1. La Toscane Pise

2. Plan de la ville. La visite se limite essentiellement au Campo dei Miracoli

3. Une navette nous conduit du parking à l’entrée du site, polution oblige

4. Qui veut sa tour penchée en albâtre ou autres objets made in China ?

5. Tout le long du mur d’enceinte les marchands nous accueillent

6. Oui ! Elle est derrière la porte Santa Maria, et toujours penchée !

7. La porte d’enceinte du Campo dei Miracoli est franchie

8. Le spectacle est autrement plus saisissant que tout ce que l’on peut imaginer en regardant des photos !

9. Pelouse devant le baptistère

10. Le baptistère

11. Le baptistère de l’autre côté

12. Entrée du baptistère

13. A l’intérieur, les fonds baptismaux avec Jean Baptiste. A l’intérieur, toutes les demi-heures un pseudo-chanteur vient pousser quelques vocalises pour faire écouter l »exceptionnel écho » de la tour.

14. Chaire sculptée par Nicola Pisano. Il était si fier de son œuvre qu’il grava sous les panneaux « En l’an 1260, Nicola Pisano sculpta cette œuvre exceptionnelle –louée soit cette main autant qu’elle le mérite »

15. Panneau de la chaire représentant l’Adoration des Mages

16. Panneau représentant la Nativité

17. Cathédrale vue du haut du baptistère

19. La cathédrale Santa Maria Assunta oeuvre des architectes Buscheto et Rainaldo à la fin du XI°s est construite avec l’or de six vaisseaux pris à l’ennemi.

24. Le musée

25. Vue de derrière, pourquoi lévent-ils tous le bras ?

26. Pour réaliser la traditionnelle photo !

27. Petite visite en calèche du reste de la ville ?

28. Haut de la tour

30. La construction du campanile à débuté en 1174. L’architecte est Bonanno Pisano.. 10 ans plus tard après seulement trois étages, l’édifice se mit à pencher à cause du sol marécageux. Un autre architecte Giovanni di Simone reprend le chantier 1 siècle plus tard en essayant de compenser la dénivellation I C’est un troisième maître qui termine l’ouvrage en 1350. L’inclinaison n’a cessé d’augmenter depuis cette date. Gallilé y aurait expérimenté les lois de la chute des corps. Depuis une ceinture et un contrepoids assure sa stabilité. Elle a un surplomb de 5,20m . Il faut gravir 294 marches pour monter a l’étage supérieur. 207 colonnes soutiennent à chaque étage la galerie supérieure.

31. Ainsi même le baptistère penche

32. Le camposanto C’est un cimetière construit sous les instances de l’archevêque Ubaldo dei Lanfranchi de retour de la croisade de 1202. Il avait ramené avec lui 50 galères chargées de terre du Golgotha pour inhumer les pisants. L’extérieur est sobre coupé seulement par un tabernacle gothique surmontant le portail et représentant la Vierge.

33. Tabernacle gothique représentant la Vierge entourée de saint et des deux commanditaires de l’œuvre.

34. Içi les corps reposent dans de la terre rapportée du Golgotha

35. Les griffes du Diable. Comme beaucoup de monuments le Diable apparaît dans la légende du duomo . Il faut compter les points noirs laissés dans la pierre par ses ongles, il paraît qu’on n’arrive jamais au bon résultat.

36. Façade de la cathédrale

38. Une des portes d’entrée de la cathèdrale en bronze

39. Intérieur de la cathédrale

42. C’est le fils de Pisano, Giovanni Pisano Qui sculpta la chaire de la cathédrale, imitation de celle du baptistère. Les chaires des Pisano, polygonales pouvaient occuper n’importe quel emplacement, elles n’avaient plus à être adossées à un pilier.

43. Panneau de la Nativité, très différent de celui que son père sculpta

44. La mosaique du Christ trônant entre la Vierge et Saint jean a été réalisée avec la collaboration de Cimabue en 1302.

46. Une des enclaves de la nef principal e

47. Orgue de la cathédrale

48. Lustre qui inspira Gallilé sur la rotation de la terre

49. Un des autels dédié à Marie

50. Plafond alvéolé et doré à la feuille

51. Statues devant la chaire

52. Entrée d’une chapelle avec le blason des Médicis

53. Un des angles de la cathèdrale

54. Décors audessus d’une arche de la cathèdrale

55. Statue de la Louve Romaine comme sur la pluspart des sites

57. Vue arrière du Campanile et de la cathédrale

58. Rue entre l’Arno et la plac e (Via Roma)

59. Une des multiples décorations de façades

60. Bords de l’Arno

61. Petite église Della Spina

62. Façade d’un hôtel au bord de l ’Arno

63. Bords de l’Arno avec au fond un autre campanile

64. Retour au Campodei Miracoli

65. Vue du haut du campanile (Après avoir fait la queue pour un billet, la montée coûte 15€ et pour gravir les 294 marches. Il ne peut y avoir plus de 40 personnes en même temps)

67. Adieux Pise. Une dernière photo pour en graver l’image plus sûrement que dans ma tête aux neurones déjà un peu défaillants.

68. Le prochain rendez-vous sera San Gimignano surnommée la « Manhattan du Moyen Âge »