Formation échiquéenne jwhyCHESS, parallèle avec la planification de projet
Ps t2 tp6_bilan
1. V
-‐
Le
renforcement
et
l’évolu2on
du
modèle
TP6
2.
3. L’expansion
océanique
confirmée
par
les
roches
du
plancher
océanique
• Au
milieu
des
années
60,
les
forages
marins
profond
permeDent
d’avoir
accès
aux
roches
du
plancher
océanique
(sédiments
et
basaltes
sous-‐
jacents).
• À
mesure
que
l’on
s
’éloigne
de
la
dorsale
la
colonne
sédimentaire
est
de
plus
en
plus
épaisse
et
les
sédiments
au
contact
des
basaltes
de
plus
en
plus
âgés
;
cela
confirme
l’hypothèse
de
l’expansion
océanique
émise
par
Hess.
4. Ac2vité
1
:
mesure
des
vitesses
d’expansion
Des
ou2ls
:
la
règle
dans
GE
=>
mesure
des
distances
L’échelle
des
temps
géologiques
5. V
=
δD/δt
=
4674Km/135Ma=4674.106a/135.
106mm
V
=
34,6
mm/an
soit
3,4
cm/an
6. V
=
δD/δt
=
2498Km/65Ma=
2498.106a/65.
106mm
V
=
38,4
mm/an
soit
3,8
cm/an
7. On
peut
aussi
calculer
des
½
vitesses
d’expansion
;
il
faudra
alors
mul2plier
le
résultat
par
2
V
=
δD/δt
=
3692Km/65Ma=3692.106a/65.
106mm
V
=
56,8
mm/an
soit
5,8
cm/an
8. • L’exploita2on
de
ces
données
(études
des
sédiments
et
data2on)permet
de
vérifier
les
vitesses
d’expansion
déduites
des
anomalies
magné2ques.
• La
théorie
de
la
tectonique
des
plaques
devient
le
modèle
de
la
tectonique
des
plaques
9. Ac2vité
2
:
Le
principe
du
GPS
La
technique
GPS
(global
posi2oning
system)
est
réalisée
à
par2r
des
satellites
orbitant
autour
de
la
Terre.
Ils
émeDent
des
ondes
radio
à
un
instant
connu.
Connaissant
la
vitesse
de
propaga2on
des
ondes
et
la
mesure
du
temps
d’arrivée,
on
en
déduit
la
distance
entre
le
récepteur
et
le
satellite.
10. Les
satellites
occupent
des
orbites
définies.
Au
moment
de
la
mesure,
le
récepteur
se
situe
quelque
part
sur
une
sphère
centrée
sur
le
satellite
et
de
rayon
r.
Pour
localiser
avec
précision
le
récepteur,
il
faut
mesurer
sa
distance
à
3
satellites
dis2ncts
(
qui
auront
un
seul
point
en
commun).
16. • Actuellement,
grâce
à
l’u2lisa2on
des
techniques
de
posi2onnement
par
satellites
(GPS)
il
est
possible
d’observer
le
déplacement
des
plaques
en
temps
réel
et
de
calculer
les
vitesses
de
déplacement
avec
une
grande
précision.
Les
vitesses
ainsi
calculées
confirment
les
vitesses
prévues
par
le
modèle
de
la
tectonique
des
plaques
à
par2r
de
données
paléomagné2ques
et
par
l’étude
des
sédiments
océaniques.