4. SOMMAIRE
Synthèse de l’enquête 2011 ................................................................................................................ p. 5
Méthodologie & Profils des répondants de l'enquête 2011 ......................................................................... p. 11
Méthodologie de l’enquête ............................................................................................................................................. p. 13
Profil des répondants .................................................................................................................................................... p.14
Rapport détaillé .............................................................................................................................. p.17
I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ? ............................................................................................ p. 21
Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique ................................................................................................p. 22
Les finalités d’une démarche d’intelligence économique ................................................................................................................ p. 26
II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises .................................................................................................... p.33
Mise en place de démarches d’intelligence économique...................................................................................................................p.34
Les informations les plus recherchées et les plus difficiles à trouver...................................................................................................p.40
Les sources d’information les plus utilisées ..................................................................................................................................p.44
La veille sur internet : outils utilisés et efficacité ..........................................................................................................................p.58
Les moyens de protection de l’information...................................................................................................................................p.62
Les moyens d’influence et de lobbying ........................................................................................................................................p.67
III – Les difficultés exprimées par les entreprises en matière d’intelligence économique ...................................................................... p.69
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche de veille .......................................................................................p.70
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche de protection des informations ..........................................................p.76
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche d’influence/de lobbying....................................................................p.78
Annexe : Le questionnaire web
Sommaire de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 4/92
5. Synthèse de l'enquête 2011
sur les pratiques de veille & d’intelligence
économique
des entreprises bretonnes
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 5/92
6. Rappel des objectifs & de la méthodologie
L'enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes a été conduite en juin 2011 par
l'arist Bretagne, avec les CCI de Bretagne, Bretagne Développement Innovation et la DIRECCTE.
Elle a pour objet de recueillir et d’analyser les pratiques de veille et d’intelligence économique des entreprises bretonnes, de
mesurer leurs difficultés, mais également les progrès accomplis dans ces domaines depuis 10 ans. Le questionnaire se
compose de 3 parties :
elligence économ
ique ?
A quoi sert l’int
Les pratiques ...
Les difficultés ...
Le questionnaire a été adressé par e-mailing à des destinataires nominativement identifiés ou via les sites internet des CCI et de leurs partenaires.
426 entreprises ont répondu à notre enquête.
Typologie des répondants par taille d’entreprise et secteurs d’activité :
Secteurs d'activité : Effectifs :
15,8% de 1 à 9 salariés 34,5%
Autres activités de services
15,5% de 10 à 49 salariés 24,9%
Industries extractives Industrie manufacturière
14,4% de 50 à 99 salariés 7,3%
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
14,4% de 100 à 249 salariés 7,0%
Commerce
de 250 à 999 salariés 3,8%
Construction 11,9%
1000 salariés et plus 0,9%
Information et communication 8,6%
... 19,4%
Pour tout complément d’information, votre contact à l’arist Bretagne :
Laure BRIANTAIS
Tél : 02 99 25 41 25 - laure.briantais@bretagne.cci.fr - http://www.arist-bretagne.fr
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 6/92
7. Résultats de l’enquête & Constats A quoi sert l’intelligence économique ?
Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique
Aux questions « Quelle importance votre entreprise accorde-t-elle à la veille ? à la protection de l’information ? au lobbying ? », les entreprises répondent en
grande majorité que ces 3 volets sont importants, à quelques nuances près : 87,3 % des répondants jugent la veille importante, voire très importante contre 75,3 %
pour la protection de l’information et 67,3 % pour le lobbying.
Au regard des éditions précédentes, l’importance relative accordée
à chacun de ces 3 volets demeure comparable :
1 La veille
2 La protection de l’information
3 Le lobbying
Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
L’intelligence économique est, avant tout, perçue comme un moyen de renforcer la capacité d’anticipation et d’innovation. Voici le palmarès des finalités de
l’IE parmi celles ayant obtenu un score supérieur à 50 % des répondants :
1 Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie (85,2 %) Ces trois 1ères finalités enregistrent une
forte hausse comparativement à l’édition
2 Surveiller ses concurrents ou l’arrivée de nouveaux entrants (67,4 %)
2009.
3 Développer de nouveaux produits ou services (61,7 %)
4 Etre à l’écoute de ses clients (61,3 %)
5 Trouver de nouveaux débouchés ou se diversifier (57,7 %)
6 Connaître les normes et la réglementation (55,2 %)
7 Améliorer les compétences (53,5 %)
8 Trouver de nouveaux partenaires (52,1 %)
9 Accéder à de nouvelles technologies (50,9 %)
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 7/92
8. Les pratiques des entreprises ...
Mise en place de démarches d’intelligence économique
58,6 % des répondants ont mis en place une démarche de veille,
51,4 % pour la sécurisation de l’information et
28,2 % pour le lobbying.
Les pratiques de veille tendent à se diffuser dans les entreprises, tant par le nombre d’entreprises pratiquantes que par l’organisation de plus en plus
collégiale. Le dirigeant devient de moins en moins l’instigateur exclusif de la veille et, de manière encore marginale, il peut être fait appel à des
prestataires externes.
A l’instar des années passées, l’organisation de la veille est jugée perfectible par environ la moitié des répondants.
Si les démarches de sécurisation de l’information progressent pour concerner aujourd’hui la moitié des répondants, les actions de lobbying restent
moins pratiquées ou moins bien identifiées.
En matière de veille, quelles sont les informations les plus recherchées et les plus difficiles à trouver ?
Les informations les plus recherchées Les informations les plus difficiles à trouver
Comme les années passées, les données de
1 Concurrents 1 Marché marché et les informations sur les
Clients concurrents restent les plus difficiles à se
2 Marché 2 Concurrents procurer.
Réglementation
3 Nouveaux produits 3 Clients
Fournisseurs Nouveaux produits
Technologie/Brevets
Réglementation
4 Salons/manifestations 4 Fournisseurs
5 Technologie/Brevets 5 Salons/manifestations
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 8/92
9. Les pratiques des e ntreprises
es ...
Le top 10 des sources ou organismes d’information les plus utilisés :
1 Les services web gratuits (74,4 %)
gratuit 6 Les organisations professionnelles (53,1 %)
2 Les clients (63,8 %) 7 Les CCI (50,5 %) et Confrères d’autres entreprises (50,5 %)
3 La presse (61,5 %) 8 Les collaborateurs de l’entreprise (45,8 %)
4 Les fournisseurs (60,1 %) 9 Les experts comptables, les conseillers juridiques (42,8 %)
5 Les salons, missions (53,5 %) 10 Les réseaux d’entreprises (38,7 %)
A l’instar de l’enquête précédente, le web gratuit et la presse comptent parmi les principales sources utilisées auxquelles s’ajoutent, pour la 1ère fois en
proportions équivalentes, les clients et les fournisseurs.
La veille sur internet : outils utilisés et efficacité
Les newsletters et les fonctions avancées des moteurs de recherche renforcent leur primauté.
Les outils de surveillance de pages web et, dans une moindre mesure, les réseaux sociaux
progressent également de manière significative. De manière générale, le recours
aux outils de veille sur internet a
61,3 % des entreprises jugent leur veille sur internet perfectible, même si l’efficacité semble progressé en 2 ans.
globalement progresser.
Les moyens de protection de l’information
1 La sensibilisation du personnel (52,8 %)
sensibilisation
Les contrats de confidentialité semblent
2 Les contrats de confidentialité (42,0 %) conforter leur rôle dans la protection des
3 Le secret (35,4 %) informations.
4 Le dépôt de marque (33,3 %)
Les moyens d’influence et de lobbying
Environ 1 entreprise sur 2 mobilise les réseaux d’entreprises et les organisations professionnelles pour faire du lobbying
tandis qu’à peine un quart d’entre elles sollicitent les collectivités territoriales.
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 9/92
10. Les difficultés exprimées ...
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche de veille
1 La difficulté à dégager du temps (74,6 %)
2 L’analyse, le recoupement, la synthèse de l’information collectée (47,9%)
3 La transformation des informations de veille en leviers d’action pour l’entreprise (43,9 %)
4 Le manque de compétences en veille (43,2 %)
5 Le manque de formalisation des informations collectées (remontées d’informations terrain, culture orale, visite salon…) (38,3 %)
6 L’extraction de l’information utile parmi toutes les informations disponibles (35,7 %)
7 L’identification des sources d’informations (32,9 %)
8 Le suivi de l’évolution rapide des informations (31,5 %)
Les cadres ci-dessus signalent les difficultés qui se sont renforcées depuis la dernière édition de notre enquête il y a 2 ans.
Le manque de temps constitue la difficulté n°1 des entreprises en matière de veille et les compétences en veille demeurent insuffisantes.
La profusion d’informations sur le web renforce de manière significative la difficulté à extraire, analyser et recouper les informations utiles à
l’entreprise.
En matière de diffusion et d’exploitation des informations, les entreprises évoquent de nouveau les écueils rencontrés pour transformer ces
informations de veille en leviers d’action.
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche de protection des informations
1 La difficulté à évaluer les risques et les menaces pour l’entreprise (39,2 %)
2 La difficulté à évaluer la confiance vis-à-vis d’un tiers (29,1%)
Les principales difficultés liées à la mise en œuvre d’une démarche de lobbying/d’influence
1 Le manque de temps (64,8 %)
2 La difficulté à identifier des réseaux d’influence pertinents pour l’entreprise (35,4%)
Synthèse de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 10/92
11. Méthodologie
&
Profils des répondants
de l'enquête 2011
Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 11/92
12. Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 12/92
13. Méthodologie de l’enquête
L'enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes a été conduite en juin
2011 par l'arist Bretagne, avec les CCI de Bretagne, Bretagne Développement Innovation et la DIRECCTE.
Elle a pour objet de recueillir et d’analyser les pratiques de veille et d’intelligence économique des entreprises
bretonnes, de mesurer leurs difficultés, mais également les progrès accomplis dans ces domaines depuis 10 ans.
Le questionnaire se compose de 3 parties :
elligence économ
ique ?
A quoi sert l’int
Les pratiques ...
Les difficultés ...
Le questionnaire a été adressé par e-mailing à des destinataires nominativement identifiés ou via les sites internet des CCI et de leurs
partenaires.
426 entreprises ont répondu à notre enquête.
Chaque partie du questionnaire est analysée :
o A partir des tris à plat
o A partir de tris croisés et de tris sur des sous-populations afin d’en extraire des typologies de répondants selon les thématiques
de l’enquête
Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 13/92
14. Profil des répondants
Répartition des répondants par taille d’entreprise Répartition des répondants par secteurs d’activité
Taux de réponse : 78,4%
Nb % obs.
Non réponse 92 21,6% Non réponse 21,6%
de 1 à 9 salariés 147 34,5% de 1 à 9 salariés 34,5%
de 10 à 49 salariés 106 24,9% de 10 à 49 salariés 24,9%
de 50 à 99 salariés 31 7,3% de 50 à 99 salariés 7,3%
de 100 à 249 salariés 30 7,0% de 100 à 249 salariés 7,0%
plus de 250 salariés 20 4,7% plus de 250 salariés 4,7%
Total 426 100,0%
Répartition géographique des répondants % du chiffre d’affaires à l’export des répondants
Répartition des 426 répondants 2011 par département
Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 14/92
15. Profil des répondants
59,4 % d’entreprises de moins de 50 salariés dont 34,5 % de moins de 10 salariés.
Une sur-représentativité du Secteur des Services (42,7 % de l’échantillon global).
Environ 2/3 des répondants en Ille-et-Vilaine et dans le Morbihan.
Une majorité d’entreprises non-exportatrices : 39,2 % contre 33 % qui exportent.
Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 15/92
16. Profil des répondants
Méthodologie et Profils des répondants de l’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 16/92
17. Résultats détaillés & Analyse
de l'enquête 2011
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 17/92
18. Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 18/92
19. Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 19/92
20. Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 20/92
21. Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 21/92
22. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 22/92
23. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique
La veille demeure le volet le plus « visible » de l’intelligence économique
87,3 % des répondants jugent la veille importante, voire très importante
contre 75,3 % pour la protection de l’information
et 67,3 % pour le lobbying
Au regard des éditions précédentes, l’importance relative
accordée à chacun de ces trois volets demeure comparable :
1 La veille
2 La protection de l’information
3 Le lobbying
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 23/92
24. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique
GROUPE importance veille
Importance_protection_de_l'information, Importance_lobbying
Quelle importance votre entreprise accorde-t-elle à :
p = <0,1% ; chi2 = 32,17 ; ddl = 3 (TS)
100%
65,1%
80%
39,4%
44,6%
44,3%
60,6%
55,4%
55,7%
34,9%
60%
Peu important
Moyennement important
Important 40%
Très important
20%
0%
Importance Importance
protection lobbying
de
l'information
Evaluation de l'importance de la protection selon la taille des entreprises Evaluation de l'importance du lobbying selon la taille des entreprises
10,5%
36,8%
52,6%
12,9%
51,6%
25,8%
30,2%
50,9%
14,2%
0,0%
9,7%
4,7%
26,3%
47,4%
26,3%
46,2%
0,0%
17,9%
26,2%
52,6% 51,6%
9,7%
41,1%
11,0%
39,0%
8,9%
10,0%
13,3%
40,0%
36,7%
22,6%
35,5%
38,7%
3,2%
40% 40%
28,3%
32,1%
33,0%
6,6%
26,7%
26,7%
30,0%
16,7%
Peu important Peu important
Moyennement 30% Moyennement 30%
important important
Important Important
Très 20% Très 20%
important important
10% 10%
0% 0%
de 1 à 9 de 10 à 49 de 50 à 99 de 100 à plus de 250 de 1 à 9 de 10 à 49 de 50 à 99 de 100 à plus de 250
salariés salariés salariés 249 salariés salariés salariés salariés 249 salariés
salariés salariés
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 24/92
25. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Importance accordée aux 3 dimensions de l’intelligence économique
Ecarts de perception de l’importance des volets de la protection de l’information et du lobbying entre les répondants qui jugent la veille
importante ou très importante et ceux qui jugent la veille comme moyennement ou peu importante
Les répondants qui pensent que la veille est très importante pensent également que les démarches de protection de
l’information sont très importantes. Cette corrélation est moins ténue avec le volet du lobbying.
Parmi les entreprises qui considèrent la veille comme très importante se trouve une proportion importante de petites entreprises
de moins de 10 salariés.
Les entreprises qui ont une vision très accrue de l’importance de la veille prennent
également en considération l’importance des 2 autres volets de l’intelligence
économique : protection de l’information et lobbying.
La taille de l’entreprise n’influe pas sur la perception de l’importance de la veille. A
fortiori, les petites entreprises, se sentant sans doute plus fragilisées que les grandes,
ont, semble-t-il, compris l’intérêt de l’intelligence économique pour leur pérennité.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 25/92
26. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 26/92
27. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
L’intelligence économique est, avant tout, perçue comme un moyen de renforcer la capacité
d’anticipation et d’innovation.
Voici, le palmarès des finalités de l’intelligence économique parmi celles ayant obtenu un score supérieur à 50 % des répondants :
1 Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie (85,2 %)
2 Surveiller ses concurrents ou l’arrivée de nouveaux entrants (67,4 %)
3 Développer de nouveaux produits ou services (61,7 %)
4 Etre à l’écoute de ses clients (61,3 %)
5 Trouver de nouveaux débouchés ou se diversifier (57,7 %)
6 Connaître les normes et la réglementation (55,2 %)
7 Améliorer les compétences (53,5 %)
8 Trouver de nouveaux partenaires (52,1 %)
9 Accéder à de nouvelles technologies (50,9 %)
3 finalités « pro-actives » de l’intelligence économique, à savoir, la définition d’une stratégie, la
surveillance des concurrents et le développement de nouveaux produits enregistrent, comparativement
aux autres finalités, une forte hausse, signe que les entreprises ont mieux intégré l’intérêt de réagir
offensivement à la crise et ses conséquences.
Dans une moindre mesure, la prise de conscience de la nécessité de faire du lobbying progresse
sensiblement : un répondant sur quatre le mentionne.
A l’inverse, les finalités que nous pourrions qualifiées plus « techniques » régressent. Il s’agit
de l’amélioration des compétences et des savoir-faire, et de leur protection.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 27/92
28. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Ecarts de perception des finalités d’une démarche d’intelligence économique entre les petites entreprises (moins de 10 salariés) et
l’échantillon global des répondants.
finalités d'une démarche d'IE - Quelles sont, selon vous, les finalités d'une démarche d'intelligence économique ?
Taux de réponse : 100,0%
'Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie' (121 citations)
Effectif moyen :74,29
Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie -2,9%
Internationaliser l'activité -2,5%
Surveiller sa propre image dans les médias 8,3%
Améliorer les process de fabrication et/ou résoudre des problèmes techniques -4,2%
Connaître les normes et la réglementation -0,7%
Accéder à de nouvelles technologies -6,7%
Trouver de nouveaux partenaires (fournisseurs/distributeurs) -1,8%
Surveiller ses concurrents ou l'arrivée de nouveaux entrants 0,7%
Faire du lobbying 5,9%
Améliorer les compétences -6,6%
Protéger et valoriser ses savoir-faire/brevets 6,2%
Etre à l'écoute des clients 0,6%
Trouver de nouveaux débouchés ou se diversifier 2,8%
Développer de nouveaux produits ou services 9,0%
Légende : Lorsque la population des petites entreprises enregistre des valeurs inférieures à l’échantillon global des répondants, elles apparaissent à gauche de
l’axe vertical. Inversement lorsque la population des petites entreprises enregistre des valeurs supérieures à l’échantillon global, elles apparaissent à droite de
l’axe vertical.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 28/92
29. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Différences de perception sur les finalités d’une démarche d’intelligence économique entre ceux qui estiment que la veille est importante
voire très importante et ceux qui estiment que la veille n’est pas importante ou moyennement importante
finalités d'une démarche d'IE - Quelles sont, selon vous, les finalités d'une démarche d'intelligence économique ?
Quelles sont, selon vous, les finalités d'une démarche d'intelligence économique ?
Taux de réponse : 100,0%
'Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie' (327 citations)
Effectif moyen :193,57
Référence : pourcentages pour les 51 observations de "veille peu importante"
87,9%
Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie 68,6%
69,6%
Surveiller ses concurrents ou l'arrivée de nouveaux entrants 52,9%
64,5%
Développer de nouveaux produits ou services 45,1%
63,4%
Etre à l'écoute des clients 49,0%
59,7%
Trouver de nouveaux débouchés ou se diversifier 47,1%
57,5%
Connaître les normes et la réglementation 41,2%
55,6%
Améliorer les compétences 41,2%
54,0%
Trouver de nouveaux partenaires (fournisseurs/distributeurs) 41,2%
53,8%
Accéder à de nouvelles technologies 33,3%
39,0%
Protéger et valoriser ses savoir-faire/brevets 21,6%
38,7%
Surveiller sa propre image dans les médias 23,5%
37,9%
Améliorer les process de fabrication et/ou résoudre des problèmes techniques 19,6%
26,9%
Faire du lobbying 27,5%
19,9%
Internationaliser l'activité 11,8%
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 29/92
30. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Palmarès des finalités d’intelligence économique auprès des Palmarès des finalités d’intelligence économique auprès des
répondants qui jugent la veille importante voire très importante répondants qui jugent la veille moyennement voire peu importante
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 30/92
31. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Ceux qui pensent que la veille est importante ont une vision plus globale de l’intelligence économique, plus « technologique » et plus « innovation »
o La principale différence entre ceux qui jugent la veille importante ou pas importante réside dans la perception du lobbying : pour ces 2 catégories,
seulement environ ¼ des répondants estiment le lobbying comme une finalité de l’intelligence économique.
o Pour toutes les autres finalités, elles sont davantage citées chez ceux qui estiment la veille importante que chez ceux qui l’estiment peu importante.
o Les 2 populations s’accordent sur la primauté d’anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie, laquelle finalité s’avère une priorité absolue pour
ceux qui estiment la veille pas ou peu importante comparativement aux autres finalités.
o Les finalités sont plus diversifiées au sein de la population de ceux qui estiment la veille importante et concernent, notamment, de manière plus
significative :
Internationaliser l'activité
Surveiller sa propre image dans les médias
Améliorer les process de fabrication et/ou résoudre des problèmes techniques
Accéder à de nouvelles technologies
Protéger et valoriser ses savoir-faire/brevets
Développer de nouveaux produits ou services
o Les répondants qui pensent que la veille est importante, à contrario, minorent les finalités suivantes de l’intelligence économique :
Trouver de nouveaux partenaires (fournisseurs/distributeurs)
Les répondants qui pensent que la veille n’est pas importante ont une vision plus économique, plus « marché » de l’intelligence économique en
majorant les finalités suivantes :
o Anticiper les enjeux pour mieux définir sa stratégie
o Trouver de nouveaux partenaires (fournisseurs/distributeurs)
o Surveiller ses concurrents ou l'arrivée de nouveaux entrants
o Faire du lobbying
o Etre à l’écoute de ses clients
o Trouver de nouveaux débouchés ou se diversifier
Ceux qui pensent que la protection de l’information est importante n’ont pas de point de vue véritablement différent de l’ensemble des répondants.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 31/92
32. I – Selon les entreprises, à quoi sert l’intelligence économique ?
Typologies de répondants Les finalités d’une démarche d’intelligence économique
Ceux qui pensent que le lobbying est important ont une vision plutôt défensive et technologique de l’intelligence économique : les répondants qui
jugent le lobbying important majorent les finalités suivantes de l’intelligence économique :
o Surveiller sa propre image dans les médias
o Améliorer les process de fabrication et/ou résoudre des problèmes techniques
o Accéder à de nouvelles technologies
Protéger et valoriser ses savoir-faire/brevets
L’importance relative accordée aux volets de l’intelligence économique de la veille et
du lobbying influe sur la typologie des finalités attribuées à l’intelligence économique :
Importance de la veille va de paire avec une vision plus globale de
l’intelligence économique avec des finalités orientées vers l’innovation
technologique.
Importance du lobbying va de paire avec une vision plutôt défensive et
technologique de l’intelligence économique.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 32/92
33. Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 33/92
34. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Mise en place de démarches d’intelligence économique
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 34/92
35. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Mise en place de démarches d’intelligence économique
Un taux de diffusion des pratiques de veille à renforcer :
un peu plus d’une entreprise sur deux a mis en place une démarche de veille
58,6 % des répondants ont mis en place une démarche de veille, contre
51,4 % pour la sécurisation de l’information et
28,2 % pour le lobbying.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 35/92
36. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Mise en place de démarches d’intelligence économique
Les pratiques de veille tendent à se diffuser dans les entreprises, tant par le nombre d’entreprises
pratiquantes que par l’organisation de plus en plus collégiale. Le dirigeant devient de moins en moins
l’instigateur exclusif de la veille. De manière encore marginale, il peut être fait appel à des prestataires
externes.
A l’instar des années passées, l’organisation de la veille est jugée perfectible par environ la moitié des
répondants.
Si les démarches de sécurisation de l’information progressent pour concerner aujourd’hui la moitié des
répondants, les actions de lobbying restent moins pratiquées ou moins bien identifiées.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 36/92
37. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Mise en place de démarches d’intelligence économique
Mise en place d'une démarche de veille selon la taille des entreprises
80%
70%
60%
50%
Oui 40%
Non
30%
20%
10%
0%
de 1 à 9 de 10 à 49 de 50 à 99 de 100 à plus de 250
salariés salariés salariés 249 salariés
salariés
33,3%
66,7%
56,6%
43,4%
50,0%
50,0%
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 37/92
38. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Mise en place de démarches d’intelligence économique
Les démarches de veille sont moins déployées au sein des entreprises :
o de moins de 50 salariés ou
o qui n’exportent pas du tout.
Les démarches de sécurisation sont davantage déployées dans :
o les entreprises qui ont recours à des prestataires externes ou
o qui impliquent plusieurs collaborateurs de l’entreprise pour faire de la veille.
… et moins déployées dans le secteur de la Construction
La typologie des acteurs de la veille dans l’entreprise varie selon la taille de l’entreprise :
o Chez les entreprises de 1 à 9 salariés : le dirigeant est l’acteur principal
o Chez les 10 à 49 salariés : il peut s’agir d’une personne/équipe dédiée ou plusieurs collaborateurs
o Chez les 50 à 99 salariés : les catégories « plusieurs collaborateurs » et « prestataires externes » sont sur-représentées
o Chez les plus de 100 salariés : toutes les catégories sont représentées à l’exception du dirigeant seul
La typologie des acteurs de la veille dans l’entreprise varie selon le % de chiffre d’affaires à l’export : le dirigeant est le
principal acteur de la veille chez les entreprises qui n’exportent pas.
Corrélation entre les pratiques d’intelligence économique et efficacité de la veille :
o Il existe une corrélation entre l’efficacité de la veille et le fait que les entreprises qui ont mis en place une
démarche de sécurisation affichent une meilleure efficacité de leur organisation de veille.
o Le lobbying semble moins jouer ce rôle d’entraînement sur la veille.
o De manière assez logique, les entreprises déclarant une bonne efficacité de la veille sont également plus satisfaites
de leurs performances de veille sur le web.
o Il existe des corrélations entre les démarches de sécurisation et de lobbying, entre les démarches de veille et de
sécurisation mais pas véritablement entre les démarches de veille et de lobbying.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 38/92
39. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Mise en place de démarches d’intelligence économique
En matière d’actions en faveur de l’amélioration des pratiques d’intelligence économique, un ciblage
pourra être opéré :
Pour des actions de sensibilisation : auprès des entreprises de moins de 50 salariés, non-exportatrices.
Pour des actions de perfectionnement : auprès des entreprises qui ont une organisation plutôt
collégiale, à savoir les plus de 10 salariés ou exportatrices.
La veille sur le web fait dorénavant partie intégrante des pratiques de veille : en effet, les entreprises
aujourd’hui ont compris qu’elles ne pouvaient plus « faire l’impasse » sur les outils de veille du web pour
maintenir une efficacité satisfaisante de leur organisation de veille.
A contrario, parmi les 3 volets de l’intelligence économique, le lobbying reste un peu à part de la veille,
toujours considérée comme le pilier de l’intelligence économique. A ce propos des actions de sensibilisation
démontrant la dynamique opérée entre les 3 volets de l’intelligence économique seraient à envisager.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 39/92
40. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Les informations les plus les plus recherchées et les plus difficiles à trouver
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 40/92
41. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Les informations les plus les plus recherchées et les plus difficiles à trouver
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 41/92
42. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Les informations les plus les plus recherchées et les plus difficiles à trouver
Voici le palmarès des informations les plus recherchées et les plus difficiles à trouver
Les informations Les informations
les plus recherchées les plus difficiles à trouver
1 Concurrents (72,1 %) 1 Marché (41,3 %)
Clients (70,9 %) Concurrents (41,3 %)
2 Réglementation (66,9 %) 2 Clients (21,6 %)
Marché (65,3 %)
3 Nouveaux produits (55,4 %) 3 Réglementation (16,0 %)
Fournisseurs (52,8 %) Nouveaux produits (13,4%)
Technologie/Brevets (13,6 %)
4 Salons/manifestations (47,4 %) 4 Fournisseurs (9,2 %)
5 Technologie/Brevets (35,4 %) 5 Salons/manifestations (2,6 %)
Comme les années passées, les données de marché et les informations sur la concurrence restent les plus
difficiles à se procurer pour les entreprises.
Le palmarès reste, globalement, en tous points identique à l’exception de l’accès aux informations sur les
clients sur lesquelles les entreprises semblent avoir légèrement progressé.
Les difficultés ressenties par les entreprises à accéder aux informations de marché et sur les concurrents
sont d’autant plus pénalisantes que ces informations sont essentielles à l’amélioration de leur force
d’anticipation et la définition de leur stratégie, deux finalités majeures de l’intelligence économique
exprimées par les répondants.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 42/92
43. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les informations les plus recherchées et les plus difficiles à trouver
Les pratiques de recherche d’informations ne présentent pas de particularités en termes de profils d’entreprises.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 43/92
44. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Les sources d’information les plus utilisées
Nb 74,4%
des services web gratuits 317
63,8%
Des clients 272
61,5%
La presse 262
60,1%
Des fournisseurs 256
53,5%
Des salons, missions 228
Des organisations professionnelles 226 53,1%
Les CCI 215 50,5%
Des confrères d'autres entreprises 215 50,5%
Les collaborateurs de l'entreprise 195
45,8%
Les experts comptables, les conseillers juridiques 181
42,5%
Des réseaux d'entreprises 165
38,7%
Des services de l'Etat 136
31,9%
L'INPI 123
28,9%
Les services de la Région Bretagne (Bretagne Développement Innovation, Bretagne
88 20,7%
International)
Des pôles de compétitivité 76
17,8%
Des services web payants 66
15,5%
L'Afnor 63
14,8%
Des consultants, courtiers en information 50
11,7%
Des centres d'innovation et de transfert 50
11,7%
D'autres établissements de votre entreprise 46
10,8%
Le Portail de l'innovation 43
10,1%
L'arist 41
9,6%
Creativ 33
7,7%
Le réseau Entreprise Europe (EEN) 23
5,4%
Total 426
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 44/92
45. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Les sources d’information les plus utilisées
Voici le palmarès des sources ou organismes d’information les plus utilisés :
1 Les services web gratuits (74,4 %)
2 Les clients (63,8 %) ; la presse (61,5 %) et les fournisseurs (60,1 %)
3 Les salons, missions (53,5 %) et les organisations professionnelles (53,1 %)
4 Les CCI (50,5 %) et confrères d’autres entreprises (50,5 %)
5 Les collaborateurs de l’entreprise (45,8 %)
6 Les experts comptables, les conseillers juridiques (42,8 %)
7 Les réseaux d’entreprises (38,7 %)
A l’instar de l’enquête précédente, le web gratuit et la presse comptent parmi les principales sources utilisées auxquelles s’ajoutent, pour
la 1ère fois en proportions équivalentes, les clients et les fournisseurs.
L’éventail des sources d’information tend à se diversifier dans le temps et c’est une bonne chose pour la fiabilité de l’organisation de
veille des entreprises. C’est ainsi que le recours aux organisations professionnelles progresse de manière significative. Parmi les sources
« secondaires » qui progressent de manière sensible, citons :
Les collaborateurs
Les réseaux d’entreprises
Les services de l’Etat
Les Pôles de compétitivité
Les salons/missions, les confrères d’autres entreprises ainsi que les Chambres de commerce et d’industrie maintiennent leurs positions
avec environ un répondant sur deux qui y a recours. Notons que les structures du réseau consulaire (CCI, arist Bretagne, Créativ et le réseau
Enterprise Europe Network) totalisent, de manière cumulée, 73,2 % des suffrages.
Pour la 1ère fois proposés à nos répondants, les experts comptables et conseillers juridiques confirment leur rôle prépondérant en figurant
dans le « peloton de tête » des sources d’information avec 42,8 % des réponses.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 45/92
46. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Analyse détaillée des sources utilisées par secteur d’activité comparativement à l’échantillon global
Sources les plus utilisées (à droite de l’axe vertical) Sources les plus utilisées (à droite de l’axe vertical)
et les moins utilisées (à gauche de l’axe vertical) par l’Industrie et les moins utilisées (à gauche de l’axe vertical) par les Services
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 46/92
47. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Sources les plus utilisées (à droite de l’axe vertical)
et les moins utilisées (à gauche de l’axe vertical) par la Construction
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 47/92
48. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Caractérisation des sources les plus ou les moins utilisées par secteurs d’activité
comparativement à l’échantillon global :
Le nombre moyen de sources utilisées même occasionnellement par les répondants est de = 8,36 sources. Cependant, le
secteur de la Construction n’en utilise en moyenne que 6,70 contre 9,37 pour l’Industrie et 8,32 pour les Services.
Les sources plus utilisées par l’Industrie que par l’échantillon global :
o L'arist
o L'Afnor
o Les services de la Région Bretagne (Bretagne Développement Innovation, Bretagne International)
o Creativ
o Les CCI
o Les organisations professionnelles
o L’INPI
o Les services de l’Etat
o Les consultants, courtiers en information
o Les clients
o Les fournisseurs
Les sources moins utilisées par l’Industrie que par l’échantillon global :
o des services web gratuits
Les sources plus utilisées par le secteur de la Construction que par l’échantillon global :
o Des services web gratuits
o Des organisations professionnelles
o Creativ
o Les fournisseurs
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 48/92
49. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Les sources moins utilisées par le secteur de la Construction que par l’échantillon global :
o Des salons, missions
o Des pôles de compétitivité
o Des services web payants
o Des services de l’Etat
o Le portail de l’innovation
o Des centres d’innovation et de transfert
o L’Afnor
o Les CCI
o L’INPI
o La presse
o Des confrères d’autres entreprises
o Des clients
Les sources plus utilisées par le secteur des Services que par l’échantillon global :
o Les experts comptables, les conseillers juridiques
o Les confrères d’autres entreprises
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 49/92
50. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Différences d’utilisation des sources entre les veilleurs (ceux qui ont mis enplace une démarche de veille) et les non-veilleurs (ceux qui n’ont pas
mis en place une démarche de veille)
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 50/92
51. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Les répondants qui ont mis en place une démarche de veille recourent davantage aux sources suivantes :
o Des services web payants
o L'arist
o Des centres d'innovation et de transfert
o Des pôles de compétitivité
o L'INPI
o Des réseaux d'entreprises
o L'Afnor
o Le réseau Entreprise Europe (EEN)
o La presse
o D'autres établissements de votre entreprise
o Des salons, missions
o Le Portail de l'innovation
o Les services de la Région Bretagne (Bretagne Développement Innovation, Bretagne International)
A contrario, les répondants qui n’ont pas mis en place de démarche de veille recourent davantage aux sources
suivantes :
o des services web gratuits
o Les CCI
o Des organisations professionnelles
o Des services de l'Etat
o Les experts comptables, les conseillers juridiques
o Les collaborateurs de l'entreprise
o Des confrères d'autres entreprises
o Des clients
o Des fournisseurs
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 51/92
52. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Secteur de l’Industrie
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 52/92
53. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Secteur des Services
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 53/92
54. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Secteur de la Construction
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 54/92
55. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Voici le palmarès des sources les plus utilisés par secteurs d’activité :
Les sources les plus utilisées par l’Industrie :
o Des fournisseurs (81,1 %)
o Des clients (75,5 %)
o Des organisations professionnelles (71,7 %)
Les sources les plus utilisées par le secteur de la Construction :
o Des services web gratuits (84,8 %)
o Des organisations professionnelles (75,8 %)
o Des fournisseurs (69,7 %)
Les sources les plus utilisées par le secteur des Services :
o Des services web gratuits (81,3 %)
o Des clients (69,2 %)
o La presse (67,6 %)
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 55/92
56. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
Nombre de sources moyen par secteur d'activité
10
9,37
9
8,36
8,32
8
7
6,70
6
5
Construction
Industrie
Services
Total
Nombre moyen de sources utilisées par secteur d’activité
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57. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
Typologies de répondants Les sources d’information les plus utilisées
En moyenne, les entreprises citent 1/3 des sources proposées par notre enquête, laissant présager de
catégories de sources moins bien connues des entreprises comme sur lesquelles il serait souhaitable de
communiquer davantage et d’informer les entreprises de leurs spécificités :
Les réseaux d’entreprises
L’INPI
Les services de l’Etat et de la Région
Les services web payants
L’ Afnor
Les consultants
Les centres d’innovation et de transfert
L’arist, le Réseau EEN (Enterprise Europe Network), Créativ
Des actions de sensibilisation aux sources de veille plus spécifiques au secteur de la Construction.
seraient également bienvenues.
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 57/92
58. II –Les pratiques d’intelligence économique des entreprises
La veille sur internet : outils utilisés et efficacité
Rapport d’enquête sur les pratiques de veille et d'intelligence économique des entreprises bretonnes 58/92