2. Cas 3
l’IRM c’est bien,
mais connaître les syndromes topographiques
c’est indispensable
Où faut-il regarder?
3. F de 40 ans, paresthésies hémicorps G 3 étages,
tremblements, pleurs à plusieurs reprises….IRM H2
NIH à 0, Conduite à tenir?
Neuro-végétatif, AIT?
pas de thrombolyse
7. F de 63 ans
• Sportive, aucun antécédent
• Marche de 2 heures
• S’arrête pour le repas de midi
• Pâleur, sueurs, nausées, vomissements, malaise
d’allure lypothymique
• Allo le 15
• Arrivée des pompiers: asymétrie faciale gauche
(supérieur et inférieur)
• A l’arrivée: asymptomatique (NIH 0)
• Malaise vagal?
• IRM H+2
10. FLAIR
A la sortie de l’IRM: quadranopsie lat homonyme > G : Décision thrombolyse
11.
12. Les aires primaires, motrices, sensitives ou sensorielles
n’occupent qu’une portion limitée du néo-cortex
AVC n’est pas forcément synonyme d’hémiplégie ou d’aphasie+++
Les aires associatives (sous-tendant les fonctions cognitives)
représentent la majeure partie du néo-cortex
Déficit neurologique brutal
Ecouter patient, famille, proches
Entourage…
13. Conclusions
Pas de diagnostic d’AIT sans IRM
AIT = urgence absolue = AVC en évolution
Avant de conclure à un diagnostic différentiel se
rappeler que la symptomatologie neurologique ne se
résume pas à la motricité, sensibilité…
Urgence d’une cécité monoculaire transitoire
AIT = syndrome de menace
Thrombolyse devant un déficit transitoire ou
mineur?