3. Il désigne à la fois une langue, une
civilisation, et une communauté
religieuse, et dans tous les cas, il
nous entraîne en Égypte !
4.
5.
6. Il est intéressant de noter que dans le langage
informatique on appelle « icône » les petites images qui
donnent accès aux divers fichiers.
En effet l’icône informatique n’est-elle pas un symbole
efficace qui tout à la fois contient, désigne et ouvre un
monde ?
Cet usage peut même dans
certaines limites permettre
d’expliquer le sens de
l’icône aux personnes qui,
elles, seraient plus
habituées à contempler les
écrans des ordinateurs que
les iconostases des églises.
7. Le mot « icône » signifie tout
simplement « image » en grec.
L’image présente une supériorité
par rapport au texte écrit.
L'image pénètre au plus profond de
nous, jouit d'un pouvoir au-delà des
mots.
Les anciens égyptiens avaient très tôt
saisi cette richesse du langage
universel de l’image.
L’icône est un langage sacré, tout
comme le hiéroglyphe et l’image de
l’époque pharaonique.
Reine Néfertari en prière
Moïse et le Buisson ardent
8. L’iconographe
signifie : « celui qui
écrit une image ».
Il s’agit d’une
écriture possédant
une grammaire qui
appartient au
registre artistique,
théologique et
dogmatique.
Écrire une icône est
donc un acte
hautement religieux.
9. Le rituel de consécration des
icônes par l’évêque est
actuellement remis en valeur
pour les véritables icônes. Dans
le rite copte, seules, les icônes
consacrées peuvent être
vénérées.
Elles sont oint avec le Saint
chrême et deviennent ainsi
porteuse du Saint Esprit et
« propriété de Dieu, qui leur
confère un pouvoir spirituel
effectif capable d’attirer les
cœurs vers le ciel. » Abouna
Tadros Malaty
S.S. Le Pape Chénouda III
consacrant une icône
10. Voici ce que disait à ce sujet un
théologien égyptien du XIIIème
siècle : « l’image de notre
Seigneur, qui le représente
corporellement, renouvelle en
ceux qui la regardent le désir de
louange et d’adoration à son
égard ; celui qui se prosterne
devant elle le fait évidemment en
signe de vénération pour celui
qui est représenté et non pas
pour une image qui est peinte
sur les murs par des mains
humaines. »
Dans le contexte chrétien, quel est le sens de la vénération ?
11. Les églises orientales ont développé de façon
remarquable l’art liturgique de l’icône et produit des
œuvres admirables.
L’église catholique a réaffirmé dans son catéchisme, le
fondement théologique de l’icône préconisant l’usage
des « Saintes icônes liturgiques » à l’église et comme
soutient de la prière personnelle. (catéchisme de l’église
catholique de Paris, 1992)
Par sa dimension
symbolique et
esthétique, l’icône
transcende les
divergences et
œuvre en faveur
d’une communion
des chrétiens.
12. La Théologie en couleur trouve sa justification dans
l‘incarnation qu'elle proclame, car si Dieu s'est incarné, a
revêtu notre chair, il peut être représenté.
Développée en harmonie avec les
évangiles et les textes
liturgiques, l’icône permet de
visualiser immédiatement son
contenu avec le concours des
symboles.
L'icône joue un rôle essentiel
dans la liturgie, de sorte qu'elle
est une image liturgique.
13. Dans la foulée de Saint
Antoine le Grand, de
Saint Pacôme, de Saint
Macaire le Grand et des
Pères du désert, l'icône
visualise la vie en
Christ à laquelle nous
sommes appelés.
Elle parle de
transfiguration, reflète
le mystère du salut,
révèle le cœur des
personnes.
Saint Macaire le Grand
14. C'est aussi la beauté des
archanges et des anges, la
majesté de l'archange
Michel, grand stratège des
armées célestes et force de
Dieu, tous fervents
intercesseurs aux pieds du
Très-Haut dont ils chantent
sans fin la gloire, messagers
célestes qui veillent sur
chacun de nous, refoulant
nos ennemis les démons.
Ainsi le message théologique
de l’icône dans l’histoire des
Coptes montre que la force
matérielle ne peut pas
détruire les œuvres de
l’esprit.
Les sept Archanges
15. Les corps disproportionnés, le peu d'intérêt
manifesté pour les traits corporels,
concentrent la vision sur l'essentiel, à
savoir la force de l'Esprit Saint qui les
habite.
L'absence de naturalisme et de sensualité
rappelle, en effet, que l'icône ne
représente pas le monde de la chair.
La diminution de la représentation
corporelle permet la mise en évidence du
spirituel. Par exemple, les yeux
démesurément larges, sont le symbole de
la vision intérieure.
Dans l'iconographie, les Coptes ne visent pas en premier lieu à
peindre les traits du corps de la personne mais son âme.
16. A l'opposé des
Byzantins, la tradition
copte augmente
sensiblement le volume
de la tête, symbole que
Dieu est notre tête, et le
Christ crucifié aux yeux
largement ouverts, signe
de son immortalité,
remémore aussi sa
vigilance envers nous.
C'est la bonté et la
douceur des regards,
l'humilité, la
spontanéité, la fraîcheur,
la simplicité du langage
visuel.
17.
18.
19.
20.
21. C’est l’époque paléochrétienne : elle est
marquée par des influences Gréco-
romaines. Les peintures murales ont été
trouvées dans des catacombes, des
sépultures individuelles et des chapelles.
Les artistes, encore considérés comme de
simples artisans, empruntent leurs thèmes
à l’Ancien et au Nouveau Testament. On
peut voir, par exemple, Marie à côté de
l’arche de Noé à Bagawat, dans l’oasis de
Kharga. Mais cette période a donné peu de
documents ; la suivante est plus riche.
22. Ste Marie et l’arche de Noé, coupole de la chapelle de la paix, nécropole
de Bagawat.
L’image centrale montre le patriarche et les siens dans le navire. Deux
colombes se superposent entre Marie orante et le navire. L’alliance avec
Noé trouve son accomplissement avec l’annonciation.
23. Les portraits de
Fayoum illustrent
des visages
d’hommes, de
femmes et d’enfants,
réalisés en couleur.
Ces portraits étaient
placés sur les
cercueils, et datent
du début de l’ère
Copte (1er siècle
après JC).
24. Les portraits de
Fayoum sont sans
aucun doute inspirés
des anciens masques
égyptiens.
Ils représentent la
première étape des
icônes coptes.
25. Jonas jeté à la mer, chapelle de l’Exode, côté sud, nécropole de Bagawat.
Le côté sud est dominé par le cycle de Jonas. Comme dans les
catacombes romaines, le prophète de Ninive est représenté avalé puis
rejeté par le monstre marin.
26. Théodosia entre les saints Marie et Collubtus, tombeau de Théodosia,
Antinoé, d’après M. Salmi.
Entourée des deux saints locaux, la défunte se dresse orante dans un
espace paradisiaque.
27. La multiplication des pains :
Frise ornant la salle d’agape, catacombe de Karmouz,
Alexandrie, relevé de C. Wescher.
Divisée en trois parties séparées par des arbustes,
cette représentation suscite des lectures diverses.
28.
29. L’art copto-byzantin, qui correspond au
Haut Moyen Âge, reprend les mêmes
thèmes, en ajoute de nouveaux et
donne une importance particulière à
ceux qui intéressent les fidèles
commanditaires.
Si le traitement des sujets doit
beaucoup aux canons de Byzance,
cette période n’en voit pas moins naître
un art authentiquement copte, qui
manifeste une volonté essentielle :
l’esthétique doit traduire la théologie.
30. C’est ainsi que le Christ en majesté
joue un grand rôle aux côtés de la
Théotokos, la mère de Dieu, des anges
et de la Croix.
Les œuvres les plus remarquables pour
cette période se trouvent au musée
copte du Caire, et au couvent de
Baouit, à Saqqarah.
31. Niche ornée d’une conque, Musée copte, Le Caire.
Symbole de vie et de fécondité dans l’Antiquité, la coquille
devient un symbole de la résurrection.
33. Ampoule de St Ménas,
terre cuite,
Ve-VIe siècle
A l’endroit miraculeu-
sement désigné où fut
enterré le martyr
Ménas, une source avait
jailli dont les pèlerins
rapportaient de l’eau
dans des gourdes
décorées de motifs
religieux.
Musée du Louvre
34. Fragment de pyxide
en ivoire VIème siècle
ap J.C.
A droite, Lazare dans
la scène du miracle de
sa résurrection ; à
gauche, un
évangéliste.
Musée du Louvre
35. La Mère de Dieu recevant deux saints, VIIe siècle, Le Caire.
Entourés de deux anges, la Mère et le Fils offrent une couronne et
un rouleau aux deux saints qui s’avancent vers eux,
vraisemblablement Saint Pierre et Saint Paul.
37. Abside de la chapelle XVII, Baouit, relevé J. Clédat.
Le Christ trône au-dessus de la Vierge et des apôtres.
La superposition des deux scènes s’inspire de l’Ascension.
38. La Vierge siège entre Saint Jean et Saint Pierre.
Détail de l’abside de la salle 6, Baouit, Musée copte, Le Caire.
L’image témoigne du triomphe de la maternité divine de
Sainte Marie.
39. Deux anges portant le buste du Christ, Baouit,
Musée copte, Le Caire.
La peinture reprend le schéma traditionnel attesté
dans la sculpture copte, de pierre ou de bois.
40. Le buste du Christ,
Baouit, Musée copte, Le
Caire.
L’ovale de la face est
encadré par les touffes
noires des cheveux et de
la barbe.
Le visage-icône du
Christ-Pantocrator reflète
la présence du Tout-
Puissant.
Il resplendit de gloire,
« gloire qu’Il tient de son
Père comme Fils unique »
(Jn 1:14)
41. Les bustes de Sainte Marie et de l’Archange, abside de la chapelle B,
couvent de Saqqarah, relevé d’après J.E.Quibell.
Inscrits dans des médaillons, les bustes s’intègrent dans des
compositions géométriques héritées du répertoire antique.
42. Le Saint évêque
Abraham, peinture sur
bois, VIIe siècle,
Museum für Spätantike
und Byzantinische
Kunst, Berlin.
46. Le Christ et
l’abbé Ménas,
Baouit, peinture
sur bois, VIIe
siècle, musée du
Louvre, Paris
Le Christ
entoure d’un
bras protecteur
le prieur
supérieur du
monastère de
Baouit.
47.
48. La troisième période, ici appelée "copto-
arabe", est caractérisée, par une
communion totale entre les traditions
(esthétiques) islamiques et coptes ; du
point de vue purement esthétique,
l’influence byzantine nous paraît encore
très forte.
Pourtant, si la représentation du visage
continue, qu’il s’agisse du visage humain
ou du visage divin, l’iconographie non
figurée connaît un fort développement,
notamment pour les bois sculptés.
49. Les œuvres les plus séduisantes se
trouvent dans le Vieux Caire, au couvent
de Saint-Mercure du Caire et au couvent
des Syriaques dans le Wadi al-Natroun.
Une autre forme d’esthétique est
parvenue jusqu’à nous : l’art du livre.
Cela nous permettra de découvrir, un peu
plus loin, le superbe Évangéliaire qui se
trouve à l’Institut Catholique de Paris.
53. Tapisserie avec cavalier et
oiseau
Lin et laine, VIIème siècle.
Synthèse de trois traditions :
copte pour le tissage et le
thème du cavalier, sassanide
pour le paon et arabe pour la
stylisation des images et les
inscriptions.
55. Médaillon faisant partie de la décoration d’une
tunique et figurant deux personnages entourés de
symboles chrétiens (tissus d’Akhmim, VIIIème siècle)
57. Cloison du sanctuaire de
l’Église de la Sainte
Vierge, Xe siècle,
couvent des Syriaques.
La composition se
répète sur les deux
portes pliantes du
sanctuaire.
La croix qui se répète
sur les cadres
superposés donne à ce
décor géométrique sa
dimension chrétienne.
65. En-tête de l’Évangile de saint Luc, évangéliaire, 1250,
Institut Catholique, Paris.
Divisée en trois petites scènes juxtaposées, la peinture illustre
l’Annonce à Zacharie, l’Annonciation et la Visitation.
70. Saint Athanase,
Patriarche
d’Alexandrie
de 326 à 373 après
JC, a été le
défenseur opiniâtre
de l’orthodoxie
contre l’hérésie
arienne.
Fresque récemment
découverte dans le
monastère de Saint
Antoine, non loin de
la mer Rouge.
Cliché B. de
Clerfayt.
71. Résurrection, église du couvent de Saint Antoine.
La peinture qui s’étend sur les deux écoinçons réunit les deux
scènes pascales : la visite des Myrrhophores au Tombeau et la
Rencontre au jardin.
72. Saint Sévère et
Saint Dioscore,
sanctuaire
principal, couvent
de Saint Antoine.
Exceptionnelle, la
peinture unit les
deux grands pères
de l’Église
(syriaque et copte)
« miaphysite »
et non
« monophysite »
comme il est
souvent dit
par erreur.
73. Abside centrale du
sanctuaire principal du
couvent de Saint
Antoine.
L’iconographie absidale
demeure immuable : le
Christ en gloire occupe
le registre supérieur, la
Vierge trône dans le
registre inférieur,
entourée des deux
archanges.
74.
75. Quatrième époque, l’époque ottomane
voit un certain ralentissement de la
production. Avec un certain retard,
semble-t-il, c’est l’influence arabe qui se
manifeste dans le traitement des sujets,
et l’on pourrait parler d’un art arabo-
ottoman, plus naïf dans les formes.
Les couvents et les églises livrent encore
des représentations du Christ et de la
Vierge, notamment au Caire. À partir du
XVIe siècle, la production souffre d’un
certain essoufflement.
76. Icône copte (XVIIIème
siècle) représentant la
Fuite de la Sainte
Famille en Égypte.
Au yeux des Coptes,
c’est dans cet épisode
évangélique que
s’enracine l’histoire de
leur Église, avant
même la prédication de
Saint Marc.
Musée Copte du Caire.
Coll. Solidarité-Orient,
Bruxelles.
77. Saint Antoine, fondateur
du monachisme, porte la
tenue traditionnelle des
moines avec la cucule
(capuchon) étoilée. Saint
Paul, lui, est vêtu d’une
tunique fruste. Le
corbeau qui nourrissait
quotidiennement Saint
Paul est représenté, ainsi
que les lions qui aidèrent
Saint Antoine à creuser
la tombe de l’ermite
après la mort de ce
dernier.
Icône copte du XVIIIème siècle ap J.C. découverte au Monastère de
Saint Antoine, Mer rouge, représentant Saint Antoine (à gauche)
visitant l’anachorète St Paul de Thèbes (à droite) vers la fin de la vie
de celui-ci. Musée copte, Le Caire
82. St Jean Baptiste
Œuvre d’Ibrahim
le Scribe, 18ème
siècle, Église du
couvent Saint
Mercure, Le Caire
Décapité sous
Hérode, le
précurseur
tourne son
visage ascétique
vers une coupe
où repose sa tête
coupée.
83. Saint Cosme et Saint Damien accompagnés de leurs frères
Anthime, Léonce, Euprépius et de Théodote leur mère.
Œuvre de Jean l’Arménien XVIIIème siècle, église Suspendue,
Vieux Caire
Les deux médecins martyrisés sous Dioclétien sont accompagnés
de leurs frères qui suivirent leur exemple.
84. Vierge à l’enfant
Icône signée par le
prêtre Manqarios, fin
du XVIIème siècle.
Les personnages aux
visages rond, aux
grands yeux cernés
d’un trait noir, et la
colombe (symbole du
Saint Esprit) sont
typiques du style
égyptien.
94. L'Église copte connaît aujourd'hui un
renouveau spirituel et iconographique
réjouissant.
Encore faut-il éviter les pièges du
modernisme ! C'est dans ce sens que
l'iconographe authentique est théologien.
Toutefois des artistes comme Isaac Fanous,
Adel Nassief, Youssef Nassif et son épouse
Boudour Latif, et bien d’autres, renouent
avec les traditions anciennes et conservent
les symboles et la spiritualité des icônes
coptes.
95. Prière du Christ
dans le jardin de
Gethsémani avant
son arrestation
Cathédrale de La
Sainte Vierge,
Zeitoun, Le Caire
96. Vitrail représentant la fuite de la Sainte Famille en
Égypte, L’église de la Sainte Vierge à Maadi
104. Il fut l’un des disciples
de Saint Antoine et
devint l’un des pères
de l’église. Il est le
20ème patriarche de
l’Église Copte (4ème
siècle Ap. JC).
Saint Athanase
107. "Lève-toi, prends avec toi l'enfant Jésus et sa mère,
et fuis en Égypte..." (Matthieu 2 : 13)
108.
109. Sur tous les lieux visités par la Sainte Famille, les chrétiens d'Égypte
ont construit des églises ou des monastères à l’intérieur desquels se
trouvent des multitudes d’icônes.
Dômes de l’église Saint Antoine, Mer Rouge
110.
111. L'Église de Zeitoun : célèbre pour les apparitions de la Sainte Vierge
sur ses dômes durant toute une année en 1968.
112.
113.
114. Saint Marc a écrit l’un des
quatre évangiles qui se
trouve dans la Bible.
Il a installé la première
école théologique au
monde en Égypte (l’école
d’Alexandrie) : le premier
catéchisme sous forme de
questions et réponses.
115. Jésus-Christ a choisi la maison de Saint
Marc à Jérusalem pour y célébrer la
Pâque Juive et instaurer l’Eucharistie.)
116. C’est aussi dans la
maison de Saint
Marc que le Christ
a lavé les pieds de
ses disciples, et
c’est là encore où
Le Christ leur est
apparu après sa
résurrection.
117. Il est le premier
Pape de l’Église
Copte.
Il devint un des
grands martyrs de
l’Église universelle
en mourant à
Alexandrie en l’an
68 Ap. JC, torturé
par les romains.
136. Visite de Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II à Sa Sainteté
le Pape Chénouda III – Le Caire, Février 2000
137. « La lumière de l’Orient a illuminé l’Église Universelle…
Mon regard se tourne vers les Églises d’Orient… C’est de
l’Orient que reviendra notre Sauveur ! »
S.S. Pape Jean-Paul II (Orientale Lumen)
138. 1- Images de l’Égypte chrétienne, Iconologie copte -
Mahmoud Zibawi - Edition Picard
2- L’incarnation de la Lumière (le renouveau iconographique
copte à travers l’œuvre d’Isaac Fanous) - Ashraf et
Bernadette SADEK - Édition Le monde copte 29-31
3- Les Coptes - Revue Les dossiers d’archéologie : n° 226 -
Sept 97
4- Les coptes, deux mille ans de chrétienté en Égypte -
Supplément de L’Express : Février 2000
5- La passion copte : chrétiens d’Égypte - Revue Notre
Histoire : n° 178 – juin 2000
6- L’Égypte chrétienne : les coptes - Revue double page : n°
44 –1986
7- La Prière, respiration vitale - Daniel Ange - Édition des
Béatitudes - Mars 2004
Bibliographie :
139. L’église Archange Michel et Saint Georges vous remercie
de votre intérêt pour l’iconographie copte.