2. 1 Timothée 2, 1-4 (PDV) 1 Avant tout, je recommande ceci: il faut faire des demandes à Dieu, le prier, le supplier et le remercier pour tous les êtres humains. 2 Il faut prier pour ceux qui nous gouvernent et pour toutes les autorités. Alors nous pourrons mener une vie calme et tranquille en étant fidèles à Dieu et en nous conduisant bien. 3 Voilà ce qui est beau et ce qui plaît à Dieu notre Sauveur. 4 Il veut que tous soient sauvés et arrivent à connaître la vérité.
3. Prions à l’unisson… Jésus tu as aimé les fêtes,celle des vendanges et des moissons,celle de Cana pour les jeunes mariés,celle du pain partagé,celle de la brebis retrouvée,celle du pécheur pardonné.
4. En ces fêtes nationales, nous voici appelés, rassemblés, envoyés,pour que ta volonté soit faite,sur la terre comme au ciel -dans notre Québec et le Canada.
5. Que dans toutes les familles, dans toutes les maisons, ton nom soit connu ! ton nom soit aimé ! Enfants et parents, jeunes et moins jeunes, nous sommes tous faits pour la fête de la rencontre avec Dieu.
6. Alors nous t’invitons Seigneur, viens, que ton amour grandisse, dans le cœur des gens du pays ! Bénis notre pays!
11. Notre quête d’absolu.« Il est fini le temps des porteurs d’eaux. Nous sommes maintenant des porteurs d’espoir. »
12. Nos rêves à faire valoir: « On rêve de justice et de partage avec les plus démunis d’ici et d’ailleurs. » « On rêve de voir la recherche vaincre toutes les maladies. » « On rêve de n’avoir jamais à sortir nos fusils. » « On rêve de sagesse mais de folies aussi (joie de vivre). »
14. Quel est votre rêve pour le Québec ? Ces rêves correspondent-ils aux rêves de Dieu pour l’humanité, sont-ils conciliables aux intentions de Dieu pour notre société ? L’environnement; La solitude des personnes âgées; Le désespoir des jeunes; Le ventre creux des enfants; Le respect dans l’expression de la langue et la culture.
16. André PRATTE: « Le nationalisme canadien, comme le québécois, embellit l’histoire et la peuple de mythes. Ceux-ci suscitent l’adoration de la foule, le délire parfois, mais nuisent à la compréhension mutuelle et à la juste perception de soi.
17. « On peut avoir beaucoup fait pour son pays sans être parfait. Un grand homme peut avoir commis de graves erreurs. On peut célébrer son pays sans s’imaginer qu’il s’agisse du meilleur au monde, ou du plus solidaire, ou du plus pacifiste, ou du plus tolérant... « De fait, que fêtons-nous ? La médaille d’or de tel athlète? La voix exceptionnelle de telle chanteuse? Ces succès individuels n’ont rien à voir avec un quelconque effort collectif.
18. « Ce que nous fêtons, c’est une histoire que nos ancêtres ont bâtie, et à laquelle nous-mêmes sommes appelés à apporter notre petite pierre. Un voisinage géographique et culturel que nous aimons parce qu’il nous est familier, parce que nous y sommes confortables, parce qu’il nous ressemble et nous rassemble, et parce qu’il contribue à l’extraordinaire diversité du monde.
19. « Cela ne fait pas de notre pays le meilleur. C’est le nôtre, tout simplement, avec ses beautésconsidérables, mais aussi ses laideurs, qu’il faut chercher à corriger plutôt qu’à maquiller. »
20. En communion aux rêves de Dieu pour l’humanité et de ses intentions pour notre société , partageons le pain et le fruit de la vigne.