7. Deux conséquences de la prééminence de l’idéologie de l’évaluation (et de sa pratique) Le culte des comparaisons http://www.acteurspublics.com/article/22-02-10/les-vraies-lecons-des-comparaisons-internationales Ou http://fwd4.me/GjD La mode des étoiles
8.
9.
10. L’administration bureaucratique Le nouveau management public La coproduction administrative ? ? ? Indicateurs de suivi Indicateurs de performance Baromètres de satisfaction ? ? ? 1/ 2/ 3/ Et après ?
11. Résultat voulu Résultat attendu Résultat réalisé Résultat perçu L’utilisateur : le point d’entrée de la qualité l’utilisateur la bibliothèque
Deux choses à dire principalement. Que j’expose habituellement en 3 heures et que je vais essayer de résumer en 20 minutes. Si j’y arrive, c’est que ce n’est pas si dense que ça. Mais ce n’est pas une raison pour réduire les formations à 20 minutes. Il y a un cadre d’exercice des bibliothèques qui doit être pris en considération, dont on doit être conscient pour utiliser au mieux les normes Le statut des normes elles-mêmes
La question internet a sans doute masqué l’interrogation concomitante qui est faite aux bibliothèques en termes d’utilité publique
Concernant le cadre d’exercice institutionnel des bibliothèqes
Double exigence potentiellement contradictoire : devoir se montrer sous son meilleur jour ; Entrer dans un exercice d’objectivation, de « compte rendu du réel » Sous ses deux angles la bibliothèque a besoin de chiffres. « La mesure de qqchose » est une partie du modèle, quel qu’il soit. Cette évolution n’étant elle-même qu’une façon de présenter les choses, une façon de vendre la réforme.
On sait ce que la bibliothèque n’est plus, on ne sait pas encore très bien ce qu’elle sera (voire on sait qu’elle ne sera plus jamais qqchose de stable) Sous ses deux angles (performance/storytelling) la bibliothèque a besoin de chiffres. « La mesure de qqchose » est une partie du modèle
Mesurer n’a de sens que dans ce contexte. Utiliser les normes aussi. J’en viens aux normes sur l’évaluation et les statistiques de bibliothèques dont l’utilisation ne peut être comprise que dans ce contexte. Les normes sont des outils techniques à utiliser dans un contexte politique. Elles aident les bibliothèques à clarifier le service rendu ; à définir ce service, à le mesurer ; à rendre compte ; à raconter leur propre histoire. Rendre compte, pas seulement en fonction de critères externes, mais grâce à des référentiels qui bénéficient de la marque ISO et qui sont le fruit de tout un travail d’expertise. Exemple : révision actuelle de ISO 2789 : comment rendre compte. L’écrire. Passer par la norme. Diffuser et mesurer.
Deux choses à dire principalement. Que j’expose habituellement en 3 heures et que je vais essayer de résumer en 20 minutes. Si j’y arrive, c’est que ce n’est pas si dense que ça. Mais ce n’est pas une raison pour réduire les formations à 20 minutes. Il y a un cadre d’exercice des bibliothèques qui doit être pris en considération, dont on doit être conscient pour utiliser au mieux les normes Le statut des normes elles-mêmes
Compter et avant de compter définir
Sous ses deux angles la bibliothèque a besoin de chiffres. « La mesure de qqchose » est une partie du modèle, quel qu’il soit à travers le temps. [[Cette évolution n’étant elle-même qu’une façon de présenter les choses, une façon de vendre la réforme.]]
Je sais que cette approche n’est pas partagée, mais du moins, une des articulations qu’on peut trouver entre évaluation et performance publique d’un côté, et qualité de l’autre, c’est que la performance centre sur les missions, les objectifs alors que la qualité (qualité de la relation avec l’usager) centre précisément sur le résultat, perçu ou réalisé effectivement. Résultat vs objectifs OU résultat vs utilisateur Slide de transition vers Qualibib ; autre outil paranormatif