2. ARTISTES 2011
Dominique Aussage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 4-5
Violaine Dejoie-Robin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 6-7
Luciano Di Rosa. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 8-9
Baptiste et Dominique Falda. . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 10-11
Sophie Goyard. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 12-13
Fabienne Guisle etJulie Pagesse . . . . . . . p 14-15
Margrit Neuendorf
et Olivier Huet (les Fujak). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 16-17
Pedro Marzorati. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 18-19
Marie-Lorraine Peignier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 20-21
Polska. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 22-23
Muriel Pozzi. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 24-25
Karin Van Der Molen. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p 26-27
Directeur de la publication:
Georges Deléaval, Président d’Annemasse Agglo
Coordination éditoriale:
Services Culture et Communication d’Annemasse Agglo
Suivi éditorial:
Catherine Deremble, Vice-Présidente d’Annemasse Agglo,
déléguée à la Culture
Gabriel Doublet, Vice-Président d’Annemasse Agglo,
délégué à la Communication
Conception: Atelier Toro Bravo
Impression: Imprimerie Uberti-Jourdan
Crédit photos: Padibi, Jimmy Rivet et Karin Van der Molen
ISBN: 978-2-9534185-0-7
Dépôt légal: 2012
2 000 exemplaires imprimés en France,
sur papier recyclé à 60%
et issu de forêts gérées durablement - FSC à 40%.
Prix de vente 12,00 € TTC
UN ÉVÈNEMENT
Annemasse-Agglo.fr
Aux artistes du festival Land art et art environnemental, qui chaque année
enchantent le lac de Machilly par leurs créations originales et aux photo-
graphes qui immortalisent ces œuvres.
À Annemasse les Voirons Tourisme, son Comité de Direction et son équipe,
pour l’organisation logistique de Couleur(s) d’automne et la communication
autour de cette manifestation.
Aux personnels des services administratifs et techniques d’Annemasse
Agglo et des communes qui la composent.
Aux bénévoles ainsi qu’à tous ceux qui ont permis la réalisation de Couleur(s)
d’automne.
Aux partenaires qui ont contribué à la réalisation du Festival Land art et art
environnemental en 2011:
Le SIFOR – Les Brigades Vertes du Genevois – L’École des Beaux-arts du Genevois (EBAG)
Art Catalyse – Landart.fr – La MAPRA – La Vie saine – La Maison Familiale et Rurale de
Bonne – Shopping Etrembières – Padibi.com – France Bleu Pays de Savoie – Le Messager
L’Imprimerie Uberti Jourdan – L’Atelier Toro Bravo.
Annemasse Agglo
tient à exprimer
ses remerciements:
Chers lecteurs,
Depuis 2007, la Communauté d’ag-
glomération Annemasse Agglo orga-
nise au mois de septembre autour du
lac de Machilly un événement original,
articulé autour du lien qui unit l’homme
à la nature.
Au fil des ans, Couleur(s) d’automne
est devenu un rendez-vous incontour-
nable de notre territoire. Un rendez-
vous où la nature est célébrée sous
toutes ses formes…
Une nature cultivée, par les produc-
teurs du marché aux plantes et sa-
veurs,
Une nature interprétée, par les confé-
renciers des rencontres nature et les
bibliothécaires du salon de lecture,
Et finalement, une nature re-créée, par
les artistes du Festival land art et art
environnemental.
Pendant une semaine, une dizaine
d’artistes utilisent le cadre du lac de
Machilly comme un support naturel
de création.
Travaillant in situ, ces artistes utilisent
les matériaux de la nature (bois, terre,
pierres, sable, herbe, branches, pig-
ments…) et creusent, plantent, dé-
placent, tracent, tissent… en y ajoutant
parfois des produits manufacturés,
amenant ainsi le visiteur à porter un
autre regard sur le paysage.
Grâce à la photographie, partie inté-
grante de la démarche artistique du
Land art et de l’art environnemental,
vous découvrirez les œuvres réalisées
lors des éditions 2009 et 2011, par
des artistes nationaux et internationaux.
L'idée surprenante de sortir l'art du
traditionnel musée n’est plus à argu-
menter… La preuve est là… Le lac
devient l’écrin naturel d’une création
originale, parfois monumentale, par-
fois intimiste, parfois émouvante, par-
fois provocatrice… Mais toujours
éblouissante.
Georges Deléaval,
Président d’Annemasse Agglo
Cathy Deremble,
Vice-Présidente d’Annemasse Agglo
déléguée à la Culture
Gabriel Doublet,
Vice-Président d’Annemasse Agglo
délégué à la Communication.
3. Aubenas (07)
aussage.dominique@wanadoo.fr
Dernières expositions:
2011: Sentier artistique de Chaillol (05)
2008: Couleur(s) d’automne, Machilly
2007: Sur mon chemin, un artiste passe, Jaujac (07)
Dominique
Aussage
Séquençage
«L’homme est une plante enracinée
dans la terre et dans le ciel», Platon.
Un signal, un signe…
En esquissant la répétition en trame
du dessin de jeunes arbres, Domi-
nique Aussage s’aventure à un exer-
cice de calligraphie ou à l’écriture
d’une partition…
L’installation, inspirée par les repré-
sentations graphiques du séquen-
çage de l’ADN, nous invite à imaginer
une «nature» modifiée.
Les recherches plastiques de Domi-
nique Aussage s’inscrivent dans la
lignée de ses premières expériences
luminocinétiques, et dans une préoc-
cupation constante de placer l’œuvre
en tant qu’intervention modifiant notre
lecture de l’espace. C’est l’interac-
tion avec les éléments visuels de l’es-
pace investi que nous percevons par
notre déambulation, à l’intérieur, ou
autour du dispositif, qui fait l’œuvre.
Matériaux:
bois, peinture.
4
5
4. Nantes (44)
v.dejoierobin@gmail.com
www.galerievdr.com
Dernières expositions:
2011: Courant d’art, Dole (Jura)
2010: Étangs d’art, Pays de Brocéliande (Ille-et-Vilaine)
2010: Festival AP’art, Saint-Rémy de Provence
(Bouches-du-Rhône)
Violaine
Dejoie-Robin
Supplique
En ces temps mouvementés où les
catastrophes climatiques se multi-
plient, nous pourrions un jour n’avoir
plus que cet appel au ciel pour de-
mander secours.
Sans être aussi pessimiste, ce re-
gard peut être aussi une émotion que
l’on peut avoir devant un paysage
d’automne: la nature donne un der-
nier éclat flamboyant, l’été est loin,
la brise du matin est froide, les
brumes s’installent dans les vallées,
et une certaine mélancolie nous en-
vahie…
Pendant vingt ans, Violaine Dejoie-
Robin a travaillé en tant que cinéaste
au rythme de 24 images par se-
conde et aujourd’hui, elle réalise une
image par mois. L’image prend dés-
ormais le temps de sa matérialisa-
tion et de sa maturation. Elle utilise
une technique qui peut s’apparenter
à de la tapisserie: l’image est compo-
sée point par point. Le geste fait
corps avec un travail archaïque.
Matériaux:
filet de pêche, toile de spi, cadre métal.
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7
…nous pourrions un jour
n’avoir plus que cet appel au ciel
pour demander secours.
5. Torre del Greco (Italie)
lucianodirosa@yahoo.it
Dernières expositions:
2011: Sculpture Key West, Floride (États-Unis)
2011: In Situ 0.6, Arles (Provence-Alpes-Côtes d’Azur)
2010: Art Omi, NY (États-Unis)
2010: Sentier art et nature, Pontechianale (Italie) / Molines
en Queyras (Hautes-Alpes)
Luciano Di RosaLe chant suspendu
Un domino bloqué à la moitié de sa
chute. Les pièces ont un côté coloré
et l’autre est réfléchissant. Tant qu’ils
sont dans une position verticale, ils
ne se réfléchissent qu’entre eux.
En revanche, en tombant, ils arrivent
à ouvrir leur formation et à refléter
l’espace naturel. C’est seulement en
tombant qu’ils prennent leur sens.
Et cette chute est produite par une
réaction en chaîne: la pièce antérieu-
re fait tomber la postérieure, laquelle
en fait tomber une autre, jusqu’à la
dernière pièce du domino, dans un
processus qui, symboliquement, re-
présente une dynamique de réconci-
liation avec la nature.
Pourquoi ce processus est inachevé?
Ou peut-être est-il bloqué? Luciano
Di Rosa laisse cette réflexion au
spectateur. Entre-temps, les pièces
du domino restent là dans l’attente de
se laisser tomber, pour se coucher
l’une sur l’autre.
Matériaux:
contreplaqué, fer, miroirs
8
9
Pourquoi ce processus est inachevé?
Ou peut-être est-il bloqué?
6. Saint Genix sur Guiers (73)
baptiste.falda@orange.fr
dominiquefalda@orange.fr
Dernières expositions:
Baptiste Falda:
2011: Sentiers du Rhône, Cruas (Ardèche)
Actuellement à la faculté d’Arts plastiques de Saint Étienne
Dominique Falda:
2011: Résidence à la French Américan International School
Portland Oregon (États-Unis)
2011: Sentiers du Rhône, Cruas (Ardèche)
2010: Parcours des fées, Crévoux (Hautes-Alpes)
2009: Couleur(s) d’automne, Machilly
Hôtel des Oiseaux
35 chambres tout confort à l’usage
des petits volatiles. Vue sur le lac.
Chaque lieu de transit ou de loisir
génère ses propres infrastructures et
ses outils de développement.
Ainsi une gare se couplera de son
traditionnel «hôtel des voyageurs»,
un lieu balnéaire accouchera de ses
«hôtels de la plage», «villa beau sé-
jour», «résidence des bains»…
L’homme laissant l’empreinte de ses
loisirs sur le lieu et son imaginaire,
Baptiste et Dominique Falda ont dé-
cidé de renverser cette proposition
en offrant aux premiers résidants tran-
sitoires du lieu, les oiseaux, un hôtel
composé de 35 chambres indivi-
duelles.
Matériaux:
contreplaqué laqué.
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35 chambres tout confort
à l’usage des petits volatiles.
Vue sur le lac.
Baptiste vet
Dominique
Falda
7. Ville-la-Grand (74)
sogo66@aliceadsl.fr
http://sophie.goyard.over-blog.fr
Dernières expositions:
2009 et 2007: Couleur(s) d’automne, Machilly
2006: Happening «sur les traces de la matière»,
Allinges (Haute-Savoie)
2006: Exposition personnelle «Mandalas», Annemasse
Sophie Goyard
Mauvaise graine
(Canetta calamitas perennis)
A l’origine de cette œuvre, un constat
tout simple: la quantité d’emballages
et autres déchets abandonnés avec
insouciance dans le paysage urbain
et naturel.
Le travail métaphorique qui en résulte
offre un regard à la fois humoristique
et poétique sur cette négligence
humaine et le manque de respect de
l’environnement dont elle témoigne.
A travers ce simple geste de recy-
clage, il est possible de prendre cons-
cience que toutes ces «mauvaises
graines », lorsqu’on prend la peine
de les récolter puis de les cultiver,
peuvent se transformer en «remar-
quables espèces horticoles»…
Matériaux:
canettes aluminium, fil métallique,
bouteilles plastiques.
12
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…un regard à la fois humoristique
et poétique sur cette négligence humaine…
8. Nous fantasmons
sur ces territoires
lointains.
Nous rêvons
d’un paradis
perdu.
Lyon (69)
julie.pagesse@free.fr
fb.guisle@gmail.com
Dernières expositions:
Julie Pagesse:
2010: Festival P’ARTcourt dans la ville, Bron (Rhône)
2010: Festival International des Jardins, Domaine de Chau-
mont-sur-Loire (Loir-et-Cher)
2009: Installation de la couverture végétale de la Fuste de
Hans de W., Saint-Martial (Corrèze)
Fabienne Guisle: Architecte paysagiste
En cours: poésie autour de l’abandon et des mutations. Mise
en parallèle des producteurs du marché de Lyon (Croix-rousse)
et des territoires agricoles de l’agglomération par l’outil photo-
graphique. Réflexion sur les enjeux et les transformations que
subissent ces espaces.
Julie Pagesse et
Fabienne GuisleCeci n’est pas… et ça?
Nature, espace naturel, nature vierge,
campagne, verdure, les concepts et
les définitions sont parfois flous et
les exemples nombreux. D’une part,
on nous donne à voir à travers des
émissions télévisées une nature riche,
luxuriante, presque vierge, souvent
éloignée. On nous vend des trecks,
des aventures Nature… Nous fantas-
mons sur ces territoires lointains.
Nous rêvons d’un paradis perdu.
D’autre part, nous fuyons la ville le
week-end et partons à la campagne,
véritable lieu de villégiature, lieu res-
sourçant, ludique.
Mais au fait, qu’est ce que la nature ?
L’illusion de l’absence de l’homme ?
Une certaine valeur écologique ?
Ou quelque chose de plus global ?
Cette question est au centre du con-
cept de Julie Pagesse et Fabienne
Guisle. À la manière de Magritte qui
pendant près de 40 ans a interrogé
le rapport entre l’objet, son identifica-
tion et sa représentation («Ceci n’est
pas une pomme»), cette installation
permet de questionner la notion de
représentation de la nature en pro-
posant divers points de vue sur l’es-
pace environnant.
Matériaux:
pédalo, végétation prélevée sur site, terre,
palettes et planches en bois,
papier calque.
14
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9. Avignon (84)
fujak@orange.fr
www.margritn.info
www.olivierhuet.info
Dernières expositions:
2011: Cycle d’Art Contemporain, Vernand (Loire)
2011: Sentier Art Nature du Gorneton, Chasse-sur-Rhône
(Isère)
2011: Festival Land Art, Buthiers (Seine-et-Marne)
2010: YATOO International Residence, Wongol (Corée du Sud)
Margrit Neuendorf
et Olivier Huet
(les Fujak)
Grandeur nature
Les interventions de Margrit Neuen-
dorf et Olivier Huet en Land art sont
animées par une préoccupation ré-
currente: quelle est la place de l’hom-
me dans la nature, mais aussi quelle
place se donne-t-il?
L’installation proposée à Machilly est
en lien avec le paysage vaste et ouvert
du lac et donne à voir au sens littéral
«l’échelle du paysage». Dans la pente
enherbée, une inscription monumen-
tale représente une échelle métrique
à taille réelle, et donc grandeur nature.
Cette sculpture confère au lac et à
son environnement une nouvelle lec-
ture, que le promeneur expérimente
en arpentant la carte du territoire.
Matériaux:
herbe.
16
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…quelle est la place de l’homme dans la nature,
mais aussi quelle place se donne-t-il?
10. Paris (75)
pedromarzorati@gmail.com
www.pedromarzorati.com
Dernières expositions:
2011: Drawing Now, Salon du dessin contemporain,
LUCIE WEIL & SELIGMANN, Paris
2011: I PARK, USA
2011: Chemin faisant, Villeneuve Lez Avignon
2010: Festival Out of space, Pays-Bas
Pedro MarzoratiWhere the Tides Ebb
and Flow
“Where the Tides Ebb and Flow” est
une installation de land art qui illustre
le thème de la montée des eaux suite
au réchauffement de la planète.
Elle se positionne comme un acte
de «militantisme poétique» destiné à
faire prendre conscience d’une pro-
blématique prégnante. Ces sculp-
tures plus ou moins immergées repré-
sentent les populations qui sombrent
déjà dans les flots ou qui menacent
bientôt de l’être. Cette installation
devient un emblème poétique des
problèmes et des inégalités dus au
réchauffement climatique.
Matériaux:
résine, fer.
18
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…acte de «militantisme poétique»
destiné à faire prendre
conscience d’une problématique
prégnante.
11. 22
23
Image à 100%
trop petite, taille
désirée pour les
images: 300dpi
pour une largeur/
hauteur minimale
de 18/19 cm…
(cadrage carré!)
Paris (75)
polskapolska@free.fr
www.polskapolska.com
Dernières interventions:
2011: Jardin de Belleville, Paris
2010: Fête des feuilles, Parc de la Tête d’Or, Lyon
2010: Festival éphémère de L’Estran, Tregastel (Bretagne)
La nuageuse
Légère, très légère comme une feuille
d’arbre en automne, elle tremble aux
premiers vents. Elle se détache dou-
cement sur un fond de ciel ou d’eau,
comme une calligraphie rehaussée
de lavis.
Construite avec la nature et pour la
nature: branches de bambous doré,
osiers rouge, brun ou noir choisis,
elle se revêt de crin ou de lin, roux,
blond, blanc ou noir en dégradé.
Elle semble paraître fragile mais elle
danse comme le feuillage d’automne
lorsque la pluie lui donne un poids lé-
ger mais suffisant…
Elle ne craint pas les intempéries,
elle fait partie de la nature. La spirale
bleue qui l’entoure exprime l’énergie
de l’automne. Celle qui enroule la
feuille de l’automne lorsqu’elle a quitté
sa branche.
La pirogue est solitaire, silencieuse,
secrète, porteuse de tous les rêves
dont nous voulons bien la charger.
Elle s’offre à la nature qui en est le
maître d’œuvre…
Les perches qui la soutiennent attra-
pent les nuages et attirent les oiseaux.
Rien n’est fixe… Tout est en devenir…
Matériaux:
bambous, osiers, crin, chanvre.
Polska
La pirogue est solitaire, silencieuse,
secrète, porteuse de tous les rêves
dont nous voulons bien la charger.
12. Bonne (74)
pozziandco@hotmail.fr
Dernières expositions:
2010: Grand art, Epagny (Haute-Savoie)
2009: Sentier Art Nature du Gorneton,
Chasse-sur-Rhône (Isère)
2008: Floralies internationales, Genève
2008: Exposition «Poulompioukou», Vienne (Isère)
2007: Couleur(s) d’automne, Machilly
…un mouvement qui part de la terre
pour finir les pieds dans l’eau.
Muriel PozziGraminées
Tressées, attachées et suspendues à
des bambous, ces graminées toutes
différentes se balancent au gré du
vent pour former une œuvre monu-
mentale gracieuse et poétique.
Elles créent un mouvement qui part
de la terre pour finir les pieds dans
l’eau.
Cette œuvre met en évidence l’im-
portance de l’eau dans notre vie et
notre environnement.
Matériaux:
bois, branches, feuillages et bambous.
24
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13. Pays-Bas
karin.molen@gmail.com
www.karinvandermolen.nl
Installations récentes:
2011: Atelier Heemtuin, Leiderdorp (Pays-Bas)
2011: Sculpture by the Sea, Aarhus (Danmark)
2011: Übergriffe, Landart Aachen (Allemagne)
2011: Kunst trifft Khole, Münster (Allemagne)
…l’homme a besoin d’une aide
pour s’habituer et devenir aussi agile
qu’une tige de bambou dans le vent.
Karin
Van Der MolenLe passage
Ce passage zèbre s’élève et disparaît
dans le lac. Il signifie le passage
d’une saison à l’autre, d’un monde à
l’autre. Et les bambous ont déjà la
couleur de l’automne…
La nature est en perpétuel mouve-
ment, elle change toujours. Parfois
l’homme a de la difficulté avec ces
changements et a besoin d’une aide
pour s’habituer et devenir aussi agile
qu’une tige de bambou dans le vent.
Le passage est récurrent dans l’œu-
vre de Karin Van der Molen, puisqu’il
permet au spectateur de laisser libre
cours à son imagination et parfois
même d’entrer physiquement dans
l’œuvre.
Matériaux :
bambous.
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14. Saint-Pierre de Chartreuse (38)
mlorrainep@orange.fr
Dernières expositions:
2011: Fenêtres sur Combe Laval, Saint-Jean et Saint-Lau-
rent en Royans, Drôme
2009, 2008: Couleur(s) d’automne, Machilly, Haute Savoie
…percevoir différemment
l’espace libre extérieur.
Marie-Lorraine
Peignier
La Porte
Par la présence surréaliste dans le
paysage d’une porte - élément carac-
téristique de l’habitat, dont elle est
le filtre symbolique - Marie-Lorraine
Peignier invite le visiteur à s’interroger
sur l’espace construit, et ainsi à per-
cevoir différemment l’espace libre ex-
térieur.
En ouvrant la porte sur une perspec-
tive faussée, elle poursuit un travail
mené sur la perception que nous
avons de l’espace et notre façon de
l’appréhender. Nous croyons sou-
vent ce que nous voyons.
La confrontation à la réalité physique
est parfois surprenante.
Matériaux:
bois peint, métal.
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