4. Du Web au Web 2.0…
• Naissance du Web Tim Berners-Lee
– Système hypertexte (navigation sur la « toile »)
– Édition des pages (sites) par quelques initiés
• Évolution
– Facilité d’édition et partage de documents
• Aujourd’hui
– Interactions entre utilisateurs : productions
collectives/collaboratives
– Accessibilité et réutilisabilité des données
(standards)
4
5. Du Web au Web 2.0
« Consommation » >< production,
socialisation
– Simplicité d’édition et de publication
– Recherche de normes/standards
– Partage (gratuit) d’applications et de
documents
– Nouveaux modes de classement et de
recherche de l’information
5
7. Le Web social
Le Web social est un des aspects du Web 2.0.
Accent sur :
rôle de producteur
nouvelles formes d’interactions sociales
Principes
simplicité
mutualisation
personnalisation
interactivité
réutilisabilité
7
8. Outils et services
du Web 2.0,
dont certains services
liés au Web social
(Spintank, 2009)
8
10. Le m-learning, c’est...
... une évolution extrême de l'e-learning. On ne se contente
plus de pouvoir délivrer une formation sur n'importe quel
poste informatique. L'apprenant peut suivre sa formation où
qu'il se trouve grâce à un terminal mobile. Le m-learning
peut prendre de nombreuses formes :
– documents texte avec une mise en forme compatible avec des
terminaux mobiles,
– contenus vidéo sur téléphone portable ou tablette, préchargés
ou en streaming,
– contenus audio téléchargeables sur un baladeur,
– formations complètes adaptées à des terminaux mobiles comme
des tablettes.
10 http://e-learning.prestataires.com/conseils/le-m-learning?print=1
11. Avantages
• Flexibilité
Le contenu de la formation est accessible n'importe quand.
L'apprenant peut décider du moment où il souhaite suivre la
formation. Il n'est pas limité à ses horaires de présence sur le
site où est accessible la formation.
• Accessibilité
Le contenu en m-learning est également accessible de partout.
Fiches de synthèse, définitions... sont accessibles à la
demande.
• Apprentissage informel
L'apprentissage nomade est par nature plus informel qu'une
session de formation sur un poste de travail. Cela peut être
plus motivant pour certains apprenants.
11 http://e-learning.prestataires.com/conseils/le-m-learning?print=1
12. Inconvénients Et
Et
vous ??
vous
• Aliénation des utilisateurs
Les apprenants doivent être particulièrement accompagnés lors
de la mise en place de solutions de m-learning. Il faut à tout
prix éviter que le m-learning soit vu comme une tentative de
la part de l’école de « profiter » de périodes où l’étudiant
n'est pas sur site. Il faut au contraire le présenter comme une
ressource mise à disposition.
• Environnement peu propice
Un aéroport ou un train peuvent constituer des environnements
peu propices à l'apprentissage (bruit, distractions...). Le m-
learning est donc a priori peu adapté aux contenus théoriques
complexes.
12 http://e-learning.prestataires.com/conseils/le-m-learning?print=1
20. Flickr
Flickr est un site web de partage de photos et de
vidéos gratuit, avec certaines fonctionnalités
payantes. En plus d'être un site web populaire
auprès des utilisateurs pour partager leurs photos
personnelles, il est aussi souvent utilisé par des
photographes professionnels. Le site héberge plus
de 3 milliards de photos.
http://www.flickr.com
20
21. Youtube
YouTube est un site web d’hébergement de vidéos,
sur lequel les utilisateurs peuvent envoyer,
visualiser et se partager des séquences vidéos. Le
service situé à San Bruno utilise la technique Adobe
Flash pour afficher toutes sortes de vidéos : des
extraits de films, d’émissions de télé et des clips
de musique, mais aussi des vidéos amateur
provenant de blogs par exemple.
http://www.youtube.com/results?search_query=pedagogie&
21
22. DIALOGUER im
voip
chat video
COMMUNIQUER AU QUOTIDIEN
22
23. COLLABORER wiki
liste diffusion
communauté
TRAVAILLER EN GROUPE
23
34. Flux RSS
• Permet d’être tenu automatiquement au courant
des mises à jour d’un site
– Plus d’infos ?
Voir
http://www.formahetice.ulg.ac.be/blog/2008/05/comment-utiliser-rs
– Ex. Rojo : Organisation de flux RSS en fonction de
leur popularité auprès des lecteurs
34
39. SNS
RESEAUTER Social
Networking
System
S’EXPOSER & SE RELIER
39
40. APPROFONDIR
SELECTION DE RESSOURCES
S’INFORMER EXPLORER S’AUTO-FORMER
DESCARY GO2WEB20 COMMON CRAFT
ACCESSOWEB FEEDMYAPP LES CLES DU WEB 2
PRESSECITRON BOITEaOUTILS ADN CREaTIF
MoMB WIDGEToLAB LE WEB SOCIAL
40
48. Pourquoi classer ses documents ?
Vos idées …
•parce que votre mémoire n’est pas infaillible
•pour rassembler les documents traitant d’un même sujet ou
nécessaire pour une formation
•pour identifier, supprimer ou mettre à jour les documents
obsolètes
•pour éviter d’avoir des documents en plusieurs exemplaires
•pour avoir une vision globale des sources d’informations sur
un sujet
•et surtout pour éviter de perdre du temps !
48
50. Annoter, indexer
Annoter un document = décrire ce document avec
des mots-clés (tags) pour pouvoir mieux le gérer
•Les tags – en français « étiquette » ou « mot-clé »
– Tag pour soi
– Tag en communauté
– Tag universel – Tag en soi (automatique?)
•Liens avec les ontologies et folksonomies
50
51. Diigo…
http://www.diigo.com
Permet de :
-partager des signets (comme Delicious)
-attacher des commentaires publics ou privés à des pages Web
-conserver en surbrillance des passages textuels de pages Web
-conserver des saisies d’écran pour archiver une page Web
DEMO
DEMO
51
52. TP « classification »
ÉTAPE 1 :
•Formez des duos
•Rendez-vous sur le site
http://www.formahetice.ulg.ac.be/wiki
•Observez les deux documents attribués à votre duo, et
attribuez-leur individuellement quatre Tags personnels.
Au sein de chaque duo, mise en commun des tags que
vous avez choisis et discussion
ÉTAPE 2 :
http://www.diigo.com
•Créez un compte pour deux
•Si nécessaire, renommez les documents qui vous sont
attribués et classez-les en les taggant.
52
53. Tags…
• Quels tags avez-vous associés aux différents
documents ? Pourquoi ?
• Avez-vous des tags communs ?
• Pensez-vous qu’il soit nécessaire de vous
mettre d’accord sur les tags utilisés ?
53
54. Taxonomie – Ontologie - Folksonomie
Type Catégorisation Figé/évolutif Plat/organisé Relations Ranking
à priori/à entre selon la
posteriori objets/lien fréquence
s croisés
Taxonomie A priori Figé Organisation Non Non
hiérarchique
Ontologie A priori + à Évolutif à partir Organisation Oui Non
posteriori d’une base variable selon
les usages
Folksonomie A postériori Évolutif Plat Non Oui
(décentralisé) « anarchique » (juxtaposition)
54
55. Folksonomie
http://fr.wikipedia.org/wiki/Folksonomie
•Une folksonomie, ou indexation personnelle, est
un système de classification collaborative
décentralisée spontanée, basé sur une indexation
effectuée par des non-spécialistes.
•les contributeurs d'une folksonomie ne sont pas
contraints à une terminologie prédéfinie mais
peuvent adopter les termes qu'ils souhaitent pour
classifier leurs ressources.
•Ces termes sont souvent appelés mots-clés ou
tags ou, en français, étiquettes.
55
56. Ontologie
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ontologie_%28informatique%29
•une ontologie est l'ensemble structuré des termes et concepts
représentant le sens d'un champ d'informations.
•L'ontologie constitue en soi un modèle de données représentatif
d'un ensemble de concepts dans un domaine, ainsi que des relations
entre ces concepts. Elle est employée pour raisonner à propos des
objets du domaine concerné.
•Les concepts sont organisés dans un graphe dont les relations
peuvent être :
– des relations sémantiques ;
– des relations de subsomption (inclusion).
•L'objectif premier d'une ontologie est de modéliser un ensemble de
connaissances dans un domaine donné, qui peut être réel ou
imaginaire.
56
57. TP sur les enjeux socio-culturels,
éthiques, citoyens … de l’usage des TIC
Individuellement ou par deux, produisez :
•un screencast (présentation multimédia animée
et commentée)
ou
•des pages Web (ex. via MediaWIKI) contenant
des hyperliens pour naviguer d’une à l’autre
En vous centrant sur un contenu, en structurant
votre présentation, en l’illustrant, etc.
57
58. Sujets
• Emmanuel : écart entre usages prescrits et
usages réels
• Bernadette et Ariane : enjeux éthiques de la
publication sur le net
• Xavier, Marjolaine et Hélène : Encyclopédies
collaboratives et dangers de la source unique
• Hassane ? Cécilia ? Jean-Jacques ?
Pour le ??
58
Notes de l'éditeur
Titre à introduire en Camtasia Une image de fond pour illustrer le Web (la toile) Auteurs Sigle ULg
Apparition progressive des infos (balayage) Titre de la dia « Après ce petit tour de vos représentations, voyons un peu comment le Web est né et surtout comment celui-ci a évolué pour devenir ce qu ’ il est aujourd ’ hui… 2. Texte « Naissance du web » Le web ou World Wide Web, les fameux 3w que l ’ on retrouve souvent dans les adresses URL, est une partie d ’ Internet. Le Web désigne un système hypertexte (d ’où le nom de toile) qui fonctionne sur Internet et qui permet de consulter, avec un navigateur (par exemple Mozilla Firefox, Internet explorer, …), des pages qui sont mises en ligne dans des sites. Le Web n ’est qu’une des applications d’Internet. D’autres applications d’Internet sont le courrier électronique, la messagerie instantanée (chat), etc.” Son principal inventeur est Tim Berners-Lee. En 1989, ce chercheur travaillait au CERN (centre éuropéen pour la recherche nucléaire, situé près de Genève). Ce centre est alors connecté à Internet. “Berners-Lee voit là l’opportunité de lier le principe d’hypertexte avec Internet. À partir de 1990, il développe les trois principales technologies du web : les adresses web, le Hypertext Transfer Protocol (HTTP) et le Hypertext Markup Language (HTML). Il développe le premier navigateur web et éditeur web (dénommé WorldWideWeb (…) et le premier serveur HTTP (…). Il travaille avec Robert Cailliau et quelques autres personnes du CERN.” (extrait de wikipédia) « À ce stade, seuls quelques initiés produisent et mettent en ligne des données pour des milliers, voire des millions d ’ utilisateurs potentiels. » 3. Texte « évolution » Mais les outils et les usages du Web ont évolué depuis sa création. L’évolution des logiciels a rendu l’édition et la publication des pages Web non seulement plus simples, mais aussi directement réalisables et partageables en ligne avec d’autres. Passant ainsi de simple consommateur à producteur, l’usager du Web peut maintenant éditer et partager ses propres contenus ainsi que consulter et enrichir ceux des autres internautes. (Extrait syllabus TICEF 2009-2010) 4. Texte « Aujourd’hui » Actuellement, comme nous le verrons plus loin, les interactions entre utilisateurs se développent. « De plus, les progrès technologiques vont actuellement dans le sens d’une production de documents reposant sur des normes ou standards qui permettent une certaine interopérabilité entre les outils ou services développés. »
Titre / « consommation,… » « La plupart d’entre nous étions donc au départ des consommateurs, de simples observateurs de ce que d’autres produisaient. Aujourd’hui, nous avons les moyens d’être des producteurs, créant nous-mêmes des contenus, créant et interagissant dans des réseaux qui impliquent une multitude d’acteurs. L’édition et la publication sur le Web ont effectivement été simplifiées, certaines normes sont recherchées afin de rendre les données produites accessibles et réutilisables dans d’autres productions, des applications et divers documents sont mis gratuitement en partage, l’émergence de ces nouveaux services entraîne de nouvelles pratiques, notamment au niveau de la recherche d’information, dont la manière de la classifier, d’y accéder et de partager ses références. (extrait du syllabus TICEF 2009-2010) « Ces changements ont amené certains auteurs à parler de Web 2.0, de Web social (…).
« Ce schéma illustre quelques points communs et différences concernant le fonctionnement du Web et du Web 2.0. Tout d ’ abord, les points communs : Il y a toujours un serveur sur lequel sont entreposés les données, les applications, les sites Web Un site Web, est géré par un Webmaster qui est responsable de sa conception et de sa réalisation, puis de sa gestion et de sa maintenance Les internautes consultent le site mis en ligne Dans le cadre du « web 1.0 », les acteurs sont isolés et ont soit un rôle de producteur, soit de consommateurs. La partie du schéma illustrant le fonctionnement du Web 2.0 nous montre que le webmaster n ’ est plus le seul à produire et à gérer des pages web. Certains internautes contributeurs y travaillent également, avec l ’ aide d ’ une palette d ’ outils nettement plus large. Les autres internautes sont quant à eux organisés en réseaux sociaux, ils ne sont plus seuls devant leur écran d ’ ordinateur, mais interagissent avec d ’ autres, voire même avec le système par exemple par le biais des flux RSS afin d ’ obtenir dès sa mise à jour des informations à propos du site concerné… »
Interview de Brigitte ;-) sur ce qu ’ est le web social plutôt que « blabla » sur dia ? « Un des aspects du Web 2.0 est le Web social… Ce concept met l’accent sur : le rôle de producteur que peut prendre n’importe quel internaute et les nouvelles formes d’interactions sociales. Nous parlons du Web social lorsque n ’ importe quel internaute peut produire lui-même une page Web en vue de la partager avec d ’ autres ou qu ’ une mise en réseau s ’ effectue à travers des interactions sociales multiples, par exemple via un forum, un chat, un blog, un wiki, ... Nous reviendrons par la suite sur ces services du Web social qui permettent ces interactions. Les principes à la base du Web social sont la simplicité d ’ utilisation : l ’ internaute peut aisément produire et ou modifier un document et le publier sur le Web, la mutualisation des données : les documents sont partagés avec d ’ autres, selon des règles fixées par les concepteurs à l ’ origine de la création du document. Celui-ci peut décider qui inviter à consulter ce document, lui donner ou nom le rôle de contributeur … la personnalisation : l ’ utilisateur peut personnaliser son environnement de travail, par exemple en choisissant d ’ activer certaines applications ou des widgets qui lui sont utiles, l ’ interactivité entre les acteurs : celle-ci est possible grâce aux outils de communication et de production mis à leur disposition, par exemple dans des espaces comme Facebook, la réutilisabilité des données : le codage des données selon un certain standard permet ensuite de les réemployer dans d ’ autres applications. »
« Enfin, pour illustrer tout ce dont nous venons de parler, examinons cette illustration de l ’ association Spintank. Cette association distingue trois « types de Web » et les positionne en fonction de deux axes principaux : le premier situe ceux-ci en fonction de leur aspect statique ou dynamique, alors que le deuxième traite du volet informel versus formel. Par exemple, nous avons abordé le Web social, celui-ci est situé à un niveau informel et dynamique. Cela traduit bien la notion de « social » par le côté informel et les interactions nombreuses, ainsi que le côté dynamique par l ’ implication de l ’ utilisateur dans la gestion de ces réseaux et la production de documents. Autre exemple : ce qui est appelé ici le Web documentaire, et qui consiste en la recherche d ’ informations, correspond plus au Web 1.0 dont nous avons parlé auparavant. Celui-ci est situé au niveau formel et statique. Il s ’ agit donc bien de pages créées par certaines personnes sans doute expertes dans un domaine et que les internautes vont simplement consulter. »
Extrait du syllabus TICEF 2009-2010 « Le développement de certains programmes et d’interfaces simples facilite la création et/ou le partage de documents sur le Web. Certains services permettent de classifier et retrouver des données à partir d’annotations personnelles, mais aussi construites et partagées avec d’autres. D’autres applications se focalisent sur les interactions sociales ou la mise en réseau des utilisateurs. Un rapide panorama de différentes tâches soutenues par les services du Web 2.0 nous permettra d’envisager par la suite dans quelle mesure ceux-ci pourraient supporter des activités de formation. »