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Compte-rendu de la réunion du conseil municipal
du 28 septembre 2009
DATE DE LA CONVOCATION : 28 septembre 2009
DATE D'AFFICHAGE : 05 octobre 2009
NOMBRE DE CONSEILLERS EN EXERCICE : 29
NOMBRE DE CONSEILLERS PRESENTS : 25
NOMBRE DE CONSEILLERS ABSENTS
AYANT DONNE POUVOIR : 4
NOMBRE DE CONSEILLERS ABSENTS
N'AYANT PAS DONNE POUVOIR : 0
L'an deux mille neuf et le vingt-huit du mois de septembre à 19 H 30, le Conseil Municipal
de la Commune de BOURG-SAINT-MAURICE, dûment convoqué par le Maire, s'est réuni
au lieu ordinaire de ses séances, sous la présidence de Monsieur le Maire.
PRÉSENTS :
M. Damien PERRY, Maire M. Daniel PAYOT, 1er Adjoint, Mme Laurence
BOCIANOWSKI, 2ème Adjoint, M. Jean JOVET, 3ème Adjoint, Mme Nelly MARMOTTAN,
4ème Adjoint, M. Jean-Michel MAGNIETTE, 5ème Adjoint, Mme Françoise GONGUET, 6ème
Adjoint.
M. Jean-Louis NARQUIN, M. Olivier BEGUE, Mme Estelle MERCIER, M. Mathieu
FOURNET, Mme Dominique HYVERT-PELLEGRIN, M. Guillaume CRAMPE,
Melle Sophie COCHET, M. Thierry DAVID, Melle Souad BOUSSAHA, M. Vincent
BAMMEZ, Mme Marie-France MURTAS, M. Louis GARNIER, Mme Anne-Marie ARPIN,
M. Jean-Luc IEROPOLI, Mr Claude GERMAIN, M Jean-Pierre BOUHOURS, M. Jean-Louis
JUGLARET, Mme Christine REVIAL.
EXCUSÉS :
Madame Catherine DEFOURNY qui donne procuration à Monsieur Jean-Louis NARQUIN,
Monsieur Jean-Paul MENGEON qui donne procuration à Madame Christine REVIAL,
Madame Brigitte PERRISSIN-FABERT qui donne procuration à Monsieur Louis GARNIER,
Monsieur Frédéric BUTHOD qui donne procuration à Monsieur Jean JOVET.
ABSENTS : /
En conformité avec l’article L 2121-15 du code général des collectivités territoriales,
Monsieur Mathieu FOURNET et Mademoiselle Sophie COCHET ont été désignés pour
remplir les fonctions de Secrétaires de l'Assemblée.
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2. 2
Damien PERRY :
Est-ce qu’il y a des remarques sur le compte-rendu de la séance du 31 août
2009 ?
Claude GERMAIN :
Sur le compte rendu lui-même je n’ai pas d’observation. C’est sur les
conclusions qui sont tirées donc page 16. Il est écrit « approuve le principe du
passage de l’itinéraire du futur contournement urbain de Bourg-St-Maurice
dans l’emprise actuelle du 7ème BCA », ce que je souhaiterais c’est qu’on
approuve dans un premier temps le principe de l’étude du passage et on
approuvera le passage lui-même lorsqu’on aura le tracé définitif, l’étude avec
ses impacts.
Damien PERRY :
On est d’accord, c’était une délibération de principe.
Monsieur le Maire sollicite l’inscription en ordre du jour complémentaire des
questions suivantes :
3.2. Délégation de service public pour la construction et la gestion
d’un pôle enfance - Concession -
Rapporteur : Nelly MARMOTTAN
Affaire suivie par : Claire MAUDUIT
7.4. Accueil d’apprentis dans le cadre de formations en alternance
Rapporteur : Mr le Maire, Damien PERRY
Affaire suivie par : Emmanuelle PARIS
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré et à l’unanimité, accepte
l’inscription de ces questions en ordre du jour complémentaire.
0 – CONSEIL MUNICIPAL
0.1. Installation d’un Conseiller Municipal en application de l’article
L 270 du Code Electoral
Rapporteur : Damien PERRY
Affaire suivie par : Gérard VERNAY
Monsieur Damien PERRY, Maire, informe le Conseil Municipal qu’à la suite de la
démission de Madame Nathalie MARLIAC et, conformément à la réglementation,
Mademoiselle Marie-France MURTAS, candidate suivant de la liste « Oser l’avenir », est
appelée à siéger au Conseil Municipal.
Mademoiselle Marie-France MURTAS a accepté de siéger au Conseil Municipal.
Monsieur Damien PERRY la déclare installée et donne lecture du nouveau tableau de
composition du Conseil Municipal.
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3. 3
0.2. Création de l’EPIC « Les Arcs Bourg Développement » (ABD)
Rapporteur : Jean-Louis NARQUIN
Affaire suivie par : Gérard VERNAY
Monsieur Jean-Louis NARQUIN rappelle au conseil municipal sa délibération n° 0.2. du
20 avril 2009 par laquelle il décidait du principe de créer un Etablissement Public Industriel et
Commercial (EPIC) correspondant aux besoins de la gouvernance de la commune.
Il indique que le processus qui pourrait être mis en place serait le suivant :
• création de l’EPIC au 1er novembre 2009 avec intégration dans celui-ci de l’actif, du
passif et du personnel de l’association « L’Esprit des Arcs »;
• intégration ultérieure de l’Office de Tourisme de Bourg Saint Maurice les Arcs dans
l’EPIC ;
• intégration ultérieure du Club des Sports selon des modalités juridiques à préciser
(vente de fonds, cessions de l’actif et du passif, transmission universelle du
patrimoine) ;
• Filialisation de la SARL Centrale de Réservation.
Il sera créé un comité de direction composé ainsi :
• des élus désignés au sein du conseil municipal (10 titulaires et 10 suppléants)
• des personnes représentant les professions, organismes et associations intéressés par le
développement du tourisme de la commune (9 titulaires et 9 suppléants) répartis en sept
catégories socioprofessionnelles :
- 2 membres titulaires et 2 membres suppléants, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des exploitants de remontées mécaniques,
- 1 membre titulaire et 1 membre suppléant, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des hébergeurs comprenant les auberges, les centres de
vacances, les agences immobilières, les gites, les loueurs de meublé, les chambres
d’hôte, l’hôtellerie de plein air,
- 1 membre titulaire et 1 membre suppléant, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des sociétés d’hébergement collectif touristique, des
résidences de tourisme et de l’hôtellerie,
- 1 membre titulaire et 1 membre suppléant, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des commerçants et artisans,
- 1 membre titulaire et 1 membre suppléant, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des professionnels de la montagne,
- 2 membres titulaires et 2 membres suppléants, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des propriétaires de logements pour résidents permanents ou
temporaires ;
- 1 membre titulaire et 1 membre suppléant, choisis parmi la catégorie
socioprofessionnelle des autres structures ne rentrant pas dans les 6 catégories ci-
dessus.
Le Président et le Vice-président de l’EPIC sont élus par le comité de direction en son sein.
Sera également constitué un Bureau permanent sans voix délibérative composé :
• du Président et du Vice-président de l’EPIC ;
• du Premier Adjoint au Maire ;
• d’un membre représentant la catégorie socioprofessionnelle des exploitants de remontées
mécaniques,
• d’un membre représentant l’une de 6 autres catégories socioprofessionnelles.
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4. 4
Par ailleurs, il sera institué un conseil d’orientation sans voix délibérative afin de permettre
une large concertation des personnes intéressées au développement du tourisme de la station
des Arcs
Il sera composé :
• des membres du comité de direction,
• des acteurs socioprofessionnels référencés auprès de l’EPIC.
Louis GARNIER :
Je voudrais d’abord vous remercier de laisser aux deux groupes d’opposition
deux places et, au nom de mon groupe, je tiens à vous remercier. J’ai
beaucoup de questions à poser, parce que c’est un sujet important, c’est même
un sujet assez lourd.
L’association l’Esprit des Arcs avait pour mission jusqu’à présent la
gouvernance des Arcs. Dans l’EPIC, elle va maintenant élargir ses
compétences à l’ensemble de la commune. Est-ce qu’aujourd’hui sa mission ce
sera uniquement la gouvernance des Arcs ou ce sera l’ensemble du produit
touristique de la commune de Bourg-St-Maurice ?
Damien PERRY :
C’est quelque chose à laquelle je tenais énormément depuis longtemps. Je me
souviens, lors du mandat précédent, souvent, Daniel JUGLARET, nous en
avait fait le reproche. Il fait toujours partie du Conseil d’Administration de
l’Office de Tourisme. Et j’ai toujours pensé que c’était dommage de couper une
fois de plus les Arcs de Bourg-St-Maurice. Quand on est à la veille d’avoir des
projets comme tous ceux qu’on va mettre en place dans les années qui vont
venir. S’il y a, par exemple, des hôtels qui s’ouvrent ou autre chose
d’important, de grand commerce dans la vallée, je ne vois pas pourquoi le
représentant ne serait pas au sein d’un groupe qui va quand même prendre
des décisions très importantes. Et je pensais qu’il serait judicieux de resserrer
les liens, dans une période qui est quand même difficile et déterminante pour
l’avenir de notre commune et de tout le territoire, déjà entre les Arcs et Bourg-
St-Maurice et c’est pour cela qu’il y a cette ouverture politique, et politique à
double sens, c'est-à-dire sur des gens tels que Michel MAHIEU qui représente
les commerçants de Bourg-St-Maurice.
Jean-Louis NARQUIN :
Effectivement, en plus de l’ouverture politique, quand on voit les titulaires et
les suppléants, qui vont participer au travail de l’EPIC pour la période de 6
mois, on voit qu’on a tapé large sur l’ensemble des stations, y compris Bourg-
St-Maurice bien évidemment.
Damien PERRY :
Notre difficulté ça a été de ne pas faire un grand bazar, on a déjà un petit
bazar. Parce que pour être dynamique au sein d’un conseil d’administration,
on sait très bien qu’il ne faut pas être trop nombreux, mais on voit ici qu’on est
près d’une trentaine et donc la SMA souhaitait qu’on ne soit pas nombreux. On
a néanmoins élargi pour avoir plus d’élus autour de la table et aussi pour
avoir, dans la société civile, un peu plus de représentants. Que ce soit des
représentants de Bourg-St-Maurice ou de l’ouverture qu’on fait aux
propriétaires.
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5. 5
Louis GARNIER :
Ma question touchait plus à la mission de l’EPIC futur plutôt qu’aux membres
qui composent le conseil d’administration. On est bien d’accord que sa mission
s’étendra sur tout le produit touristique de la commune de Bourg-St-Maurice.
Ce qui veut dire, je vous vois être d’accord avec ce que je viens de reformuler,
que dans la délibération il faudra modifier quelques mots.
Christine REVIAL :
Damien, tu viens de dire que pour être dynamique au sein du CA, il ne faut
pas être nombreux et je voulais savoir si c’était le statut de l’EPIC qui
l’imposait, mais je vois qu’il y a un comité de direction, qu’il y a un bureau
permanent, qu’il y a un conseil d’orientation, des acteurs sociaux
professionnels. Est-ce que ça ne fait pas beaucoup pour justement gérer ce
projet ? Est-ce que c’est vraiment nécessaire d’être aussi nombreux ?
Damien PERRY :
Le conseil d’orientation par exemple, c’est un conseil qui se réunira
régulièrement mais qui s’est déjà réuni dans le passé, à l’époque où j’étais
adjoint aux Arcs, mais il ne portait pas ce nom-là. Mais on avait un comité
technique élargi qui permettait à intervalle régulier, d’avoir une très bonne
concertation avec tous les acteurs sociaux économiques, les partenaires, les
commerçants, les gendarmes, la police … Alors ce ne sont pas des endroits où
sont prises des décisions, mais c’est une sorte de groupe qui émet des
souhaits et qui fait des remarques, et c’est très important de pouvoir conserver
l’esprit, qui s’appelait d’ailleurs l’Esprit des Arcs. C’était parti sur cette
concertation élargie sur tous les sites. La difficulté de notre commune, c’est
qu’on a 5 sites, qui ne se ressemblent pas. Et c’est très important lorsque ce
comité se réunit d’avoir à chaque fois des représentants de tous les sites et
ensuite il y a les propriétaires, les commerçants … Je m’exprime uniquement
sur le comité consultatif, mais tu peux compléter Jean-Louis pour la suite.
Jean-Louis NARQUIN :
Pour revenir sur ce que disait Louis, sur le nom qu’on a imaginé, je ne sais pas
si tout le monde sera d’accord, donc ABD, on voulait ABC mais on n’a pas
trouvé le mot pour la lettre C, puisque sur le net c’est bien quand ça commence
par AB. Et on a bien pris garde de marquer les Arcs-Bourg, donc ça prouve
bien que l’EPIC a une intervention sur l’ensemble de la commune.
Jean-Pierre BOUHOURS :
Je voudrais savoir, comment vous avez choisi, quels ont été les critères de
choix des gens du collège ? Vous nous en avez accordés un ou deux par
hasard ?
Damien PERRY :
Non, on espère que c’est judicieux mais il y a certainement des gens qui
auraient aimé y siéger qui n’y siégeront pas. Sinon, il aurait fallu qu’on soit
40.
Jean-Pierre BOUHOURS :
Je ne parle pas des 40 mais ceux qui y sont, comment vous les avez
sélectionnés ?
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6. 6
Damien PERRY :
Ça a été très difficile, on essaye que ce soit des gens qui soient représentatifs
et puis qu’ils apportent leurs connaissances, leurs savoirs, leurs dynamismes
autour de la table. Ce n’est pas un endroit où on va s’amuser, il faut aussi
qu’ils soient disponibles et on a essayé qu’il y ait des gens présents sur tous
les sites et croyez-moi, cela a été un vrai casse-tête.
Louis GARNIER :
Dans la délibération du 20 avril, on avait décidé d’incorporer à la date du 1er
décembre 2009 l’office de tourisme. Or aujourd’hui, apparemment le calendrier
ne peut pas être tenu. C’est vrai qu’on a du retard aussi pour la constitution
de l’EPIC.
Jean-Louis NARQUIN :
Le problème d’intégrer l’office de tourisme, c’est qu’il faut d’abord qu’on
réunisse le conseil d’administration de l’office de tourisme et il faut qu’il y ait
l’unanimité de l’ensemble des membres pour pouvoir le faire, donc on se donne
un peu le temps pour le faire. Mais pareil pour le club des sports. On s’est dit
que comme il fallait qu’on lance l’EPIC, tous ces organismes vont fonctionner
comme ils fonctionnaient jusqu’à présent, on s’est donné un délai de 6 à 8
mois pour qu’on puisse ensuite les intégrer. Donc à aujourd’hui, l’office de
tourisme reste à côté, pareil pour la centrale de réservation et le club des
sports. Par contre l’EPIC va rentrer dans chacun de ces organismes-là et
remplacer la commune.
Damien PERRY :
Il va y avoir des changements dans les mois qui viennent, mais on fait tout
pour que cela se passe le mieux possible, quant aux ressources humaines
aussi. Parce que c’est vrai que le personnel est très inquiet, on peut les
comprendre, en même temps on souhaite aussi, si possible, se rapprocher
d’une économie d’échelle. Cette année, et je félicite d’ailleurs le Directeur, le
club des sports a très bien fonctionné durant cet été. Néanmoins, on continue
la réflexion avec le Directeur, les juristes qui sont autour de la table, lorsqu’on
réfléchit au devenir et à l’organisation de l’EPIC.
Louis GARNIER :
Je crois que le principe de l’EPIC qui chapeaute les 4 structures qu’on a
évoquées, ça faisait partie de la délibération du mois d’avril, on l’avait prise
sur ce principe. C’est pour ça que je posais la question, quand l’office de
tourisme, est-ce qu’on fixe une date ou au contraire c’est l’assemblée générale
qui décidera ?
Jean-Louis NARQUIN :
C’est un problème qui sera abordé d’abord au prochain conseil
d’administration, et puis on ne veut pas aller trop vite parce que c’est quand
même un gros « truc ». Donc on se donne 8 mois, un an, pour que toutes les
structures soient intégrées dedans. On parlait tout à l’heure du club des
sports, ça serait facile pour nous de dire : le club des sports on le met dans
l’EPIC demain, ce n’est pas compliqué, en admettant que le conseil
d’administration donne son aval. Par contre, on se rend compte, quand on
creuse un peu, qu’il y a notamment au niveau des conventions collectives, celle
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7. 7
du club des sports n’est pas la même que l’office de tourisme. Si on intègre
tout le monde dans les mêmes conventions collectives, on a un surcoût de
masse salariale de 15 points. Donc, avant de dire on va dépenser 15 % de
plus de masse salariale, on regarde comment il faut faire.
Louis GARNIER :
Je passe au club des sports, qui sera lui aussi intégré plus tard. Sous quelles
conditions, puisque actuellement d’après ce qui est écrit dans la délibération,
selon des conditions juridiques à préciser, on parle de cession d’actif, on parle
de fonds de commerce. Est-ce que ceci sous-entend qu’il y aurait un rachat par
l’EPIC de cette structure-là ?
Daniel PAYOT :
Je vais répondre à deux points. Un point qui a été évoqué avant : c’est
pourquoi pas l’office ? Parce que quand on a transmis la compétence de la
commune à l’office, on ne peut pas la transmettre à un autre organisme. Donc
avant de pouvoir la transmettre à un organisme, il faut faire valider par
l’organisme qui en est possesseur, qu’on puisse bien la récupérer et la donner
à un nouvel organisme qu’on appellera l’EPIC.
La deuxième chose, pour répondre aussi à ta question Jean-Pierre, c’est pour
ça qu’on a cloisonné à 6 mois cette nomination de personnes, pour se donner
le temps de travailler et surtout que les collèges qui existent puissent eux,
définir qui sera leur représentant dans l’avenir.
Louis, concernant la cession, c’est compliqué aujourd’hui, parce que c’est une
association avec un conseil d’administration qui doit d’abord valider certains
objectifs et, à aujourd’hui, rien n’est écrit dans le domaine. On ne sait pas s’il
vaut mieux reprendre les actifs, ne pas les reprendre. Donc il y a tout un
travail comptable et technique qui va être mis en place pour savoir exactement
comment va être digéré la reprise du club des sports. Il y a qu’une chose qu’on
sait aujourd’hui correctement, c’est pour la centrale de réservation, puisque la
centrale est une société à part entière une SARL. La logique voudrait qu’à
terme, on aille vers la reprise de la totalité des parts de la SARL dont l’office
de tourisme est déjà propriétaire à hauteur de 32 % et 25 % Paradiski Tour.
Louis GARNIER :
C’est un petit peu la même question pour la centrale de réservation, à part
qu’on emploie le terme « filialisation » plutôt qu’« intégration ». Donc on veut
laisser une certaine autonomie, c’est difficile de l’intégrer totalement comme
les autres structures ?
Daniel PAYOT :
Elle n’aura pas d’autonomie, puisque son principal patron ce sera l’EPIC et
donc elle répondra aux missions que l’EPIC lui donnera. Par contre, on gardera
l’entité SARL parce qu’il n’y a aucune raison de la faire disparaître,
l’actionnaire principal et unique, qui va devenir certainement une EURL, sera
l’EPIC. Cela évite les mouvements de personnel. La problématique sur laquelle
on va beaucoup travailler, c’est les différences de conventions par rapport aux
structures. Les conventions de l’office ne sont les mêmes que celles du club
des sports, qui sont des conventions d’animations. Il y a un gros travail qui
sera fait par les juristes. On valide tous les 15 jours l’avancement de
problématique.
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Louis GARNIER :
La centrale de réservation pèse un certain poids sur le plan financier ?
Daniel PAYOT :
Tout à fait. La centrale de réservation est un outil qui a été mis en place à
l’époque par la collectivité sous forme de SARL, mais elle n’avait pas de
connotation de vouloir faire de bénéfices, sauf qu’avec les années, elle a un
compte courant qui ressemble à un compte courant digne de ce nom, et il
faudra réfléchir comment on l’intègre dans la gestion de l’EPIC. Ce sont des
questions juridiques et fiscales qu’il va falloir élucider auxquelles on va
répondre au fur et à mesure de l’avancement.
Louis GARNIER :
Si, au travers de toutes ces questions, imaginons par exemple qu’on ne puisse
pas intégrer le club des sports ou la centrale de réservation, est-ce que la
délibération que l’on prend ce soir, est-ce que la constitution de l’EPIC serait
remise en cause ou, au contraire, l’EPIC ne pourrait se réduire qu’à une, deux
voire trois structures ?
Daniel PAYOT :
A première vue, il n’y a aucune raison qu’on ne puisse pas y arriver. Par
contre, c’est quel chemin on prend pour y arriver ? Pour descendre à Albertville
on peut passer par les Chapelles ou passer par Landry. Aujourd’hui on ne sait
pas de quel côté on va passer pour aller à Albertville. Le problème c’est le
chemin qu’on va prendre, il faut prendre le chemin qui est le plus simple, le
moins compliqué, le moins onéreux et le plus intelligent.
Louis GARNIER :
La délibération de ce soir n’est pas dépendante du résultat final.
Daniel PAYOT :
Non.
Claude GERMAIN :
Ma question portera sur les statuts. Ce qui me paraît important est notamment
le montage du budget et j’ai une question en préalable : c’est le comptable. A
l’article 21, on nous fait deux propositions sur les agents comptables de l’EPIC.
Alors pourquoi deux formules ?
Daniel PAYOT :
Parce qu’il y a une formule et qui d’ailleurs va être validée, c’est le comptable
public. Aujourd’hui il n’est pas obligé, donc on lui a fait la demande et à la
dernière réunion qu’on a eue, il nous confirme que c’est bien lui qui pourra
avoir en gestion l’EPIC. On ne savait pas, avant ce soir, la réponse mais on
voulait que ce soit malgré tout un comptable public et cela sera le cas, c’est lui
qui prendra en compte la gestion de l’EPIC. Mais par contre, il n’est pas obligé,
donc on est obligé de mettre deux solutions au cas où il refuse.
Claude GERMAIN :
Parce qu’il y a une responsabilité pécuniaire, donc c’est sur ce point-là que les
gens ne sont pas obligés d’accepter ou de refuser.
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9. 9
Daniel PAYOT :
C’est une comptabilité particulière et ce n’est pas n’importe quel comptable qui
peut prendre en compte la gestion d’un EPIC.
Claude GERMAIN :
Le deuxième point, c’est le budget. On peut supposer qu’avant de prendre cette
décision il y a eu des simulations financières, et ma question est : peut-on
connaître le budget prévisionnel de l’EPIC, tel que vous l’avez imaginé ? On
voit bien que vous avez listé la provenance des fonds qui sont essentiellement
publics, mais du côté des partenaires privés, à quelles hauteurs vont-ils
intervenir ?
Damien PERRY :
Il y a une chose qui est sûre, c’est qu’actuellement il y a un certain nombre de
partenaires privés qui financent le club des sports et puis il y a aussi un
certain nombre de cotisations. Donc, c’est pour cela aussi qu’on ne se précipite
pas, parce qu’on ne veut pas perdre ces provenances et dans l’idée c’était
peut-être, au niveau des cotisations en tout cas, d’aller sur le chemin d’une
cotisation unique pour essayer de simplifier un petit peu les choses. Parce qu’il
y a énormément de cotisations. Ce sont des discussions qu’il va falloir aborder
avec les partenaires. Il y aura peut-être un lissage au niveau des partenaires
parce qu’ils étaient au nombre de 3 ou 4, concernant le club des sports et donc
il faut qu’on discute avec eux et avec les autres.
Claude GERMAIN :
Parce que financièrement, on voit bien qu’il y a des fonds qui proviennent
également de la commune, puisqu’on a à faire à des associations. Au niveau
du contrôle de la gestion financière, à l’article 30, il est prévu un contrôle par
la commune mais un contrôle occasionnel, c'est-à-dire il n’est pas
systématique, que quand la commune va vouloir le solliciter, est-ce qu’il n’y a
pas dans la gestion de l’EPIC un compte-rendu à faire un conseil municipal ou
au Maire, pour savoir où on en est sur les finances ?
Daniel PAYOT :
C’est aussi pour ça que le conseil d’administration est fixé avec une majorité
d’élus, pour permettre d’avoir un retour direct autour de la table, c’était aussi
pour ça qu’il y avait une volonté d’ouverture à la minorité pour qu’il y ait une
vraie transparence sur l’organisation et la gestion de l’EPIC. Et bien
évidemment l’EPIC, dont nous allons composer le conseil d’administration,
rendra des comptes qu’on voudra à la commune dans le cadre de sa gestion.
Je crois que c’est essentiel de voir que l’EPIC, que ce n’est pas une société
anodine mais que c’est une société directement liée au fonctionnement de la
collectivité. Il y aura forcément une demande de la part des élus, des 29 que
nous sommes ou des 10 qui sont dans l’EPIC, d’avoir une transparence mais
on aura une transparence naturelle, c’est assez facile dans le conseil
d’administration de dire qu’il faut qu’on transmette une information à nos
élus. Est-ce qu’on la fait tous les 2 mois, tous les 4 mois… cela se décidera
dans le cadre de l’organisation.
Damien PERRY :
Jusqu’à présent, pour ne parler que du club des sports, la commune paye un
certain nombre de subventions, quelquefois, vous le savez bien
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10. 10
complémentaires, sans être majoritaire dans le tour de table. Les choses
s’amélioreront quand même et seront beaucoup plus transparentes parce que
jusqu’à présent on s’exprimait, on n’a jamais eu de problème avec le club des
sports à ce niveau-là. On n’était pas majoritaire au club des sports, on
s’exprimait parce qu’on amenait une partie du budget mais tandis que là
maintenant, tous les élus que nous sommes autour de la table de ce conseil
d’administration, nous représenterons la majorité.
Claude GERMAIN :
L’intérêt de l’EPIC, c’est de faire rentrer de l’argent privé. On va agglomérer
plusieurs structures publiques qui ont actuellement leur autonomie de
fonctionnement, et on va mettre cela dans un pot commun. Est-ce qu’on ne va
pas créer un budget spécifique autonome pour cette structure qui sera
essentiellement alimentée par le budget municipal ?
Daniel PAYOT :
Le budget de la centrale ne devrait pas changer puisqu’il gagne de l’argent,
donc ça ne devrait rien coûter à la collectivité. Le budget de l’office est à 95 %,
aujourd’hui, réparti d’une part entre la taxe de séjour et d’autre part par ce
qu’on abonde en subventions. Le club des sports aujourd’hui, et c’est là qu’on
doit discuter, il y a un chiffre d’affaires qui est généré, le delta c’est une
participation des membres fondateurs et de la collectivité. C’est pour ça qu’il y
a aussi des questions, ils sont trois fondateurs à hauteur de 16 000 € chacun,
la différence c’est le chiffre d’affaires, il y a une partie qui est communale et
l’autre partie ce sont les chiffres d’affaires. Je crois qu’il y a trois axes
essentiels sur l’EPIC, c’est la coordination des outils qui amène la
transversalité de travail, c'est-à-dire quand ça part du haut, ça ne va pas
forcément sur tous les outils quand on prend une décision. Et puis c’est de
fédérer l’ensemble des partenaires de la station, que sont la commune et puis
tous les partenaires du tour de table, notamment les gros partenaires et les
entités : l’entité commerciale, hôtellerie, hébergement, remontées mécaniques.
Après les financements, il ne faut pas se leurrer non plus. J’espère, en tout
cas, qu’on ira chercher un maximum de financement, mais je dis un maximum
sans donner de chiffre, parce qu’aujourd’hui la commune reste le financeur du
fonctionnement de sa station. Sauf que demain il y aura une direction, avec un
conseil d’administration et quand on aura un problème de déneigement, de
communication, du site Internet, d’animation sportive ou d’activité sportive, on
s’adressa à la direction. Il y aura un coordinateur de l’ensemble des activités.
Je ne suis pas sûr qu’on fasse des économies d’échelle, d’organisation c’est
sûr.
Damien PERRY :
L’important aussi, c’est par exemple, dans le cadre commercial promotion,
c’est d’avoir à terme et le plus vite possible, un interlocuteur unique, comme
nous n’avons pas vraiment sur les Arcs. Par rapport à nos concurrents, nous
ne sommes pas les meilleurs, c’est le moins qu’on puisse dire. La structure qui
sera en charge de pouvoir organiser en temps et en heure avec beaucoup de
réactivité un produit, plutôt que de le renvoyer sur différentes structures, il
faudra bien qu’il y ait une personne référente et qui puisse être réceptive, sur
la station et sur Bourg-St-Maurice.
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11. 11
Louis GARNIER :
Il y a, en plus de la taxe de séjour qui était attribuée à l’office de tourisme, qui
va être maintenant gérée par l’EPIC, on ajoute la taxe sur les entreprises de
remontées mécaniques, on nous donne en référence l’article L2333-53 du code
des collectivités territoriales. On ajoute aussi les recettes provenant de la
gestion des services ou installations sportives, leurs recettes doivent rentrer
dans le budget de l’EPIC. Recettes – déficits, on ne sait pas trop, s’ils prennent
les recettes, ils prennent les déficits.
Damien PERRY :
Jean-Louis, tu peux peut-être répondre quant à la dynamique qu’on veut aussi
enclencher sur certaines installations.
Jean-Louis NARQUIN :
A aujourd’hui, je prends la patinoire synthétique, qui j’espère va arriver sur
Arc 1800, on ne sait pas trop comment ça va se passer. Si demain, on doit
faire des tarifications spéciales pour tels hébergeurs qui me le demandent, je
vais voir le service des sports, qui doit en référer à la commission des sports,
et ça revient au bureau municipal, on n’y arrive pas. Si on a un directeur de
station et qu’on lui dit : si on doit gérer la patinoire ça passe par le club des
sports par exemple ou par l’EPIC. C’est quand même plus facile pour pouvoir
travailler par rapport à ce qui ce passe jusqu’à présent. Quand on nous
demande des tarifications spéciales pour la piscine c’est pareil. A l’évidence, si
le directeur de station, il a la mainmise sur toutes ces installations qui nous
appartenaient aujourd’hui, que ce soit les salles de squash …, en terme
opérationnel c’est beaucoup plus efficace.
Louis GARNIER :
Tu as illustré ce que vient de dire Damien, à savoir qu’on sera plus réactif,
plus efficace. Mais ma question, ce n’est pas du tout ça. Ma question c’était de
savoir si les recettes générées par les installations touristiques ou sportives,
allaient être mises dans le budget de l’EPIC, s’il y a déficit d’exploitation
comme ça se passe ?
Jean-Louis NARQUIN :
Aujourd’hui, quand il y a un déficit c’est bien la commune qui paye.
Louis GARNIER :
Ce sera l’EPIC dorénavant ?
Daniel PAYOT :
Ce n’est pas comme ça que ça marche. La commune fera une DSP avec l’EPIC
ou une convention d’exploitation avec des conditions que vous fixerez. Peut-
être que vous direz, l’ensemble des infrastructures de la station sera géré par
l’EPIC, l’EPIC décidera de l’affecter à la branche sports. Puisqu’il n’y aura plus
d’entité Club des sports ou office de tourisme, il y aura des branches de travail
dans cet EPIC, et les conditions seront fixées par les élus, les mêmes élus
qu’on retrouvera d’ailleurs au conseil d’administration de l’EPIC. Peut-être
qu’on décidera que le gestionnaire devra prendre à 50 % de fonctionnement,
les autres 50 %, on considère que c’est pour l’utilisation publique des
infrastructures, donc il y a un coût public et les recettes seront destinées à
11
12. 12
financer ces 50 % de déficit pris en charge par l’EPIC. Il y a tout un tas de
règles qu’on pourra écrire dans le cadre d’une DSP ou de conventions.
Louis GARNIER :
Et concernant les taxes sur les entreprises de remontées mécaniques, on peut
préciser de quoi il s’agit exactement, cet article 2333 ?
Daniel PAYOT :
C’est la taxe RM. C'est-à-dire qu’elle pourra servir à financer l’EPIC. Ca ne
devra pas dire qu’elle devra, mais elle pourra. C'est-à-dire que demain, on se
donne la capacité, la possibilité, les élus de Bourg-St-Maurice – Les Arcs,
d’affecter ou pas. Donc la structure est capable de prendre cette recette, mais
c’est une capacité à pouvoir, on n’a aucune obligation dans le domaine. Par
contre si ce n’est pas écrit dans les statuts on ne pourra pas lui donner.
Louis GARNIER :
Je ne vois pas que c’est elle qui pourra, j’ai l’impression que c’est statutaire.
Daniel PAYOT :
Non parce que c’est une décision municipale.
Louis GARNIER :
Parce qu’après c’est en outre le conseil municipal, peut décider chaque année
mais ça ne concerne pas la taxe sur la remontée mécanique. Donc on prive le
budget principal de la commune de Bourg-St-Maurice, ça revient au même
puisqu’on peut jouer sur la subvention, mais ça veut dire qu’on oriente
directement cette taxe-là sur le fonctionnement de l’EPIC. Je trouve que c’est
perdre un petit peu de sa liberté en terme de gestion du budget principal.
Damien PERRY :
Le principal c’est de pouvoir le faire si on souhaite le faire.
Daniel PAYOT :
On peut le modifier, Louis. On peut dire que s’il y a un doute on ne devra pas
mais on pourra. L’EPIC pourra recevoir cette recette-là. Si on ne précise pas, on
ne sera pas capable de lui donner si on devait lui donner, le conseil municipal
est souverain en la matière.
Louis GARNIER :
Qu’on ait le choix sur les installations sportives, on peut dire celle-ci oui, celle-
là non. Mais là, les remontées mécaniques, il n’y en a qu’une de taxe, il n’y en
a pas cinquante. Donc si on la liste, ça veut dire qu’on adopte le principe, donc
il faut bien le préciser.
Daniel PAYOT :
On accorde le principe à l’EPIC de pouvoir la recevoir, par contre c’est une
décision municipale. On n’a jamais débattu de la capacité à donner ou pas.
Louis GARNIER :
Daniel, ce soir on prend la décision municipale de mettre les taxes sur les
remontées mécaniques dans le budget de l’EPIC. C’est ce que l’on décide en
acceptant ces statuts. On dit bien « figure au budget ».
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13. 13
Daniel PAYOT :
Compte tenu du budget, en recettes le produit : des subventions, des
souscriptions particulières et offres de concours, dons et legs, taxe de séjour
nette, déduction faite de la part départementale et des frais d’encaissement,
des prises de participation, la partie du produit de la taxe sur les entreprises
exploitant des engins de remontées mécaniques qui n’a pas été affectée aux
dépenses mentionnées aux 1, 4 et 5 de l’article. Donc c’est la différence qui
pourrait être affectée. Peut-être qu’il faut qu’on demande à Gérard VERNAY,
qu’il nous dise qu’est ce que le 1, 4 et 5 de l’article L2333-53.
Monsieur le Maire ferme la séance.
La séance est réouverte.
Estelle MERCIER :
Le vice-président et le président sont nommés par qui ?
Daniel PAYOT :
Ils vont être élus par le comité de direction.
Jean-Louis NARQUIN :
Le comité de direction élit un président et un vice-président parmi ses
membres. Donc à la première réunion du comité de direction, celui-ci élira le
président et le vice-président.
Daniel PAYOT :
C’est pour ça que, dans le cadre de la création du bureau, ne sont pas
nommés, les noms du président, vice-président et 1er adjoint, puisqu’ils
peuvent changer, donc ce sera de fait de droit, le président, le 1er vice-
président et le 1er adjoint du moment.
Olivier BEGUE :
J’ai une remarque sur le nom. Arc Bourg Développement, ça fait ABD et dans
le monde du ski, c’est un abandon.
Damien PERRY :
Je rappelle que c’est un nom administratif ce soir, rien ne nous empêche
ensuite d’avoir un nom commercial.
Daniel PAYOT :
Le nom administratif sera ABD si on le laisse comme ça. L’entité commerciale
c’est Les Arcs d’une part et Bourg-St-Maurice d’autre part, ce sont les deux
entités commerciales. Est-ce qu’on va se servir de l’entité administrative pour
en faire une entité commerciale ? Je pense que cela ne servirait pas à grand-
chose. Après qu’on identifie la structure comme une structure de
développement économique, je pense que cela est bien, après on y met ce
qu’on veut devant.
Damien PERRY :
On laisse comme ça pour ce soir et puis on verra si on trouve quelque chose de
préférable.
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14. 14
Juste avant de passer aux votes, je voudrais quand même dire que le
Directeur actuel est derrière moi, David CHABANAL et c’est lui, bien entendu,
qui sera le Directeur de l’EPIC.
Compte tenu de ces éléments, le Conseil municipal, après en avoir délibéré et à l’unanimité :
Vu les articles R.2251-31 et suivants du Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu les articles L.133-5 et suivants du Code du Tourisme :
- DENOMME l’EPIC : « Les Arcs Bourg Développement (en abrégé : ABD) »
- LE CREE au 1er novembre 2009 ;
- APPROUVE les statuts du nouvel EPIC (joints en annexe) ;
- PROCEDE à la désignation, pour la durée du mandat municipal restant à courir,
des représentants du conseil municipal au sein du comité de direction de l’EPIC :
Titulaires Suppléants
Monsieur le Maire (membre de droit) Nelly Marmottan
Jean-Louis Narquin Dominique Hyvert
Catherine Defourny Sophie Cochet
Olivier Bégué Vincent Bammez
Daniel Payot Françoise Gonguet
Mathieu Fournet Souad Boussaha
Guillaume Crampe Laurence Bocianowski
Jean-Michel Magniette Estelle Mercier
Louis GARNIER Anne Marie ARPIN
Jean Paul MENGEON Jean Luc IEROPOLI
- PROCEDE à la désignation, pour une durée de six mois, des représentants des
professions, organismes et associations intéressés par le développement du
tourisme de la station des Arcs au sein du comité de direction de l’EPIC :
Collège Titulaires Suppléants
Exploitants de remontées mécaniques Laurent Chelle Joël Peretto
Laureline Chopard Gilles Grand
Hébergeurs (auberges, centres de Michel Mahieu Isabelle Gedda
vacances, agences immobilières,
gites, loueurs de meublé, chambres
d’hôte, hôtellerie de plein air)
Sociétés d’hébergement collectif Nicolas Leclercq Laurent Lepage
touristique, résidences de tourisme et
hôtellerie
Commerçants et artisans Thomas di Lorenzo Karine Rocques
Professionnels de la montagne Jean-Marc Haas James Blanc
Propriétaires de logements pour Jean-Marc Silva Marie-Hélène Martin-
résidents permanents ou temporaires Vivier
Guy Dengreville (à nommer)
Autres structures Jean-Luc Mercier Bernard Seligmann
- AUTORISE M le Maire à signer tout acte administratif nécessaire à la mise en
œuvre de la présente délibération.
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15. 15
1 – AFFAIRES BUDGETAIRES ET FINANCIERES
1.1. Budget principal 2009 : modifications diverses des crédits ouverts
au budget primitif
Rapporteur Laurence BOCIANOWSKI
Affaire suivie par : Stéphanie DAUPHIN / Danielle DURAND
Madame Laurence BOCIANOWSKI indique qu’il y a lieu de procéder à un certain nombre de
modifications aux crédits ouverts aux budgets primitif et supplémentaire principal de 2009
pour tenir compte des éléments nouveaux intervenus depuis.
En section d’investissement les crédits sont majorés de 765 646 €.
Les principales dépenses d’investissement prises en compte sont :
- Le mur des Lauzières (+ 75 000 €)
- Le pont du Bérard (+ 95 000 €)
- Mise en place de nouveaux serveurs (+ 50 000 €)
- L’acquisition du Centre de Secours des Arcs (+ 480 000 €)
- L’installation d’une patinoire démontable aux Arcs (+ 150 000 €)
- Une subvention d’équipement pour la mise aux normes de l’ascenseur public Pierra Menta
(+ 110.000 €)
D’autres dépenses d’investissement sont minorées pour différentes raisons, soit le projet est
reporté, soit des économies ont été réalisées sur l’opération :
- Bâtiment de la restauration scolaire à Arc 1800 (- 237 000 €)
- Lotissement de Courbaton (- 50 000 €)
- Désenclavement de la route de la Rosière (- 20 000 €)
Pour financer les investissements nouveaux, il n’est pas nécessaire d’avoir recours à
l’emprunt. Les subventions nouvelles reçues et l’augmentation du prélèvement suffisent à
financer l’ensemble des travaux nouveaux ou complémentaires.
Le tableau suivant reprend l’ensemble des décisions modificatives :
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Pour mémoire :
DEPENSES D'INVESTISSEMENT Prévisions totales Montant de la DM Budget total 2009
avant DM
OPERATIONS D'INVESTISSEMENT
Opération 101 - Acquisition de mobilier et matériel
- Moquettes en plaques - Festival du cinéma 25 000,00 € 25 000,00 €
- Tribunes télescopiques - Centre B. Taillefer 75 000,00 € 30 000,00 € 105 000,00 €
- Rideaux 5 000,00 € 5 000,00 €
- Matériels - Service technique - 25 000,00 € - 25 000,00 €
- Mobilier urbain - 10 000,00 € - 10 000,00 €
- Autres matériels 181 469,00 € - € 181 469,00 €
Sous-total opération 101 256 469,00 € 25 000,00 € 281 469,00 €
Opération 104 - Grosses réparations de la voirie aux
Arcs
- Terrains de voiries 25 000,00 € 10 000,00 € 35 000,00 €
- Mur des Lauzières - € 75 000,00 € 75 000,00 €
- Autres travaux 332 085,00 € - € 332 085,00 €
Sous-total opération 104 357 085,00 € 85 000,00 € 442 085,00 €
Opération 105 - Grosses réparations de la voirie dans
les villages
- Enfouissement des réseaux des Chapieux - € 23 400,00 € 23 400,00 €
- Pont du Bérard - € 95 000,00 € 95 000,00 €
- Autres travaux 580 643,00 € - € 580 643,00 €
Sous-total opération 105 580 643,00 € 118 400,00 € 699 043,00 €
Opération 107 - Grosses réparations des bâtiments
- Aménagement du ski shop 30 000,00 € 30 000,00 €
- Aménagement bureau état civil 7 178,00 € 7 178,00 €
- Facade des services techniques 15 000,00 € - 9 184,00 € 5 816,00 €
- Peinture école de la Petite Planète 10 000,00 € - 10 000,00 € - €
- Conformité PPMS 15 000,00 € - 15 000,00 € - €
- Moulin Hauteville Gondon 25 000,00 € - 22 982,00 € 2 018,00 €
- Autres travaux dans les bâtiments 264 972,00 € - € 264 972,00 €
Sous-total opération 107 329 972,00 € - 19 988,00 € 309 984,00 €
Opération 108 - Informatique
- Serveurs informatiques - € 100 000,00 € 100 000,00 €
- Logiciel - Taxe de séjour - € 2 160,00 € 2 160,00 €
- Matériels informatiques 50 000,00 € - 50 000,00 € - €
- Vidéo surveillance - Arc 50 000,00 € 25 000,00 € 75 000,00 €
- Autres prestations 63 359,00 € 63 359,00 €
Sous-total opération 108 163 359,00 € 77 160,00 € 240 519,00 €
Opération 109 - Grosses réparations des équipements
sportifs
- Bardage du gymnase 9 000,00 € - 5 936,00 € 3 064,00 €
- Eclairage de la salle grenette 20 000,00 € - 20 000,00 € - €
- Rénovation des courts de tennis 30 000,00 € - 5 772,00 € 24 228,00 €
- Espaces verts de la piscine 15 000,00 € - 15 000,00 € - €
- Lac de péche - Arc 2000 15 000,00 € - 15 000,00 € - €
- Autres travaux 339 308,00 € - 499,00 € 338 809,00 €
Sous-total opération 109 428 308,00 € - 62 207,00 € 366 101,00 €
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17. 17
Pour mémoire :
DEPENSES D'INVESTISSEMENT Prévisions totales Montant de la DM Budget total 2009
avant DM
Opération 110 - Réserves foncières
- Autres bâtiments - Ski shop 950 000,00 € 950 000,00 €
- Autres bâtiments - Centre de secours - Arc 2000 200 000,00 € 480 000,00 € 680 000,00 €
- Autres terrains 105 000,00 € 42 000,00 € 147 000,00 €
Sous-total opération 110 1 255 000,00 € 522 000,00 € 1 777 000,00 €
Opération 22510 - Restauration scolaire
- Bâtiment de la restauration scolaire 280 000,00 € - 237 000,00 € 43 000,00 €
Sous Total opération 22510 280 000,00 € - 237 000,00 € 43 000,00 €
Opération 2414007 - Patinoire des Arcs
- Patinoire des Arcs 150 000,00 € 150 000,00 €
Sous Total opération 2414007 - € 150 000,00 € 150 000,00 €
Opération 28222 - Voies communales
- Désenclavement de la Rosière 20 000,00 € - 20 000,00 € - €
- Autres Travaux 1 188 025,00 € 1 188 025,00 €
Sous Total opération 28222 1 208 025,00 € - 20 000,00 € 1 188 025,00 €
Opération 282417 - Lotissement de Courbaton
- Viabilisation des terrains 365 022,00 € - 50 000,00 € 315 022,00 €
Sous Total opération 282417 365 022,00 € - 50 000,00 € 315 022,00 €
Opération 283321 - Aménagement des sentiers
- Aménagement des sentiers 20 000,00 € - 4 000,00 € 16 000,00 €
Sous Total opération 283321 20 000,00 € - 4 000,00 € 16 000,00 €
Opération 29210- Aménagement alpes et soutien
agricole
- Etudes irrigation Zone des Journaux - Forage 17 000,00 € 32 000,00 € 49 000,00 €
- Autres travaux 20 724,00 € 20 724,00 €
Sous Total opération 29210 37 724,00 € 32 000,00 € 69 724,00 €
Opération 2942 - Opération urbaine collective -
FISAC
-Chalets 15 410,00 € 15 410,00 €
-Illuminations 21 008,00 € 21 008,00 €
Sous Total opération 2942 - € 36 418,00 € 36 418,00 €
Autres opérations non modifiées 1 528 923,00 € - € 1 528 923,00 €
Total des opérations 6 810 530,00 € 652 783,00 € 7 463 313,00 €
Pour mémoire :
DEPENSES D'INVESTISSEMENT Prévisions totales Montant de la DM Budget total 2008
avant DM
AUTRES MOUVEMENTS
Emprunts 3 318 000,00 € - 41 000,00 € 3 277 000,00 €
Plan Routier 260 000,00 € 2 505,00 € 262 505,00 €
Subvention d'équipement pour la mise aux normes de
l'ascenseur public Pierra Menta - € 110 000,00 € 110 000,00 €
Cession de terrain -Même montant en recettes ) 10 000,00 € 30 000,00 € 40 000,00 €
Créance TVA réseaux Orbassy - € 8 300,00 € 8 300,00 €
Dépenses imprévues 85 417,00 € 3 058,00 € 88 475,00 €
Autres mouvements non modifiés 1 735 834,00 € - € 1 735 834,00 €
Total des autres mouvements 5 409 251,00 € 112 863,00 € 5 522 114,00 €
TOTAL GENERAL DES DEPENSES 12 219 781,00 € 765 646,00 € 12 985 427,00 €
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18. 18
Les recettes d’investissement varient de la manière suivante :
Pour mémoire :
RECETTES D'INVESTISSEMENT Prévisions totales Montant de la DM Budget total 2008
avant DM
OPERATIONS D'INVESTISSEMENT
Opération 103 - Grosses réparations de la voirie
du Chef lieu
- Subvention enfouissement des réseaux d'Orbassy - € 4 914,00 € 4 914,00 €
Sous Total opération 103 - € 4 914,00 € 4 914,00 €
Opération 105 - Grosses réparations de la voirie
des villages
- Subvention SDES Réseaux des Chapieux - € 22 818,00 € 22 818,00 €
- Subvention - Sentiers - Vallée des Glaciers 377,00 € 377,00 €
Sous Total opération 105 - € 23 195,00 € 23 195,00 €
Opération 107 - Grosses réparations des bâtiments
- Subvention - Amgt bureau état civil ( Passeport ) - € 4 000,00 € 4 000,00 €
- Subvention - Chapelle du Bérard 2 798,00 € 2 798,00 €
Sous Total opération 107 - € 6 798,00 € 6 798,00 €
Opération 109 - Grosses réparations des
équipements sportifs
- Subvention - City stade - Etat 25 000,00 € 25 000,00 €
- Subvention - City stade - Département 17 748,00 € 17 748,00 €
Sous Total opération 107 - € 42 748,00 € 42 748,00 €
Opération 282213 - Parc de stationnement sur la
voirie
- Amende de police 65 000,00 € - 13 145,00 € 51 855,00 €
Sous Total opération 282213 65 000,00 € - 13 145,00 € 51 855,00 €
Opération 283321 - Aménagement des sentiers de
randonnée
- Subvention - Accès Refuge Robert Blanc 1 002,00 € 1 002,00 €
Sous Total opération 283321 - € 1 002,00 € 1 002,00 €
Autres opérations non modifiées 117 571,00 € - € 117 571,00 €
Total des opérations 182 571,00 € 65 512,00 € 248 083,00 €
AUTRES MOUVEMENTS
Participation pour non réalisation d'aires de
stationnement - € 33 804,00 € 33 804,00 €
Dons et legs (cession de terrains à titre gratuit ) 50 000,00 € 30 000,00 € 80 000,00 €
Transfert TVA Réseaux des Chapieux 16 600,00 € 16 600,00 €
Subention Département - Centre de Secours 147 000,00 € 147 000,00 €
Amortissements du matériel 969 628,00 € - 7 270,00 € 962 358,00 €
Virement de la section de fonctionnement 2 300 000,00 € 480 000,00 € 2 780 000,00 €
Autres mouvements non modifiés 8 717 582,00 € - € 8 717 582,00 €
Total des autres mouvements 12 037 210,00 € 700 134,00 € 12 737 344,00 €
TOTAL GENERAL DES RECETTES 12 219 781,00 € 765 646,00 € 12 985 427,00 €
En section de fonctionnement les crédits sont majorés de 395.701 €.
Au niveau des dépenses :
Concernant les lignes suivies par les gestionnaires de crédits seules les ajustements
importants ont été intégrés, notamment ceux pour lesquels aucune compensation avec une
autre ligne ne semblait possible.
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19. 19
Il a cependant été rappelé aux gestionnaires la nécessité de gérer l’enveloppe qui leur a été
octroyée au budget primitif et d’équilibrer les dépassements par une consommation moindre
sur une autre de leurs lignes.
Concernant les autres lignes, le service financier a aussi estimé et inscrit uniquement les
modifications importantes.
Ainsi, il apparaît notamment les modifications suivantes :
- Le chapitre 011 (charges à caractère général) augmente de 114.169 € afin de tenir
compte des dépenses complémentaires non prévues au BP et des économies réalisées (voir
tableau ci-dessous).
- Le chapitre 012 (frais de personnel) fera si nécessaire l’objet d’une décision modificative
ultérieure.
- Le chapitre 014 (atténuation de produits) reste identique.
- Le chapitre 65 (autres charges de gestion courante) varie notamment dans cette décision
modificative pour tenir compte des admissions en non valeur qui sont proposées dans une
délibération séparée de ce jour (+21.474 €).
De plus, concernant les subventions :
o les crédits prévus pour les primes aux résultats pour les sportifs de haut niveau
sont ajustés aux sommes qui ont été réellement versées.
o Une subvention de 2.000 € est attribuée au GEDA de Haute Tarentaise pour leur
organisation de la manifestation « samedi on démontagne ».
o Le crédit de 3.000 €, voté sous réserve, pour l’association « la théâtrerie » est
annulé. Le projet de l’association est en effet reporté.
o Une somme de 300 € est inscrite en faveur du collège de Bourg-Saint-Maurice afin
d’aider à l’organisation d’un voyage à Altensteig pendant le marché de noël.
- Le chapitre 66 (charges financières) diminue de 112.715 €. La conjoncture économique
actuelle combinée à une gestion active de la dette a en effet permis une forte diminution
des intérêts payés par la commune.
- Le chapitre 67 (charges exceptionnelles) intègre en particulier la diminution du besoin de
financement du budget des parkings (-133.000 €). Les recettes perçues sur les usagers ont
en effet été plus importantes que la prévision prudente faite lors du vote du budget primitif
des parkings.
- Le chapitre 68 (dotations aux provisions) prend en compte les provisions des risques de
créances irrécouvrables. Elles viennent s’ajouter aux provisions déjà constituée les années
précédentes. Ces provisions répondent à la règle de prudence budgétaire mais n’emporte
aucune conséquence sur la validité des créances elle-même.
Une délibération spécifique est d’ailleurs proposée ce jour au Conseil Municipal afin
d’admettre certaines créances en non valeur, qui ont été provisionnées lors des exercices
précédents.
- Le chapitre 022 (dépenses imprévues) est minoré 7.253 €.
- Le chapitre 023 (virement à la section d’investissement) est augmenté de 480.000 €.
Cela signifie que cette décision modificative permet de dégager un autofinancement
complémentaire par rapport au budget primitif. Ce virement permet entre autre de ne pas
avoir besoin d’inscrire un emprunt complémentaire en investissement pour couvrir les
dépenses supplémentaires de cette section.
19
20. 20
Au niveau des recettes :
Les prévisions de recettes avaient été effectuées de manière prudente au niveau du budget
primitif et du budget supplémentaire (données inconnues et conjoncture économique
difficile). Les recettes sont ainsi en augmentation.
- Le chapitre 013 (atténuation de charges) intègre les remboursements sur rémunérations
déjà réalisés et anticipés : + 126 579 €, sommes non prévisibles au BP.
- Le chapitre 70 (produits des services et du domaine) connaît une légère augmentation
(+ 27.355 €). Les conditions climatiques favorables de cet été ont permis d’augmenter les
recettes des centres nautiques de 23.000 €. Les recettes des fourrières sont aussi majorées
suite au passage devant le tribunal de 3 dossiers importants (+ 5.662 €). Par contre une
diminution de 16.098 € est constatée concernant la mise à disposition de personnel au
Foyer Logement d’Arc 2000 (fin anticipée du contrat de travail).
- Le chapitre 73 (impôts et taxes) augmente de 150.332 €. Un rôle complémentaire
d’imposition ainsi qu’une recette importante au niveau des droits de mutation au mois
d’Août explique cette variation.
- Le chapitre 74 (dotations et participations) est majoré de 15.619 €. On constate
principalement une augmentation de la participation des communes au coût des
ambulances (nombre de secours plus important que prévu pour les communes
concernées). Cependant cette hausse est à nuancer puisque les dépenses de secours sur
pistes ont aussi été majorées dans cette décision modificative.
- Le chapitre 75 (autres produits de gestion courante) augmente de 29.603 €. En
particulier, des locations diverses effectuées par la commune des biens immobiliers de son
patrimoine ont permis cette hausse.
- Le chapitre 76 (produits financiers) diminue de 17.000 €. La commune dispose encore
d’une trésorerie importante dont une partie, en fonction des considérations légales, est
placée en bons du Trésor. Les taux de placement ont cependant diminué et des
remboursements anticipés complémentaires ont été fait.
- Le chapitre 77 (produits exceptionnels) retrace en particulier les recettes liées aux
remboursements des sinistres par les assurances (+ 34.624 €).
- Le chapitre 78 (reprises sur amortissements et provisions) augmente de 24.404 €. Il s’agit
d’une part de certaines créances qui avaient été provisionnées et qui ont été recouvrées et
d’autre part de reprises de provisions antérieures (provisions effectuées les années
précédentes au chapitre 68). Ces reprises permettent de couvrir les dépenses de l’article
654 « pertes sur créances irrécouvrables ». Une délibération séparée de ce jour propose les
admissions en non valeur qui correspondent à ces reprises.
Le tableau suivant reprend les principales décisions modificatives de fonctionnement :
20
21. 21
Prévisions totales
Montant de la
DEPENSES DE FONCTIONNEMENT avant DM (DM
DM
Budget total 2009
diverses + BS)
CHAPITRE 011 (Charges à caractère général)
CLASSE 60 "ACHATS"
Article 60611 -Eau et assainissement 184 515,00 € 6 000,00 € 190 515,00 €
Article 60621 - Combustible 207 037,00 € - 29 000,00 € 178 037,00 €
Article 60622 - Carburant 141 100,00 € - 15 000,00 € 126 100,00 €
Article 606318 - Fournitures d'entretien 259 972,00 € 50 000,00 € 309 972,00 €
- services techniques -garage- véhicules et matériel 100 000,00 € 50 000,00 € 150 000,00 €
Article 60633 - Fournitures de voiries 236 005,00 € 10 000,00 € 246 005,00 €
- sel de déneigement 34 300,00 € 10 000,00 € 44 300,00 €
Autres articles 969 536,00 € 11 132,00 € 980 668,00 €
TOTAL CLASSE 60 "ACHATS" 1 998 165,00 € 33 132,00 € 2 031 297,00 €
CLASSE 61 "SERVICES EXTERIEURS"
Article 611 - Prestations de services 1 091 080,00 € - 1 047,00 € 1 090 033,00 €
- mission communication redynamisation du territoire de
Haute Tarentaise - € 13 726,00 € 13 726,00 €
- frais de secours (voir aussi augmentation des recettes) 582 000,00 € 22 790,00 € 604 790,00 €
- Partenariat FFCK 35 000,00 € - 10 000,00 € 25 000,00 €
- Gardiennage été centre nautique des Arcs 4 888,00 € - 4 888,00 € - €
- Tour de France 300 000,00 € - 26 000,00 € 274 000,00 €
- divers 169 192,00 € 3 325,00 € 172 517,00 €
Article 6132 - Locations immobilières 105 863,00 € - 35 457,00 € 70 406,00 €
- centre de secours Arc 2000 : achat du bâtiment par la
commune 40 000,00 € - 40 000,00 € - €
- location des locaux à l'OGEC pour restauration scolaire 5 222,00 € 3 585,00 € 8 807,00 €
- divers 60 641,00 € 958,00 € 61 599,00 €
Article 6135 - Location mobilière 57 485,00 € 41 328,00 € 98 813,00 €
- location d'un unimog pour 2 mois - € 16 000,00 € 16 000,00 €
-opération urbaine collective ; location patinoire et bagagerie
décembre - € 20 183,00 € 20 183,00 €
- divers 57 485,00 € 5 145,00 € 62 630,00 €
Article 61521 - Entretien de terrains 157 956,00 € 5 472,00 € 163 428,00 €
- nettoyage chantier Roc de Belleface - € 5 472,00 € 5 472,00 €
Article 61522 - Entretien de bâtiments 156 170,00 € 39 244,00 € 195 414,00 €
- travaux salle des fêtes - € 7 578,00 € 7 578,00 €
- travaux peinture salle grenette - € 9 960,00 € 9 960,00 €
- rénovation ascenseurs Pierra Menta 4 000,00 € 15 713,00 € 19 713,00 €
- divers 152 170,00 € 5 993,00 € 158 163,00 €
Article 61523 - Entretien voiries 1 484 997,00 € 26 472,00 € 1 511 469,00 €
- déneigement 1 069 707,00 € 4 505,00 € 1 074 212,00 €
- lasurage sur barrières aux arcs - € 21 967,00 € 21 967,00 €
-divers 415 290,00 € - € 415 290,00 €
Article 61551 - Entretien Matériel Roulant 50 000,00 € 10 000,00 € 60 000,00 €
Article 617 - Etudes et recherches 178 670,00 € - 63 560,00 € 115 110,00 €
- étude sur la candidature en vue de l'implatation du Centre
de Ski de Haut Niveau - € 10 592,00 € 10 592,00 €
- étude stratégie de mutualisation des systèmes d'information
de la commune - € 10 000,00 € 10 000,00 €
- abandon étude relative à la création d'une SEM lutte contre
volets clos 50 000,00 € - 50 000,00 € - €
- étude UTN pôle de thermalisme (reporté en 2010) 40 000,00 € - 40 000,00 € - €
- études diverses 88 670,00 € 5 848,00 € 94 518,00 €
Autres articles
519 486,00 € - 6 710,00 € 512 776,00 €
TOTAL CLASSE 61 "SERVICES
3 801 707,00 € 15 742,00 € 3 817 449,00 €
EXTERIEURS"
21
23. 23
Pour mémoire :
Montant de la
DEPENSES DE FONCTIONNEMENT Prévisions totales
DM
Budget total 2008
avant DM
CHAPITRE 012 (charges de personnel)
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 012 7 845 890,00 € - € 7 845 890,00 €
CHAPITRE 014 (Atténuations de produits)
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 014 100 000,00 € - € 100 000,00 €
CHAPITRE 65 (Autres charges de gestion courante)
Article 651 - Redevances de concessions 40 345,00 € 6 237,00 € 46 582,00 €
- maintenance "Firewall", licences, certification
dématérialisation - € 6 237,00 € 6 237,00 €
- divers 40 345,00 € - € 40 345,00 €
Article 6535 - Formation des élus 6 000,00 € 7 500,00 € 13 500,00 €
Article 654 - Pertes sur créances irrécouvrables - € 21 474,00 € 21 474,00 €
Article 6553 -Service Incendie (Contribution SDIS) 700 328,00 € - 9 630,00 € 690 698,00 €
Article 65737 -Autres établissements publics locaux 400,00 € 300,00 € 700,00 €
- subvention pour élèves voyage marché de Noël à
Altensteig) - € 300,00 € 300,00 €
Article 6574 - Subvention autres organismes 3 599 557,00 € - 7 270,00 € 3 592 287,00 €
- GEDA de Haute Tarentaise - € 2 000,00 € 2 000,00 €
- sportifs de haut niveau 33 680,00 € - 6 270,00 € 27 410,00 €
- projet différé association "La Théatrerie" 3 400,00 € - 3 000,00 € 400,00 €
- divers 3 562 477,00 € 2 000,00 € 3 564 477,00 €
Autres articles 286 406,00 € 300,00 € 286 706,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 65 4 632 636,00 € 18 611,00 € 4 651 247,00 €
CHAPITRE 66 (Charges financières)
Articles divers (baisse des taux d'intérêt) 1 291 698,00 € - 112 715,00 € 1 178 983,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 66 1 291 698,00 € - 112 715,00 € 1 178 983,00 €
CHAPITRE 67 (Charges exceptionnelles)
Article 67441 - Subventions aux budgets annexes -
(budget des parkings) 650 000,00 € - 133 000,00 € 517 000,00 €
Autres articles 160 000,00 € 7 800,00 € 167 800,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 67 810 000,00 € - 125 200,00 € 684 800,00 €
CHAPITRE 68 (Dotations aux provisions réelles)
Article 6815 - Provisons pour risques et charges
- € - € - €
(contentieux en cours)
Article 6817 - Provisions pour dépréciations d'actifs
- € 35 359,00 € 35 359,00 €
circulants (risque de non recouvrement de créances)
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 68 - € 35 359,00 € 35 359,00 €
CHAPITRE 022 (Dépenses imprévues)
174 961,00 € - 7 253,00 € 167 708,00 €
CHAPITRE 023 (Virement à la section d'investissement)
2 300 000,00 € 480 000,00 € 2 780 000,00 €
CHAPITRE 042 (Opérations d'ordre de transfert entre sections)
Ajustement des crédits 983 948,00 € - 7 270,00 € 976 678,00 €
TOTAL GENERAL DES DEPENSES 26 017 021,00 € 395 701,00 € 26 412 722,00 €
23
24. 24
Pour mémoire :
Montant de la
RECETTES DE FONCTIONNEMENT Prévisions totales
DM
Budget total 2009
avant DM
CHAPITRE 013 (Atténuation de charges)
Article 6419 - Remboursement sur rémunérations - € 126 579,00 € 126 579,00 €
Autres articles 1 800,00 € - € 1 800,00 €
TOTAL GENERAL- CHAPITRE 013 1 800,00 € 126 579,00 € 128 379,00 €
CHAPITRE 70 (Produits des services et du domaine)
Article 70321 - Droits de stationnement et de location sur
la voie publique 93 000,00 € 6 846,00 € 99 846,00 €
- occupation domaine public entreprises - € 6 846,00 € 6 846,00 €
- parking public 93 000,00 € - € 93 000,00 €
Article 70388 - Autres redevances-recettes diverses 17 300,00 € 6 000,00 € 23 300,00 €
- Fourrière des véhicules 17 000,00 € 6 000,00 € 23 000,00 €
- Autres 300,00 € - € 300,00 €
Article 70631 - Redevances et droits des services à
caractère sportif 268 803,00 € 24 578,00 € 293 381,00 €
- centres nautiques, tennis et squash 235 500,00 € 23 000,00 € 258 500,00 €
- divers 33 303,00 € 1 578,00 € 34 881,00 €
Article 70841 - Mise à disposition de personnel facturée
aux budgets annexes 91 690,00 € - 16 098,00 € 75 592,00 €
- refacturation du salaire du gardien au budget foyer
logement Arc 2000 29 500,00 € - 16 098,00 € 13 402,00 €
- autres mises à disposition 62 190,00 € - € 62 190,00 €
Autres articles 841 652,00 € 6 029,00 € 847 681,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 70 1 312 445,00 € 27 355,00 € 1 339 800,00 €
CHAPITRE 73 (Impôts et taxes)
Article 7311 - Contributions directes (rôles
14 968 234,00 € 10 332,00 € 14 978 566,00 €
complémentaires)
Article 7381 - Taxe additionnelle aux droits de mutation
400 000,00 € 140 000,00 € 540 000,00 €
(recette importante en Août)
Autres articles (dont taxe de séjour, taxe loi montagne, taxe
2 388 030,00 € - € 2 388 030,00 €
sur l'électricité)
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 73 17 756 264,00 € 150 332,00 € 17 906 596,00 €
CHAPITRE 74 (Dotations et participations)
Article 7474 - Subventions et participations de communes
60 301,00 € 11 517,00 € 71 818,00 €
- participation des communes extérieures au coût des
ambulances (voir aussi article 611 en dépenses) 17 000,00 € 9 832,00 € 26 832,00 €
- Autres 43 301,00 € 1 685,00 € 44 986,00 €
Autres articles 5 456 569,00 € 4 102,00 € 5 460 671,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 74 5 516 870,00 € 15 619,00 € 5 532 489,00 €
24
25. 25
Pour mémoire :
Montant de la
RECETTES DE FONCTIONNEMENT Prévisions totales
DM
Budget total 2009
avant DM
CHAPITRE 75 (Autres produits de gestion courante)
Article 752 -Revenus des immeubles (locations diverses)
193 744,00 € 22 574,00 € 216 318,00 €
Article 758 - Produits divers de gestion courante 566 141,00 € 7 029,00 € 573 170,00 €
- secours sur pistes 565 000,00 € 7 029,00 € 572 029,00 €
- autres 1 141,00 € - € 1 141,00 €
Autres articles 61 125,00 € - € 61 125,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 75 821 010,00 € 29 603,00 € 850 613,00 €
CHAPITRE 76 (Produits financiers)
Article 768 - Autres produits financiers (placements en
30 000,00 € - 17 000,00 € 13 000,00 €
bons du Trésor)
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 76 30 000,00 € - 17 000,00 € 13 000,00 €
CHAPITRE 77 (Produits exceptionnels)
Article 7788 - Produits exceptionels et indémnités de
- € 34 624,00 € 34 624,00 €
sinistres (remboursements assurances)
Autres articles - € 4 185,00 € 4 185,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 77 - € 38 809,00 € 38 809,00 €
CHAPITRE 78 (Reprises sur amortissements et provisions)
Article 7817 - Reprise sur provisions pour dépréciations
des actifs circulants (créances recouvrées) - € 24 404,00 € 24 404,00 €
TOTAL GENERAL - CHAPITRE 78 - € 24 404,00 € 24 404,00 €
CHAPITRE 042 (Opérations d'ordre de transfert entre sections)
sans changement 51 731,00 € - € 51 731,00 €
Résultat reporté
sans changement 526 901,00 € - € 526 901,00 €
TOTAL GENERAL DES RECETTES 26 017 021,00 € 395 701,00 € 26 412 722,00 €
L’intégralité des modifications est jointe dans le document annexé à la présente délibération.
Jean-Pierre BOUHOURS :
Je voudrais savoir page 3, dans le bas de la page, quand vous parlez de
« subvention nouvelle attribuée » et de « l’augmentation des prélèvements », je
voudrais avoir des précisions, et page 8, sur le chapitre 73, les nouvelles
recettes de droits de mutation concernent quoi ?
Laurence BOCIANOWSKI :
Ce sont les droits au niveau des ventes d’appartements.
Damien PERRY :
On n’a jamais le détail, on ne sait pas à quoi ça correspond malheureusement.
Monsieur le Maire ferme la séance.
25
26. 26
La séance est réouverte.
Laurence BOCIANOWSKI :
Les subventions nouvelles reçues et non attribuées. On va changer le terme.
Damien PERRY :
Parce qu’on a l’impression que c’est de l’argent qu’on sort et qu’on attribue.
Anne-Marie ARPIN :
Concernant les grosses dépenses d’équipement, vous êtes en train de tout
bloquer, à savoir l’éclairage de la salle Grenette qui nécessitait cet éclairage,
donc il est reporté à l’année prochaine ?
Laurence BOCIANOWSKI :
C’est reporté parce qu’ils n’ont pas eu le temps de le réaliser, donc c’est
reporté début 2010.
Daniel PAYOT :
Non, pour ce qui concerne ces travaux-là apparemment ils ont été faits en
régie, ce n’est plus de l’investissement.
Anne-Marie ARPIN :
Concernant la patinoire des Arcs, vous nous demandez déjà de voter sur le
budget les 150 000 €. Nous n’avons pas vu passer cette décision d’installer
cette patinoire, or vous nous demandez de prendre en compte déjà cette
décision au travers du budget. Est-ce que ça ne serait pas plutôt l’inverse,
savoir si on positionne cette patinoire sur les Arcs et ensuite dans ce cas-là on
vote le budget ?
Jean-Louis NARQUIN :
Je suis un peu étonné de la question, parce que ce n’est pas la première fois
que je parle de la patinoire. Parce que ce projet de patinoire sur la base des
Villards, on en a parlé plus d’une fois. On ne devait pas être aux mêmes
réunions Anne-Marie je pense.
Daniel PAYOT :
Le sujet a peut-être été abordé en commission des Arcs ou en commission
travaux ?
Jean-Louis NARQUIN :
En commission travaux, on en a parlé, pourtant Louis tu es bien à la
commission travaux ?
Louis GARNIER :
Jean-Louis, je suis d’accord avec toi, en commission travaux ça a été évoqué
une fois. En commission des Arcs, non. Celle où tu m’as convoqué ou invité,
j’ai toujours répondu présent. J’ai découvert ça, effectivement, en commission
travaux. Ce que veut dire Anne-Marie, c’est que ce n’est pas discuté en
amont, la commission elle propose et je dirais qu’il faudrait que le conseil
dispose, pas seulement au travers du budget, mais au travers d’une
discussion plus élargie.
26
27. 27
Daniel PAYOT :
Il y a des explications assez simples. Il y avait une participation budgétaire, en
tout cas dans le PPI qu’on avait définie, je crois à hauteur de 100 000 € pour
l’année prochaine et qui a été validée en amont, c'est-à-dire qu’il n’y aura pas
100 000 € l’année prochaine sur cette participation-là mais cette année. Parce
que je crois que cela faisait faire une économie substantielle, notamment une
grosse remise à l’investissement sur cette patinoire. C’est pour cela qu’à un
moment donné, on n’a pas redélibéré parce que c’était prévu pour l’année
prochaine dans les budgets. Ces 100 000 € qui étaient prévus l’année
prochaine, ils seront cette année mais pas l’année prochaine. D’inverser la
participation financière, ça permettait d’obtenir une réduction substantielle à
hauteur de 20 ou 30 %.
Jean-Louis NARQUIN :
L’enveloppe de 100 000, elle avait été mise suite à des visites qu’on avait
faites de patinoire, notamment celle de Val-Thorens, où je m’étais déplacé. Et
dans le cadre de l’appel d’offres qui a eu lieu, il y a un certain nombre de
propositions qui nous ont été faites et ça varie de 100 000 à 200 000, donc
après c’est l’ouverture des plis qui va nous indiquer. Cette patinoire qu’on va
installer sur la base des Villards, a pour conséquence que la patinoire
naturelle, qui est à côté du centre nautique, n’existe plus, je parle de celle des
Arcs. L’année dernière, comme on avait été pris de court, on avait encore
redépensé 5 ou 6 000 € pour que les moteurs puissent fonctionner et comme je
l’avais déjà expliqué, le gaz qu’on emploie ne sera plus autorisé d’ici un ou
deux ans, donc la patinoire sera complètement finie. J’ai demandé au service
des sports d’essayer de mettre en vente mais j’ai l’impression qu’ils n’ont pas
beaucoup de chance de vendre la surfaceuse qui avait été achetée lorsque la
patinoire naturelle a été faite. Cette patinoire naturelle va s’arrêter et donc on
va faire quelques économies.
Anne-Marie ARPIN :
Concernant le budget des sentiers, j’ai vu que vous nous aviez retiré 4 000 €,
déjà qu’il n’était pas extraordinaire. Est-ce qu’on peut concevoir que pour
l’année prochaine, il y aura un effort supplémentaire de fait là-dessus pour
qu’on arrive à avancer sur le sujet ?
Daniel PAYOT :
A mon avis, c’est une économie, c'est-à-dire que c’est de l’argent qui n’a pas
été dépensé sur le budget des sentiers. Dès lors où l’on remet à zéro, si ce
n’est pas dépensé. Mais par contre il faudra retravailler un nouveau budget
pour l’année prochaine.
Françoise GONGUET :
Je crois me souvenir qu’on avait mis 20 000 € sur ce budget sentiers, on a dû
passer un peu plus de 3 000 € par rapport au fléchage de celui qu’on a voulu
valider sur le bas de la vallée. Et le reste de la somme c’était une provision qui
était faite sur l’Utra-trail… donc en l’occurrence cela a dû coûter un petit peu
moins que ce qui était prévu, donc c’est pour ça qu’on a 4 000 € de reliquat.
Damien PERRY :
A la page 5, le chapitre 67, il fallait lire « les recettes perçues sur les usagers
ont en effet été plus importantes que la prévision prudente … ».
27
28. 28
Claude GERMAIN :
Une observation du même ordre, c’est à la page 10. Il y a une erreur dans les
chiffres sur l’article 6232, dans la colonne « pour mémoire DM » sur la ligne
« réceptions jumelage Altensteig », c’est 32 000 € au lieu de 12 000 € et sur le
divers c’est 21 000 € au lieu de 41 000 €. C’est une erreur matérielle.
Monsieur le Maire ferme la séance.
La séance est réouverte.
Anne-Marie ARPIN :
Qu’est-ce que vous entendez par remboursement sur rémunération, je n’ai pas
tout à fait compris ?
Laurence BOCIANOWSKI :
C’est le remboursement maladie.
Jean JOVET :
Cette première DM acte le budget pour l’acquisition du bâtiment de la
SACODARC à Arc 2000, par rapport à ma position précédente lors des conseils
précédents, vous comprendrez bien que je voterai contre parce que je dois être
cohérent par rapport à cela. Ce n’est pas parce que je peux avoir effectivement
une position quelque peu radicale que le système va s’arrêter. Et puis une
deuxième petite remarque, c’est effectivement dans les autres mouvements, on
parle d’une augmentation au niveau du plan routier, je pense qu’il serait
important qu’on repasse la délibération parce que c’est quelque chose qu’il
faut qu’on refasse par rapport à la participation au plan routier.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré et à la majorité sauf Monsieur Jean JOVET
qui vote contre, et Monsieur Louis GARNIER, Madame Anne-Marie ARPIN, Monsieur
Jean-Luc IEROPOLI, Madame Brigitte PERRISSIN-FABERT, Monsieur Claude
GERMAIN, Monsieur Jean-Louis JUGLARET, Monsieur Jean-Pierre BOUHOURS,
Monsieur Jean-Paul MENGEON et Madame Christine REVIAL, Monsieur Guillaume
CRAMPE et Monsieur Thierry DAVID qui s’abstiennent :
- APPROUVE les modifications de crédits tels qu’indiqués dans le document annexé dans
le budget principal.
1.2. Budget annexe des parkings de 2009 : modifications
complémentaires aux crédits ouverts au budget primitif et au
budget supplémentaire.
Rapporteur : Daniel PAYOT
Affaire suivie par : Marie-Agnès PERCHE
Monsieur Daniel PAYOT, Adjoint, indique qu’il y a lieu de procéder à un certain nombre de
modifications aux crédits ouverts aux budgets annexes primitif et supplémentaire des parkings
de 2009. Il ya lieu notamment de traduire budgétairement :
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