7. Le projet
DRS SAHEL
INTERVENTION
ONG HELP
FINANCEMENT
ECHO
RECHERCHE
CRCHUM
AMELIORER
LA POLITIQUE
SAUVER
DES VIES
Aide
humanitaire
Transfert de
connaissances
(TC)
15. Augmentation de l’utilisation des services :
immédiate, importante, diverse, durable et
profitable à tous.
Personnel de santé en place suffisant (2010).
Qualité des prescriptions médicales
inchangée.
Réduction de la mortalité infanto-juvénile de
16%.
Diminution des dépenses de santé.
Renforcement des communautés de gestion
et du pouvoir d’agir des femmes.
Etc.
45. 1) Pertinence de la recherche
interventionnelle
2) Obligation d’avoir une stratégie de
transfert des connaissances (TC)
3) Limites du TC pour changer les politiques
4) Intérêt de documenter les processus de
TC
Préciser que quasi pas de résultats de recherche, ni de méthode car connu déjà et qu’il nous a semblé plus intéressant de vous parler d’un partenariat de R. et Application des c. de 5 ans finissant.
Le paiement direct et l’accessibilité financière aux services de santé en Afrique de l’Ouest.
Expérimentation de la suppression du paiement direct par la DRS Sahel, l’ONG HELP, le bureau d’aide humanitaire de la Commission Européenne (ECHO) et le CR CHUM (Sept-08) dans un contexte très conservateur (ARV, etc.)
Distinguer Budget total / Coûts directs Minorer Budget R3/R4 parce que partage des coûts fixes, etc. Eventuellement préciser Source <Rapport financier et Budget prévisionnel> Préciser pour Phase 5 que Source <Rapport financier et Budget prévisionnel>
Préparation d’une politique nationale d’exemption du paiement des soins des enfants de moins de 5 ans et des accouchements .
Contributions Solitaires : ce que le partenaire a lui-même identifié comme rendant le partenariat profitable, mais qui ne correspondent pas à un besoin de l ’autre partenaire. Accord sur l’interdépendance des contributions et des besoins : actions dentifiées comme celles que le partenaire avait lui-même identifiées comme faisable et qui étaient aussi identifiés par l’autre partenaire comme répondant à leurs besoins. Besoins Orphelins : actions que le partenaire a identifiées comme rendant le partenariat profitable de leur point de vue, mais qui n’ont pas été identifiées comme faisant partie des actions possibles à leur endroit.
IDENTIFICATION/PRIORISATION DES BESOINS EN CONNAISSANCES Etape la moins participative (CRCHUM + HELP D.) parce que complexe (méthode, ressources, etc.) -> difficultés de compréhension et d'appropriation pour certaines PP -> compenser par de la communication, voir de la pédagogie de la part du partenaire universitaire. Contrainte de planification très forte ("saucissonnée en phase") -> Demande "souplesse" -> Opportunité à un max. de réactivité (au plus près des besoins selon évolution de la situation). Considéré comme réussie étant donné que connaissances produites (résultats de recherches) répondent à quasiment toutes les questions. PRODUCTION DES CONNAISSANCES Demande d'implication des partenaires mais "compliqué" (externalité, compétences, disponibilité, etc.); Recherche action, partage d'expérience appréciées. Mode opératoire très efficace voir efficient : répartition des rôles (DRS facilitatrice, HELP logistique (parfois complexe), réseau CRCHUM (jeunes professionnels, etc.) - A noter "atmosphère" facilitant l'intégration; l'action des enquêteurs, chercheurs, etc. "Frottements" sur certains résultats de recherche (par ex.: charge de travail des AS). DIFFUSION DES CONNAISSANCES Difficultés de vulgariser certains résultats et d'atteindre les "vrais" décideurs. Besoin de planification et de ressources pour étape. Obligation d'adapter+++ les supports aux GC, faire vraiment du spécifique (exemples en "sériant" les GC par niveau). Quelques frustrations d'authorships chez certaines PP (confusion : autorisation, partenaire de meo, etc.). UTILISATION DES CONNAISSANCES Utilisation interne (faire mieux) et externe des co., du local à l'international (Groupes de f., CoGes, DGSF, PNPS, Commissaire de l'AH, etc. de la CE). Limites de l'approche TC car Complexe (SP vs idéologique). Besoin d'alliances stratégiques (RAME, AI, ECHO) et de relations humaines.
IDENTIFICATION/PRIORISATION DES BESOINS EN CONNAISSANCES Etape la moins participative (CRCHUM + HELP D.) parce que complexe (méthode, ressources, etc.) -> difficultés de compréhension et d'appropriation pour certaines PP -> compenser par de la communication, voir de la pédagogie de la part du partenaire universitaire. Contrainte de planification très forte ("saucissonnée en phase") -> « Souplesse » -> Opportunité à un max. de réactivité (au plus près des besoins selon évolution de la situation). Considéré comme réussie étant donné que connaissances produites (résultats de recherches) répondent à quasiment toutes les questions.
PRODUCTION DES CONNAISSANCES Demande d'implication des partenaires mais "compliqué" (externalité, compétences, disponibilité, etc.); Recherche action, partage d'expérience appréciées. Mode opératoire très efficace voir efficient : répartition des rôles (DRS facilitatrice, HELP logistique (parfois complexe), réseau CRCHUM (jeunes professionnels, etc.) - A noter une "atmosphère" facilitant l'intégration, l'action des enquêteurs, chercheurs, etc. ET des difficultés à sortir du réseau CRCHUM Facile lorsque les rés. de R. sont positifs mais aussi qq « frottements" lorsque moins positifs (par ex.: charge de travail des AS).
DIFFUSION DES CONNAISSANCES Difficultés à vulgariser certains résultats et d'atteindre les "vrais" décideurs. Besoin de planification du TC et donc de ressources. Obligation d'adapter+++ les supports aux GC, faire vraiment du spécifique (exemples en "sériant" les GC par niveau) : le communautaire (par exemple les CoGes ou les femmes), les AS, etc. en montant du local à l’international en passant par le national. Quelques frustrations d'authorships chez certaines PP (confusion : autorisation, partenaire de meo, etc.).
UTILISATION DES CONNAISSANCES Utilisation interne (faire mieux) et externe des co., du local à l'international par différents GC (Groupes de f., CoGes, DGSF, PNPS, Commissaire de l'AH, etc. de la CE). Limites de l'approche TC car complexe (SP vs idéologique). Besoin d'alliances stratégiques (RAME, AI, ECHO) et de relations humaines.
… Sinon risque trop grand que les connaissances produites ne soient pas utilisées. Cela implique une planification, des ressources financières, des ressources techniques, etc. A noter l’intérêt selon nous du courtier en connaissance qui concrétise tout cela. Importance d’avoir des stratégies complémentaires, plaidoyer dans le cas présent par HELP et des alliances stratégiques avec RAME, AI, ECHO, etc. Dans notre cas, une Evaluation Externe par un expert de l’UdeM (CD) et une Capitalisation par les 4 partenaires principaux.