S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
Revue de presse de la semaine 38 2012
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 17 au 21 Septembre 2012
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Crise du logement : les premières mesures du
gouvernement
Le 17/9/2012
Premier poste de dépenses des ménages, devant l'alimentation et le transport, le logement n'a
cessé de voir son poids croître au cours des vingt dernières années. Si un ménage sur deux
consacre plus de 18,5 % de ses revenus à son habitation principale, ce " taux d'effort médian "
monte à 26,9 % pour les locataires du parc privé, indiquait une étude du ministère du logement
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2. publiée en mars 2012. Dans les grandes villes, étudiants, jeunes salariés, mais aussi familles
issues des classes moyennes doivent arbitrer entre surface, éloignement et prix.
Face à une situation unanimement dénoncée comme folle, le gouvernement se devait d'agir.
Précisée en conseil des ministres le 18 juillet, la feuille de route de la ministre du logement, Cécile
Duflot, est claire, à défaut d'être facile à tenir. Elle repose sur deux principaux objectifs : ralentir la
hausse des loyers et réussir à construire 500 000 logements par an sur la durée de la mandature,
dont 150 000 sociaux. " C'est très ambitieux mais nécessaire, dans une situation où le secteur de la
me
construction, très fragilisé, a besoin d'un signal fort ", a reconnu M Duflot.
Les prétentions gouvernementales, en droite ligne avec la promesse faite par François Hollande
durant la campagne présidentielle, arrivent en effet au moment où la conjoncture de la construction
n'a jamais été aussi mauvaise. Entre avril et juin 2012, les constructions immobilières neuves se sont
effondrées de 14 %, par rapport à la même période en 2011.
Le rabotage et la disparition programmée au plus tard au 31 décembre 2012 du dispositif Scellier - un
rabais fiscal accordé aux investisseurs achetant des logements neufs afin de les louer - et le
resserrement du prêt à taux zéro expliquent en partie ces mauvais résultats. La crise qui pèse sur les
budgets des ménages a aussi joué.
Certes le gouvernement se veut proactif. Mais, pour l'instant, les premières mesures qu'il a fait
adopter ne vont pas agir directement sur l'offre. La première est plutôt d'ordre symbolique, puisqu'elle
consiste à abroger la loi du 20 mars 2012 relative à la majoration des droits à construire, dernier texte
du quinquennat Sarkozy, qui ajoutait 30 % de droits construire à tous les terrains à bâtir, mais qui n'a
pas eu le temps d'être appliquée.
La seconde, très attendue, met en place un dispositif d'encadrement des loyers dans 38
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agglomérations, 27 en métropole et 11 dans les départements d'outre-mer. Entré en vigueur le 1
août 2012, ce décret n'agira cependant pas sur les causes de la crise immobilière - en particulier la
pénurie de logements abordables.
Pour atteindre son objectif des 500 000 logements annuels, le gouvernement compte actionner
d'autres leviers, notamment la réforme des aides à la pierre (subventions de l'Etat à la construction
neuve) et l'augmentation du plafond du livret A, principal financeur du logement social . Ainsi, mercredi
22 août, le ministre de l'économie et des finances Pierre Moscovici annonçait une augmentation du
plafond du Livret A de 25 % et le doublement de celui du Livret de développement durable. Ces
plafonds sont respectivement portés à 19 125 euros et 12 000 euros, par un décret publié en
septembre et qui entrera en vigueur "dans les meilleurs délais".
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3. La mise à disposition de terrains appartenant à l'Etat pour construire des logements sociaux est
aussi un moyen de doper la construction. Les premières cessions gratuites pourraient commencer à
l'automne, une fois fait l'inventaire des terrains disponibles. A Paris, 8 050 logements sont envisagés
sur 59 hectares, selon le ministère. Dès 2012, 11 000 logements pourraient être mis en chantier sur
du foncier public en Ile-de-France.
Lors de la réunion des préfets à Matignon, le 31 juillet, Jean-Marc Ayrault a aussi confirmé que le
gouvernement porterait à 25 % au lieu des 20 % actuels, le taux minimal de logements sociaux par
commune, dans le cadre de la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) du 13 décembre 2000.
Dans la foulée, le niveau des pénalités pour les communes " mauvaises élèves " devrait être relevé.
Même si ces mesures sont menées tambour battant, il faudra sûrement du temps pour inverser la
tendance et réussir à tenir l'objectif de construction. Début août, en attente de voir les premiers
résultats de sa politique, Mme Duflot a néanmoins eu une première satisfaction : obtenir en 2013 un
budget global de 8,2 milliards d'euros, soit une somme identique celle de 2012.
Source : LeMonde.fr
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4. L'immobilier parisien attire les fonds souverains
18/9/2012
INFOGRAPHIE. L'avenue des Champs-Élysées garde toujours la cote auprès des investisseurs.
Aux côtés des classiques VIIIe et XVIe arrondissements, les fonds souverains parient aussi sur
le développement du XIIIe arrondissement.
Pour investir leurs immenses liquidités, les grands fonds souverains se tournent vers l'immobilier. En
2011, selon SIL Bocconi, ils auraient déboursé 13,4 milliards de dollars, sur un total de 81 milliards,
dans cette tranche d'actif. Environ un quart de cette somme est alloué à l'immobilier européen, réparti
essentiellement entre Londres et Paris. Selon une étude du centre de recherche IEIF, les grands
fonds souverains auraient ainsi acquis depuis deux ans pour près de 4 milliards d'euros de biens
réputés de prestige à Paris.
Plutôt que d'investir dans l'immobilier coté, les grands investisseurs parapublics privilégient les
opérations en direct. Ils plébiscitent le traditionnel quartier central des affaires de Paris, une zone,
définie par la chambre de commerce de Paris, qui comprend le VIIIe arrondissement et des parties
des Ier, IIe, IXe, XVIe et XVIIe arrondissements. Au cœur de ce quartier, la valeur symbolique de
l'avenue des Champs-Élysées ne se dément pas.
Au début de l'été, le fonds du Qatar QIA a ainsi mis sur la table plus de 500 millions d'euros pour
s'offrir l'immeuble du magasin Virgin, au numéro 52-60. Quelques semaines plus tard, le fonds de
Norvège rachetait à Generali la moitié de l'immeuble situé au numéro 100 de l'avenue.
Un goût pour les palaces
Un mouvement de diversification se dessine toutefois. Depuis le début de l'année, les fonds
souverains ont élargi leurs centres d'intérêt pour miser en parallèle sur des quartiers en plein
développement. Les fonds de Norvège et de Hongkong ont ainsi acquis chacun un immeuble dans le
nouveau quartier des affaires du XIIIe arrondissement, avenue de France pour les Norvégiens et
avenue Pierre-Mendès-France côté hongkongais.
L'acquisition de grands hôtels et palaces reste également très appréciée des Qatariens. Katara
Hospitality, une entité contrôlée par le fonds souverain de la famille régnante, va mettre la main sur
quatre fleurons du Groupe du Louvre, dont à Paris l'Hôtel du Louvre et le Concorde Lafayette. Dans la
capitale, le holding détenait déjà le Royal Monceau. En 2007, il avait acquis l'ancien centre de
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5. conférences avenue Kléber qui, reconverti en palace, ouvrira l'année prochaine sous la marque -
Peninsula.
Source : Le Figaro.fr
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6. Nouveau Scellier: l'investissement locatif Duflot est-il si
attractif?
Le 19/9/2012
La ministre du logement a dévoilé mercredi les grandes lignes du dispositif appelé à remplacer
le Scellier pour favoriser l'investissement locatif. Reste à savoir s'il est aussi incitatif qu'elle le
dit. Décryptage.
Le nouveau dispositif d'incitation à l'investissement locatif qui entrera en vigueur début 2013 sera plus
intéressant fiscalement que le Scellier.
Très attendu pour remplacer la loi Scellier, qui disparaîtra le 31 décembre 2012, le nouveau dispositif
en faveur de l'investissement locatif, annoncé aujourd'hui par Cécile Duflot, a plutôt rassuré le petit
monde de la promotion immobilière touchée par la crise. Interrogée par le Figaro, la ministre du
logement a de fait vanté "un dispositif plus incitatif fiscalement". Qu'en-est-il vraiment?
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7. A première vue, ce nouveau mécanisme, plus social - avec ses loyers de 20% en dessous du marché-
, a de quoi séduire : c'est un système simple pour les acheteurs, avec une réduction d'impôt de 17% à
20% (contrairement à l'amortissement) étalée sur 9 à 12 ans (contre 13% pour le Scellier "classique").
Et, pour les locataires, c'est l'occasion de louer un logement neuf au prix d'un ancien. Bref, c'est un
bon compromis pour faire repartir le marché du neuf et relancer l'offre de nouveaux logements à louer.
Deux interrogations majeures
Cependant, à y regarder de plus près, le dispositif pourrait se révéler moins attractif que prévu.
D'abord parce que, en choisissant la réduction d'impôt, le gouvernement inclut (sauf changement
ultérieur) le dispositif " Duflot " dans le plafond des niches fiscales, soit 10.000 euros par an. Si
l'investisseur possède déjà un appartement acquis en Scellier, il ne pourra pas profiter en même
e
temps des avantages du " Duflot ", en cas de 2 achat : pour un bien de 300.000 euros, la réduction
s'élève à 60.000 euros sur 9 ans, soit plus de 7.000 euros par an. Pour deux appartements, c'est
14.000 euros, soit 4.000 euros de plus que le plafond autorisé. Or, ce sont ces acheteurs aisés, déjà
propriétaires de biens locatifs, qui investissent en temps de crise. A l'exclusion des classes moyennes
visées par Cécile Duflot.
Ensuite, en baissant les loyers de 20%, le gouvernement oblige les promoteurs à vendre leurs
logements moins chers. Ce qui peut se révéler difficile, compte tenu des prix du foncier. Un exemple :
au centre de Toulouse, les loyers tournent aux alentours de 11 euros le mètre carré. Si la décote
prévue par le gouvernement est appliquée, les loyers tomberaient à 8,8 euros. Or, pour que
l'investissement vaille le coup (avec une rentabilité à 3,5%), l'acheteur devra acquérir son bien 20%
moins cher. Des prix de vente à la baisse impossibles à tenir, selon les promoteurs de la région.
" Même si la mesure va dans le bon sens, je crains que ses effets (si les modalités n'évoluent pas), ne
restent limités ", regrette Guy Nafylian, président de Kaufman and Broad. Et que les 40.000 logements
locatifs supplémentaires espérés en 2013 ne soient pas au rendez-vous.
Source : L’Expansion.com
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8. Des immeubles « low cost » pour répondre à la crise du
logement
Le 20/9/2012
L’UNPI relance le débat de la construction de logements sur la notion d’ «
habitat essentiel ».
L’UNPI relance le débat de la construction de logements sur la notion d’ « habitat essentiel ».
(Philippe Huguen - AFP)
L'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) a suggéré la construction de logements à bas
prix pour répondre à la crise du logement, une idée qui pourrait aussi favoriser la reconversion de
sites industriels dans la production en France d'éléments préfabriqués. Dans une série de propositions
souvent iconoclastes, l'organisation, virulente contre des « contraintes » actuelles qu'elle juge
excessives, prône notamment de supprimer les ascenseurs, quitte à n'offrir l'accès aux handicapés
qu'aux seuls appartements « situés en rez-de-chaussée ».
C’est « une fausse bonne idée », a immédiatement rétorqué la Fédération des ascenseurs, qui « tient
à faire remarquer que les personnes handicapées ne sont pas les seules à avoir un besoin vital des
ascenseurs. Il y a aussi les mères de famille avec de jeunes enfants, les femmes enceintes, les
personnes âgées ». L'organisation dénonce, par ailleurs, « l'accumulation de contraintes qui finit pas
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9. interdire la mise sur le marché de logements » dont la « surenchère » d'exigences environnementales
pour la construction, et pointe du doigt les normes sur « l'accessibilité physique » qui ont « tué
l'accessibilité financière » des logements.
Pour l’UNPI, « la question est simple : voulons-nous des logements parfaits, avec des centaines de
milliers de demandeurs de logements ou voulons-nous mettre en œuvre des moyens pratiques
nouveaux pour répondre aux besoins ? ». Son président, Jean Perrin, demande à la France de
s'engager dans une « nouvelle voie », celle de « l'habitat essentiel », autrement dit à bas coûts, qui
permettrait de faire face à l'actuelle pénurie logements dans le pays. L'objectif serait de « faciliter le
logement de tous » en permettant des « loyers modiques ».
En bannissant tout équipement « superflu », et en ayant recours à des process industriels, l'UNPI
espère réduire les coûts de construction à 900 €/m² contre 1 400 à 1 700 €/m² actuellement. Citant
l’exemple su secteur automobile, qui, « en dépit d'exigences réglementaires fortes liées notamment
aux impératifs de sécurité », est parvenu à élaborer le concept de la « voiture à bas coût », moins
chère et « adaptée au déplacement urbain », l’association de défense des bailleurs privés propose de
recourir à la préfabrication ou la fabrication en série d'éléments du bâtiment « comme des modules de
salle de bain ou de cuisine ». Certains sites industriels pourraient se reconvertir dans la production de
ces éléments, contribuant ainsi à maintenir ou augmenter l’emploi dans l’Hexagone.
Enfin, l’UNPI préconise de s’orienter vers de nouveaux mode d’habitat s’inspire du succès des
colocations pour proposer « un autre mode d'occupation » qui se traduirait, par exemple, par « une
multiplication des espaces collectifs » permettant ainsi de réduire la taille des pièces des
appartements. « Les laveries déjà fréquentes dans les résidences étudiantes pourraient être
complétées par des espaces de séjour commun », affirme l'organisation. Pour mener à bien son
projet, l'UNPI demande le soutien des pouvoirs publics, en réduisant la TVA sur la construction ou en
baissant l'imposition fiscale du bailleur.
Source : LeNouvelObs.com
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10. Investir dans la location meublée pour préparer sa retraite
Le 20/9/2012
A l'heure où l'investissement locatif fait l'objet de nouveaux coups de rabot, certains investissements
immobiliers, comme la location meublée de biens non professionnels, conservent tout leur attrait.
Surtout en vue de préparer sa retraite et d'obtenir des revenus réguliers.
A l’heure où les investisseurs se creusent sérieusement la tête pour savoir où aller trouver du
rendement, les spécialistes des placements retraite font également tourner leurs calculettes pour
trouver les meilleures solutions. Pas évident en cette période de refonte fiscale, de crise du
financement et d’incertitude géopolitique d’imaginer ce que seront les rentes de demain. Et ce, alors
que la préparation en amont de sa retraite n’a jamais été aussi impérative. Certains, comme Benjamin
Nicaise, président de la plateforme immobilière Cerenicimo, s’est par exemple, longuement penché
sur le sujet. Pour lui, les solutions immobilières sont les plus prometteuses. Mais pas n’importe
lesquelles. Commentant les dernières annonces de Cécile Duflot pour relancer l’investissement
locatif, il se montre tout d’abord assez noir sur le dispositif retenu. «Il fallait une réforme de fond. Or, le
processus retenu aboutira surtout à une baisse des rendements pour les investisseurs qui ne
répondront sûrement pas massivement présents. Du coup, même en relevant les minima de
construction de logements sociaux, il n’est pas sûr qu’ils soient construits!», lance-t-il.
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11. Les atouts pérennes du statut du LMNP
Selon ce professionnel, l’outil actuel le plus intéressant et peu susceptible d’être «revisité» par les
services fiscaux est le LMNP. Ce statut LMNP (loueur en meublé non professionnel) permet d’investir
dans des biens immobiliers locatifs en générant des revenus sécurisés et non fiscalisés grâce aux
amortissements différés. D’un point de vue fiscal, la location d’un bien immobilier meublé constitue
une activité commerciale dépendant du régime des BIC (bénéfices industriels et commerciaux) non
professionnels. Le principe consiste à se porter acquéreur d’un bien immobilier neuf ou ancien,
meublé, permettant de se constituer une rente défiscalisée. Le logement doit être loué meublé à
usage d’habitation (cela peut aussi bien prendre la forme de chambres d’hôte et autres gîtes ruraux;
d’une partie de la résidence principale du loueur; la location saisonnière d’une villa ou d’un
appartement; de logements situés dans une résidence de tourisme, étudiants, ou médicalisée de type
EHPAD, et confiées par bail commercial à un exploitant professionnel.
Un rendement de 4%
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12. Et de fait, ce type d’investissement permet de dégager un rendement annuel tournant autour de 4% et
de percevoir à terme une rente annuelle bien supérieure à celle issue de placements dans
l’assaurance-vie ou un PERP, sans toucher au capital, c'est-à-dire le bien en lui-même, que l’on peut
toutefois vendre en cas de besoin. Investissement que Benjamin Nicaise juge beaucoup plus
approprié dans une logique de préparation de sa retraite que des parts de SCPI ou OPCI, les
rendements offerts par ces produits étant largement écornés par les impôts. Reste aussi la possibilité
d’acquérir un bien immobilier tout simplement en vue de l’habiter lors de l’arrêt de l’activité
professionnelle. Mais là, il ne faut pas compter sur des revenus réguliers.
Source : LaTribune.fr
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13. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39
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