1. Suivi/evaluation des politiques de
developpements agricole et Rurale
Atelier pour le renforcement des capacités en matière de politique
agricole stratégique, de planification et de mise en oeuvre
d’investissements en Afrique
Dakar du 17 au 19 Avril 2012
Maurice TAONDYANDE
ReSAKSS-AO, IITA
2. Plan
• Cadre logique du PDDAA
• Principales questions soulevées pour le S&E
du PDDAA
• Cadre de S&E du PDDAA
• Outils
3. FACTEURS
CONDITIONNANT
Faim Niveau Objectifs
•Actifs ménagers
et dotations
•Catastrophes
Pauvret naturelles
é •Conflits
Niveau Objectifs
Intermédiaires
Revenu •Production non
agricole
•Emploi
Prix
•Salaires ruraux
•Inflation
Niveau résultats
Gestion Production •Ressources
durable des agricole & Commerce •Facteurs naturels
terres disponibilité des produits •Politiques
Management alimentaire agricoles commerciales
•Performance
Macro-économique
Niveau extrants
Capital Physique •Conditions
Systèmes d’Irrigation Capital Humain Initiales du capital
•Autres services
Pistes Rurales
(éducation, santé,
Infrastructures Information,
eau, sécurité
commerciales Connaissance, et sociale)
Reserves alimentaires
Technologies
Niveau Intrants
1 2 3 4 •Politique
Système de Infrastruct. Recherche économique
gestion des Rurales et Sécurité
agricole et •Gouvernance
terres et de accès aux Alimentaire
développe •Institutions
contrôle de marchés et Filets de
ment de •Revenus et
l’eau Sécurité
commercia technologie dépenses
ux s publiques
•Investissements
Renforcement des capacités institutionelles
du secteur
Investissements privé/IDE
(Présentés ici pour refléter les 4 piliers du PDDAA et des thèmes •APD et
transversaux) harmonisation
4. Lecture du cadre logique du
PDDAA: comment les
investissements publics réduisent
la pauvréte et la sous-alimentation
en milieu rural
5. Irrigation et gestion durable des
terres
• Indispensable pour reduire la fluctuation de la productivité
liée aux aleas pluviometrique (secheresse, Innondation)
• Augmentation de l’intensite culturale donc augmentation des
approvisionnements alimentaires
• Complementaire à l’utilisation des engrais et des semences
ameliorées.
• Toutefois, un faible management des systemes d’irrigation
peut être source de vecteurs nuisibles aux hommes et aux
animaux. Le problème de la salinité des sols est à prendre en
compte aussi.
6. Recherche agricole et
developpement de technologies
• Necessaire à l’amelioration des rendements
• Reduction des pertes-post agricoles
• Adaptation de l’offre aux préférences des
consommateurs (nationaux et internationaux)
• Toutefois, necessité d’un systeme de vulgarisation
efficace
7. Routes rurales, Transport et télécommunications en
milieu rural
• 1) Réduction des coûts de transaction
• Amélioration de l’accès au marché des produits et inputs
agricoles
• Induisant une baisse des prix des intrants et une hausse du
prix au producteur et une diminution du prix au
consommateur. (Indicateur : Evolution du prix au
consommateur, part du prix au producteur/prix au
consommateur).
• Entrainant une augmentation du revenu des producteurs et
aussi une hausse du revenu réel des consommateurs.
8. Routes rurales, Transport et
télécommunications en milieu rural
(suite)
• 2) Facilitation de l’accès aux autres services pouvant
influencer positivement le revenu des ruraux (Vulgarisation,
écoles et centre de santé, institutions financières,
télécommunications) .
• 3) Possible stimulation des investissements privés dans le
transport et autres services impactant positivement sur le
revenu des ruraux par le biais de plusieurs canaux (création
d’emploi non agricole, désengorgement de l’agriculture…)
9. • Développement des marchés
A distinguer du développement des infrastructures physiques. Il
s’agit ici de système d’information sur les prix, du contrôle de
qualité et de normalisation des produits. Conduisant ainsi à un
meilleur accès aux marchés urbain et d’exportation des produits
agricoles. Meilleure intégration des marchés évitant les positions
dominantes et améliorant ainsi le fonctionnement des marchés.
• Electrification rurale
Pouvant stimuler l’investissement privé dans l’entreprenariat non
agricole (fabrication des inputs, transformation des produits
agricoles..) en milieu rural source d’emploi et de désengorgement
du secteur agricole et d’amélioration de la productivité agricole
entrainant ainsi une hausse du salaire et des revenus ruraux.
Maîtrise de l’exode vers la ville.
10. • Sécurité alimentaire et filets de sécurité
Programmes de filets de sécurité (aide alimentaire d’urgence,
cantine scolaire, aides en espèce ou en nature) ciblant des groupes
désavantagés (incluant les pauvres, personnes âgées, femmes
enceinte, enfants, personnes handicapées) qui ne sont pas
capables de participer ou de bénéficier du processus de croissance.
Ces types de programme permettent une redistribution des
ressources en faveur des groupes les plus défavorisés. Ils
permettent d’accroître directement leurs revenus et leurs
consommations et réduisent ainsi la pauvreté. Indirectement, ils
permettent d’améliorer la productivité agricole par le biais de
l’amélioration du capital humain (éducation, santé, nutrition...).
• Transferts aux producteurs
Programmes de soutien ou subventions aux producteurs (les plus
démunis) ou fournisseurs dans le but de les encourager dans la
production ou la fourniture de certains produits ou intrants.
Toutefois:
interventions créant des distorsions sur les marchés.
11. Pourquoi un systeme de
suivi/evaluation du PDDAA
• S’assurer des progrès realisés pour l’atteinte
des objectifs du PDDAA de reduire de moitié
la pauvreté et la sous-alimentation par le biais
d’une croissance agricole de 6% elle même
soutenue par une allocation d’au moins 10%
des ressources publiques à l’agriculture.
12. Principales questions soulevées
pour le S&E du PDDAA
1. Environnement favorable
• Quels sont les politiques, les institutions et les mécanismes en place
pour améliorer la gestion économique, par exemple la gouvernance
politique et économique, le développement du secteur privé et
l’équité ?
• Quelles ont été la fiabilité et la pertinence des preuves utilisées dans le
processus de conception des programmes d'investissement ?
• Les processus ont-ils pris en compte tous les acteurs, et les programmes
d'investissement sont –ils alignés sur les principes et les cibles du
PDDAA?
• Des mécanismes sont-ils mis en place pour la mise en œuvre de
l'investissement et le suivi et l'évaluation de ses impacts?
13. Principales questions soulevées
pour le S&E du PDDAA
2. Respect des engagements et réalisation des
objectifs fixés
• Les partenaires au développement respectent-ils scrupuleusement leurs
engagements financiers en vue de soutenir le programme du PDDAA ?
• Les gouvernements allouent-ils 10% (ou d’autres quotes-parts comme
indiqué dans leurs plans d'investissement) du total de leurs ressources
budgétaires au secteur agricole?
• Les attentes relatives à la réalisation effective par le PDDAA de croissance
agricole et de réduction de la pauvreté, la faim et de l’insécurité
alimentaire et nutritionnelle ont-elles été satisfaites jusqu’à ce jour?
14. Principales questions soulevées
pour le S&E du PDDAA
• 3. Efficacité des interventions (processus,
politiques, investissements):
• Quelle a été l’efficacité des différents types d’interventions dans les
réalisations faites jusqu’ici ?
• Quels sont les facteurs qui ont déterminé le niveau d’impact qui a été
réalisé ?
• Quels sont les échanges et les complémentarités, le cas échéant, entre les
différents types d’interventions ?
15. Principales questions soulevées
pour le S&E du PDDAA
• 4. Cohérence des interventions planifiées avec
les objectifs initiaux
• Quels sont les impacts projetés si les interventions se font comme
prévus ?
• Ces impacts projetés sont-ils compatibles avec la croissance et les
objectifs du PDDAA de réduire la pauvreté, la faim et l’insécurité
alimentaire et nutritionnelle?
16. Principales questions soulevées
pour le S&E du PDDAA
• 5. Exploration des interventions ayant des impacts plus grands ou mieux
distribués:
• Pourrait-on obtenir des impacts plus grands ou mieux distribués en
reconfigurant les interventions ?
• Quelles sont les différentes ou nouvelles interventions susceptibles
d’entraîner une croissance plus grande et plus durable et des impacts plus
grands et mieux distribués ?
• Quelles sont les nouvelles cibles qui peuvent être définies pour la mise en
œuvre de ces nouvelles politiques et de ces différents types
d’investissements ?
• Quelles sont les ressources nécessaires pour la mise en œuvre de ces
nouvelles interventions pour atteindre les impacts souhaités ?
17. Operalionalisation du S&E du PDDAA
• C1: Choix d’une liste minimale d’indicateurs SMART
(spécifiques, mesurables, réalistes et opportuns) basé sur
structuré
Indicateurs d’input: Processus, mis en oeuvre du PDDAA,
investissements realisés
Indicateurs d’output (extrant): Outputs directs des
investissements realisés mais mesurés par: l’accès aux aux
infrastructures et aux services, adoption des technologies etc
Indicateurs de résultats (effets): Mesure des resulats
intermediaires devant affete les objectifs finaux: performance
agricole (rendement, production) , performance des marchés
(prix, commerce agricole, …)
Indicateur d’impact: Revenu, sous-alimentation, malnutrition,
Pauvrété
Facteurs conditionnant: Gouvernance politique, incitations en
18. Operalionalisation du S&E du
PDDAA
C2: Normalisation et harmonisation des
indicateurs en vue de permettre la
comparabilité des indicateurs entre les pays et
de contribuer à la revue par les pairs et à la
revue mutuelle du PDDAA aux niveaux
régional et continental
C3: Role et responsabilité des différents
partenaires au niveau national, regional et
continental.
19. Outils
• Analyse coûts-benefices
• Modele d’équilibre general calculable
• Evaluation d’impact
• Matrice d’analyse des politiques
• Autres (études économetriques…)
20. Analyse coûts-bénéfices
• Objectif: Enumérer tous les avantages et coûts se rapportant à une
intervention afin de pouvoir supprimer les activités trop onéreuses
n’ayant que de maigres avantages.
• Une analyse coûts-avantages peut être effectuée au stade de la
conception d’un projet pour aider à prendre les décisions.
• Principe: Calculer le taux de rendement interne et le comparer au taux
d’interêt du marché pour determiner la rentabilité du projet. Plusieurs
simulations sont indispensables pour assurer la robustesse de l’analyse
n
Bt − Ct
VAN = ∑ =0
t =0 (1 + TRI ) t
• Inconvenients
• Fortes incertitudes sur le long terme. Ex: Prix du riz sur le marché mondial
dans 10 ans ; projet dont les avantages se font sentir dans le long terme.
• Evaluation difficile de tous les coûts et avantages (notamment sociaux et
environnementaux) Ex: Impact sur la santé et l’environnement des
semences génétiquement modifiées.
21. Evaluation d’impact
L’evaluation d’impact est l’identification systematique des
effets -positifs ou negatifs, attendus ou non- sur les
individus, les menages, les institutions, l’environnement
causés par une intervention donnée.
Question cruciale soulevée par l’evaluation d’impact:
Comment capter uniquement les effets du programme
evalué etant donné l’influence de facteurs exogènes sur les
resultats attendus de l’intervention ?
22. Exemple de la surestimation de l’impact
d’un programme
Impact réalisé Un producteur “progressiste” A qui
Meilleur R1A = RA a adopté la technologie D=1
Y0A
Différence des résultats observés de A et B
R1B
Impact potentiel Biais de sélection
Résultat
R0B = RB
Un producteur “non progressiste” B qui n’a pas
Pire
adopté la technologie D=0
t Temps
Impact réalisé = Y1A – Y0A = YA – ? sous adoption (D=1)
Impact potentiel = Y1B – Y0B = ? – YB sous non adoption (D=0)
Impact moyen = (Y1A – Y0A )*P(D=1) + (Y1B – Y0B)*P(D=0) = (YA – ? )*P(D=1) + (? – YB)*P(D=0)
Différence des résultats observés = YA – YB = Y1A – Y0B (Estimation Naïve de l’impact )
Biais de sélection = Y0A – Y0B > 0 Surestimation de l’impact
Source: Alioune Dieng, Africarice 22
23. Evaluation d’impact (EI)
• Une évaluation d’impact doit réduire le plus
possible ce biais de sélectivité en comparant
le groupe de bénéficiaires du programme à un
groupe de non bénéficiaires ayant exactement
les mêmes caractéristiques exceptée la
participation au programme.
• Deux types de methodes:
– La méthode expérimentatale (aléatoire et quasi-
aleatoire)
– La méthode non expérimentale
24. EI
1. Methode experimentale
aleatoire
• Principe: Selection aleatoire des individus devant faire l’objet
du traitement
• Avantage: La sélection aléatoire, assure, si l’échantillon est
suffisamment grand, que les caractéristiques observables
mais aussi inobservables des individus sont similaires dans les
groupes traitement et contrôle. (avec par exemple le même nombre
d’individus riches et pauvres, le même niveau de scolarisation mais aussi le même
degré de motivation ou le même niveau d'information)
• Limites
– Absence d’ethique
– Peut être coûteux à mettre en oeuvre
25. EI
2. Methode quasi-experimentale
• 2.1 Methode d’appariemment
– Elle consiste à reconstituer un groupe de contrôle à partir de variables
observables au sein d’un ensemble d’individus n’ayant pas reçu le
traitement. L’objectif est ainsi de supprimer le biais de sélectivité en
comparant deux populations ayant des caractéristiques observables
similaires.
– Limite: L’appariemment devient difficile pour le cas de plusieurs
variables d’impact
• 2.2 Methode de la double difference
Elle mesure les resultats observés avant et après des traités et non
traités
pour contrôler les différences préexistantes entre les deux
groupes. Cependant, la validité des estimations repose sur le parallélisme
de l’évolution (tendance commune) entre les deux groupes.
26. Matrice d’analyse des politiques
(MAP)
• Cadre conceptuel et technique permettant de comprendre les effets de
politique et de mesurer l'ampleur des transferts résultant des politiques
• La MAP est un outil de représentation d'un système de production
reposant sur la construction de comptes de production à l’aide de deux
types de prix :
1. le prix financier ou prix comptable
3. le prix social ou économique
• Adapté pour l’analyse des facteurs exogenes impactant sur les resultats
des programmes de developpement agricole.
27. Coûts Coûts
Revenus Facteurs Facteurs non Profits
échangeables échangeables
Rentabilité
A B C D
financière
Rentabilité
E F G H
économique
Transferts I J K L
28. 1ere étape : établissement de compte de production pour les
systèmes représentatifs
• Compilation des informations à partir des informations et études
existantes sur la gestion des entreprises agricoles, sur les budgets de
culture
• Faire de l’enquête complémentaire pour obtenir des données sur la
production, le conditionnement, la transformation et les activités de
commercialisation
• Obtenir des informations sur les coûts de transport et les taxes
• Les informations sur les coûts et les recettes seront inscrites dans la
première ligne du MAP
29. 2eme étape: évaluation des coûts et recettes avec les prix
sociaux ou économiques
• Les produits et intrants échangés sur le commerce international sont
évalués par les prix mondiaux de biens comparables sur le commerce
international (CAF pour les importations et FOB pour les
exportations)
• L’appréciation du prix social des principaux facteurs de production
(main d’œuvre, capital, et terre) est plus problématique
• Le prix social des facteurs doit être corrigé des influences des
distorsions induites par les politiques du gouvernement et des
influences des défaillances du marché
•
30. Les deux identités de la MAP
• Identités portant sur la rentabilité (lignes)
profits = recettes moins coûts
• Identités portant sur les transferts (colonnes)
divergences = prix financiers moins prix économiques
• Les divergences apparaissent comme un résultat de deux
influences:
• Distorsions introduites par des politiques du Gouvernement
• Défaillances du marché
31. Identité du profit privé (financier)
Recettes - Coût (intrants échangeables, facteurs intérieurs)
= Profits
Prix privé ou financier (observé sur le marché)
A B C D
Profit privé: D = (A-B-C)
Ratio bénéfice-coût privé :(rentabilité):
(RBCP) = A/(B + C)
32. Identité du profit social (économique)
• Recettes - Coût (intrants échangeables, facteurs
intérieurs) = Profits
• Prix sur le marché international
E F G H
• Profit social (efficience) : E = (F-G-H)
• Ratio bénéfice-coût social (efficience sociale):
(RBCS) = F/(G + H)
33. Identité du profit social (économique)
• Produits et intrants échangeables – prix sur le marché
international
• Facteurs intérieurs – coût d’opportunité
• Coût d'opportunité : revenus auxquels on renonce en affectant
le facteur pour produire le produit en question (par exemple, le
riz) plutôt que pour la production de la meilleure option
alternative (par exemple, le maïs)
34. Principaux indicateurs de la MAP
• coefficient de protection nominale pour les produits : (CPNP = A
/ E)
• coefficient de protection nominale pour les intrants
échangeables : (CPNI= B / F)
• Le coefficient de protection effective
• (CPE): [(A - B) / (E - F)]
• Le ratio du coût en ressource intérieure : (CRI=G / (E-F)
35. Mesure de la rentabilité
• Le CRI par définition est le rapport entre les coûts des
facteurs (main-d’œuvre, capital, terre) au prix de référence et
la valeur ajoutée évaluée elle aussi au prix de référence
• CRI<1, le système étudié est rentable dans la mesure où il
utilise moins de facteurs de production qu’il ne génère de
valeur ajoutée
• CRI>1 indique au contraire que le système étudié utilise plus
de ressources intérieures (travail, capital, terre etc.) qu’il ne
génère de valeur ajoutée
• Si le CRI=1, le système étudié ne réalise ni gain ni perte
36. Mesure des incitations à la production
• Un CPN>1 indique que les produits (ou les intrants
échangeables) sont subventionnés.
• Si le CPN<1, les produits (ou les intrants échangeables) sont
taxés
• Un CPE supérieur à 1, indique que les producteurs sont incités à
produire plus. Les producteurs bénéficient d'une subvention
implicite sur les intrants et/ou d'une protection du prix du
produit. Dans le cas contraire, la valeur ajoutée distribuée aux
agents est moindre (ils sont taxés) et les producteurs nationaux
sont donc moins incités à produire.
37. Autres (études économétriques, analyse
statistique)
• Indispensable pour étudier les facteurs conditionnant la
reussite des interventions dans l’agriculture.
• Ex: Etude sur la dynamique de la consommation pour deceler
les preferences des consommateurs afin d’adapter les
politiques d’offre à la demande.
• Méthodologie:
• 1. Calcul de la part des differents produits dans les depenses
alimentaires: p = Di
i
D
• 2. Calcul de la propension marginale des principaux produits
cij = ai y j + b1i y j ln y j + b2i
• Pmci=∂Cij/∂Yj = ai + b1i + b1i
38. References bibliographiques
• Diagne A. (2010), " Méthodologie d’Évaluation d’Impact", Renforcement
de la Atelier sur la disponibilité et de l’Accès aux Statistiques Rizicoles en
Afrique Subsaharienne, Africarice.
• Bénin S. et all (2008), "Growth and Poverty Reduction Impacts of Public
Investments in Agriculture and Rural Areas: Assessment Techniques,
Tools, and Guide for Practitioners“, ReSAKSS Working Paper No. 7
• Judy L. Baker (2000), " Evaluation de l’impact des projets de
développement sur la pauvreté" , Banque Mondiale Washington, D.C.
• Bamba I. (2010), " Matrice d’analyse des politiques", Renforcement de la
Atelier sur la disponibilité et de l’Accès aux Statistiques Rizicoles en
Afrique Subsaharienne, Africarice.
• ReSAKSS/MSU (2010), "Méthodologie de l’étude sur la dynamique de la
consommation en Afrique de l’Ouest".
• www.ifad.org
39. • Je vous remercie pour votre aimable
attention !!!!!
Notas del editor
si les personnes qui participent au programme avaient une propension à augmenter leurs revenus plus rapidement que ceux qui ne participent pas), le biais de sélectivité resterait important car cet écart du aux inobservables est attribué au programme.