2. 2
Pour cette nouvelle saison, nous voulons vous
étonner et vous séduire, vous faire rire, vibrer
et rêver.
Nous poursuivons donc nos rencontres
artistiques et humaines. Toujours des
spectacles de qualité pour tous.
Nous innovons aussi pour jouer avec le temps.
Puisqu’on a tous l’impression que tout va vite,
s’accélère, se bouscule, nous, nous changeons
les repères temporels.
Désormais le théâtre La Coupole annonce une
saison d’automne rythmée - juste sur un
trimestre.
Le temps de savourer ces moments, ces
surprises, ces retrouvailles puis, avant que
n’arrive l’hiver, nous aborderons la saison de
printemps et son tourbillon de nouvelles
émotions et d’histoires inédites.
Nous accélérons le rythme, divisons l’année,
multiplions les rendez-vous, pour mieux
prendre le temps de vivre pleinement ces
expériences uniques sans s’encombrer de ce
qui viendra le temps d’après... à tous très belle
saison d’automne, au présent, tout de suite et
maintenant !
Julie Friedrichs, Directrice Artistique
3. 3
Pour la saison 2014/2015, nous avons voulu accélérer les choses : il ne
s’agira plus de prendre ses rendez-vous longtemps à l’avance, mais cette
fois de vivre au jour le jour. Dans cette époque du « tout, tout de suite »
nous avons voulu créer une dynamique, changer les rythmes.
C’est pourquoi cette année, nous vivrons d’abord une saison d’automne,
puis pour 2015 une saison d’hiver/printemps que nous dévoilerons fin
novembre 2014.
Mais ce n’est pas la seule nouveauté, cette année, afin d’être plus
accessible, nous aurons un nouveau site de vente en ligne, toujours plus
performant, et encore plus efficace. Fini les files d’attentes interminables
en période d’abonnement après la présentation de saison, aujourd’hui
nos spectateurs peuvent choisir leurs places et leurs spectacles depuis
chez eux.
Ce qui ne change pas, ce sont nos spectacles, toujours de qualités. Pour
cette saison d’automne, nous retrouverons Claude Rich dans la pièce de
Shakespeare La Tempête. Surprise et découverte avec notre premier
spectacle en septembre ; Les Franglaises, qui viennent nous faire rire
en chanson. Emotions et folie sont aussi au programme avec Zelda et
Scott, ce couple Fitzgerald mythique dans une Amérique des années 20
en pleine décadence. Aiguisons notre curiosité avec le festival Musiques
du Monde en novembre, où nous découvrirons avec plaisir des musiques
d’ailleurs ; la grande Angélique Kidjo, notre coup de cœur Carmen
Souza, et enfin le groupe Aashenayi, qui nous transporte aux
frontières de la Méditerranée et du Moyen-Orient.
Retrouvez tous nos spectacles sur notre site www.lacoupole.fr
- 27 spectacles et 39 représentations
- 946 abonnés
- 11 651 spectateurs accueillis
5. 5
Traduit par Eric Kahane
Mise en scène : Christophe Gand
Avec Jacques Boudet et Maxime Lombard
Décor : Marine Buridand
Son : Renaud Duguet
Lumières : Alexandre Icovic
Régie : Philip Blandin
L’Arche est agent théâtral du texte représenté.
www.arche-editeur.com
« Les différentes productions du Monte-plats jusqu’alors existantes ont toujours
proposé des comédiens d’une trentaine ou quarantaine d’années. Selon moi, les
personnages décrits dans la pièce sont remplis de petites habitudes, ils ont leurs
rituels. On sent qu’ils sont aguerris mais qu’ils portent aussi en eux un certain poids de
la vie. Ce sont des hommes las, et l’un d’eux se pose des questions, sûrement depuis
longtemps. C’est pourquoi j’ai voulu mettre en lumière deux hommes « à l’âge de la
retraite ». Toujours là comme des pions immuables de l’autorité, ils continuent ce
boulot, sans trop savoir ce qui les pousse à le faire.
L’auteur a laissé de nombreuses portes ouvertes dans le texte. Pourquoi ces deux
hommes attendent-ils ? Qui doivent-ils exécuter ? D’où viennent les ordres ? Qui
envoie ces « messages culinaires » par le monte-plats ? La pièce tourne autour de ces
questions sans réponse. Le pouvoir est au cœur du texte : un chef invisible, des ordres
qui arrivent mystérieusement, deux hommes qui sont utilisés comme des marionnettes
depuis des années. Mais par ce thème, l’auteur traite également du problème de la
communication entre les Hommes. Gus et Ben sont très différents, il y a un meneur et
un suiveur. Le meneur, tête froide, applique les ordres. L’autre au contraire semblant
d’avantage plan-plan se pose des questions sur sa hiérarchie et sur le but de leur
« travail ».
C’est ce mystère et ce non-dit que je mets en avant dans la mise en scène du spectacle.
« Le monte-plats se fondra dans le décor, comme un troisième personnage
fantomatique »
L’objet clé qui symbolise le pouvoir et la manipulation est le monte-plats. Le spectateur
ne le découvrira pas dès le début de la pièce mais il se fondra dans le décor, comme un
troisième personnage fantomatique, un élément venu de nulle part.
6. 6
"Ses apparitions de plus en plus nombreuses seront caractérisées par un
son. Celui-ci renforcera l’angoisse que ressentent peu à peu les deux
personnages dans ce lieu énigmatique."
En effet ce sous-sol, décor unique, plonge les personnages dans une prison, une galère.
Il sera traité avec neutralité, peu d’éléments le constitueront mais les quelques objets
qui seront présentés reflèteront une richesse d’en temps (nous sommes dans le sous sol
d’un ancien restaurant chic). Je souhaite ainsi pouvoir créer un contraste entre la
pauvreté de la situation (deux hommes qui attendent) et la vie qu’il y avait pu avoir
autrefois dans ce sous-sol. Les « hors-champs » dans la pièce sont également très
présents, aussi bien sonores que visuels. Ils permettent de renforcer l’immatérialité de
ce lieu.
Tous ces décalages viennent perturber les deux personnages pour qui, aussi, les
contrastes sont nombreux. Nous avons le dominé (Gus) et le dominant (Ben). Malgré
leur complicité, ils n’arrivent pas à communiquer. C’est cet élément qui dominera leur
jeu.
"Deux hommes pris dans un même rouage, mais réagissant différemment
à cette domination." »
Christophe Gand – Metteur en scène
7. 7
Textes et interprétation : Jean-Jacques Fdida
Jeu et composition musicale : Jean-Marie Machado
Mise en scène : Martine Draï
Création lumière : Guillaume Tesson
Sonorisation : Mohn Pincemein
Coproduction : La Comédie de Valence,
CDN Drôme Ardèche Le Cratère, Scène Nationale d’Alès
Jean-Jacques Fdida a grandi à Paris dans le quartier de Belleville, au carrefour de
différentes langues, couleurs, et traditions du monde. Depuis, son goût des
différences et des mélanges n’a jamais cessé de nourrir son travail de création.
Conteur, musicien, auteur et metteur en scène depuis une vingtaine d’années, son
écriture se partage entre œuvres dramatiques et recueils de contes. Après avoir
soutenu une thèse de doctorat sur le conte de tradition orale en 1995, Jean-Jacques
Fdida explore depuis près de vingt ans les récits d’histoires sous des formes très
diverses allant de la narration à voix nue jusqu’à la mise en scène sous forme
théâtrale, oratorio, chœur et opéra, en passant par les enregistrements radio ou CD,
aussi bien pour les adultes que pour les enfants.
Jean-Marie Machado a été bercé au son de multiples cultures et sa musique reste
ouverte à diverses influences. Il compose et improvise, escalade les échelles musicales
avec une grâce toujours humaine, donne de l’âme à la mélodie, et est souvent qualifié
de sensible et arrogant dans la puissance des émotions et ses couleurs vibrantes.
Avec l’orchestre Danzas, Jean-Marie Machado présente des spectacles aux influences
éclectiques : Fiesta Nocturna, La Fête à Boby (hommage à Boby Lapointe) et
Lagrima Latina. Il collabore avec Dave Liebman et Antonio Placer, ainsi qu’avec
Claudia Solal, Joce Mienniel, Nicolas Larmignat et Jean-Phlippe Viret au sein du
quintet de jazz Les Âmes Papillons.
8. 8
Traduction et adaptation : Michael Sadler
Adaptation et mise en scène : Christophe Lidon
Avec : Claude Rich, Dominique Pinon, Sarah Biasini Denis Berner, Maxime
d’Aboville, Joël Demarty, Jacques Fontanel, Adrien Melin, Jean-Marie Lardy, Jean-
Loup Horwitz (distribution sous réserve)
Décor : Catherine Bluwal
Lumières : Marie-Hélène Pinon
Vidéo : Léonard
Costumes : Chouchane Abello
Assistante à la mise en scène : Natacha Garange
Tournée Acte 2 - création 2014 du CADO d’Orléans
« Si comme le dit Shakespeare, «le monde est un
théâtre», les théâtres sont des navires qui fendent
les rêves et nous emportent dans des univers
emplis d'histoires et d'émotions. Ainsi, la salle de
notre théâtre va devenir ce fameux bateau que
Prospero veut voir sombrer pour assouvir sa
vengeance.
Et le plateau, "espace sacré du jeu", deviendra l'île
du magicien, peuplée des multiples facéties de
Fabien Chalon (plasticien videaste) qui sait manier
le rythme comme l'émotion, l'image comme le son.
Fort de son aide, c'est un Claude Rich seigneur de
l'Ile et chef de troupe, qui nous présentera un
magicien enrichi de tout son art théâtral,
accompagné de Dominique Pinon, Caliban ancré
dans les entrailles de la terre.
Miranda, la fille de Prospero, sera interprétée par
Sarah Biasini qui lui offrira les traits solaires de la
spontanéité innocente et sincère. Le plateau du théâtre sera séquencé par des rideaux
transparents qui nous permettront d'emprisonner, entre ces derniers, de véritables
intempéries (pluie, vent, neige, brouillard, ...).
Fabien Chalon, grâce à ces différents supports atmosphériques, composera les
images, inattendues et fantomatiques, de cet univers fait de poésie et de magie. »
Christophe Lidon – Metteur en scène
9. 9
Pièce écrite et mise en scène par Renaud Meyer
Avec : Chloé Lambert, Julien Boisselier, Jean-Paul Bordes
Accompagnés par Le Manhattan Jazz Band
Xavier Bornens : trompette, François Fuchs : contrebasse, Aidje Tafial : percussions
Scénographie : Jean-Marc Stehlé assisté de Catherine Rankl
Costumes : Dominique Borg — Lumières : Hervé Gary
Chorégraphies : Lionel Hoche — Arrangements musicaux : Xavier Bornens
Assistante à la mise en scène : Alison Lunier
Renaud Meyer est écrivain et comédien.
Il est l’auteur de trois romans : LES DEUX MORTS DE HANNAH K. (Pauvert -
2003) - Prix littéraire des Grandes Ecoles, Prix de l’Université d’Artois, Prix CLE de
Chamalières, Sélections Prix du Roman FNAC, Prix du premier roman, Prix
Carrefour, adapté en 2004 au théâtre (nomination Molière de la meilleure
comédienne pour Marianne Epin), ROOM SERVICE (Maren Sell éditeurs – 2004)
et TABLOÏDS (Mercure de France - 2006).
Lauréat de la Fondation Beaumarchais en 2005 pour JOUR DE COLERE, Mise en
espace par Nicolas Lormeau au théâtre du Rond-Point et coup de coeur du TNP
Villeurbanne.
Il écrit également des fictions pour France Inter (formats 9, 20 et 30 minutes).
Depuis 2007 pour le programme Nuit Noire – Nuit Blanche : AU NOM DU PERE,
MORT A CREDIT, SANS RETOUR POSSIBLE, SOEURS, POSTE
RESTANTE, EXALTATION, LE SCENARIO, SHABBAT SHALOM, LA
CURE, SPEED DATING, LE SYNDROME DE KAFKA, LA RECETTE,
INSEPARABLES.
Pour le programme Au fil de l’Histoire : GOLDA MEIR ET LA CONSTRUCTION
D’ISRAËL, MACHIAVEL A L’ECOLE DES PRINCES, CHARCOT,
MAGICIEN DE LA SALPETRIERE, SIMONE WEIL, UNE PHILOSOPHE
DANS LA TOURMENTE, LE DERNIER ROMAN D’IRENE NEMIROVSKY,
GERTRUDE STEIN, UNE AMERICAINE A PARIS, ANDRE MALRAUX, UN
ECRIVAIN DANS L’HISTOIRE.
Comme metteur en scène, il a monté plusieurs spectacles musicaux avec le théâtre
Armande Béjart d’Asnières. En tant que comédien, il a joué notamment à la Comédie-
Française dans des mises en scènes de Daniel Mesguich, Jean-Michel Ribes, Jean-
Louis Benoît, Alexander Lang et Véronique Vella. Il enseigne à l’Université de Paris
III – Sorbonne nouvelle, où il anime des ateliers d’écriture théâtrale.
10. 10
Il est sociétaire de la SACD et membre de la commission d’aide à l’écriture pour le
Prix radio SACD Beaumarchais - France Culture - France Inter.
Il est titulaire d’une maîtrise de droit des affaires, d’une maîtrise de sciences
politiques et d’un DEA de droit public (Université de Paris I).
11. 11
Mise en scène par Patrick Haggiag
Avec : Elsa Canovas, Benoit Di Marco, Agnès Guignard, Didier Menin, Laëtitia Pitz,
Philippe Suberbie
Assistante à la mise en scène : Anaïs Pelaquier
Création costumes : Dominique Burté — Création lumières : Christian Pinaud
Production : compagnie Roland Furieux
Coproduction : Opéra Théâtre Metz-Métropole, Moselle Arts Vivants
Avec le soutien de Fonds Leader / GAL Moselle Sud, Région Lorraine / La compagnie
bénéficie du dispositif d’accompagnement à la structuration 2013-2015 de la Région
Lorraine, Conseil Général de la Moselle
Qui mieux que Marivaux, a su, saura figurer la confusion des sentiments, leurs
ambivalences, leurs paradoxes, ainsi que leurs éprouvantes drôleries? Cette Double
Inconstance là, interpelle aujourd'hui la compagnie Roland Furieux. Et qui mieux
que cet auteur saura conclure ce cycle, qui, de Soie d’Alessandro Baricco à Manque de
Sarah Kane, aura tenté de déplier, pli après pli, ces pages troublées et sublimes ?
"Pas une trahison, juste voler un petit quelque chose d'un don supérieur", un bout de
phrase tiré de Botho Strauss, phrase juste assez lumineuse pour orienter et inspirer
notre Double inconstance. Une comédie d'été, avec sa vitalité, son humour, son
excentricité - j'espère -, sa fièvre érotique et littéraire - c'est parfois la même- comme
des objectifs évidemment. Et sans doute cela doit suffire. Mais encore, comme une
intuition diffuse et aujourd'hui encore - un inexprimable paradoxe -, ressentir que
l'expression finale de ce travail touchera d'autres zones, plus ambigües, plus
déchirantes.
Cette pièce est à la fin réjouissante, parce qu'elle rétablit les spectateurs dans leur
estime d'eux-mêmes - ne chipotons pas sur ce plaisir là – mais devrait, du moins je le
crois, le laisser un peu incommodé. Abasourdi. Parce que cette œuvre est géniale et
que c'est un bien banal enjeu que de creuser un peu.
Un arrière-goût.
"La séduction est un jeu plus fatal, plus risqué aussi, qui n'est en rien exclusif du
plaisir, au contraire, mais qui est autre chose que la jouissance. La séduction est un
défi qui toujours tend à dérégler quelqu'un au regard de son identité, du sens qu'il
peut prendre pour lui- même. Il y retrouve la possibilité d'une altérité radicale."
Jean Baudrillard.
12. 12
C'est à ce jeu des possibilités qu'il convient de se livrer... A ces bifurcations
incessantes, parce que la vie est ainsi.
Encore dire que si le deuxième acte de La Double Inconstance est un modèle de
ciselure, de complexité et d'esprit, nous aurons à cœur de le figurer, avec le
vocabulaire esthétique approprié à son siècle. Les deux autres actes moins somptueux
sans doute, plus débraillés, n'en marquent pas moins à mes yeux les premières
manifestations de la modernité. Imaginer donc un geste scénographique pour
composer ces trois temps.
Notre distribution n'est plus à l'âge de la candeur, mais à celui des échanges, des
revers de fortune, des accomplissements aussi, des négoces, des cartes rebattues, des
regains, des retours sur soi. Voilà qui est passionnant !
Une note personnelle : La Dispute, mise en scène par Patrice Chéreau, inaugura pour
moi, pour bien d'autres forcément, une compréhension et une "excitation" encore
jamais ressenties avec le théâtre de Marivaux. Des années plus tard, j'ai été son
assistant pour Le Temps et La Chambre de Botho Stauss. Cela a compté...
Aujourd'hui que nous allons créer le texte de La Double Inconstance, c'est vers lui
que se portent mes regards.
Patrick Haggiag – Metteur en scène
13. 13
Chant : Angélique Kidjo — Basse : Ben Zwerin
Guitare : Dominic James — Percussions : Magatte Sow
Batterie : Daniel H. Freedman
Angélique Kpasseloko Hinto Hounsinou Kandjo Manta Zogbin Kidjo, née le 14 juillet
1960 à Cotonou (Bénin), appelée Angélique Kidjo, est une chanteuse lauréate des
Grammy Awards connue pour la diversité de ses influences musicales, l'originalité de
ses clips et son engagement humanitaire comme Ambassadrice de Bonne Volonté de
l'UNICEF. Parmi ses succès, on trouve les chansons Agolo, We We, Adouma, Wombo
Lombo, Afirika et Batonga et sa propre version de Malaika.
La BBC l'a incluse dans sa liste des 50 icônes du continent africain. Time Magazine
l'a appelée la Première Diva Africaine et elle fait partie de la liste établie par The
Guardian des 100 femmes les plus influentes au monde. Forbes magazine la fait
figurer comme la première femme dans la liste des 40 célébrités les plus importantes
d'Afrique. Le Daily Telegraph la décrit en 2012, lors des Jeux Olympiques de Londres,
comme la "reine incontestée de la musique africaine".
Ses influences musicales sont la pop africaine, la musique des Caraïbes, le zouk, la
rumba congolaise, le jazz, le gospel, et différents styles de musique latine. Elle est
inspirée aussi par les artistes qui ont bercé son enfance : Bella Bellow, James Brown,
Aretha Franklin, Jimi Hendrix, Miriam Makeba et Carlos Santana.
Elle a collaboré avec de nombreux artistes, notamment Carlos Santana, Alicia Keys,
Peter Gabriel, Herbie Hancock, Branford Marsalis, John Legend, Bono, Philip Glass,
Josh Groban, Dianne Reeves, Vampire Weekend, Dr. John, Dave Matthews et
Cassandra Wilson.
Kidjo parle couramment le fon, le français, le yoruba le mina et l'anglais. Elle chante
dans ces cinq langues. Sa chanson Malaika, de l'album Logozo, est en swahili. Elle
reside à New York.
14. 14
Chant, guitare et piano : Carmen Souza
Contrebasse et basse : Theo Pascal
Batterie, percussions : Elias Kacomanolis
Piano : Ben Burrell
(Sous réserve de modification)
En quelques années, Carmen Souza est devenue une référence de la musique du Cap
Vert, et l’une des rares artistes à créer un nouveau corpus de chansons cap verdiennes
intemporelles, qui inspireront sans doute les générations à venir.
Entre jazz et world music, avec un héritage africain très présent, la chanteuse a une
voix sensuelle et énergisante. Passant aisément de la mélancolie à l’allégresse, sur
scène plus que nulle part, Carmen Souza nous fait profiter de sa joie de vivre
communicative.
15. 15
Direction artistique : Emmanuel Bardon
Chant : Gülay Hacer Toruk, Mashal Arman, Emmanuel Bardon
Rubâb, delrouba : Khaled Arman — Nyckelharpa & fidula : Aliocha Regnard
Kamensheh, vièle : Emmanuelle Guigues — Kanun : Aroussiak Guevorguian
Flûte à bec : Gwénaël Bihan — Oud : Philippe Roche
Percussions : Henri-Charles Caget, Ismaïl Mesbahi
Canticum Novum est soutenu par la ville de Saint Etienne, le Conseil Général de la Loire, la
Région Rhône Alpes, le Ministère de la culture et de la communication – DRAC Rhônes
Alpes.
Il reçoit également le soutien de l’ADAMI et de la SPEDIDAM.
L’ambition de Canticum Novum
est de transmettre au mieux par
la musique un message de
respect mutuel, de tolérance et
d’acceptation de l’autre dans sa
différence en se replongeant à
l’époque où la musique était
symbole de mixité et de vie
commune.
La musique ancienne espagnole
est par son histoire à la croisée
des chemins : l’Espagne est
riche de l’union du monde
chrétien occidental avec un
Orient marqué d’une double hérédité juive et mauresque.
Nous cherchons à faire entendre nos racines communes, à donner la possibilité à
chacun de se réapproprier un patrimoine encore bien vivant, parfois même d'une
saisissante modernité. La frontière entre une culture populaire et une culture «
intellectuelle et savante » s’efface. Des arts et de la musique apparaissent en filigrane
les traditions populaires et les échos de l'Orient plongeant l'auditeur au cœur d'un
univers qui, d'une manière ou d'une autre, lui raconte son histoire.
Le chemin parcouru après « Paz, Salam & Shalom », nous laisse entrevoir l'énorme
travail de médiation culturelle qu'il reste à faire pour transmettre le répertoire que
nous défendons auprès des jeunes et du plus large public. Le travail de proximité et
l'attachement à un dialogue sans cesse renouvelé avec le public, les musiciens et nos
partenaires nous semblent être aujourd'hui au cœur de notre projet.
Au regard de la mémoire continuer à créer des passerelles avec l'avenir pour que la
musique permette encore d'inciter le dialogue, la découverte, la complicité, le
questionnement...
16. 16
Texte : Baptiste Lecaplain
Mise en scène : Aslem Smida
Lumières : Thierry Manciet
Adopté par le public en quelques années à peine, cet humoriste hors normes, a su
imposer sa griffe.
Baptiste, artiste incontournable grâce à son spectacle Baptiste se tape l'affiche
raconte avec toute la candeur et l'autodérision qui le caractérisent, le parcours qui l'a
mené sur les planches.
Avec son talent d'improvisation, il nous transporte dans son monde absurde où
Plus rien ne l'arrête !
Après s'être illustré dans la série Bref ou encore au cinéma dans Nous York de
Géraldine Nakache et Hervé Mimram. Après avoir rempli 30 Bataclan en 2012/2013,
Baptiste reprend une dernière fois les routes de France avant d'entamer la
préparation de son second spectacle.
Déjà plus de 250 000 spectateurs conquis !
17. 17
Chorégraphie : Cayetano Soto — Musique : Julia Wolfe
Chorégraphie : Benjamin Millepied — Musique : Mad rush de Philip Glass
Chorégraphie : Barak Marshall — Musique : Balkan Brass Band,
Tommy Dorsey, Goran Bregovic, …
Compagnie de répertoire contemporaine de renommée internationale, BJM - Les
Ballets Jazz de Montréal proposent une danse hybride alliant l’esthétique du ballet
classique à plusieurs autres styles de danse. Fondée en 1972 par Geneviève Salbaing,
Eva von Gencsy et Eddy Toussaint, cette compagnie a tracé son sillage à travers les
époques. Plus contemporains, les BJM offrent aujourd’hui un produit artistique sexy,
explosif, original, accessible et remarqué par l’excellence de son exécution. Le «jazz»
dans le nom de la troupe fait davantage référence à du ballet classique mis au goût du
jour qu’à un style musical.
Depuis 1998, les BJM sont dirigés de main de maître par le directeur artistique Louis
Robitaille. Son flair indéniable à dénicher des chorégraphes talentueux et proposer
des ballets de haut calibre permet de multiplier les défis pour son équipe d’artistes-
interprètes. Monsieur Robitaille a présenté des oeuvres de chorégraphes
internationaux tels que Mia Michaels, Trey McIntyre, Patrick Delcroix, Rodrigo
Pederneiras, Mauro Bigonzetti, Annabelle Lopez Ochoa, Cayetano Soto et Barak
Marshall. Le directeur artistique a particulièrement à coeur, cependant, de soutenir et
d’encourager la créativité canadienne — chorégraphes, compositeurs et concepteurs.
Des chorégraphes comme Dominique Dumais, Crystal Pite, Aszure Barton et plus
récemment, le chorégraphe Wen Wei Wang ont enrichi le répertoire des BJM.
L’institution demeure l’une des compagnies de danse les plus en vue du Canada. Avec
plus de 2 000 spectacles donnés dans 65 pays, pour une assistance de plus de deux
millions d’amateurs, les BJM agissent comme véritables ambassadeurs de la culture
québécoise et canadienne dans le monde.
Entamant fièrement leur 42e année, les BJM ont atteint une grande maturité tout en
demeurant ouverts sur l’évolution de leur discipline. Un juste équilibre qui prend
racine dans la stabilité de leur organisation. Le dynamisme physique, la virtuosité et
la personnalité unique des artistes-interprètes en font une compagnie remarquable.
Les BJM font la promesse de vous faire passer un moment remarquable en conciliant
le plaisir du public à des créations énergiques qui n’en sont pas moins fortes,
expressives, « musclées » et exigeantes.
18. 18
À travers ses productions, ses représentations et ses activités éducatives, les BJM
rejoignent les publics d’ici et de l’étranger pour encourager la découverte, stimuler
l’imagination, démocratiser la danse et partager leur passion pour cette discipline. Le
succès des BJM repose sur cette alchimie particulière qui fait de chaque création, le
fruit d’une rencontre mémorable entre les chorégraphes, les danseurs et le public.
19. 19
Direction artistique : Benjamin Garzia
Solistes : Albane Carrère, Vannina Santoni
Cette année l’Orchestre Symphonique de Saint-Louis vous invite à venir fêter le
Nouvel An accompagné de deux des plus séduisantes voix de la nouvelle génération
lyrique : Vannina Santoni et Albane Carrère. A travers une odyssée musicale où les
valses, parmi les plus célèbres, orneront et seront ornées par les plus grands airs
d’Opéra et d’Opérette, les deux solistes tisseront un délicieux voile musical au travers
duquel s’ouvrira l’année naissante, dans le bonheur d’un spectacle riche en émotions,
traditions et surprises.
20. 20
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Ouverture exceptionnelle : samedi 14 juin de 11h à 17h.
Horaires habituels d’ouverture : du mardi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h
Samedi de 10h à 13h.
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Collaboratrice de direction
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