1. 02 Mars 2011
TD 15H-17H
CYCLONE KATRINA
NG Yew Chien
GOMBA Florence
LHGEO612 Risques naturels
2010-2011 Licence 3 Géographie
Université de Versailles
Saint-Quentin-en-Yvelines
2. Introduction et Problématique
Quels sont les enjeux des activités cycloniques
que rencontrent les hommes, les mesures de
prévention des risques cycloniques sont-elles
suffisantes?
3. 5. L’air humide à l’intérieur du cyclone
continue d’être poussé en altitude
4. La condensation libère la chaleur, si
bien que l’air alimentant la cyclone
continue à s’échauffer et s’élever
3. La vapeur d’eau se condense
former nuages et de la pluie
2. Air chaud et humide s’élève au dessus
de la mer
1. L’eau chaud est le carburant du système.
4. Plus il y a d'humidité et plus il y a de chaleur,
plus il y a d'orages et plus la zone devient perturbée
5. 3
2
1
L’œil de cyclone
1
2
Mur de l’oeil
3
La disparition d’humidité quand il
arrive sur terre
Plus il y a d'humidité et plus il y a de chaleur,
plus il y a d'orages et plus la zone devient perturbée
6. Facteurs et conditions nécessaires
à la formation d’une cyclone
accumulation de chaleur
accumulation d'humidité
absence de vent en altitude
7. 1/ Force s’exerce perpendiculairement
2/ Somme des forces = MAXIMALE AUX POLES
enroulement des vents
NULLE A L’EQUATEUR
http://tpe2008.over-blog.fr/article-25656390.html TPE2008
Les latitudes doivent se
http://cytropicaux.free.fr/_de_sa_formation_a_sa_mort.html
situer entre 5 et 8 degrés
8.
9. Classification de cyclones
Echelle Saffir-Simpson
Classe 5
Classification Classe 1 Classe 2 Classe 3 Classe 4
(supercyclones)
Pression en Plus de
965 à 979 945 à 964 920 à 944 Moins de 920
hectoPascal 980
Vent maximal
soutenu
sur 1 min, 118 à 153 154 à 177 178 à 209 210 à 249 Plus de 249
en km/h
Dégâts causés Minimes Modérés Intenses Extrêmes Catastrophiques
http://tpe2008.over-blog.fr/article-25656327.html TPE 2008
14. Menace sur la terre américaine
Source:
http://www.arizona-dream.com/Usa/photos/cartes/etats/etats/louisiane1.gif
http://lewebpedagogique.com/docablog/files/2010/05/louisiane.gif
15. Le système d’observation
FEMA (Federal Emergency
Management Agency):gestion
des situations de crises
Avion d’observation des
ouragans
Katrina:
-Ouragan de catégorie
-Vents de + de 250km/h
-Conséquences: catastrophiques
D’où EVACUATION D’URGENCE
Source:
http://scrapetv.com/News/News%20Pages/usa/Images
/hurricane-katrina-category-5.jpg
17. Annonce à la population
48H avant ouragan:
Évacuation d’urgence
Source:http://english.peopledaily.com.cn/
200508/30/eng20050830_205238.html
18. Dégâts occasionnés
DIRECT
• Vagues 10m
pénètrent dans
les terres
• Vents entrainent
des projectiles
• Beaucoup de
toits emportés
Source: http://www.katrinahelp.com/hurricane-
katrina-pictures-10.html
19. Dégâts indirects
Digues du lac
Pontchartrain cèdent
a 3 endroits
INNONDATIONS
Source:http://sertit.u-
strasbg.fr/SITE_RMS/2005/11_usa_2005/usa_2005.htm
l
21. Quelques marais ont été transformés en zones
Situation du territoire
d'habitations sous le niveau de la mer
• Territoire entouré
d’eau
• Zone marécageuse
• Forte pression de
l’homme
Source:http://www.arizona-
dream.com/Usa/cartes/etat/23-carte-etat-
louisiane.php
22. http://www.geschichteinchronologie.ch/USA/New-Orleans-cest-Stalingrad-F.html
Évacuation du Superdome avec
des bus, les rues sous l'eau …
L'évacuation prenait 3 jours seulement pour
commencer. L'approvisionnement des vivres et
de l'eau urgent prenait 4 jours à commencer.
L'approvisionnement avec des petites bateaux
d'hélice prenait 7 jours. Il semble que
personne se sentait responsable pour un cas
comme ça...
L'eau montait partiellement jusqu'aux bords
des toits, et les habitants ne savaient pas
comment sortir la maison. Ils avaient toujours
confié en "Dieu", mais cette fois ils devraient
couler. Souvent ils n'avaient pas l'idée de faire
un trou dans le toit pour se sauver sur le toit.
Ils se noyaient misérablement dans les
greniers, partiellement des familles complètes
parce qu'ils n'osaient pas faire des trous dans
les toits et monter sur le toit.
Le Superdome se
trouve sous l'eau !!
23. Conclusion
Les Hommes peuvent-ils éviter les
risques cycloniques? Comment
l’homme peut agir?
Presse Tahiti
http://tahitipresse.pf/2002/10/80-de-risque-
cyclonique-en-polynsie-franaise-pour-la-saison-
chaude-de-2002-2003-selon-mto-france/
24. Webographie
•http://tpe2008.over-blog.fr/article-25656327.html
•www.risquesmajeurs.fr
•Reportage: après l'ouragan Katrina:
http://www.dailymotion.com/video/xeysih_apres-l-ouragan-katrina-part1_news
•Nouvelle-Orléans:
http://www.astrosurf.com/luxorion/cyclone-katrina.htm
•http://www.geocia.fr/blog/index.php?2008/05/07/74-katrina-et-la-nouvelle-orleans-
entre-risque-naturel-et-amenagement-par-l-absurde
•Documents tirés de l’e-campus
•Katrina, catastrophe annoncée et parades pour l’avenir
•La lettre d’information de la Mission Risques Naturels numéro 8: Spécial
Katrina
•Du risques ‘’Naturel’’ à la catastrophe urbaine : katrina
25. Cyclone Katrina
I. Les activités cycloniques fréquentes au monde
A. Formation d’un cyclone
B. Facteur météorologique
C. La répartition géographique de cet aléa
II. La force destructive cyclonique, exemple Cyclone Katrina
A. La genèse de Katrina : évolution d’une dépression locale à un
cyclone géant
B. La force destructive sur les zones exposées
III. La gestion de prévention de risque cyclonique
A/ Les préventions et mesures existantes pour éviter les cyclones
destructives
B/ Les facteurs politiques ajoutés et problème important de
ségrégation sociale
C/ Zone lié aux activités anthropiques devient totalement sensible
aux risques cycloniques
Notas del editor
Chaque année, des cyclones frappent la planète mais jamais de la même manière d'une année à l'autre, rendant le phénomène très difficile à prévoiret frappant des zones très étendues, donc difficile a identifier avec précision, malgré des progrès techniques toujours plus évolués.Il n’y a pas seulement les apports négatives aux hommes, enfait les activités cyclones sont nécessaires pour équilibrer la différente température entre les pôles et équateurs, il s’agit de transferer le chaleur Ces cataclysmes sont de grands déplacements de masses d'air, se formant au dessus des océans et regroupant plusieurs caractéristiques de formation et se déplaçant sur plusieurs milliers de kilomètres, touchant durement le population, non-préparée à une telle violence.
Tout a bord, l’eau chaud est le carburant du système. Dans les océans où l’air est chaud et humide (au moins 26C) s'élève au-dessus de la mer 3. au fur et à mesure qu'il est forcé de prendre de la hauteur, la vapeur d’eau qu’il contient se condense former des nuages et de la pluie4. La condensation libère de la chaleur, si bien que l’air alimentant la cyclone continue à s’échauffer et s’élever.
Tout a bord, l’eau chaud est le carburant du système. Dans les océans où l’air est chaud et humide (au moins 26C) s'élève au-dessus de la mer et, au fur et à mesure qu'il est forcé de prendre de la hauteur, la vapeur d’eau qu’il contient se condense former des nuages et de la pluie(On dit que le coeur d'un ouragan est constitué d'une grande quantité de cumulonimbus et de nimbostratus, justement les nuages qui amènent la pluie et l'orage.) La condensation libère de la chaleur, si bien que l’air alimentant la cyclone continue à s’échauffer et s’élever.L’ascention de l’air crée une zone de basse pression, ce mouvement attire l’air de surface humide à l’intérieur du cyclone qui enfle; d’énormes quantités de chaleur, de l’air et de vapeur d’eau sont poussées en altitudeCe transfert vers le haut amplifie la convergence de l’air venant de la périphérie, qui, entraine par la rotation de la terre, commence à tournoyerOn assiste à la formation d’un œil, entour d’un anneau de nuage tournant à grande vitesse qu’on appelle mur de l’œil: la tempête devient cycloneL’air chaud qui s’est élevée en altitude perd son humidité constituant une région de haute pression. Une partie de cette air retombe dans l’œil et entre les bandes de nuagesPlus il y a d'humidité et plus il y a de chaleur, plus il y a d'orages et plus la zone devient perturbée. Des courants d'air ascendants et descendants se promènent et la perturbation forme une colonne dans laquelle il y a beaucoup de brassage. Sous la colonne, la masse d'eau chaude continue de chauffer l'air et de le rendre instable. Dès qu'il touche la terre ferme (ou qu'il se déplace sur des eaux plus froides), l'ouragan est coupé de sa source de chaleur et d'humidité (les eaux de la mer) et c'est à ce moment que son stade de dissipation débute.
À l'origine, pour créer un ouragan, il faut choses que les Tropiques peuvent fournir: une accumulation de chaleur (large zone d'eau chaude), une accumulation d'humidité (air chaud et humide), une absence de vent en altitude (ou des vents en altitude de même direction que les vents en surface). FACTEURS MÉTÉO NÉCESSAIRES À LA FORMATION D'UN OURAGAN:la température de l'océan doit être au moins de 26,5C; la présence d'une dépression tropicale; la présence de rigoureux cumulus (Cu) ou cumulonimbus (Cb); l'absence ou peu de variation de la vitesse du vent avec l'altitude; une quantité suffisante d'humidité dans la troposphère; les latitudes doivent se situer entre 5 et 8 degrés; et plus météorologiquement: convergence dans les bas niveaux au-dessus de l'océan; divergence dans les hauts niveaux. Plus il y a d'humidité et plus il y a de chaleur, plus il y a d'orages et plus la zone devient perturbéeDès qu'il touche la terre ferme (ou qu'il se déplace sur des eaux plus froides), l'ouragan est coupé de sa source de chaleur et d'humidité (les eaux de la mer) et c'est à ce moment que son stade de dissipation débute
Les cyclones se répartissent de la manière suivante : Les cyclones se forment toujours au même endroit, tous au niveau de l'équateur, mais précisément autour de celui-ci, restant à bonne distance de cet axe.L'océan Pacifique et l'océan Indien sont les plus touchés, totalisant ainsi 1739 cyclones en 20 ans, répartis sur une très grande surface, frappant la côte asiatique sur sa totalité cependant les îles se situant sur l'équateur sont épargnées, l'activité cycloniques reprenant au niveau de l'Océanie, touchant la côte nord-australienne et de l'île de Madagascar.Quant à lui, l'océan Atlantique n'est touché qu'au niveau de la côte est Américaine (Floride, Louisiane), mais de manière massive, frappant systématique la côte nord-Américaine et les petites îles environnantes (Cuba, Martinique, Guadeloupe, Haïti, République Dominicaine ), mais sur une surface assez petite.
L'échelle Saffir-Simpson a été crée en 1971 par un ingénieur et un météorologue américain ( Herbert Saffir et Robert Simpson ) dans le but de classifier les cyclones et autres phénomènes ( comme les ouragans et les typhons ) selon la vitesse des vents, les dégâts engendrés, la pression barométrique, et l'évolution du niveau de la mer. Cette échelle comporte cinq catégories, allant de la plus faible ( dégâts minimes ) à la plus élevée ( dégâts effroyables ).Nous pouvons ici confirmer que plus la pression diminue, plus la force des vents augmente. Cette classification a donc permis de créer plusieurs niveaux d'alerte, afin de prendre les mesures qui s'imposent.
Le 29 aôut 2005, Katrina, un des des cyclones les plus dévastareurs et les plus étendus de l'histoire s'abat sur la Floride dans un premier temps, puis la Louisianne. Le katrina a été détectée le 23 aout sur les Bahamas, il était encore une dépression tropicaleIl a ensuite évolué à tempete tropicale, au statut de tempête d’échelle 1, et touchait le Sud de la FlorideIl est passé le floride et s’est régénéré dans les eaux de Golfe du Mexique le 26 aout, il était en catégorie 2Une bande de basse pression centrée sur le Texas provoque une remontée vers le nordAvant d’arriver au terre, il est devenu une cyclone de catégorie 4 (avec pressions hautes et vent très forte)Ces dimensions étaient oficiellement de plus de 650km de rayon,dont 190km de vents cyclonique, 350km de tempête tropicale, et d'un oeil de 40km. La Louisiane et la Nouvelle-Orléans ont été plongées dans la désolation la plus totale,alors que les pillards profitent du malheur de tout ces gens, de la panique et du manque d'organisation des secours pour piller et saccager les maisons encore sur pied.
Après l’ouragan, les eaux de lac Pontchartrain gonflent et débordent des levées. (cela est à cause des basses pression provoqué par le cyclone)
Ce phénomène complexe, connu dans le monde entier, est désormais suffisamment connu par les scientifiques,qui peuvent ainsi montrer avec précision leurs caractéristiques, prévoir leur trajectoire et donc en limiter les effets.