19. Euvolémie avec hyperréninsme
HYPERTENSION ARTERIELLE ↑ Pression intrarénale
Suppression de la production
de rénine
Et une ↑ de la natriurèse
Expansion volémique
HTA rénine
dépendante
32. L' HTRV est considérée comme la cause la plus fréquente
des HTA secondaires potentiellement curables (2-5 %).
SAR avec manifestations cliniques:
Population générale (> 67 ans) : 0,5 %
Insuffisants rénaux chroniques: 5,5 %
Echodoppler systématique (moyenne d’âge:77 ans): 6,8 %
Sex-ratio: 2H/1F
Pas de différence raciale
La progression anatomique de la SAR athéromateuse: 1/3
des cas
Après 5 ans de suivi (avant l’utilisation des statines): occlusion dans
3 à 15 % des cas (sous traitement médical)
Kaltra PA, Kidney Int 2005
Hansen KJ, J Vasc Surg 2002
Caps MT, Kidney Int 1998
33. Age <30 ans
Femme > homme
Fréquence : 10-15 %
Traitement :
angioplastie par
ballonnet
Succés : 82-100 %
Resténose: 10 %
Guérison de l’HTA: 60 %.
34.
35.
36.
37.
38.
39. HTA chez un sujet > 50 ans
HTA maligne ou réfractaire au traitement
Installation récente ou aggravation rapide de l’HTA
Symptômes d’une maladie vasculaire au niveau d’autres localisations
Altération de la fonction rénale après prescription d’un IEC ou d’un
ARA II
Souffle abdominal
Atrophie rénale ou différence de taille entre les 2 reins > 1,5 cm
Hypokaliémie
Progression vers l’IRC, insuffisance cardiaque congestive, œdème
pulmonaire (flash oedema)
40. Son diagnostic comporte 2 volets :
Celui du diagnostic morphologique de la sténose.
Celui de la fonctionnalité de la sténose (établir le lien
de causalité entre la sténose et l’HTA selon des
critères d’imputabilité).
41. Identifier les artères principales et accessoires
Localiser l’anomalie
Caractériser la maladie sous-jacente (athérosclérose, dysplasie
fibromusculaire)
Déterminer la signification hémodynamique de la lésion
Déterminer la probabilité d’une réponse favorable à la
revascularisation
Identifier les pathologies associées (anévrysme aortique abdominal,
masse rénale) qui peuvent avoir un impact sur le traitement de la
maladie artérielle rénale
Détecter une resténose après une revascularisation percutanée ou
chirurgicale
42. Patients chez qui l’HTRV est suspectée
Echodoppler
AR
Scintgraphie rénale
(captopril)
Diagnostic morphologique Diagnostic fonctionnel
IRM,
Angioscanner MB
ARP
(captopril)
Artériographie rénale
43. Avantages et inconvénients
Avantages Inconvénients
Echodoppler Non invasif Opérateur dépendant, limité par l’obésité
et la présence de gaz abdominaux
AngioIRM Non invasif Risque de fibrose systémique
néphrogénique
(CI si cl < 30 ml/min)
Faux positifs, CI (implants métalliques,
claustrophobes)
Angioscanner
multibarettes
Non invasif Risque de néphropathie aux PDC,
exposition aux radiations ionisantes
Performance moindre pour les artères
polaires
Scintigraphie rénale
(DTPA)
Non invasif Perd sa valeur en cas de créatinine > 300
µmol/l et en cas de sténose bilatérale
44. Diagnostic fonctionnel
(Imputabilité)
Dosage séparé de la rénine dans les veines rénales:
rénine rein sténosé/rein sain> 1,5
Echodoppler: IR < 0,8, vitesse du flux sanguin > 180/sec
Artériographie: sténose fonctionnelle lorsque son degré
est > 75% au niveau d'une ou des deux artères rénales, ou
lorsque son degré > 50% en association à une dilatation
post-sténotique.
Scintigraphie : néphrogramme anormal post captopril
49. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice
Imputabilité
TTT médical
NON
50. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice
Artériographie±Angioplastie
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
51. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Non évocatrice
Artériographie±Angioplastie
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
52. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Non évocatrice
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
53. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
54. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
55. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
56. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
57. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Normale
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
58. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Sténose Normale
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
59. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale Altérée
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Sténose Normale
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
60. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale Altérée
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Scintigraphie
(Mag3)
AngioIRM
Sténose Normale
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
61. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale Altérée
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Scintigraphie
(Mag3)
AngioIRM
Sténose Normale
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
62. Suspicion clinique et biologique
Echodoppler des AR
Évocatrice Douteuse Non évocatrice
Fonction rénale
Normale Altérée
Scintigraphie
(Captopril)
Angioscanner
Scintigraphie
(Mag3)
AngioIRM
Sténose Normale Sténose
TTT médical
Artériographie±Angioplastie
TTT médical
Imputabilité
TTT médical
NON
OUI
63.
64.
65. MESURES GENERALES
Lutte contre les facteurs de risque associés:
Sevrage tabagique,
Lutte contre la sédentarité,
Lutte contre l’obésité,
Le traitement des dyslipidémies par le régime et par
les statines.
Antiagrégants (ASPIRINE)
66.
67. Traitement antihypertenseur
Tous les anti hypertenseurs peuvent être
utilisés pour la correction de l'HTA
Le contrôle de l’HTA peut être obtenu dans 90%.
L’augmentation de la créatininémie, parfois
notée, suggère l'existence de lésions de NAS
dans le rein controlatéral.
Elle est acceptée si elle ne dépasse pas 20 % par
rapport aux chiffres de base.
83. La nécessité d’une revascularisation percutanée d’une SAR
unilatérale significative sur le plan hémodynamique dans
un rein viable n’est pas établie et est actuellement non
prouvée (classe IIb)
La revascularisation percutanée peut être considérée pour leLa revascularisation percutanée peut être considérée pour le
traitement d’une SAR bilatérale asymptomatique ou d’unetraitement d’une SAR bilatérale asymptomatique ou d’une
SAR unilatérale dans le cas d’un rein unique (classe IIb)SAR unilatérale dans le cas d’un rein unique (classe IIb)
Sténose asymptomatique
84. La nécessité d’une revascularisation percutanée d’une SARLa nécessité d’une revascularisation percutanée d’une SAR
unilatérale significative sur le plan hémodynamique dans un reinunilatérale significative sur le plan hémodynamique dans un rein
viable n’est pas établie et est actuellement non prouvée (classeviable n’est pas établie et est actuellement non prouvée (classe
IIb)IIb)
La revascularisation percutanée peut être considérée pour le
traitement d’une SAR bilatérale asymptomatique ou d’une
SAR unilatérale dans le cas d’un rein unique (classe IIb)
Sténose asymptomatique
85. Sténose de découverte fortuite
Hypertension artérielle
Aggravation de la fonction rénale
86.
87. Randomisation : 106 patients (56 patients PTA, 50 patients traités
médicalement)
Sténose > 50 %
Créatinine < 200 µmol/l
A trois mois
Pression artérielle, nombre de drogues,
fonction rénale
A 12 mois
Angiographie
88.
89. Etat de base 3 mois 12 mois
Pas de différence significative pour la fonction rénale
à 1 an
90. Etude basée uniquement sur l’angioplastie sans mise
de stents
9 % des patients du groupe traitement
antihypertenseur ont eu une occlusion totale de
l’artère atteinte après 12 mois de suivi
Dans le groupe avec traitement antihypertenseur seul
pour 22/50 patients: il y a eu recours à une angioplastie
après 3 mois de suivi à cause d’une HTA persistante
malgré un traitement à base de 3 AHT ou plus.
91. Sténose de découverte fortuite
Hypertension artérielle
Aggravation de la fonction rénale
92.
93.
94. Critère de jugement principal: fonction
rénale
Critères de jugement secondaires:
pression artérielle, événements
cardiovasculaires et rénaux, mortalité
95. Sténose de l’artère rénale significative
Pas de contre-indication à la
revascularisation (PTA)
Pas de situation dans laquelle la
revascularisation est clairement bénéfique
RANDOMISATION
PTA±stent
+
Traitement médical optimal
Traitement médical optimal
97. % de la sténose
Longueur du rein
Rein gauche atteint
Rein droit atteint
Atteinte des 2 reins
Données absentes
Traitement médical optimal pPTA±stent
> 70 % 60 cas 58 cas
101. Biais de sélection des malades:
Patients recrutés uniquement quand le clinicien est
incertain du bénéfice de la revascularisation
Le nombre des patients ayant une SRA significative (> 70
%) est faible
Revascularisation de reins < 8 cm (manque d’impact)
Uniquement 1/5 des patients pour chacun des sous-
groupes a eu 4 ans de suivi.
109. Artériographie
Sténose < 50 %
STOP
Sténose > 75 %
RevascularisationSténose entre 50 et 75 %
TA non contrôlée avec 3 AHT
Oèdème pulmonaire (flash oedema)
Angine de poitrine inexpliqué
ICardiaque non contrôlée
Augmentation de la créatinine > 20 %
durant la prescription des IEC
110. Artériographie
Sténose < 50 %
STOP
Sténose > 75 %
RevascularisationSténose entre 50 et 75 %
TA non contrôlée avec 3 AHT
Oèdème pulmonaire (flash oedema)
Angine de poitrine inexpliqué
ICardiaque non contrôlée
Augmentation de la créatinine > 20 %
durant la prescription des IEC
Angioplastie±stent
111. Artériographie
Sténose < 50 %
STOP
Sténose > 75 %
RevascularisationSténose entre 50 et 75 %
TA non contrôlée avec 3 AHT
Oèdème pulmonaire (flash oedema)
Angine de poitrine inexpliqué
ICardiaque non contrôlée
Augmentation de la créatinine > 20 %
durant la prescription des IEC
Angioplastie±stent
TA bien contrôlée
112. Artériographie
Sténose < 50 %
STOP
Sténose > 75 %
RevascularisationSténose entre 50 et 75 %
TA non contrôlée avec 3 AHT
Oèdème pulmonaire (flash oedema)
Angine de poitrine inexpliqué
ICardiaque non contrôlée
Augmentation de la créatinine > 20 %
durant la prescription des IEC
TA bien contrôlée
Contrôle fonction rénale
et doppler
chaque 6 mois
Angioplastie±stent
113. Artériographie
Sténose < 50 %
STOP
Sténose > 75 %
RevascularisationSténose entre 50 et 75 %
TA non contrôlée avec 3 AHT
Oèdème pulmonaire (flash oedema)
Angine de poitrine inexpliqué
ICardiaque non contrôlée
Augmentation de la créatinine > 20 %
durant la prescription des IEC
Angioplastie±stent
TA bien contrôlée
Contrôle fonction rénale
et doppler
chaque 6 mois
Si ↑ créat ou ↓ Taille rein
114. L’HTRV notamment athéromateuse entité
complexe.
Son diagnostic est fait selon des étapes
progressives.
A sa suspicion, le diagnostic morphologique et
fonctionnel sera réalisé en fonction du patient, de la
disponibilité des examens et de l’expérience locale.
Cette entité sous-estimée est actuellement
probablement sur traitée par les endovasculaires.
Plus de preuves sont nécessaires.
Une sténose des artères rénales se définit par une définition anatomique avec l’existence d’un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval Nous avons tout d’abord à définir qu’est ce une HTA rénovasculaire vu les différents syndromes cliniques qui peuvent coexister lors d’une sténose des artères rénales
Une sténose des artères rénales se définit par une définition anatomique avec l’existence d’un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval Nous avons tout d’abord à définir qu’est ce une HTA rénovasculaire vu les différents syndromes cliniques qui peuvent coexister lors d’une sténose des artères rénales
Une sténose des artères rénales se définit par une définition anatomique avec l’existence d’un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval Nous avons tout d’abord à définir qu’est ce une HTA rénovasculaire vu les différents syndromes cliniques qui peuvent coexister lors d’une sténose des artères rénales
Une sténose des artères rénales se définit par une définition anatomique avec l’existence d’un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval Nous avons tout d’abord à définir qu’est ce une HTA rénovasculaire vu les différents syndromes cliniques qui peuvent coexister lors d’une sténose des artères rénales
Une sténose des artères rénales se définit par une définition anatomique avec l’existence d’un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval Nous avons tout d’abord à définir qu’est ce une HTA rénovasculaire vu les différents syndromes cliniques qui peuvent coexister lors d’une sténose des artères rénales
L’HTA réno-vasculaire se définit comme une hypertension (HTA) permanente associée à un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval. Les définitions les plus rigoureuses ajoutent que la réalisation d&apos;un geste de revascularisation doit être associée obligatoirement à la guérison ou l&apos;amélioration de l&apos;HTA
L’HTA réno-vasculaire se définit comme une hypertension (HTA) permanente associée à un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval. Les définitions les plus rigoureuses ajoutent que la réalisation d&apos;un geste de revascularisation doit être associée obligatoirement à la guérison ou l&apos;amélioration de l&apos;HTA
En cas de diminution de la pression de perfusion rénale
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Nous observons au niveau du rein siège du clampage de l’AR:
- Une diminution importante du FSR, qui va être à l&apos;origine de la diminution de la FG et donc d’une ischémie qui va stimuler le SRAA. Cela va être à l&apos;origine de l&apos;élévation du taux d&apos;AG II qui va entraîner :
* D&apos;une part une VC de l&apos;artériole efférente à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la PIG, de la FF et donc d&apos;une diminution de la FG.
* Et d&apos;autre part d&apos;un hyperaldostéronisme secondaire avec rétention de sel associée à une vasoconstriction généralisée par augmentation des RP. Tout cela va être à l&apos;origine d&apos;une augmentation des chiffres tensionnels.
b.Au niveau du rein controlatéral, l&apos;élévation de la TA, sera à l&apos;origine d&apos;une augmentation de la pression intrarénale qui va entraîner une suppression de la production de rénine et d’une augmentation de la natriurèse liée à l&apos;augmentation de la pression de perfusion.
Ce qui fait qu&apos;à la fin, il n&apos;y aura pas d&apos;expansion du volume extra-cellulaire
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
Comme le modèle précédemment décrit, l’HTA est d&apos;abord rénine-dépendante, mais comme il n&apos;y a pas de rein controlatéral capable de contrebalancer la rétention hydrosodée par l’excrétion sodée, l’HTA devient essentiellement volodépendante.
L’HTA réno-vasculaire se définit comme une hypertension (HTA) permanente associée à un obstacle significatif sur la voie artérielle rénale entraînant une ischémie du rein situé en aval. Les définitions les plus rigoureuses ajoutent que la réalisation d&apos;un geste de revascularisation doit être associée obligatoirement à la guérison ou l&apos;amélioration de l&apos;HTA
Parce que les patients souvent le plus souvent asymptomatiques, la fréquence réelle des SAR est probablement plus élevée.
Une étude monocentrique avec un screening systématique de sujets âgés de plus de 77 ans a montré.
Mais une étude faite avant l’utilisation des statines a montré qu’après 5 ans de suivi la sténose amène à l’occlusion dans uniquement 3 à 15 % des patients traités médicalement.
Décrire l’aspect anapath et radiologique
Le risque de développer une sténose des artères rénales est corrélé avec les maladies cardiovaculaires comment on le voit sur cette diapo regroupant plusieurs études anciennes et montrant que
Cette étude publiée en Mars 2009, qu’une sténose des artères rénale peut être découverte d’une manière fortuite au moment d’un cathétérisme cardiaque
Cette étude publiée en Mars 2009, qu’une sténose des artères rénale peut être découverte d’une manière fortuite au moment d’un cathétérisme cardiaque
Cette étude publiée en Mars 2009, qu’une sténose des artères rénale peut être découverte d’une manière fortuite au moment d’un cathétérisme cardiaque
Une HTA réfractaire au traitement si la TA &gt; 18/10 et la TA moyenne mesurée par MAPA &gt; 160/95 durant 24h en recevant le max de la dose pour 3 AHT ou plus
Dès que le diagnostic d’une sténose des artères rénales est suspecté, il doit être confirmé.
Vu le manque de spécificité des marqueurs biologiques tel que le dosage de la rénine plasmatique, la confirmation diagnostic se fait notamment grâce à l’imagerie. Les examens radiologiques doivent avoir ces caractéristiques:
Cette petite étude brésilienne associée à plusieurs biais sur 104 patients ayant une HTRV divisés en 68 patients recevant les statines et 38 sans statines montre un impact sur la survie des patients et sur la survie rénale après 3 ans de suivi
mais le meilleur effet peut être obtenu grâce à la prescription des IEC et les AAII associés à un diurétique,
Dans cette étude canadienne 3570 ayant une Maladie rénovasculaire ont été randomisés en patients recevant les IEC et d’autres sans IEC et ont été suivis entre 10 et 13 ans. Le critère majeur de jugement a été composite et a été la survenue de décès, d’IDM ou d’AVC LE RR a été de 0,70 de plus le risque d’IC, d’IRC a été moindre. Par contre les hospitalisations pour IRA ont été supérieures
Certains auteurs suggèreent l’association d’un IC qui en dehors du fait de leur action dilatatrice sur l&apos;artériole afférente préglomérulaire peuvent avoir un impact en association avec les statines pourl la diminiution de l’infiltration par les macrophages sur la plaque d’athérome comme le montre cette étude sur 36 patients hypertendus hospitalisés pour endartériectomie .
Il y a une dizaine d’années et suite aux travaux de White de l’équipe de avec le message transmis que des artères dilatées étaient certainement meilleures que des artères bouchées, le consensus des cardiologues interventionnels était qu’à chaque coronarographie réalisée, il y avait opacification des artères rénales et dilatation systématique en cas de sténose considérée significative.
Etude rétrospective : cohorte de patients consécutifs suivis ayant bénéficié d’une angiographie 8 à 10 ans auparavant pour une maladie artérielle périphérique
La SAR a été diagnostiquée dans 126 cas sur 386 patients évalués (33 %)
La créatinine plasmatique est restée stable durant le suivi chez tous les patients contrôles et ayant une SAR
Aucun patient n’a nécessité de dialyse au cours du suivi
Etude rétrospective : cohorte de patients consécutifs suivis ayant bénéficié d’une angiographie 8 à 10 ans auparavant pour une maladie artérielle périphérique
La SAR a été diagnostiquée dans 126 cas sur 386 patients évalués (33 %)
La créatinine plasmatique est restée stable durant le suivi chez tous les patients contrôles et ayant une SAR
Aucun patient n’a nécessité de dialyse au cours du suivi
Etude rétrospective : cohorte de patients consécutifs suivis ayant bénéficié d’une angiographie 8 à 10 ans auparavant pour une maladie artérielle périphérique
La SAR a été diagnostiquée dans 126 cas sur 386 patients évalués (33 %)
La créatinine plasmatique est restée stable durant le suivi chez tous les patients contrôles et ayant une SAR
Aucun patient n’a nécessité de dialyse au cours du suivi
Il n’y a pas de différence statiquement significative (p=0.88) pour les variations du taux de la créatinine plasmatique par an chez les 78 patients avec une SAR (0,06 0,33 mg/dl par an) comparés aux 96 patients n’ayant pas eu une SAR (0,060,22 mg/dl par an) et après un suivi entre 4 et 5 ans
Il n’y a pas de différence statiquement significative (p=0.88) pour les variations du taux de la créatinine plasmatique par an chez les 78 patients avec une SAR (0,06 0,33 mg/dl par an) comparés aux 96 patients n’ayant pas eu une SAR (0,060,22 mg/dl par an)
Il n’y a pas de différence statiquement significative (p=0.88) pour les variations du taux de la créatinine plasmatique par an chez les 78 patients avec une SAR (0,06 0,33 mg/dl par an) comparés aux 96 patients n’ayant pas eu une SAR (0,060,22 mg/dl par an)