Lizio. Le programme du festival des artisans d'art
Dossier de presse Le Palais royal saison 14-15
1. DOSSIER DE PRESSE
SAISON 2014/2015
Jean-Philippe Sarcos, direction
CONTACT MEDIAS
Empreinte - Sylvie Valleix
06 11 86 45 32
empreinte@sylvievalleix.com
2. SOMMAIRE
PRESENTATION ............ 3
CALENDRIER ............ 4
SAISON MUSICALE PARISIENNE ............ 6
TOURNEE COUP DE FOUDRE ............ 7
L’ACADEMIE DE MUSIQUE DE PARIS ............ 9
SAISON MUSICALE DE POULPRY ......... 10
POINTS DE VUE ......... 11
BIOGRAPHIES ......... 12
PARTENAIRES ......... 23
INFOS PRATIQUES ......... 23
2
Le Palais royal est membre de la Fédération des Ensembles Vocaux et
Instrumentaux Spécialisés (FEVIS)
3. PRESENTATION
FESTIF, CHALEUREUX, EXIGEANT :
C’est ainsi que le chef d’orchestre Jean-Philippe Sarcos définit son ensemble Le Palais
royal, qui réunit un orchestre jouant sur instruments anciens et un chœur professionnel. Le nom
du Palais royal évoque l’élégance et l’effervescence musicale des cours européennes des
XVIIe
, XVIIIe
, et XIXe
siècles. Entouré de ses musiciens, Jean-Philippe Sarcos s’emploie avec
fougue à redonner aux œuvres baroques, classiques et romantiques leurs lettres de jeunesse.
Le Palais royal est invité à se produire sur les plus grandes scènes : festivals
de La Chaise-Dieu, d’Auvers-sur-Oise, Festival de musique ancienne de Séville...
A l’issue des concerts, le public et les critiques musicaux témoignent de la ferveur communicative
avec laquelle Le Palais royal mène une véritable quête de la beauté et de l’authenticité.
Pour aider le public à saisir le sens profond des œuvres, Jean-Philippe Sarcos privilégie
l’expressivité et l’engagement de chacun au service du texte et de la musique. Sa direction
précise et inspirée, l’énergie sensible de Tami Troman, violon solo, et le plaisir visible des
musiciens à jouer ensemble confèrent au Palais royal le caractère festif qui constitue son identité.
Les instrumentistes et chanteurs sont enjoués, ils jouent debout et les chantent par cœur.
Jean-Philippe Sarcos est particulièrement apprécié pour sa personnalité liante et
généreuse. Il allie son exubérance méridionale à une exigence sans compromis et propose des
interprétations riches, créatives et inventives. Les concerts sont ressentis par beaucoup comme
un moment de grâce et de fête. Le public dit souvent « redécouvrir les œuvres interprétées ».
3
4. NOVEMBRE 2014
L’esprit français aux XVIIe
et XVIIIe
siècles
Suite pour orchestre d’Hippolyte et Aricie de Rameau (1683-1764)
Requiem de Campra (1660-1744)
Super flumina Babilonis de Lalande (1657-1726)
Lundi 3 novembre, 20h - Saison musicale de Poulpry, Hôtel de Poulpry, Paris 7e
Mercredi 5 novembre, 15h - Concert « coup de foudre », Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Mercredi 5 novembre, 20h30 - Saison musicale parisienne, Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Distribution : Hasnaa Bennani, dessus 1 ; Charlotte Mercier, dessus 2 ; Philippe Gagné, haute-contre ; Olivier
Fichet, taille ; Jean-Baptiste Henriat et Clémence Dionet, basses-tailles ; Anicet Castel, basse
Chœur et Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
Le Messie de Haendel
Vendredi 21 novembre, 15h - Concert « coup de foudre », église Saint-Nicolas de Maintenon
Vendredi 21 novembre, 19h - Chapelle Saint-Nicolas du Château de Saint-Nicolas, Maintenon
Distribution : Chœur et Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
JANVIER 2015
Haendel et l’amour
Airs et duos d’opéra et d’oratorio de Haendel pour orchestre, mezzo-soprano et baryton.
Mercredi 28 janvier, 20h30 - Saison musicale parisienne, Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Distribution : Charlotte Mercier, mezzo-soprano ; Clément Dionet, baryton
Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
FÉVRIER 2015
Haendel et l’amour
Airs et duos d’opéra et d’oratorio de Haendel pour orchestre, mezzo-soprano et baryton.
Lundi 2 février, 20h - Saison musicale de Poulpry, Hôtel de Poulpry, Paris 7e
Distribution : Charlotte Mercier, mezzo-soprano ; Clément Dionet, baryton
Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
4
CALENDRIER
5. 5
AVRIL 2015
Les Héros du classicisme
Symphonie héroïque de Beethoven
Airs de concert et d’opéra de Mozart
Mercredi 8 avril, 15h30 - Concert « coup de foudre », Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Mercredi 8 avril, 20h30 - Saison musicale parisienne, Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Jeudi 9 avril, 20h30 - Saison musicale parisienne, Salle du Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique, Paris 9e
Lundi 13 avril, 20h - Saison musicale de Poulpry, Hôtel de Poulpry, Paris 7e
Distribution : Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos ; Vannina Santoni, soprano
Haendel et l’amour
Airs et duos d’opéra et d’oratorio de Haendel pour orchestre, mezzo-soprano et baryton.
Mercredi 15 avril, 15h - Concert « coup de foudre », Rouen
Jeudi 16 avril, 15h - Concert « coup de foudre », Salle de l’Ermitage, Le Bouscat
Jeudi 16 avril, 20h30 - Salle de l’Ermitage, Le Bouscat
Distribution : Charlotte Mercier, mezzo-soprano ; Clément Dionet, baryton
Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
MAI 2015
Le Messie de Haendel
Samedi 2 mai, 16h - Festival Classique au large, Cathédrale, Saint-Malo
Distribution : Choeur et Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
JUIN 2015
La Messe en si de Bach
Lundi 8 juin, 20h - Saison musicale de Poulpry, Hôtel de Poulpry, Paris 16e
Distribution : Choeur et orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
Le Messie de Haendel
Samedi 13 juin, 15h - Concert « coup de foudre », Festival de Troyes, Cathédrale, Troyes
Samedi 13 juin, 20h30 - Festival de Troyes, Cathédrale, Troyes
Distribution : Choeur et Orchestre Le Palais royal, direction Jean-Philippe Sarcos
Parution du DVD Virtuosité baroque chez Bel Air classiques en septembre 2014
Pour ce concert, 30 chanteurs et 6 instrumentistes interprètent sous la direction de
Jean-Philippe Sarcos un ensemble d’œuvres étourdissantes de la musique baroque
italienne des XVIIe
et XVIIIe
siècles.
ACTUALITE
6. Créée à l’initiative des musiciens du Palais royal, la 2de
édition de la Saison musicale parisienne
compte quatre nouveaux rendez-vous d’exception de novembre à avril 2015.
Elle s’ouvre avec la reprise d’un programme de musique baroque française donné cet été au
Festival de La Chaise-Dieu. Elle prend ensuite la direction de l’Angleterre avec une création consacrée
à l’amour dans la musique de Haendel. Elle termine sur un feu d’artifice avec la Symphonie héroïque
de Beethoven et des airs de concert et d’opéra de Mozart.
Le choix d’un lieu mythique : la salle de l’ancien Conservatoire. Monument historique édifié de
1806 à 1811, la salle de l’ancien Conservatoire est l’une des premières salles de concert de l’histoire
construite pour le concert et non pour l’opéra.
Dès son ouverture, sa qualité acoustique due aux matériaux de bois et toile peinte fut saluée
comme exceptionnelle, et la salle fut surnommée le « Stradivarius des salles de concert ».
Ce lieu est chargé d’un passé musical illustre, à nul autre comparable : c’est là que les
symphonies de Beethoven furent entendues pour la 1re
fois en France, là que fut créée la Symphonie
fantastique de Berlioz, ainsi qu’une très grande partie de la musique française du XIXe
siècle.
Inconnue des touristes et de nombre de Parisiens, cette salle a survécu aux incendies et autres
démolitions et existe aujourd’hui encore dans son état d’origine.
2de
édition de la Saison musicale parisienne à la Salle de l’ancien
Conservatoire
6
SAISON MUSICALE PARISIENNE
Les Victoires du classicisme - Salle de l’ancien Conservatoire, novembre 2013
7. ACTIONS PEDAGOGIQUES :
1. LA TOURNÉE ‘‘COUP DE FOUDRE’’
Les musiciens du Palais royal se mobilisent tout au long de l’année auprès d’adolescents en difficulté
en organisant des concerts pédagogiques innovants, appelés concerts « coup de foudre ». Ces adolescents
sont bénéficiaires du dispositif d’Etat les « Cordées de la réussite » qui œuvre pour la relance de l’ascenseur
social en France. Ces concerts de haut niveau cherchent à produire un choc esthétique auprès de jeunes
issus de territoires culturellement défavorisés.
Lancés au cours de la saison 2012-2013, les concerts « coup de foudre » connaissent un immense
succès. Pour cette nouvelle édition, Le Palais royal programme sept concerts à travers toute la France :
Bordeaux, Froville, Rouen, Paris, Troyes...
Un projet en partenariat avec les Cordées de la réussite
Les Cordées de la réussite ont été lancées en 2008 dans le cadre du plan Espoir Banlieues. Il s’agit
d’un important programme national dans le cadre duquel des lycéens et collégiens défavorisés et méritants
sont parrainés par des étudiants de grandes écoles.
Les Cordées contribuent à promouvoir l’ambition scolaire de jeunes qui, en raison de leur origine
sociale ou géographique, ne disposent pas de toutes les clefs pour s’engager dans une formation longue.
L’objectif de ce programme est d’introduire une plus grande équité sociale dans l’accès aux formations
d’excellence. Les actions menées sont de deux natures : le tutorat et les sorties culturelles. Avec plus de
300 Cordées sur le territoire, on estime à près de 50 000 le nombre de jeunes concernés.
Aujourd’hui le milieu de la musique classique n’entretient que peu de rapport avec le vaste programme
des Cordées de la réussite. L’action mise en place par Le Palais royal est un parfait exemple du travail mis
en œuvre par les tuteurs des Cordées de la réussite pour la relance de l’ascenseur social. De la même
façon que les Cordées de la réussite s’appliquent à faire connaître à des jeunes défavorisés la voie de
l’excellence, Le Palais royal souhaite leur montrer ce que peuvent faire dans leur discipline de jeunes artistes
professionnels qui pratiquent la musique au plus haut niveau et ont à cœur de faire partager leur passion.
7
Pour la transmission de la musique classique à des jeunes isolés
culturellement et socialement
8. 78 % assistent pour la 1re
fois à un concert de
musique classique
84 % ont trouvé le programme très intéressant
73 % ont envie de mieux connaître la musique
classique
85 % aimeraient renouveler cette expérience
régulièrement
Sondages recueillis auprès des jeunes ayant assisté à un
concert « coup de foudre »
« énorme », « inoubliable », « du respect », « félicitation », « beaucoup de respect », « joie », « c’était trop
bien», « émouvant », « magique », « la passion », « la tristesse », « la douceur », « j’ai ressenti la joie dans
mon coeur», « magnifique », « passionnel », « je suis ému », « admiration », « frissonnant», « très très beau»,
« fabuleux », « belle histoire », « extraordinaire », « liberté », « surpris », « j’ai frissonné de plaisir à l’écoute
de cette musique », « formidable, une grande rencontre avec la musique classique », « émouvant », émotion,
avec tout ce que cela implique », « incroyable », « bouleversement», « émue », « WAHOO », « fascinant »,
« majestueux »...
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9. ACTIONS PEDAGOGIQUES :
2. L’ACADEMIE DE MUSIQUE DE PARIS
Entouré de ses musiciens du Palais royal, Jean-Philippe Sarcos anime une structure pédagogique :
l’Académie de musique de Paris. Elle se consacre à développer le goût et la pratique de la musique classique
auprès des étudiants des universités et des grandes écoles. L’exigence et l’approche originale proposées par
l’Académie répondent à une véritable attente des jeunes. Chaque année, ils sont plus de 400 jeunes entre
18 et 30 ans à s’inscrire.
Animée par des musiciens issus des plus grandes formations (Le Palais royal, l’Opéra de Paris,
l’Orchestre National de France…), L’Académie de musique permet à des jeunes, selon leur niveau, de
se former ou se perfectionner au sein d’un choeur et d’un orchestre symphoniques dans des conditions
uniques. Des musiciens professionnels sont présents à chaque répétition pour transmettre aux plus jeunes
leur expérience et leur savoir-faire.
La formation aboutit à la création de séries de concerts reconnus pour leur qualité musicale, leur diversité
et leur originalité. L’Académie de musique accueille chaque année à Paris près de 10 000 spectateurs, dont
une incroyable proportion de jeunes qui assistent pour la première fois à un concert de musique classique.
Elle oeuvre en cela au renouvellement du public de la musique classique.
9
Pour la transmission de la musique classique aux étudiants des
universités et grandes écoles
10. SAISON MUSICALE DE POULPRY
Des soirées musicales uniques
• lieu prestigieux en plein cœur de Paris dans le 7e
arrondissement
• proximité du public et des artistes, seulement 150 personnes par soirée
• cocktail dînatoire d’excellence avec les artistes à l’issue de chaque concert dans les salons ou dans le
jardin, selon la saison
• présentation des œuvres musicales : elles sont resituées dans leur contexte historique et culturel pour une
écoute affinée et enrichissante
• plaisir musical renouvelé grâce à l’excellente acoustique et aux dimensions intimes du Grand salon de
l’Hôtel de Poulpry
X-PM s’engage aux côtés du Palais royal pour la
Saison musicale de Poulpry
10
Le Palais royal, invité d’honneur de la Saison musicale de l’Hôtel de
Poulpry
Cette troisième et nouvelle édition de la Saison musicale de Poulpry sera rythmée par quatre concerts-
cocktails haut de gamme dans l’intimité d’un salon XVIIIe
, en plein coeur de Paris. Situé dans l’un des plus
beaux quartiers historiques de la capitale, entre le Musée d’Orsay et Saint-Germain-des-Prés, l’Hôtel de
Poulpry offre un cadre idéal pour des soirées musicales de prestige. Sa cour d’honneur, son jardin clos
et ses salons lambrissés proposent un cadre particulièrement élégant pour des soirées en toute intimité.
11. POINTS DE VUE
Dominique Longchamp, Président du
Festival Valloire baroque -
23 août 2013
« Grand Merci au Palais royal pour
votre exécution magistrale ce samedi 3
août 2013 à Valloire. Je pense que ça
restera dans les mémoires. Les œuvres de
Campra et de Lalande, bien-sûr, mais aussi
l’inspiration de la direction et la qualité de
l’interprétation. On s’est régalé ! J’ai entendu
de multiples commentaires louangeurs
et, parmi ceux-ci: « Avec ce concert, le
Festival a gagné ses lettres de noblesse ! »
11
Pierre-Olivier Febvret, La Montagne -
Festival de La Chaise-Dieu,
25 août 2014
« Certains ont tout et donnent si peu.
Et puis il y a Jean-Philippe Sarcos, qui a déjà
beaucoup et donne encore davantage. Le chef
du Palais royal a été fidèle à son énergique
réputation, samedi après-midi, à l’abbatiale
de La Chaise-Dieu. De l’enthousiasme et
de la générosité à revendre donc. Dans ce
domaine, il est en très bonne place dans
ce classement, ce qui explique, à juste titre
d’ailleurs, le chaleureux accueil du public du
festival à chacun de ses passages. [...] Le
Palais royal maintient jusqu’à la fin le cap du
raffinement et de l’authenticité. Il conserve,
aussi curieux que cela puisse paraître
pour une messe des défunts, un véritable
enthousiasme...On en serait presque pressé
et heureux de quitter ce bas monde ! ? ».
Bernard Fauquembergue, La
Nouvelle République -
Festival de Chambord,
13 juillet 2014
« La direction musicale était assurée
par Jean-Philippe Sarcos, énergique et
sautillant, qui transmettait à son orchestre
son exigence et sa conviction. Le plaisir des
musiciens à le suivre et à jouer ensemble
était visible ne serait-ce que par les regards
échangés.
Il y avait de la fraîcheur et de l’authenticité
dans l’interprétation de cette musique du
XVIIe
et du XVIIIe
siècles.
Aux côtés des musiciens, les voix de Hasnaa
Bennani, soprano, et d’Aurora Faggioli,
mezzo, ont magnifiquement résonné sous les
voûtes de l’église.
Les applaudissements de l’assistance étaient
à la mesure du concert prestigieux qui lui
avait été donné ».
Olivier Rouvière, Concertclassic -
Saison musicale parisienne,
10 novembre 2014
« L’interprétation a du peps, du jarret
[…]. Chef, fiévreux, engagé, attentif aux
contrastesderythmesetd’instrumentation.[…]
Tous les chanteurs se produisant sans
partition (une gageure, qui permet une
expression plus spontanée et de souples
déplacements sur le plateau), le psaume
ne prend jamais la forme d’une mosaïque
mais plutôt celle d’un torrent peu à peu
emporté par son propre mouvement ».
12. LE PALAIS ROYAL
Après avoir dirigé pendant plus de 10 ans
de nombreux orchestres en France et à l’étranger,
Jean-Philippe Sarcos a créé en 2004 Le Palais
royal, associant un orchestre sur instruments
d’époque et un chœur de chanteurs spécialisés
dans l’interprétation de la musique ancienne. Le
nom de l’ensemble évoque la vie musicale des
cours européennes aux XVIIe
, XVIIIe
et XIXe
siècles.
L’orchestre se consacre à l’interprétation
des répertoires baroque, classique et romantique.
Pour chaque époque, les musiciens utilisent
des instruments différents. Une caractéristique
essentielle de l’orchestre est la cooptation
des musiciens. Issus des meilleurs orchestres
européens, ils sont aussi choisis pour le plaisir qu’ils
prennent et donnent en jouant dans l’orchestre. Ils
sont réunis par leur désir de travailler ensemble,
sur le long terme, dans la passion et la convivialité.
Ce sont des conditions essentielles pour Jean-
Philippe Sarcos.
Le choeur quant à lui rassemble des
chanteurs professionnels souhaitant interpréter les
répertoires baroque, classique et romantique en
accordant une attention rigoureuse aux différents
styles.
12
Le Palais royal à l’Hôtel de Poulpry, juin 2013.
Les œuvres sont chantées de mémoire et
en pupitres éclatés afin de favoriser l’expressivité
et l’engagement de chacun au service du sens
du texte et de la musique. La fraîcheur des
voix confère au Palais royal une couleur unique
parfaitement adaptée aux répertoires anciens qui
étaient, originellement, le plus souvent interprétés
par des enfants.
Aujourd’hui dans un monde qui a tant changé
depuis l’époque baroque, Le Palais royal ressent la
nécessité de proposer des clefs de compréhension
pour les auditeurs goûtent le sens réel de la
musique de l’époque. Ainsi les interprétations du
Palais royal sont-elles caractérisées par une forte
exigence dans cette recherche du sens.
En parallèle de son activité d’interprète,
Le Palais royal s’investit pour développer la place
de la musique classique dans la société à travers
plusieurs actions pédagogiques : l’Académie
de musique de Paris pour la transmission de la
musique classique aux étudiants des université, des
grandes écoles et des conservatoires ; les concerts
« coup de foudre » pour faire découvrir et aimer
la musique classique à des jeunes méritants de
territoires culturellement défavorisés; les classes
de maître dans les conservatoires ; les concerts
pédagogiques pour les enfants ; les concerts
caritatifs.
13. JEAN-PHILIPPE SARCOS
13
Le Déluge, La Terre promise ou les symphonies
de Saint-Saëns. On lui doit notamment la création
française de Coronation Ode d’Elgar.
Jean-Philippe Sarcos a gravé avec Le Palais
royal un enregistrement du Requiem de Mozart
récompensé par cinq diapasons, ainsi que le premier
enregistrement des œuvres sacrées de Mel Bonis,
compositeur post-romantique français. Il a enregistré
les Carmina Burana de Carl Orff sous la forme d’un
film réalisé par François Goetghebeur. Ce film a été
plusieurs fois diffusé sur France 3, à la BBC et sur
de nombreuses autres chaînes à travers le monde.
La chaîne Mezzo lui a consacré un documentaire
intitulé « Jean-Philippe Sarcos, chef d’orchestre
». Il a aussi enregistré pour Mezzo, dans le cadre
du Festival de Souvigny des motets de Bach et
les Vêpres du Saint-Esprit du Padre Soler qu’il a
reconstituées.
Ces derniers mois, il a dirigé les Coronation
anthem, Chandos anthem et Funeral anthem for
Queen Caroline de Haendel avec Le Palais royal
à Paris, au Festival de l’Abbaye de Lessay et à
travers la France. Ce programme fait l’objet d’un
enregistrement sorti cette année.
Il a également dirigé en novembre dernier
deux concerts événements consacrés à Mozart
et Beethoven avec notamment la Ve symphonie
à la Salle de l’ancien Conservatoire, salle qui à
cette occasion célébrait ses premiers concerts
symphoniques depuis plus d’un demi siècle. Ces
concerts sortiront en DVD dans les prochaines
semaines.
En 2014, il est en tournée pour plus de 40
concerts avec notamment la Symphonie fantastique
de Berlioz. Il a dirigé le Stabat Mater de Pergolèse
au Festival de Chambord, le Requiem de Campra
et une suite pour orchestre d’Hippolyte et Aricie de
Rameau au Festival de La Chaise-Dieu.
Premier prix du Conservatoire de Paris dans
la classe de Jacques Castérède et titulaire de la
licence de Concert de l’École normale de musique
de Paris, Jean-Philippe Sarcos s’oriente très tôt
vers la direction d’orchestre, tout en poursuivant
des études de chant, de composition et d’orgue.
Il travaille avec de grands chefs
internationaux, tels Georges Prêtre, Pierre Dervaux,
Jean-Sébastien Béreau, Gerhard Schmidt-Gaden,
Gérard Devos et Dominique Rouits. Très attiré par
la musique romantique, il s’intéresse également de
près au répertoire baroque. Il travaille notamment
pendant trois ans, dans la classe de William Christie
au Conservatoire de Paris, et dirige diverses
formations jouant sur instruments anciens.
Il est fondateur et directeur artistique de
l’ensemble vocal et instrumental Le Palais royal avec
lequel il interprète la musique baroque, classique et
romantique sur instruments d’époque. À la tête du
Palais royal, sa présence est remarquée dans de
nombreux festivals : Festival de La Chaise-Dieu,
festivals de Chambord, de Sylvanès, d’Auvers-
sur-Oise, de Saint-Malo, de l’abbaye de Saint-
Victor à Marseille, Festival de musique ancienne
de Séville...
À côté de ses activités avec Le Palais
royal, il est invité par différents orchestres tels que
l’Orchestre de chambre de Toulouse, l’Orchestre
national de l’Académie de Varsovie ou les Musiciens
du Louvre de Marc Minkowski et s’implique avec
enthousiasme dans différentes entreprises ayant
pour but de transmettre la musique classique
aux jeunes générations. Il a notamment fondé
l’Académie de musique qui rassemble à Paris
plus de 400 jeunes instrumentistes et chanteurs
encadrés par les professionnels du Palais royal.
Il se produit régulièrement sur les plus
grandes scènes parisiennes :
Théâtre des Champs-Élysées, Salle Pleyel, Théâtre
Mogador, Cirque d’Hiver et aime interpréter des
œuvres peu jouées telles Les Saintes Maries de la
14. TAMI TROMAN, violon solo
Après avoir obtenu
son prix de violon
moderne au CNSM de
Lyon dans la classe
de Jean Estournet,
Tami Troman
s’intéresse à la
musique ancienne et
reçoit l’enseignement
de François
Fernandez au CNSM
de Paris, ainsi que
celui de Florence
Malgoire en cycle de
perfectionnement à la Haute Ecole de Musique de
Genève.
La musique de chambre occupe une
part essentielle de son activité musicale. Primée
au concours de Bruges en 2003, elle joue en
sonate avec le claveciniste et pianofortiste Paolo
Zanzu. Elle est membre de l’ensemble Ausonia de
Frédérick Haas, de l’Accademia dei dissonanti, de
l’ensemble Pulcinella de Ophélie Gaillard. Depuis
sa création en 2005, elle est membre fondateur et
soliste de l’orchestre le Cercle de l’Harmonie dirigé
par Julien Chauvin et Jérémie Rhorer. Elle collabore
également avec des orchestres comme Les Arts
Florissants, Le Freiburger Barockorchester.
Depuis toujours intéressée par la
valorisation de la musique par une dimension
visuelle et théâtrale du concert, ou par la rencontre
de différentes formes artistiques au sein d´un
spectacle, Tami Troman signe sa première mise
en scène en mai 2009, de La Serva Padrona
de Pergolèse au Festival de Château-Thierry.
Cette expérience couronnée de succès lui ouvre
de nombreuses perspectives dans ce domaine, et
conduit sa réflexion vers une manière d’ouvrir la
forme du concert classique à d’autres publics, sans
pour autant dénaturer le discours musical.
14
Elle crée en août 2009 L’Evanouie,
dialogue entre une violoniste et un récitant, dédié
à la mémoire de la première femme de Jean-
Sébastien Bach, Maria Barbara. Ce spectacle
sera repris sur l’île de Groix en août 2010 avec le
comédien Eric Ruf.
En novembre 2009, elle assiste Denis
Podalydès sur la mise en scène de Fortunio d’André
Messager à l’Opéra Comique. Elle est également
la collaboratrice de Marcel Bozonnet à l’automne
2011 sur une production de Amadis des Gaules de
Jean-Chrétien Bach à l’Opéra Royal de Versailles
et à l’Opéra Comique.
Depuis 2010, elle s’investit auprès de Jean-
Philippe Sarcos en tant que violon solo et soliste de
l’ensemble Le Palais royal. Elle est également
violon solo invité des Muffatti (Peter Van Heyghen),
l’ensemble orchestral de Basse-Normandie, La
Grande Chapelle (Albert Recasens), The New
Dutch Academy (Simon Murphy).
En août 2011, elle crée une mise en espace
et en lumières d’une version de chambre pour sept
chanteurs et onze musiciens de Castor et Pollux
de Rameau pour l’ensemble Ausonia, aux festivals
de Sablé, de La Chaise-Dieu et à la Musikfest de
Brême en Allemagne.
En 2012, elle écrit et met en scène Au
Royaume des Plaisirs et des jeux, spectacle
pédagogique pour 70 enfants des centres de loisirs
d’Aubervilliers sur la musique baroque française.
En 2013, elle met en scène pour l’ensemble
Amarillis dirigé par Héloïse Gaillard, La Révolte
des Soupirants, spectacle pour le baryton Benoit
Arnould et quatre musiciens autour de cantates
françaises, donné au Grand Théâtre d’Angers et à
la Scène Nationale de Besançon.
15. MECENES ET PARTENAIRES
Le Palais royal est membre de la FEVIS
15
Le Palais royal remercie ses mécènes et partenaires :
mécènes de la tournée
« coup de foudre » :
mécène exclusif du Palais
royal pour la Saison de
Poulpry :
partenaires :
partenaire de saison :
16. INFORMATIONS PRATIQUES
COORDONNEES
16
Le Palais royal
A : 3, rue Vineuse - 75116 Paris
T : 01 45 20 82 56
M : contact@le-palaisroyal.com
Président
Marc Darmon
Directeur musical
Jean-Philippe Sarcos
Administratrice
Charlotte Mercier
charlotte.mercier@le-palaisroyal.com
Production et diffusion
Marie-Pierre Dupagne
marie-pierre.dupagne@le-palaisroyal.com
Actions pédagogiques, mécénat et partenariats
Clémence Acar
clemence.acar@le-palaisroyal.com
Production et communication
Marie Mollard
marie.mollard@le-palaisroyal.com
Contact Medias :
Empreinte - Sylvie Valleix
06 11 86 45 32
empreinte@sylvievalleix.com
• Sur internet : www.le-palaisroyal.com
• Par courrier ou sur place : Le Palais royal - 3, rue Vineuse - 75116 Paris
• Par téléphone : 01 45 20 82 56