au bout de la chouette…elle sera
encore plus dans ce que vous y découvrirez vous-mêmes.
Février 2015 - COMEN Déchainé 11
11. BIEN MANGER SANS SE RUINER
Se régaler à moins de 10 € c’est possible… Découvrez 5 lieux atypiques !
Alchimia
Le concept est simple : faire une pause
gourmande dans une galerie d’art. Situé
dans le quartier des antiquaires, Alchimia
propose des sandwichs aux goûts originaux et
de délicieux petits desserts. Déco industrielle,
ambiance chaleureuse, vous pourrez à la fois
déjeuner et découvrir un artiste. Coffee Shop,
galerie d’art, bar… assistez à un vernissage
ou à un concert tout en vous régalant !
13-15 rue Auguste Comte – 21000 Dijon
06 44 90 10 22
L’Epicerie & cie
Incontournable à Dijon, ce
restaurant propose un plat du jour à
moins de 10€ tous les midis ! Comme
son nom l’indique, le cadre chaleureux
rappelle les épiceries d’avant guerre.
Nous, on craque pour les frites «maisons
cuites dans la graisse de canard»…
5 Place Emile Zola – 21000 Dijon
03 80 30 70 69
COMEN Déchainé - Février 201512
Dijon sous tous les angles
12. Marinade
La Marinade propose des
brochettes de viande ou de légume
dans une galette façon « wrap » :
un nouveau concept orignal dans
un lieu authentique. Sur place ou à
emporter, vous pourrez agrémenter
votre sandwich de frites ou de salade
et vous faire plaisir avec un dessert !
12 rue François Rude – 21000 Dijon
03 80 30 72 04
Eléanore VENAIL
La Casa des Crêpes
Déguster les spécialités
bretonnes à Dijon, c’est possible!
La Casa des Crêpes offre un
large choix de délicieuses
galettes mais aussi de salades
pour un agréable repas. Leurs
recettes sont à déguster sans
modération !
39 rue Monge – 21000 Dijon
03 80 43 53 92
Péniche Cancale
Unique à Dijon, la Péniche Cancale mélange l’univers
artistique à celui de la cuisine. Vous pourrez déguster les plats
maison du chef du jeudi au samedi de 18h à 21h : grillades à
la plancha, tapas, planches à partager … Ce lieu atypique
et convivial propose des expositions, des concerts, du théâtre
et comblera vos papilles ! Profitez du concert gratuit chaque
premier jeudi du mois pour y faire un tour !
14 avenue Jean Jaurès – 21000 Dijon
03 80 43 15 72
Février 2015 - COMEN Déchainé 13
13. MUSIQUE :
QUE CHACUN SE LAISSE EMPORTER !
La musique a sa place à Dijon ! Forte de ses nombreux étudiants, la ville met un point
d’honneur à organiser des évènements musicaux pour tous les goûts. Nous vous
proposons ici une liste non exhaustive des lieux emblématiques de la scène dijonnaise.
• La Vapeur
Établissement public de la ville de Dijon, La Vapeur est un équipement
entièrement dédié aux musiques actuelles. La structure exploite 2 salles de
concerts et 5 studios de répétitions. A noter qu’elle est facilement accessible
avec les transports en commun. Un des lieux privilégiés de la jeunesse !
• L’Atheneum
Ce centre culturel est un établissement de proximité à vocation
pluridisciplinaire (spectacle vivant, création contemporaine, culture
scientifique, rencontres culturelles et nouvelles technologies, autour des
arts plastiques, de la musique, de la danse, du cinéma, du théâtre, et de la
littérature). Il propose plus d’une centaine de manifestations par an, pendant
la période universitaire. La programmation vise en particulier les étudiants. Une
salle de concert peu conventionnelle qui vaut le détour !
• L’Opéra
L’Opéra regroupe deux grandes salles : L’Auditorium et le Grand Théâtre
Au cœur de leur projet artistique et dans leurs programmations respectives, la
musique ! Pour en savoir plus, au fur et à mesure du déroulement de la saison
a lieu un rendez-vous ponctuel tous les lundis du mois à 18h pour vous écouter,
pour vous informer, vous faire rencontrer musiciens, metteurs en scène ou
chorégraphes et en savoir plus sur les spectacles ou les créations à venir.
COMEN Déchainé - Février 201514
Dijon sous tous les angles
14. Tom SOUVERAIN
• La Péniche Cancale
Une péniche reconvertie en salle de concert, c’est déjà un
bonargumentpourdécouvrircelieuatypique.Lesstylesmusicaux
sont très variés selon les soirées : musiques électroniques, jazz,
hip-hop, musiques afro, fanfare balkanique, … Vous y trouverez
forcement votre compte.
• Le Zénith
Cettesalledespectacled’unecapacitéde9000personnes
est un lieu incontournable de la scène musicale dijonnaise. Sa
surface lui permet d’accueillir les artistes les plus populaires du
moment, et promet une expérience unique. Idéalement placé
dans le quartier de la Toison d’Or, le Zénith promet des concerts
de qualité.
• Le Consortium
Ce centre d’art organise parfois des évènements musicaux
aux styles variés : musique contemporaine, improvisée,
électro, rock expérimental, noise... Des œuvres nouvelles sont
commandées à des compositeurs français et étrangers et de
nombreuses résidences de création ont lieu au Consortium.
Février 2015 - COMEN Déchainé 15
15. DIJON - LA CULTURE AUTREMENT
Dijon est une ville investie dans la préservation et le développement de son patrimoine
historique, connu et reconnu internationalement, et de son patrimoine culturel qui n’a
cessé de s’enrichir au fil des années. Les nombreux musées, cinémas, salles de spectacles
participent à cultiver la richesse de Dijon. Mais il existe aussi des lieux dédiés à la culture
qui sortent de l’ordinaire et permettent de s’instruire et de découvrir autrement.
COMEN Déchainé - Février 201516
Dijon sous tous les angles
16. Le P’tit ciné Berbisey, bien plus
qu’un simple cinéma
Echange et Convivialité, voilà
deux mots qui résument bien l’esprit
du P’tit ciné Berbisey. Ce lieu culturel
comportant une unique salle de
24 places propose une autre vision
du cinéma. En effet, la séance ne
s’arrête pas lorsqu’apparaît le fameux
« The End » sur l’écran. Le P’tit ciné
permet aux spectateurs de débattre
et échanger leurs points de vue sur le
films qu’ils viennent de voir ou sur les
thèmes qui en découlent.
Ce cinéma associatif
conviendra à tous ceux qui en ont
marre des blockbusters américains et
qui recherchent un esprit de partage.
9 rue de la Manutention, 21000 Dijon
Le caf&co, apprendre autour d’un
café
Un café culturel ? Et bien oui
: le caf&co. En plus de proposer
des produits issus du commerce
équitable, ce café propose au public
des activités ludiques et culturelles et
des services solidaires pour les familles
et le respect de l’environnement.
Le caf&co est un lieu idéal pour
apprendre en s’amusant, pour
enrichir ses compétences musicales
et linguistiques et bien sûr faire de
nouvelles rencontres. Ce lieu original
prouve qu’il existe d’innombrable
moyen de se cultiver à Dijon.
Ce café participatif et engagé
conviendra à tous ceux qui ont une
certaine soif d’apprendre et qui
ont une conscience écologique et
responsable.
27 rue Jean Jacques Rousseau,
21000 Dijon Février 2015 - COMEN Déchainé 17
L’espace autogéré des
Tanneries
Ce lieu géré par
l’autofinancement, le don et le
bénévolat propose, chaque
week-end, des soirées concerts
où danser, heandbanger et
s’amuser sont de rigueur. Aussi,
les amateurs de street art en
prendront plein les yeux, tous
les murs de l’établissement sont
recouverts de citations et de
tags colorés.
L’ambiance décontractée
des Tanneries et la musique
diffusée (dub, electro, drum’n
bass, punk …) rassemblent un
public très varié même s’il est
majoritairement jeune.
Ce lieu est actuellement situé
boulevard Chicago à Dijon et
sera délocalisé début 2015 à
Chenôve.
Cet espace autogéré
conviendraàtousceuxquiontun
côté grunge et anticonformiste
et qui souhaite s’échapper de
la société le temps d’un soir.
Candice CHARLIEUX
17. Dans les coulisses de SEB :
l’innovation et la cuisine connectée au cœur
des enjeux !
Il est 9h, nous sommes le lundi 3 novembre, j’apprends que je vais assister dans 48h à la
Table Ronde organisée par le pôle de compétitivité Vitagora lors de la Foire Internationale
et Gastronomique de Dijon sur le thème : « l’alimentation connectée, une carte à jouer
pour la France. A la suite de laquelle, je ferai une démonstration du Cookéo Connect
aux 60 invités présents. A la fois excitée et angoissée par ce qui m’attend, c’est dans ce
contexte que je décide de faire une recherche sur la place de l’innovation au sein du
Groupe Seb. La cuisine connectée devient-elle une réalité ?
« Avec l’internationalisation et les marques, l’innovation est l’un des
trois éléments fondamentaux de la croissance et de la réussite de notre
groupe », explique Philippe Crevoisier, Directeur général de l’activité électrique culinaire.
La mission du Groupe Seb est d’améliorer et de faciliter la vie des consommateurs pour
augmenter leur qualité de vie au quotidien comme avoir une meilleure alimentation. Il crée
de la valeur en enrichissant chaque année l’offre produit et il contribue à la croissance de
l’industrie du petit électroménager en inventant la vie de demain.
COMEN Déchainé - Février 201518
Dijon sous tous les angles
18. Aurore JAMET
Rapidement, notre Directeur Général oriente le débat sur le
produit Star de la fin de l’année, le Cookéo Connect de la marque
Moulinex récompensé aux Trophées des Objets Connectés 2014. Ce
multicuiseur intelligent connecté est le 1er appareil capable d’échanger
des informations en temps réel par Bluetooth grâce son application «
moncookéo ».
Très simple d’utilisation, il offre aux utilisateurs une interactivité et 4
bénéfices sans précédent : des recettes accessibles partout, des pas à
pas en image détaillés, une évaluation et un partage des recettes, et une
liste de courses de toutes ses recettes préférées. « Cookéo Connect est
un concept unique et n’est pas perçu comme un gadget contrairement
à certains objets connectés », souligne Xavier Boidevézi, Directeur
Développement des Marchés au sein de l’Activité Electrique Culinaire
pour clore le sujet.
19h30, c’est la fin des échanges. Les invités se rendent au cocktail et
découvrent le Cookéo Connect fièrement posé sur un plot lumineux blanc.
Sous les projecteurs, le show débute. Je décris un à un les avantages de
ce multicuiseur intelligent connecté. Cuisiner rapidement avec un temps
et un mode de cuisson adapté à chaque recette. Cuisiner sans se poser
de questions sur les quantités. Cuisiner en différé. Cuisiner et ne plus avoir
besoin d’écrire sa liste de course sur un papier. Cuisiner sans surveillance…
Seb c’est (vraiment) bien, car tout cela est possible avec le Cookéo
Connect !
Une véritable révolution est en marche dans la cuisine des foyers
français et Seb plaçant l’innovation au cœur de ses priorités en est en
partie responsable !
Innovation SEB, les chiffres clés :
- 60% des ventes réalisées avec des
produits de moins de 3 ans
- 148 Millions d’euros par an investis
en innovation
- 115 brevets déposés en 2013
- 900 personnes mobilisées sur la
Recherche et le Développement
Février 2015 - COMEN Déchainé 19
19. Dijon, une ville connectée !
EN CHIFFRES
1 développement des raccordements en fibre optique sur la ville et certains quartiers
prioritaires
1 Maison Régionale de l’Innovation (21 structures)
1 incubateur régional d’entreprises, Premice (127 incubés)
6 grands pôles d’investissements à Dijon
76% des entreprises du secteur TIC sont situées sur l’agglomération dijonnaise
9 Points d’Accès Numérique de Dijon et de son Agglomération
4 bornes internet situées au cœur de Dijon
1 quartier du numérique et des TIC en implantation Quai Nicolas Rollin
1 espace unique entièrement consacré aux objets connectés, Future-Connection
COMEN Déchainé - Février 201520
Dijon sous tous les angles
20. Habiba EL MANDILI
Être connecté ou ne pas être connecté ?
Dijon se connecte plus vite que son ombre.
Si vous voulez faire du repérage pour votre « shopping
liste » sans sortir de chez vous, poussez la vitrine digitale de vos
commerces avec Mappy. Dijon est la 4ème ville approchée
par le géant qui numérise les commerces.
Envie d’être informé sur la vie universitaire en temps
réel ?Détendez-vousdevantl’unedes11bornesinformatives
multimédia Bornéo de l’Université de Bourgogne.
Un petit creux ? Manger équilibré sans vous ruiner en
téléchargeant PandAppetit. Recettes simples et originales
seront au rendez-vous.
Mais ça, c’était avant Sweepin !
Sweepin, qu’est-ce que c’est ?
Février 2015 - COMEN Déchainé 21
Quand ça ?
Il suffit de télécharger Sweepin en un clic. Vous recevrez
l’information en temps réel dès que vous vous trouverez à moins de
60 mètres d’une zone équipée. Le contenu sera crée, personnalisé et
envoyé par le professionnel lui-même. C’est simple, gratuit et unique en
son genre.
Et si j’en ai assez d’être connecté ?
Encore plus simple qu’à l’hôtel, vous cliquez sur « ne pas déranger »
et le silence s’installe...
Vous pouvez choisir d’être informé sur toutes les marques ou
uniquement sur vos marques préférées. Aujourd’hui, vous ne souhaitez
recevoir que des bons plans sur la restauration. Rien de plus simple,
faites un choix par catégorie.
Alors, qui dit mieux !?
http://www.sweepin.fr
Vous avez toujours rêvé de tomber sur LE bon plan. Vous avez
envie de sortir, vous recherchez un T3 au centre-ville, une place de
concert de votre groupe préféré ou à assurer votre voiture. Vous n’avez
aucune idée sur la question et surtout aucune envie de passer la
journée à chercher. Si vous n’allez pas à l’information, Sweepin viendra
à vous. L’idée est simple, unique en France et il fallait y penser. Exit
le matraquage massif de pubs, d’informations, de spams et que sais-
je encore reçus quotidiennement sur votre boite mail. Commerçants,
banques, institutions touristiques, événementiels, assurances et bien
d’autres communiquent maintenant via un service d’information
personnalisé de proximité grâce aux balises Bluetooth et au GPS qui
enregistrent vos déplacements, vos besoins et vos
préférences.
21. Le Dijon des transports - ça roule.
Les transports en commun deviennent la priorité de beaucoup d’agglomérations,
préférant cette solution économique et écologique à la voiture. C’est le cas de Dijon,
qui a récemment réintroduit le Tram dans son environnement urbain. Alain H., Clélie G. et
Gaston D partagent leurs habitudes et leurs commentaires sur le Dijon des transports.
Les bus dans l’intra, le tram sur 20km
de voies, les pistes cyclables à tout va :
c’est un minimum, pas si minime, qui suffit
largement. C’est en tout cas ce que nous
dit Clélie G., étudiante à l’IUT de Dijon : «
Le réseau me contente pour l’école, les
loisirs, et même les courses. C’est super
bien desservi ! ». Et le réseau, au delà de la
cartographie complexe des bus, c’est aussi
le tram!
Une vieille Histoire
Si Divia a entamé la mise en place du
tram en 2012, ce moyen de locomotion à
Dijon n’est pas une nouveauté. Il est revenu
sur le devant de la scène, mais il sillonnait
déjà les rues de la ville en 1888. Le réseau
Bus écrase petit à petit le Tram après la
Seconde Guerre Mondiale, et il disparaît en
1961.
De la Modernité à l’écologie
«LeTramc’estcommeunebulle,c’est
différent des autres transports en commun.
On s’y sent en sécurité, c’est beau, rapide,
et on y est bien assis. Je trouve ça parfait.
Et le bus nous emmène vraiment partout »,
déclare Alain H, Dijonnais employé de la
SNCF.
La préoccupation principale des
transports,estlerespectdel’environnement.
Le tram est silencieux. Il consomme dix
fois moins d’énergie que le bus. Cent fois
moins de GES qu’une voiture. Et il y a une
belle redistribution de l’espace entre les
piétons et les vélos. Le mieux, c’est encore
la trottinette, qui semble se développer de
plus en plus dans le monde des adultes!
Pratique à transporter et plus simple à garer
que le vélo, même les chefs d’entreprise
n’ont plus peur de la trottinette. Certaines
marquesontmêmedéveloppédesmodèles
Sport, Tout-terrain ou de Descente, dont les
prix peuvent atteindre ceux d’une petite
voiture (1500€). Alors, on tente la trottinette
à Dijon ?
La voiture en perte de vitesse
« C’est devenu impraticable en ville
avec la voiture. Je suis plombier, et mon
camion ne passe plus, ma femme trouve
une place pour se garer à 7h le matin, mais
elle sait qu’une demi heure plus tard, ce
n’est même plus la peine de chercher ! »
Gaston D.
COMEN Déchainé - Février 201522
Dijon sous tous les angles
22. Alban SIMON
« La municipalité essaie de faire reculer les voitures.
Il y a moins de pollution à Dijon qu’il y a plusieurs années.
Mais évidemment, il faut pouvoir se le permettre pour
prendre les transports en commun non-stop. Il ne faut pas
avoir d’évier ou de baignoire à transporter. Je ne vous
parle même pas de faire ces voyages en trottinette. En
plus, il y certains croisements avec le Tram qui peuvent être
dangereux quand on est un conducteur un peu dans la
lune. Mais dans l’ensemble, ça se passe bien : on n’est pas
à Paris ! », continue Gaston.
« Le tram c’est comme une
bulle. »
Sortir le soir
« Les transports me permettent d’aller à la Toison d’Or, voir les match
de foot, voir ma femme qui travaille au rond point de la nation, mais
aussi pour sortir de Dijon, pour faire mes randonnées. J’ai pris l’habitude
de ne plus utiliser la voiture. Les grandes distances ? Je les fais en train »,
dévoile Alain H.
« Et je donne un bonus à Dijon et sa ligne de bus ‘Pleine Lune’
faite pour les fêtards, super pratique pour rentrer même en pleine nuit! »
indique Clélie.G, conquise par l’efficacité du système Dijonnais.
Alors, si on laissait la voiture de côté ?
Février 2015 - COMEN Déchainé 23
23. « CHARLES ROZOY, UN CHAMPION
DIJONNAIS NÉ DEUX FOIS »
« On ne naît pas nageur mais on le devient ». Cette phrase l’anime et le motive depuis
son plus jeune âge. Désormais champion paralympique du 100 m papillon lors des
derniers Jeux à Londres, Charles Rozoy a atteint son objectif, il fait maintenant partie de
la famille des sportifs champions Olympiques et pourtant rien ne le destinait à une telle
carrière… .
A 27 ans, Charles Rozoy est déjà champion de France, champion d’Europe et
Champion paralympique. Il m’accueille en toute modestie au restaurant thaïlandais dans
un cadre convivial. Le nageur Dijonnais, surnommé dans le milieu « Némo », n’a rien d’un
poisson clown. Imposant par son physique, la couleur de ses yeux reflète sa passion. Il
est issu d’une famille de sportifs, ce ne sont pas ses parents qui l’ont conduit vers cette
profession mais bien son rêve d’enfant « devenir champion Olympique », assure-t-il.
Né sous le signe du poisson, c’est donc naturellement dès ses sept ans que Charles
commence la natation au sein du club Alliance Dijon Natation. Doué et motivé, il intègre
le Pôle Espoir en 2002 pour quatre ans, avant d’être renvoyé par manque de résultats
sportifs. A la suite de cet événement, il connaît quelques passages à vide mais décide de
se reprendre en main et d’entrer en STAPS (faculté de sport). C’est alors qu’il retrouve avec
plaisir le chemin des bassins et qu’il réussit à se dépasser sportivement lors du championnat
de France N2. Se qualifiant comme « champion du monde de l’entrainement », il confie
aujourd’hui que « l’important n’est pas de participer mais de donner le meilleur de soi-
même ».
Le jour où tout a basculé.
Nageur de haut niveau chez les valides, il voit sa carrière fauchée comme la moto
sur laquelle il se trouvait ce 26 juillet 2008, percutée par un automobiliste irresponsable. À
la suite de cet accident, il se retrouve partiellement paralysé du bras gauche et même
après plusieurs lourdes opérations (« les cicatrices sont très visibles quand je suis en maillot
»), il ne pourra retrouver l’usage et la force nécessaire de ce membre pour pouvoir nager
aux côtés de ses compagnons d’entraînement.
« Un champion ne meurt jamais. »
COMEN Déchainé - Février 201524
Dijon sous tous les angles
24. Cécile CREUSOT
« L’effet papillon »
Un jour de rééducation à la piscine, quelques paroles d’un groupe
de jeunes ont suffi à le faire renaitre : « Oh c’est Charles ROZOY, il était bon
avant son accident... dommage il est foutu maintenant ». Au souvenir
de cette phrase, son regard reflète toute sa détermination d’athlète de
haut niveau : « Un champion ne meurt jamais » dit-il en souriant. Le monde
handisport s’offre à lui et en 2009, il confirme son retour, élu meilleur nageur
de sa catégorie handisport. Parvenu au plus haut niveau en 2012, il se
pare d’or lors des jeux paralympiques de Londres. Il triomphe au 100m
papillon en 1’1’24, « champion olympique ou paralympique, c’est la
même chose pour moi » dit-il avec émotion.
Sur cette lancée, on retrouve sa fidélité, au côté de son entraineur
Sylvain Fréville, et de son club Alliance Dijon Nation où il nagera « jusqu’à
la retraite » dit-il, en adepte de la dérision !
Un sportif mais pas seulement …
Son métier de nageur professionnel, il l’aime mais il n’y consacre
pas pour autant toute sa vie. C’est confiant qu’il n’hésite pas à partager
son expérience lors de conférences « motivationnelles » sur le handicap
dans les établissements scolaires ou auprès de structures accueillant des
handicapés afin de faire évoluer les mentalités : « il ne s’agit pas d’être un
exemple, mais juste de partager les choses naturellement. Et si cela peut
aider, tant mieux »…Un exemple à suivre et un homme à connaître.
Février 2015 - COMEN Déchainé 25
25. LES CLUBS SPORTIFS DE DIJON
Surnommée « La Sportive », la ville de Dijon consacre environ 9% de son budget annuel à
sa politique sportive. Classée 3ème ville la plus sportive de France, elle ne cesse
d’investir dans tout les domaines sportifs afin de conforter son influence et sa place de
capitale régionale de Bourgogne. Les investissements de ces 10 dernières années ont
permis à des clubs de se hisser dans l’élite du sport français.
Nous avons sélectionné pour vous 5 clubs dijonnais emblématiques :
Dijon Football Côte-d’Or
Devenu club professionnel en 2004 grâce à
sa montée en Ligue 2, le DFCO est le fer de lance
footballistique de la ville de Dijon. Avec une saison
en Ligue 1 en 2011-2012, l’équipe a prouvé qu’elle
avait le potentiel pour faire partie de la division
d’élite en tentant de rivaliser avec les plus grands
clubs français avant de redescendre en Ligue 2.
Créé en 1988, c’est un des clubs de football les
plus jeunes au niveau professionnel représentant
parfaitement les valeurs de la ville dijonnaise dans
ce sport : jeune mais ambitieux.
Stade Dijonnais
Créé en juillet 1923, ce club de rugby fait les
beaux jours des amoureux du ballon oval. Avec
des débuts remarqués, il se fait une place dans la
ville. Lors de belles saisons, en 1970-71 et 1971-72,
saisons durant lesquelles il atteignit à deux reprises
les 1/8ème de finale (Top 16 de l’époque) battu de
peu par Béziers puis par Brive. Aujourd’hui, le club
évolue en Fédérale 1 (3ème division).
COMEN Déchainé - Février 201526
Dijon sous tous les angles
26. Fabien TROIVAUX
Dijon Hockey Club
Le DHC, fondé en 1969, est un des clubs phare de Dijon. Il fait
partie de la division d’élite d’Hockey (ou ligue Magnus). Si vous souhaitez
découvrir au fil de l’année ce que le hockey sur glace offre de meilleur
comme niveau de jeu français, n’hésitez pas une seule seconde !
Alliance Dijon Natation
9ème du classement général interclubs français en 2014, l’ADN
prouve que cette structure sait concurrencer les grosses « écuries ». Les
résultats récents ne laissent aucun doute sur la qualité de l’encadrement
de ses talents, mais aussi de ses jeunes pousses. L’avenir est à l’optimisme
pour les prochaines années dans les eaux dijonnaises.
Les investissements réalisés sont en train de porter leurs fruits depuis
quelques années et les effets devraient se faire sentir sur le long terme
grâce à la politique pérenne menée.
Sur le plan national, la ville de Dijon peut être fière au vu du
nombre d’administrés pratiquant une activité physique quotidienne..
Alors n’hésitez pas à venir découvrir et encourager nos sportifs car c’est
aussi le meilleur moyen de soutenir notre culture et notre tradition : celle
de Dijon dite « La Sportive » !
Jeanne D’arc Dijon Bourgogne
Equipe professionnelle de basket évoluant
actuellement en Pro A (division 1). Ce club créé en
1880 assure à Dijon une place emblématique dans
l’histoire du basket en France. Nul doute sur la
qualité de l’effectif et du jeu produit dans l’enceinte
bourguignonne quand on sait qu’il fait partie des 18
meilleures équipes françaises.
Février 2015 - COMEN Déchainé 27
29. THÉÂTRE MANSART : 5 BONNES RAISONS DE
NE PAS PASSER À CÔTÉ !
Sa situation géographique : à deux pas du centre ville et du Campus, au 94 bvd
Mansart, ce lieu de création artistique n’a rien à envier aux grands théâtres du centre- ville
de Dijon.
Sa programmation hétéroclite : de la danse (avec Perspectives Danse), du
cirque (avec Circonflex), des lectures (avec la Compagnie les Encombrants) de l’humour
(avec Sparse Awards) et bien d’autres spectacles époustouflants à retrouver sur
www.theatre-mansart.com
Ses ateliers de théâtre pour tous ceux qui ont envie d’essayer, d’explorer, de découvrir
les bases du jeu théâtral telles que le travail d’un texte, l’appréhension du corps, de la voix,
de l’espace.
Son univers de création original : pour tous les étudiants qui veulent pratiquer
leur instrument de musique, répéter en groupe, participer à la vie des différentes formations
collectives déjà existantes, le tout sans gêner leurs voisins, un auditorium de 170 m2 et 2
studios annexes équipés sont mis à leur disposition gratuitement.
Et bien sûr des prix minis pour tous les spectacles, 5€50 avec la carte culture.
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201530
30. Oreilles sensibles s’abstenir !
DespassionnésdemusiquePunkrock,ska,métaldéfrichentlestalents
de rock actuel en passe d’être connus localement voir nationalement.
L’émission n’oublie pas de prêter l’oreille à ce qui se fait en dehors de l’
Hexagone en décodant les actualités.
Chacun des animateurs a son propre petit jardin secret à vous faire
partager. Du son, des concerts, des blagues, des news, des conseils, des
initiatives…... Ça se passe tous les dimanches de 17h à 19h en direct et
sans pub avec Arthur, Benoit, Max, Céline, JeanJean…. et bien d’autres.
L’association Maloka et Bomb the Gig rythment votre début de soirée
17h : tout le monde est en place pour présenter Riot and Dance,
une émission de musiques alternatives qui existe depuis les débuts de
Radio Campus, en 1983. On y parle vinyles, nouveautés, rencontres, le tout
dans une ambiance musicale qui déménage ! On évoque la prochaine
émission, les concerts de la semaine aux Tanneries et on cède la place !
18h : « Ton heure de punk rock et de joie sans publicité avec la
crème des animateurs » tout est dit dans le générique ! Les joyeux lurons
de la Foutrackfactory sont prêts à vous faire vivre 1h de musique survoltée
entrecoupée d’humour et d’anecdotes.
19h : votre soirée se termine … ou pas, car sur Radio Campus
92.2 c’est en direct jusqu’à 23h puis en Podcast quand vous
voulez !
UN DIMANCHE APRÈS MIDI EN COMPAGNIE DE
RIOT AND DANCE ET DE LA FOUTRACKFACTORY
A l’heure où d’autres achèvent tranquillement leur repas de famille et sentent
déjà monter la pression du lundi matin, les animateurs de Radio Campus, eux,
se sont donnés comme mission de vous dégourdir les jambes. Pour bouger, ça
bouge !
Février 2015 - COMEN Déchainé 31
31. L’ATHÉNEUM : QUAND LA CULTURE S’INVITE À
LA PAUSE CAFÉ
La « formule du midi » : la convivialité au déjeuner
Dans ce bar géré par l’association des Amis de l’Athéneum, il est possible de venir
boire un verre entre amis, manger un sandwich, réchauffer son repas ou encore assister
à une manifestation artistique et même y participer, dans une ambiance conviviale et
musicale.
« Tu viens au café et tu découvres toute la vie qu’il y a autour et puis déjeuner en
musique c’est toujours sympa», précise Laura, enseignante à L’IUT, qui vient ici tous les midis
pour « le calme et la déco ».
La « formule du soir » : la carte des arts à votre disposition
Différentes disciplines artistiques se croisent et s’associent entre les murs dans ce lieu
original. Confortablement installés dans des salles de spectacles spacieuses, vous profiterez
également de la restauration sur place.
Du théâtre, de la danse, de la musique, des conférences, du ciné, tout le monde
peut trouver une soirée à son goût, c’est certain !
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201532
C’est sur le campus de
Dijon, entre la maison de
l’étudiant et la bibliothèque
universitaire, que se trouve
l’Athéneum.
30 ans déjà que l’Athé,
comme l’appellent ses fans,
est un lieu de culture qui
propose des expositions et des
spectacles toute l’année.
Sandra GONY
32. Février 2015 - COMEN Déchainé 33
Le campus
UN LOGEMENT AU CROUS, CONFORT ET
DÉPAYSEMENT GARANTIS !
Vous êtes étudiant et vous souhaitez vous loger à Dijon ? Vous cherchez un studio pour
quelques mois seulement ? Les réponses que vous attendez sont là ! C’est aujourd’hui que
l’on va vous donner des pistes.
Si vous ne souhaitez pas un
logement Crous, sachez que
deux choix s’offrent à vous :
- Vous pouvez regarder les
appartements en location chez des
particuliers sur internet ou par le bouche
à oreille.
- Vous pouvez passer par une
agence immobilière qui recensera
pour vous les logements libres.
Parmi toutes les résidences du Crous, une
est forcément faite pour vous !
Les chambres universitaires vont vous
combler ! La convivialité est au RDV : cuisine
commune signifie : rencontres culinaires, dîners
en groupe, partage des tâches. En résidence
universitaire les étudiants étrangers ont aussi
leur place. Vous pourrez donc apprendre de
nouvelles cultures, de nouvelles recettes, bref de
quoi vous dépayser !
Les appartements ? Pour les plus solitaires
qui aiment leur indépendance, la kitchenette et
la salle de bain sont à vous !
ChambreouAppartement,celarestevotre
choix. Quoi qu’il en soit, sachez que vos voisins
sont étudiants comme vous. Les immeubles en
outre sont sécurisés par entrée badge ou code
: de quoi se sentir bien chez soi, avec un esprit
chaleureux même par temps d’hiver !
Solène DANTAN
33. A L’UB, BOUGEZ !
L’Université de Bourgogne propose à ses étudiants de nombreuses activités sportives. Que
ce soit à plusieurs pour développer son esprit d’équipe ou seul afin de décompresser après
une longue journée de cours, voyons ensemble toutes les possibilités qui s’offrent à vous.
Pas moins de 50 activités sont proposées gratuitement par le service universitaire des
activités physiques et sportives (suaps), pour tous les étudiants et personnels de l’université
de Bourgogne depuis la rentrée, le 9 septembre dernier.
Autre point positif, le choix varié disponible afin que chacun puisse trouver le sport qui
lui convient et puisse le pratiquer selon ses envies : pour le loisir ou la compétition, c’est vous
qui décidez !
Afin de s’y retrouver les sports sont classés en 8 grandes familles. Vous pourrez ainsi
faire votre choix entre : les activités aquatiques, les danses, les gymnastiques, les activités
de plein air, les activités individuelles, les sports collectifs, les sports de combat et les sports
de raquettes.
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201534
34. Kevin LEBREUIL
Toutes les activités physiques du suaps peuvent être adaptées aux
personnes handicapées. Des activités typiquement handisport sont en outre
proposées régulièrement comme : tir à l’arc, torball, boccia, sarbacane,
basket fauteuil..
A noter que les cours sont suspendus pendant les vacances. Pour la
Toussaint : du 25 octobre au 2 novembre, pour Noël : du 20 décembre au 4
janvier, pour février : du 21 février au 1er mars et pour Pâques : du 25 avril au
10 mai.
Maintenant que vous avez toutes les informations, il ne
vous reste plus qu’à vous inscrire. Pour cela, rien de plus simple,
contactez :
« Plus de 50 activités à
pratiquer gratuitement ! »
SUAPS Dijon
Maison des sports
Campus universitaire
Montmuzard
Bp 27 877 - 21078 Dijon
cedex
Tél: 03 80 39 51 70
suaps@u-bourgogne.fr
www.u-bourgogne.fr/
suaps
Handisport
AHSCUB
Maison de l’étudiant
Bureau 109
Esplanade Erasme
Tél : 03 80 39 90 88
ahscub@gmail.com
Février 2015 - COMEN Déchainé
35
35. UN SPORT QUI TIRE SON «VOLANT» DU JEU : LE
BADMINTON !
Sur le campus de Dijon, plus de 50 activités sportives vous sont proposées à vous,
étudiants dijonnais, dans le but de vous faire décompresser après une longue journée de
cours, ou simplement de vous faire passer du bon temps avec vos amis. Parmi toutes ces
activités, il y en a une qui tire son épingle, ou dira-t-on plutôt son volant du jeu, c’est bel
et bien le Badminton. Vous vous êtes peut-être posé des questions concernant ce sport,
alors voici de quoi vous renseigner sur le sujet.
Le Badminton est un sport de raquettes qui oppose deux à quatre joueurs sur des
demi-terrains séparés par un filet. Un sport accessible et aimé de tous, qui peut être
personnel ou collectif et qui va nécessiter précision, technique, puissance et vitesse.
Le badminton sur le campus de Dijon, c’est quoi ?
Il faut d’abord savoir que le badminton est une unité d’enseignement proposée
exclusivement aux étudiants de l’Université de Bourgogne, par l’UFR STAPS en partenariat
avec le SUAPS de Dijon.
On peut le pratiquer tous les jours ! De multiples horaires ont été mis en place pour
que vous puissiez participer à au moins une séance par semaine. Pour vous informer, des
brochures sont mises à votre disposition chaque année à l’accueil du SUAPS de Dijon ou
bien sur internet.
Pourquoi ce sport est-il si apprécié?
Et bien tout simplement parce que la plupart des gens l’ont déjà pratiqué étant
jeune et que ce sport est à la fois ludique, physique et abordable par tous.
Au campus de Dijon, chaque niveau est représenté. Vous pouvez aussi bien venir en
tant qu’amateur, confirmé ou en tant que sportif de haut niveau. Chacun est classé selon
son bon vouloir dans la catégorie qu’il souhaite, un avantage pour ceux qui aiment se
donner des défis et affronter les meilleurs.
« On peut pratiquer tous les jours ! »
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201536
36. Jean-Baptiste JACQUIER
Comment y participer ?
C’est assez simple. Il vous suffit de choisir un horaire qui vous
correspond, de vous munir de vos vêtements de sport (shorts, chaussures
de sport, T-shirt et une raquette si vous en possédez une) et de venir
au gymnase indiqué, avec votre carte d’étudiant. Le petit plus pour les
étudiant d’IUT est que vous pourrez bénéficier de points supplémentaires
sur votre moyenne générale grâce à l’unité d’enseignement transversale
qui, en fonction de votre nombre d’heures passées à pratiquer une activité
sportive sur le campus de Dijon, vous ajoutera jusqu’à 5% sur votre moyenne
générale.
Après avoir commencé, suis-je dans l’obligation de continuer ?
Bien sûr que non, libre à vous de choisir si vous voulez continuer ce
sport ou non, ces activités sont facultatives, instaurées dans un but de
détente et de partage et non dans un but purement scolaire.
Alors qu’attendez-vous pour goûter aux plaisirs de ce sport
de raquettes !
Février 2015 - COMEN Déchainé 37
37. LA RESTAURATION UNIVERSITAIRE SUR LE
CAMPUS DIJONNAIS.
Pour se restaurer sur le campus, le choix ne manque pas ! Sont à votre disposition :
Le RU Montmuzard,
Le RU Mansart,
La cafétéria de l’IUT (sur place ou à emporter),
…Mais aussi la cafétéria Lamartine (sandwich et Pizza),
Des distributeurs de nourriture sur le campus,
Ainsi qu’à proximité des sandwicheries, fast-foods, Kebab, Burger, …
Des solutions variées, pratiques, adaptées au budget des étudiants !
Pour 3,20€ aux Restos U’ vous pourrez manger un repas complet. Entrée, plat, dessert:
ce sont jusqu’à 8 plats différents qui sont proposés chaque midi au Restaurant universitaire
Montmuzard.
Envie de changer ? A l’étage vous trouverez un menu pâtes cuisinées, un menu pizza
et une exclusivité : le CROUS Burger ! La réalité des cuisines du RU Montmuzard, c’est
aujourd’hui 95 % de produits frais et cuisinés sur place.
Le resto U Mansart, quant à lui, vous ouvre ses portes tous les midis en semaine pour
des repas locaux ou exotiques… mais il vous accueille aussi les soirs !
« C’est un espace convivial ! »
« En plus de plats riches
et variés, les repas au RU
sont avant tout un moment
particulier d’échange et de
partage avec nos amis ! »
Nelia, 24 ans, étudiante.
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201538
38. Clélie GIRAUD
Le resto U : un espace convivial !
Le RU, c’est un espace de restauration, mais c’est aussi un endroit
pour se retrouver entre amis. Souffler un peu pendant la pause de
midi, se rassembler autour d’une table, discuter des évènements de la
matinée ou de la sortie du jeudi soir…
Seul point noir : le RU, victime de son succès auprès du plus grand
nombre, est presque étroit aux heures de pointe !
Les Restos U’ du campus en statistiques
- 2/3 des sondés mangent au RU 3 fois par semaine ou plus
- 2/3 considèrent qu’il est possible de manger sain et équilibré
- 80% des sondés trouvent correcte la variété des plats, des entrées
et des desserts proposés et plus de la moitié en sont satisfaits
- Les ¾ des sondés n’ont rien à reprocher à la qualité gustative
des plats. 40% en sont même très contents.
Le mot de la fin à une usagère du RU :
« Le RU propose une alimentation variée, à petit
prix et entre amis alors pourquoi manger ailleurs ? »
Cécile, étudiante de 20 ans.
Février 2015 - COMEN Déchainé 39
39. UNE JOURNÉE À LA BIBLIOTHÈQUE
UNIVERSITAIRE (BU)
Aujourd’hui Élisa n’a pas cours, mais elle ne compte pas rester chez elle à ne rien faire.
Non, c’est décidé, cette journée sera productive ! Pour ne pas céder aux distractions de
la maison, Élisa se rend sur le campus ; elle sait que les bibliothèques universitaires seront
idéales pour travailler en toute tranquillité.
Un lieu pour se réunir et travailler
La journée commence par une réunion avec son groupe de projet tuteuré : on
trouve justement des salles de travail dans la plupart des bibliothèques de l’université. Elles
sont isolées et permettent ainsi de travailler à plusieurs sans déranger les autres étudiants.
Compte tenu des recherches nécessaires à ces travaux, s’installer à la BU reste la meilleure
stratégie : chacune d’entre elles proposent de nombreuses ressources documentaires liées
aux divers cursus, pour que chaque étudiant trouve tout ce dont il a besoin.
Des emprunts facilités
Outre le traditionnel emprunt d’ouvrages, il est à présent possible de faire fonctionner
le prêt entre les bibliothèques du campus ; celles-ci travaillant en collaboration, les ouvrages
peuvent facilement circuler entre les BU. Concrètement, si Élisa travaille à l’IUT et a besoin
d’un livre disponible à la fac de droit, elle peut le commander et l’emprunter dans les
prochains jours au lieu de faire le déplacement. De même, elle pourra rendre un document
emprunté sur le campus dans n’importe quelle bibliothèque. Pratique, non?!
Si toutefois les bibliothèques de l’université ne lui permettent pas de trouver son
bonheur, Élisa peut rechercher un document se trouvant dans une autre ville voire à
l’étranger, et le faire venir jusqu’à elle. Ce service, payant, est disponible dans les BU de
Droit-Lettres, Médecine-Pharmacie et Sciences-Économie.
Une atmosphère calme
La réunion terminée, il est temps d’aller réviser. Pour se concentrer pleinement sur
ses cours, Élisa décide de se rendre dans la salle « bruit zéro ». Située au rez-de-jardin de la
bibliothèque de Sciences-Économie, cette pièce accessible à tous est réservée au travail
silencieux. Elle est idéale lorsqu’on cherche le calme au milieu de l’agitation de l’université.
Le saviez-vous ?
Certaines bibliothèques proposent des nocturnes, et sont alors ouvertes
jusqu’à 22h.
C’est le cas de la BU de Sciences-Économie le lundi et le mardi, et de
celle de Droit-Lettres le mercredi.
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201540
40. Marie ALLEX
Des loisirs à la disposition des
étudiants
Il est midi, Élisa a suffisamment
travaillé pour la matinée. Après
la pause sandwich vient donc la
pause détente ! Toujours en restant
sur le campus, elle peut accéder à
de nombreux loisirs depuis chacune
des bibliothèques universitaires. En
outre, celle de Sciences-Économie
propose un large panel de romans,
bandes dessinées, DVD et revues.
Le campus propose également
de nombreux magazines, ce qui
présente une bonne alternative aux
étudiants disposant d’un budget trop
modestepourpayerunabonnement
périodique, ou tout simplement à
ceux qui ne sont que partiellement
intéressés par leur contenu.
La recherche documentaire
mise à l’honneur
Le programme de cet après-midi
portera sur le mémoire d’Élisa :
dans le cadre de sa recherche
documentaire, l’université lui
fournit l’accès à une bibliothèque
numérique dont elle peut disposer
pour consulter en ligne des articles
de revues spécialisées ou des
documents de référence, ainsi que
pour constituer une bibliographie.
Afin d’optimiser son travail,
notre jeune étudiante a suivi il y a
quelques semaines une formation
à la recherche documentaire. En
prenant simplement rendez-vous,
elle s’est vu prodiguer tous les conseils
nécessaires à sa recherche. Et si cela
ne suffit pas, elle peut à n’importe
quel moment accéder à des cours
en ligne via le site de la bibliothèque
universitaire, avec des parcours
documentaires commentés. À
présent, elle maîtrise tous les outils et
sait facilement se servir du catalogue
en ligne pour gagner du temps !
Une journée bien remplie
Il est temps pour Élisa de
rentrer chez elle. Pas d’inquiétude
cependant, car même si elle a
oublié de demander quelque chose
à la bibliothèque, elle a accès à
de nombreux services en ligne :
depuis son compte lecteur, elle peut
prolonger ses prêts en cours, réserver
des documents déjà empruntés et
même faire une suggestion d’achat.
Décidément, les bibliothèques
universitaires du campus ont tout
compris !
Février 2015 - COMEN Déchainé 41
41. ASSOCIATIONS ÉTUDIANTES:
POUR QUOI FAIRE ?
Vous êtes étudiant à Dijon, vous souhaitez aider et vous épanouir, les associations
étudiantes du campus sont faites pour vous. Mais qu’apportent-elles ? Comment choisir
son association ? Tant de questions qu’un étudiant comme vous se pose.
Lesassociationsétudiantesfontpartie
intégrante du paysage étudiant actuel.
Pourquoi pas vous ? Sans aller très loin, vous
trouverez certainement une association
étudiante sur le campus de Dijon qui mérite
toute votre attention. En y adhérant, vous
serez bénéfique à l’association et celle-ci
vous apportera bien plus.
Une satisfaction personnelle
Contribuant au dynamisme de
l’Université et à son rayonnement sur le
territoire, la vie associative étudiante est
le moyen privilégié de la rencontre entre
étudiants, de l’expression des différences
et d’une ouverture vers l’extérieur.
Lorsque vous vous engagez, c’est
avant tout pour satisfaire une volonté ou un
projet personnel. Vous voulez voir d’autres
horizons, sortir du train-train quotidien de
vos cours. L’engagement est enrichissant, il
permet de vous rendre utile, de rencontrer
des gens intéressants que vous n’auriez
peut-être jamais rencontrés en dehors de
votre activité associative. Enfin, c’est aussi
un bon moyen de s’intégrer, dans ce milieu
où vous êtes généralement une personne
lambda parmi d’autres.
Vivre sur le Campus
COMEN Déchainé - Février 201542
Enrichissement professionnel
Faire partie d’une association
pendant ses études ajoute un bon point sur
votre CV.
En effet, les entreprises sont très
souvent à la recherche d’étudiants ayant
fait partie d’une association.
Pourquoi ? Tout simplement parce
que faire partie d’une association montre
que vous savez travailler en équipe et que
dans certains cas, vous savez aussi la gérer.
C’est une expérience formatrice.
42. Coralie GIBOULOT
Comment choisir son association ?
Vous avez envie de vous investir, mais ne savez pas vers quelle
associationvoustourner?Analysezvoscentresd’intérêts.L’Université
de Dijon propose près d’une centaine d’associations étudiantes
labellisées.
Elles sont divisées en 2 catégories:
1. Les associations culturelles et sportives : danse, associations
de rencontres, d’aides, d’échanges, associations sur l’image, le
son et le texte, associations sportives, associations sur la musique,
associations sur le théâtre et le spectacle vivant.
2. Les associations de filières et syndicats étudiants: associations
de droit et science politique, association des élèves ingénieurs de
l’ESIREM,associationsdelanguesetdecommunication,associations
de fédérations et syndicats étudiants, associations lettres et sciences
humaines, associations de médecine et d’autres encore...
Pour plus de renseignements, retrouvez toutes les associations sur
le site de l’Université de Bourgogne: http://www.u-bourgogne.fr/
vie-des-campus/associations.html
Février 2015 - COMEN Déchainé 43
45. Le DUT-IC, option Métiers du Livre et du
Patrimoine en chiffres !
1 : Un diplôme universitaire. C’est
ce que vous obtiendrez à la fin de ce DUT
Information-CommunicationMétiersdulivreet
du patrimoine. Il forme les futurs professionnels
des bibliothèques et musées.
2 : Deux options. L’étudiant choisit entre
l’option bibliothèque et médiathèque et
l’option musée et patrimoine.
4 : Quatre semestres. C’est le temps
qu’il faudra passer à se former pour obtenir
ce diplôme!
20 : Une vingtaine. C’est environ le
nombre de matières qui composent ce
DUT : initiation aux Nouvelles Technologies
de l’Information-Communication (NTIC),
apprentissage de communication avec le
public, techniques de veille documentaire
etc.
« Les cours étaient complets et on touchait
quand même à tous les secteurs que ce soit
audiovisuel, littérature jeunesse... ce qui est
important selon les envies futures de chacun.
» Laura Schwab, promo 2012-2014
Guide conférencier en musée
Rejoignez-vite la
prochaine promo !
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201546
« C’est un DUT qui a l’avantage d’être complet ! »
Emilie, promo 2012-2014
46. Anaïs HURTER
300 : Trois cents heures. C’est le temps dédié au projet tuteuré en
deuxième année. Il est réalisé pour des professionnels ou des entreprises.
15 : Quinze heures : c’est le temps accordé à l’élève pour créer son
PPP (Projet Personnel et Professionnel). Il lui permet de cerner ce qu’il veut
faire à l’avenir et ce qu’il doit faire pour y parvenir.
5 : Cinq semaines : c’est la durée du stage de première année. Un
rapport de stage est demandé à la suite de ce stage d’observation.
17 : Dix sept professeurs. Environ dix-sept professionnels mettent à
disposition leurs connaissances pour former et guider les étudiants.
« Les professeurs sont […] compétents, passionnés et qualifiés. Ils nous
apportent les connaissances requises et savent nous guider dans notre
formation, nos stages, nos projets tutorés et notre orientation. Et pour cela,
c’est une chance ! » Blanche, promo 2012-2014
9 : Neuf semaines : C’est la durée minimum du stage de deuxième
année. Il aboutit à la rédaction d’un mémoire portant sur la mission que
l’étudiant a effectué dans la structure. Il peut être réalisé en France ou à
l’étranger.
« J’ai trouvé le stage à l’étranger très enrichissant tant d’un point de
vue personnel que professionnel. Cela m’a permis de voir et d’apprendre
la façon de travailler des bibliothécaires vivant de l’autre côté de
l’Atlantique, mais également de faire des rencontres extrêmement
enrichissantes.» Elise Forestier, promo 2012-2014, stage au Québec.
3 : Bac+3 : c’est le niveau minimum requis pour faire une année
spéciale (AS) en MLP. On y apprend en un an ce que les autres font en
deux ans.
∞ : Infini ! Le nombre de rencontres pendant ces deux années en
stage et en cours !
Février 2015 - COMEN Déchainé 47
47. Le DUT IC, option Information Numérique
Le DUT Info-Com option Information Numérique dans les organisations de l’IUT de Dijon ?
Mission possible pour tous les passionnés d’information, de communication et de numérique.
Tour d’horizon en 10 questions.
Nom de code : InfoNum
Lieu : IUT Dijon
Pour qui ? Bacheliers de toutes sections ou
adultes en reprise d’études. Admission sur
dossier.
Profil recherché : Aisance rédactionnelle
et communicationnelle, maîtrise d’une
langue étrangère, curiosité, ouverture
d’esprit, sens critique…
Quand ? Prochaine rentrée en septembre
2015
Comment ? Un savant mélange de théorie
et de pratique alliant le professionnalisme à
la pédagogie, l’ensemble étant réparti entre
Cours Magistraux, Travaux Dirigés, Travaux
Pratiques, stages et Projets Tuteurés avec
équilibre.
Combien ? 28 étudiants par section
Points forts ? Polyvalence et adaptabilité
avec la diversification des compétences
acquises autour de l’information, des outils
et dispositifs et de la communication :
• Gestion et analyse de l’information,
archivage numérique
• Mise en place de dispositifs de veille
et de référencement, de bases de données
informationnelles
•Animation et valorisation de
l’information numérique
• Maîtrise des outils et dispositifs de
communication et de médiation numérique
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201548
Et après ? Au choix :
Intégration professionnelle directe
dans des centres de ressources, cellules
de veille, services de communication,
d’archives ou numériques d’entreprises
privées ou d’ organismes publics de tous
secteurs d’activités en tant que chargé
de l’information et de la communication,
recherchiste, analyste-indexeur,
iconographe, chargé de veille, webmestre,
animateur de communauté, chargé de
référencement, documentaliste-archiviste
etc.
Poursuite d’études en licence dans
son domaine de spécialité (ex. Licences Pro
Activités et Techniques de Communication
spécialité communication numérique
COMEN ou Archives et Patrimoines Industriels
APICA de l’IUT Info-Com de Dijon).
Le DUT « InfoNum » en quelques chiffres
2 ans, 4 semestres, 120 semaines, 1453,5
heures d’enseignement, 14 semaines de
stages, 300 heures de Projet Tuteuré, 30
heures/semaine, 120 crédits européens
(ect).
Pour en savoir plus rendez-vous aux
Journées Portes Ouvertes de l’IUT de Dijon
le mercredi 4 février 2015 de 9h à 17h.
48. Florence PELLE
Portrait de Fabrice Héron, recherchiste et iconographe
freelance qui apporte son regard expérimenté sur la profession
Un métier en lumière ?
Le recherchiste, personne effectuant
des recherches généralement pour les
médias numériques.
Historien de formation avec une spécialisation dans la
documentation audiovisuelle, passionné d’images fixes et animées,
Fabrice Héron exerce son métier auprès des décideurs de presse,
des maisons d’édition, des musées et expositions, des agences de
communication et de publicité, des sociétés de production. Il intervient
également comme conseiller auprès des entreprises et des collectivités
pour valoriser leur patrimoine photo/vidéo et comme formateur au sein
de l’INTD, de l’INA et de l’Université d’Artois. Ses secteurs de spécialisation
sont la recherche d’images, l’achat d’art et la clarification des droits.
Pour lui les avantages de ce métier sont la diversification des secteurs
(presse, édition, audiovisuel, etc.), des supports (photos, affiches, vidéos,
etc.), des sujets (people, politique, histoire, culture, publicité, etc.) et
la pugnacité dans la recherche et les méthodes d’investigation pour
mener à bien une recherche.
Un conseil aux jeunes diplômés ?
- Conserver une forte adaptabilité car le recherchiste, de par sa
dépendance aux nouvelles technologies de l’info/com, de l’évolution
des supports de production et de diffusion des images, du droit liés à
l’image, évolue dans un secteur d’activité en perpétuel mutation.
- Multiplier les rencontres avec les professionnels pour confronter
les expériences.
Lueur d’espoir ? Etre vigilant et persévérant dans sa recherche
d’emploi et les opportunités (veille, rencontres etc.), le marché du travail
dans la documentation est difficile mais pas saturé.
Source : interview postée le 05/10/2014 sur le blog PoleDocumentation
Février 2015 - COMEN Déchainé 49
49. La licence APICA, l’archivistique à l’honneur
Il se déroule sur environ 20 semaines entre
septembre et mars. Deux stages, qui
doivent être effectués dans des organismes
différents, complètent la formation : un
stage de découverte de trois semaines
à l’issue du premier mois de formation et
un stage d’insertion professionnelle de 13
semaines en fin de formation. »
Quels sont les débouchés de la
formation ?
Alexandre : « A la suite de
la formation, les titulaires du diplôme
pourront occuper des postes comme «
documentaliste-archiviste », «archiviste
d’entreprises industrielles et tertiaires, de
collectivités territoriales, de structures
culturelles et sociales » ; « documentaliste
spécialisé » ». Personnellement aujourd’hui
j’occupe un poste de documentaliste
spécialisé dans une bibliothèque de braille
sur Paris. »
Thibault MARTRE
La licence professionnelle APICA
(Archives et Patrimoines Industriels, Culturels
et Administratifs) répond aux besoins qu’ont
les organismes à posséder un service et du
personnel spécialisé dans la gestion et la
conservation du patrimoine scientifique,
technique, culturel et industriel. Le rôle
principal de l’archiviste est de collecter,
traiter, et de s’assurer de la conservation et la
communication des documents.
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201550
Nous avons rencontré Alexandre,
ancien étudiant en licence APICA.
En quelques mots peux-tu nous présenter
les objectifs de la licence ?
Alexandre : « L’objectif de la licence
est d’apporter à l’étudiant des compétences
techniques ainsi qu’une bonne autonomie
dans la formation et le travail. Elle apporte
des connaissances juridiques spécifiques ainsi
que des techniques propres à l’archiviste et
aux documentalistes. De plus, elle apporte,
la connaissance des utilisateurs internes et
externes, quel que soit le poste occupé, la
maîtrise des contenus tant au plan technique
qu’au plan juridique, la maîtrise des outils
technologiques. »
Comment sont organisées les études ?
Alexandre : « L’enseignement comporte
une trentaine d’heures de cours par semaine
et la réalisation en équipe d’un projet tutoré.
50. COMEN : L’AVENIR DE LA COMMUNICATION
NUMÉRIQUE EST ENTRE VOS MAINS !
Dans la société hyper-connectée dans laquelle nous vivons, la maîtrise de son image et de
sa notoriété sur internet est devenue une priorité. Les étudiants de la licence professionnelle
Communication et Médiations Numériques sont formés afin de se positionner en spécialiste
du web 2.0.
COMEN : késako ?
Avant tout, la licence COMEN s’inscrit dans une filière d’information et de
communication, avec une spécialisation dans le web. Ainsi son enseignement
est relativement proche du DUT Métiers du Multimédia et de l’Internet. On
y étudie donc le graphisme via les logiciels de la suite adobe : Illustrator,
Photoshop et InDesign, la création de site web via des outils internet comme
Wordpress, Joomla et Drupal. Le droit et l’audiovisuel sont aussi au rendez-
vous. Mais la majeure partie des cours est centrée sur les médias sociaux et la
stratégie de communication.
Les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, LinkedIn etc. n’ont
plus aucun secret pour nos étudiants ! Et de façon à utiliser ces moyens de
communication de la meilleure façon, l’amélioration de l’usage de notre
langue est un des modules importants de la licence. Ainsi, nos étudiants
fraichement diplômés sont aptes à entrer en fonction dès la fin des cours, en
tant que community manager, responsable TIC, gestionnaire de bibliothèque
numérique ou encore rédacteur web…
« Facebook, Twitter, LinkedIn
n’ont plus aucun secret pour nos
étudiants ! »
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201551
51. COMEN : étudier et travailler simultanément
Le gros point fort de la licence COMEN résulte
dans le fait que 75% des projets effectués sont
menés pour des entreprises, ou vont réellement se
concrétiser (évènements, gestion d’un blog pour
l’université etc.),. Ensuite, l’emploi du temps des
étudiants en COMEN est géré de façon à ce qu’il
convienne aux étudiants en alternance, et aux
étudiants en formation initiale, qui doivent, pour
leur part, réaliser un projet tuteuré, pendant que
leurs collègues alternants sont en entreprise.
Février 2015 - COMEN Déchainé 52
Ainsi, l’emploi du temps est commun et fonctionne sur un
cycle de 2 semaines d’entreprise/projet tuteuré et 2 semaines
d’études. Durant celles-ci, les entreprises ne sont pas oubliées et
la plupart des projets proposés par les professeurs sont destinés à
voir le jour. Par exemple, depuis la première année de la licence,
un groupe de COMEN gère le blog « communitymanagers.fr » sur
lequel on retrouve des interviews de professionnels, des conseils
sur les métiers de l’information-communication etc.
La licence COMEN étant étroitement liée au monde
professionnel, elle favorise l’intégration des étudiants dans la vie
active dès l’obtention de leur diplôme, avec dans leur bagage,
une expérience professionnelle enrichissante.
Mathieu BRUNAUD
52. ANAIS NOUS RACONTE SON PARCOURS
DEPUIS COMEN
Anais Maillard est une ancienne COMEN. Je suis allée à sa rencontre pour qu’elle me parle
de sa jeune carrière de community manager. Découvrez une des perspectives de poste
qu’offre de la licence COMEN.
Quel a été ton parcours avant et
depuis la licence ?
Aimant les livres, je me suis orientée
dans un premier temps vers le DUT Info-
Com, métiers du livre et du patrimoine
de l’iut de Dijon. Même si j’ai beaucoup
aimé apprendre et tester le métier de
bibliothécaire, il me manquait une
dimension technologique. Lorsqu’on nous
a annoncé l’ouverture d’une licence
communication numérique, j’ai été
tentée. J’ai particulièrement accroché
avec la gestion des réseaux sociaux et le
développement.
Depuis, j’ai trouvé ma voie dans le
milieu du web et un poste de community
manager/chargée de communication à
Prodaction, une agence de production
audiovisuelle et de communication à
Nancy. Je m’occupe essentiellement
de Mylorraine.fr, site pour lequel je suis
notamment responsable de l’agenda
des sorties et des relations internautes de
manière globale (réseaux sociaux inclus).
Je donne aussi des conseils de rédaction
web pour améliorer le référencement
naturel du site.
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201553
Selon toi, quelles sont les qualités
essentielles dont il faut disposer dans
le travail de CM?
Réactif, passionné, curieux et savoir
anticiper … notamment les crises !
53. Février 2015 - COMEN Déchainé 54
3 conseils à donner aux jeunes communicants qui souhaitent se
lancer dans ce domaine ?
• Ne vous contentez pas d’être community manager.
Spécialisez-vous ou bien développez vos compétences dans
des domaines complémentaires. D’autant plus à une époque
où l’on cherche les compétences en interne avant de songer à
embaucher, je remarque que les profils «couteaux suisses» sont
très recherchés.
• Apprenez à avoir une vision globale de la communication
et des objectifs de votre entreprise. On n’alimente pas une page
Facebook pour gagner des fans mais pour un objectif : vendre,
se faire connaître, avoir plus de clics sur son site... C’est cette
idée qu’il faut garder en tête si l’on veut être un bon community
manager.
• Soyez à l’affût des tendances mais conservez toujours
votre esprit critique. Ce n’est pas parce qu’une chose fonctionne
qu’elle est forcément à faire. Votre score Klout ne fait pas de vous
un super-influenceur, les likes achetés n’ont aucune valeur, les
photos de chats mignons ne serviront pas forcément au mieux
votre marque. Toujours savoir ce qui se fait, mais ne garder que
le meilleur.
Sarah BORIE - MERYGNAC
Qu’est ce que t’a apporté la licence
COMEN?
Plus que tout, elle m’a permis de
trouver ma voie. Elle m’a aussi donné les
bases de mon métier et m’a donné envie
d’en apprendre plus. Elle m’a réellement
professionnalisée, je suis passée d’étudiante
à future professionnelle durant cette année.
Grâce à elle, je me suis aussi fait un réseau
d’amis et de confrères qui m’est encore
très utile à l’heure actuelle. Elle m’a aussi
apporté des compétences que je n’ai pas
forcément toujours jugées utiles sur le coup
et qui me sont, en fait, infiniment précieuses
au quotidien !
54. LA LICENCE SLIC EXPLIQUEE AVEC REMY
DONZEAU
La licence SLIC, un mélange de
linguistique et d’ info-com
La licence SLIC a pour vocation
de réunir les études de la linguistique
et de l’info-com dans une seule
formation, afin de permettre aux
étudiants de s’épanouir pleinement
dans une licence pluridisciplinaire qui
leur permettra, tout d’abord, d’avoir
une culture de l’information et de la
communication développée, mais
aussi d’acquérir une importante
maîtrise du langage et de ses rouages.
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201555
La licence SLIC, on y apprend quoi ?
L’intérêt principal de la licence est d’inculquer à l’étudiant la maîtrise de
la langue française et des principes qui construisent le langage en général.
Il apprendra par exemple à utiliser et comprendre la phonétique, à
savoir le « langage des sons », qui, maitrisé, peut être lu et compris par tous,
indépendamment de leur nationalité.
La phonologie fait également partie des domaines que les élèves se
doivent de maîtriser. C’est une science qui étudie la manière dont nous
prononçons les sons, elle s’intéresse au système phono-articulatoire du
langage.
55. Vincent PREDINE
Remy est un ancien étudiant du DUT Services et Réseaux de
Communication de Dijon. Après un redoublement à la fin de la
première année, il décide de poser sa candidature en licence
SLIC.
Mon expérience professionnelle et scolaire m’ont toujours fait
apprécier la communication. C’est naturellement que je me
suis dirigé vers cette formation.
Après une inscription tardive et une lettre de recommandation,
Remy a pu intégrer la licence SLIC, et donc commencer des
études qui lui correspondaient.
… C’est un cursus qui correspond à mes centres d’intérêts et
qui donne accès à de nombreux débouchés dans ce secteur.
Cela fait maintenant presque trois mois que les cours ont
commencé, Remy à beaucoup appris de la langue française,
il constate :
Cette licence nous permet d’approfondir notre connaissance
de la langue française, qui, une fois maitrisée, est une arme
redoutable.
Depuis que Remy a intégré cette licence, il envisage de postuler
pour le master professionnel Euromédias.
« Approdondir
notre connaissance
de la langue
française. »
Février 2015 - COMEN Déchainé 56
56. C’EST QUOI, ÊTRE ÉTUDIANT EN MASTER IMI ?
Tu t’es toujours demandé ce qu’était un étudiant en Master IMI (Ingénierie des Métiers de
l’Information) ? Bonne nouvelle : je suis allée rencontrer Lucas, un mec sympa (enfin, tu
verras) qui va sûrement pouvoir t’éclairer sur cette 1ère année de master qui permet de
développer des compétences dans le domaine de l’information et de la communication.
Salut Lucas, ça va ?
Salut, ça va pas mal, on va ouvrir la première fenêtre du calendrier de l’Avent, la
magie de Noël est enfin là !
C’est quoi tes hobbies ?
La plupart de mes hobbies tournent autour de la musique. Je la pratique en tant que
batteur au sein du groupe Hilldale et je fais partie de l’association Sabotage, qui organise
des concerts depuis plus de dix ans. Je traîne assez souvent aux concerts à Dijon mais aussi
ailleurs. Sinon, j’aime beaucoup le cinéma, même si je n’y vais pas assez, et il m’arrive de
faire des sports co’ avec les copains pour me dépenser un peu.
Tu fais quoi en Master IMI ?
L’offre pédagogique est assez diversifiée, c’est à dire que les cours vont de l’écriture
journalistique, au droit numérique en passant par des ateliers radio ou des cours de
communication événementielle. Donc, ça permet de ne pas trop s’ennuyer. La plupart des
travaux sont à faire en groupe sous forme de projets collectifs, c’est bien car ça change du
schéma traditionnel des examens sur table.
Ca serait quoi ta journée type ?
C’est difficile de te décrire une journée type puisqu’il n’y en a pas vraiment ! Certains
cours sont fixes mais d’autres sont assurés par des intervenants professionnels qui vont assurer
des séances pendant trois ou quatre semaines, puis être remplacés par de nouveaux dans
un domaine qui peut être totalement différent. D’autres intervenants ne vont venir qu’une
fois. On peut aussi faire des trucs cool comme aller au tribunal ou à la foire gastronomique !
« Tout profil est accepté. »
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201557
57. Apolline BLOIS
C’est quoi tes projets pour 2015 ?
J’aimerais assez trouver un stage intéressant dans une salle de
concert ou dans un festival, peut-être en tant qu’assistant communication.
Et au final valider ce Master 1 !
Sinon, j’espère continuer sur cette voie avec mes copains de Hilldale,
enregistrer des trucs et faire le plus de concerts possible. Je garde aussi dans
un coin de ma tête l’idée de partir quelques temps à l’étranger, histoire de
prendre un peu l’air et voir si l’herbe est plus verte ailleurs !
Ton avenir idéal, c’est quoi ?
A la base, je suis plus attiré par la programmation, donc je dirais
programmateur d’un festival, d’une salle ou d’une association. Mais
force est de constater que les opportunités sont plus nombreuses dans
la communication. Donc, on verra bien comment évolue ce milieu des
musiques actuelles. Je sais vers quoi je veux aller, mais je ne sais pas encore
exactement par quelle porte y entrer. Mais ce n’est peut-être pas plus mal,
je pense que ça peut permettre de découvrir des choses auxquelles on
n’aurait pas forcément pensé.
Si tu souhaites en savoir plus sur le Master IMI à l’Université de
Bourgogne, c’est là : http://info-com.u-bourgogne.fr/formation/m1
Sache déjà que tout profil est accepté, du moment que tu puisses
montrer par ton cursus ou tes activités professionnelles ou personnelles, ton
intérêt pour les métiers de l’information et la communication.
De plus, le Master IMI prépare ces étudiants au Master 2 Euromédias
et Gestion des Connaissances.
Et puis si tu a envie d’écouter un peu de musique, le groupe
Hilldale, c’est ici : https://soundcloud.com/hilldale-1
Février 2015 - COMEN Déchainé 58
58. Le M2 Euromédias : la diversité des
compétences avant tout !
Le master 2 Euromédias, est réputé pour la pluralité de ses enseignements : une fois
diplômés, les étudiants sont aussi polyvalents que possible. Si le master est à forte
dominante journalistique, les autres aspects de la communication ne sont pas en reste
: audiovisuel, web, communication des organisations… C’est une formation complète
qui prépare les étudiants au monde professionnel, notamment en leur proposant des
projets concrets qui valorisent leur CV. Comme un témoignage vaut mieux qu’une
simple description, nous avons rencontré Amélie CHAPET, actuellement étudiante en M2
Euromédias, pour lui poser quelques questions.
Quelles sont les matières importantes que tu étudies cette année, et quelle
est la charge de travail personnel à fournir ?
Cette année, on a beaucoup de journalisme, que ça soit papier, radio ou télévisé.
On a aussi de la conduite de projet avec notamment la création d’un film de présentation
de la Vapeur, et de la communication. Il y a également des cours de photo, PAO, vidéo
et web. Mais ce qui prend la plupart du temps, c’est un ensemble de projets collectifs
au choix : des vidéos pour l’Atheneum, le salon du livre jeunesse Crocmillivres, le festival
« Les écrans de l’aventure », des articles pour Le Bien Public… Pour la charge de travail,
comme dans chaque formation, il y a des moments très intenses au niveau boulot et des
moments plus «cools» !
Bonjour, peux-tu te présenter ? Pourquoi avoir
choisi le M2 Euromédias ?
Je m’appelle Amélie Chapet et j’ai 23 ans.
Avant le master Euromédias, j’ai fait un DUT Info-Com
puis la licence COMEN à Dijon, et le master In.Co.Nu
(Information Communication Numérique) à St Etienne.
Enfin, j’ai intégré en septembre le master Euromédias.
Il était plutôt bien réputé, les différents projets des
étudiants étaient intéressants et enfin, il allie à la fois le
journalisme et la communication.
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201559
59. Mélissa MAITRE
Et enfin, quels conseils donnerais-tu aux étudiants qui
souhaitent suivre la même voie que toi ?
Pour réussir à intégrer le master Euromédias, mais c’est aussi
valable pour n’importe quelle formation, il faut savoir se vendre à la fois
sur le CV et la lettre de motivation mais aussi en étant visible sur internet
sur les réseaux sociaux professionnels.
En résumé, le master Euromédias se compose de matières variées,
de projets concrets qui valoriseront sans aucun doute votre CV. Si vous
vous destinez au métier de journaliste, et ce quel que soit le support
(presse, web, TV ou même radio), projetez de travailler dans une agence
de communication ou rêvez de concevoir des produits multimédias ou
audiovisuels, ce master est fait pour vous !
Dirigé par Catherine CHENIER, le M2 Euromédias de l’UFR de Dijon
est accessible en formation initiale, après un M1 dans le domaine de
la communication, sur dossier et après un entretien. Il est également
possible de l’intégrer en formation continue, suite à un emploi salarié
dans le domaine de la communication.
Vous avez désormais toutes les clés en mains si vous souhaitez
tenter l’aventure du master Euromédias !
Pour plus d’informations, consultez le site de la formation :
http://euromedias.u-bourgogne.fr/
« Il allie à la fois le
journalisme et la
communication. »
Février 2015 - COMEN Déchainé 60
60. LA FORMATION MASTER 2 GESTION DES
CONNAISSANCES :
UN ATOUT POUR VOUS !
Vous êtes issus d’une formation Master 1 IMI, de Lettres, de Sciences ou de l’Information et
de la Communication ? Vous rêvez de concevoir et organiser la politique de gestion de
l’information et des connaissances dans une entreprise ? Votre priorité : Prendre en compte
les besoins des utilisateurs ? Alors la formation en Master 2 Gestion des connaissances est
faite pour vous !
La filière Info-Com
COMEN Déchainé - Février 201561
61. 5 bonnes raisons de s’inscrire en master 2 Gestion des
connaissances
1. Tout le monde y trouve son compte. Mylène Martin : « J’ai découvert
la gestion des connaissances. Ça coïncidait bien avec le parcours que je
voulais faire. » et Elsa G. Heneman « [...] c’est en fil rouge avec ce que je fais
depuis que je travaille. ».
2. Cette formation a de nombreux atouts comme l’explique Mylène,
elle « apporte une approche technique. Elle est complémentaire avec la
stratégie. ». Et Elsa ajoute même « une vue plus globale des problématiques
de l’entreprise » pour devenir « des acteurs clés pour des solutions d’analyse
de l’e-reputation. ».
3. Les cours apportent tous les aspects pour devenir un bon
professionnel. Un aspect théorique, « 70 % de cours académiques avec des
enseignants et des doctorants, et 30-35 % d’intervenants professionnels. Ce
sont de sacrés pointures ! », d’après les explications d’Elsa. Mylène évoque l’
aspect pratique: « Nous avons parfois des ateliers. Cela permet de mettre en
application ce qui a été appris. »
4. Une ressource diversifiée : « Ce qui est intéressant est que nous
venons d’horizons différents, cela permet un partage d’informations, de
partager nos spécialités. » nous explique encore Mylène.
5. On en ressort avec plein de bons conseils comme Elsa : « Portfolio,
portfolio, portfolio ! Il faut avoir une présence web bien contrôlée. Et le CV,
poursuit-elle, il faut vraiment le créer sous Indesign pour des liens cliquables
après en pdf. Pour avoir été en position de recruteur, avoir des liens qui ne
sont pas cliquables, c’est juste tellement énervant. »
Une chose est sûr, ce master mérite d’être connu ! Le Master
2 Gestion des connaissances apporte beaucoup d’atouts, pour
une carrière professionnelle réussie.
Alors, pourquoi attendre, lancez-vous ! Nelia COURTAIS
En formation continue ou en alternance, elle
vous apporte des compétences dans de nombreux
domaines de la gestion des connaissances, de
documents, de travail collaboratif, de projets de
e-learning, de formation, de contenu internet /
intranet , de veille informationnelle et bien plus
encore ! Qu’en disent les étudiants ? Ils témoignent,
rien que pour vous !
Février 2015 - COMEN Déchainé 62