2. Paris: L’amour de Brassaï « Mon ambition fut toujours de faire voir un aspect de la ville quotidienne comme si nous la découvrions pour la première fois » Paris: la réalité Romance Lumière L’amour Les secrets Séduction Les prostituées Les travailleurs La vie de nuit Les opprimés Les sans-abris Le plaisir Paris: le cliché
Quand on pense aux photos de Brassaï, il faut se souvenir de son but – de faire voir Paris comme pour la première fois. Nous, les étudiantes étrangères, découvrons Paris pour la première fois, comme il a voulu. Mais ses photos font nous voir la ville dans un nouveau point de vue et faire attention aux détails uniques. Pour les étrangères, les étudiants, les touristes, et même les gens du coin, Brassaï nous montre Paris comme une ville qui a beaucoup d’images de maintenir. La réputation de Paris est fondée sur les clichés forts. Quand on pense de Paris, on pense à la romance, à la fascination, à la séduction. Malgré le stéréotype de Paris, il existe aussi l’autre cote de la vie, la cote des gens qui ne s’entrent pas dans le monde chic de la vie. Du point de vue de Brassaï, Paris est une ville qui maintenait cette réputation chic, en promouvant les réalités de la vie quotidienne. Pendant la nuit, nous voyons que ces deux mondes se croisent.
Premièrement, on a trouvé les clichés de Paris, qui incluent la romance et la vie chic. Cependant, pour devenir un vrai parisien, il faut découvre l’autre côté de la ville – la réalité pour les ouvriers, les gens profanes, et les sans-abris. Dans ses photos, Brassaï a saisi l’esprit des deux côtés.
Le stéréotype dominant de Paris est qu’elle est la ville de l’amour. Les lieus invitent les scènes de séduction et donnent une atmosphère romantique de chaque rencontre.
C’est impossible d’éviter les amants, qui créent leur propre monde dans la ville grande et impersonnelle de Paris. Dans les parcs, sur chaque coin de la rue, et même dans la foule du métro, pour les amants, personne n’existe qu’eux. Dans les Tuileries, Brassaï a trouvé deux amoureux enlacés sur un banc. La nuit acte comme une couverture—elle se protège le couple des distractions et elle les cache de la réalité. Paris, comme la ville d’amour, est comme une fuite de la vie quotidienne. On ne pense pas des temps. Les heures qui passent pendant la nuit n’existent pas à Paris.
L’esprit de la romance profite d’une autre stéréotype de Paris, la vie chic, qui fournit l’atmosphère séduisante pour les parisiens et les étrangères qui vivent leurs rêves romantiques de Paris. Dans les photos de Brassaï, c’est évident que Paris est la ville de la lumière, et la nuit est vraiment vivante.
Comme des filles américaines dans la capitale de la mode, c’est incroyable de voir les parisiennes chics, s’habillent des vêtements les plus beaux, qui peuvent promener partout dans la nuit dans leurs talons hauts. La nuit et les soirées chics nous montre que les stéréotypes sont justes.
C’est évident que Paris est a la hauteur de tous les stéréotypes, néanmoins, Brassaï voudrait nous montrer les réalités de Paris qui existent en parallèle avec la vie romantique. Dans la préface de Paris de Nuit Morland écrit, “Un peut dire qu’il y a, la nuit, un Paris dangereux ». On trouve les sans-abri et les prostituées, mais il n’y a presque pas de danger. La beauté de la ville survit conjointement avec les « dangers » de la ville, souvent inaperçus, comme on voit dans la photo des amants avec le sans-abri. Deux mondes qui peuplent Paris se croisent au banc.
La vie louche de Paris est exemplifié par les quartiers de Montmartre et Pigalle. Là, on trouve le monde des prostituées et tous les gens et les industries qui accompagnent ce côté obscure de Paris. Ce côté est inaperçu par la plupart des parisiens et ceux qui compose la vie stéréotypée de la ville.
Cependant, la nuit n’est pas dominée seulement par les femmes de nuit et leurs clients. La vie quotidienne de Paris dépend sur les travailleurs qui ne sont pas vu mais qui contribuent au fonctionnement de la vie de chaque parisien. Brassaï nous montre le boulanger qui travaille avant l’aube, et le salarié seul qui allume les réverbères tôt puisque les citoyens de la ville restent sains et saufs.
Comme des parisiennes adoptives, on peut apprécier les clichés et les réalités de la ville, qui Brassaï réunit dans ses photos. Partout dans nos temps dans la ville, on découvre la Paris de Brassaï, et voit comme les côtés se mélangent, exemplifiée dans la photo des pavés. Les pavés ont été posés par les travailleurs, qui n’ont pas beaucoup en commun avec eux qui se promènent sur les pavés dans leurs talons, mais Brassaï nous montre que ils partagent la même ville et les mêmes trottoirs.