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Revue de presse kylia semaine 22

KYLIA France
4 de Jun de 2012
Revue de presse kylia   semaine 22
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  1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 28 Mai au 1 Juin 2012 Achat immobilier : les seniors de plus en plus nombreux Le 28/5/12 Selon les Notaires de France, la part des seniors augmente parmi les acquéreurs immobilier (SIPA) Selon les Notaires de France, la part des seniors augmente parmi les acquéreurs immobiliers. Dans sa dernière note de conjoncture, qui mettait notamment l’accent sur le fort ralentissement des transactions constaté au premier trimestre 2012, les Notaires de France ont également étudié le profil des acheteurs ces quatre dernières années et constatent une part de plus en plus importante des seniors parmi les acquéreurs immobiliers. Entre 2008 et 2011, la part des 60 ans et plus sur le marché de l’ancien est passée de 12,3 % à 14,5 % tandis que celle des moins de 30 ans a reculé de 19,1 % à 16,6 %. « En première analyse, il paraît légitime de mettre en cause le vieillissement de la population, remarquent les Notaires. Les données démographiques de l’INSEE confirment en effet l’augmentation de la proportion de personnes âgées. En revanche, on n’observe pas de baisse de celle des jeunes au niveau national ». Plus précisément, « si l’on considère les tranches d’âge de 60 à 75 ans d’une part et de 20 à 29 ans d’autre part, il apparaît bien une croissance sensible de la première, qui passe de 20,9 % à 22,3 %, alors que la seconde est stable à 18,7 % », soulignent-ils. 1
  2. Outre l’attentisme de début d’année lié au contexte électoral, les plus jeunes acquéreurs qui peinent à s’insérer dans le marché du travail ne peuvent évidemment pas remplir les conditions requises par les banques pour financer un achat immobilier : sans CDI, avec une certaine ancienneté et un minimum d’apport personnel, pas de crédit immobilier ! Sans compter le niveau des prix toujours élevés et la fin du PTZ Plus dans l’ancien qui pénalisent les primo-accédants, alors que les taux des crédits immobiliers sont toujours orientés à la baisse. En conséquence, seuls les ménages seniors peuvent se lancer dans des projets immobiliers et disposent des capitaux suffisants pour soit changer de résidence principale, soit investissent dans l’ancien pour réaliser un investissement locatif, en prévision de se constituer un complément de retraite. Derrière cette tendance nationale se cachent des évolutions contrastées selon les régions. Ainsi, la hausse de la part des 60-75 ans est presque deux fois moins forte en Alsace et en Midi-Pyrénées qu’en Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté ou Picardie. La part des 20-29 ans est en recul dans l’ouest (Bretagne, Limousin, Pays de Loire et Poitou-Charentes) mais elle se renforce au contraire en Ile-de-France, Rhône-Alpes et Provence–Alpes-Côte d’Azur. « La démographie régionale va dans le même sens : même si les proportions évoluent peu sur cette courte période (2005-2010 pour les variations régionales), la part des jeunes recule dans les régions de l’ouest, où l’accession à la propriété est traditionnellement forte, et se renforce dans celles qui englobent les plus grandes métropoles où l’accession est plus difficile », constatent les Notaires. Source : Challenges.fr 2
  3. Le « Scellier » sera bien supprimé au plus tard fin 2012 Le 29/5/12 La ministre du Logement, Cécile Duflot, a confirmé au président de la Fédération française du bâtiment que le dispositif fiscal destiné aux investisseurs achetant des logements neufs pour la location serait supprimé avant le 31 décembre 2012. Le dispositif fiscal « Scellier », destiné aux investisseurs achetant des logements neufs pour les louer, sera bien supprimé comme prévu « au plus tard » le 31 décembre 2012, a confirmé mardi la ministre du Logement Cécile Duflot au président de la Fédération française du bâtiment (FFB) Didier Ridoret. « Mme Duflot nous a indiqué que le +Scellier+ sera supprimé au plus le 31 décembre 2012 », a déclaré à l'AFP M. Ridoret à l'issue de sa première entrevue avec la nouvelle ministre du Logement. Le président de la FFB a indiqué qu'il avait pour sa part plaidé pour le « maintien » en 2013 d'un dispositif qui puisse soutenir l'achat de logements neufs par des investisseurs privés en vue de les louer. En 2008, alors que les ventes des promoteurs immobiliers s'étaient effondrées de 40% en raison de la crise économique mondiale, le gouvernement de l'époque avait mis en place un taux de réduction d'impôt dit « Scellier », soit 25% du prix d'achat étalé sur neuf ans, pour doper les ventes, un taux que les promoteurs admettent désormais qu'il avait été « calibré trop haut ». Grâce à ce puissant dispositif, qui coûte cher en moindres rentrées fiscales dans les caisses de l'Etat, la part des ventes aux investisseurs avait atteint un record (près des deux tiers du total des ventes des promoteurs) en 2009 et 2010 grâce à la popularité du « Scellier » auprès de contribuables souvent aisés. Mais le « Scellier » avait été « raboté » à un taux de 13% en 2012 (après 22% en 2011), ce qui a incité de nombreux promoteurs, au vu aussi de la conjoncture économique, à fortement ralentir le lancement de nouveaux programmes et le dépôt de permis de construire en raison d'un effondrement des ventes. La crainte de certains promoteurs est de voir le gouvernement, par le biais d'une loi de finances rectificative, supprimer le « Scellier » avant sa fin programmée par le précédent gouvernement fin 2012. Source : LesEchos.fr 3
  4. Crédit immobilier : le nombre de candidats refoulés explose Le 29/5/12 Depuis début 2012, le robinet du crédit se referme et les cas de refus se multiplient. Les bons clients sont encore choyés, mais sans doute plus pour longtemps. Un prêt à 1%, sans montant limite ni conditions d’octroi : c’est le financement canon auquel l’ensemble des banques françaises a eu accès en février dernier au guichet de la Banque centrale européenne, dans le cadre du plan de sauvetage de la Grèce… Le moins qu’on puisse dire, c’est que les particuliers ne sont pas logés à la même enseigne. Certes, une fois renfloués, la plupart des établissements prêteurs ont fait un geste envers leurs clients, en abaissant un peu leurs taux de crédit immobilier : en moyenne, ceux-ci ont reculé de 0,16 point entre février et mi-avril. Mais dans le même temps, les conditions d’octroi des prêts se sont considérablement durcies. «Les banques appliquent désormais la politique du risque zéro», affirme Jérôme Robin, président du courtier Vousfinancer.com. De quoi expliquer en bonne partie le plongeon de 49% des crédits à l’habitat sur un an. Premiers à trinquer : les salariés en CDD, qu’aucune banque n’accepte plus de financer, sauf les spécialistes comme le Crédit foncier. Les ménages sans apport personnel, qui s’endettent à hauteur de 110% pour payer les frais de notaire, ne sont pas les bienvenus non plus : la Société générale et la Banque populaire Rives de Paris, par exemple, leur claquent désormais la porte au nez. Quant aux candidats au budget trop serré pour s’endetter sur moins de vingt-cinq ans, ils se font sérieusement assaisonner : le taux qu’on leur réserve excède souvent 5% (la Banque postale et Boursorama sont les plus accueillants), quand ils ne sont pas éconduits d’office, comme chez HSBC. 4
  5. Si votre profil d’emprunteur est béton, vous avez pour l’instant moins de souci à vous faire (lire le cas «excellent dossier» de notre tableau). Mais gare, les conditions de crédit pourraient vite se détériorer. Une fois la présidentielle passée, les craintes sur les comptes publics risquent de ressurgir. La pression obligeant les banques à renforcer leur solvabilité devrait ainsi s’accroître. «Les taux grimperont sans doute d’un point d’ici fin 2012», pronostique Philippe Taboret, directeur général adjoint du courtier Cafpi. Dès la fin de l’été, emprunter à moins de 5,5% exigera de présenter un profil de bon père de famille, sans découvert bancaire depuis six mois, et avec 20% d’apport minimum. Et décrocher un taux inférieur à 5% sera réservé aux clients disposant d’une capacité d’épargne d’au moins 800 euros par mois. Source : Capital.fr 5
  6. La crise du logement neuf s'aggrave en France Le 30/5/12 Les ventes de logements neufs par les promoteurs ont chuté de 14,4% à fin mars. Les mises en chantier ont pour leur part plongé de 22,5% de février à avril. Mauvaise nouvelle pour le nouveau gouvernement: la crise du logement neuf s'aggrave avec une chute des ventes et un plongeon des mises en chantier, sans perspective d'amélioration à brève échéance au regard du nombre également en repli des permis de construire accordés. Selon les chiffres publiés par le ministère du Logement, les ventes de logements neufs par les promoteurs ont chuté de 14,4% sur un an au premier trimestre 2012. Les mises en chantier ont pour leur part plongé de 22,5% pour la période février-avril, comparée aux trois mêmes mois de 2011. Le recul est moins sévère sur le front des permis de construire, mais le nombre de permis accordé accuse tout de même un repli de 2,0% sur les deux mêmes périodes. «Le plongeon s'accentue. Plus aucun segment du marché n'y échappe. Après le secteur individuel, c'est le collectif qui est touché, aussi bien pour le privé que pour le social», explique à l'AFP Michel Mouillart, professeur d'économie à l'Université Paris-Ouest et expert du secteur. Les mises en chantier ont diminué de près de moitié entre décembre et avril. Devant l'ampleur du phénomène, Michel Mouillart révise à la baisse sa prévision pour 2012: il n'en attend plus que 320.000 à 340.000 (contre 345.000 à 350.000 précédemment). Un tel niveau serait le plus bas depuis 2004, à l'exception de la catastrophique année 2009 (299.913). «L'objectif de 500.000 logements neufs par an (ndlr, affiché par François Hollande pendant la campagne présidentielle) est mal parti pour 2013 et les années suivantes à moins qu'il y ait des décisions rapides sur les stratégies à mettre en œuvre en matière d'aide au logement», estime Michel Mouillart. Le dispositif fiscal «Scellier», destiné aux investisseurs achetant des logements neufs pour les louer, sera bien supprimé comme prévu «au plus tard» le 31 décembre 2012, a confirmé hier la ministre du Logement Cécile Duflot au président de la Fédération française du bâtiment (FFB) Didier Ridoret. 6
  7. Le prix au m2 toujours en hausse En 2008, alors que les ventes des promoteurs s'étaient effondrées de 40% en raison de la crise mondiale, le gouvernement avait mis en place un taux de réduction d'impôt dit «Scellier», soit 25% du prix d'achat étalé sur neuf ans. Les promoteurs admettent désormais qu'il avait été «calibré trop haut». La conjoncture et le «coup de rabot» sur le «Scellier», avec un taux ramené à 13% cette année, ont incité de nombreux promoteurs à fortement ralentir le lancement de nouveaux programmes et le dépôt de permis de construire en raison de la chute des ventes. «Même si nous n'avons pas de stock de logements à vendre, nous nous adoptons en ne lançant pas ou en réduisant la taille de certains programmes», confie à l'AFP Mathias Bertojo, directeur général du promoteur Spirit. Seulement 19.600 logements neufs ont été vendus par les promoteurs pendant le premier trimestre de 2012. Le pourcentage officiel de baisse (14,4%) est toutefois moindre que celui de 25% avancé le 10 mai par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). «Seule une baisse des prix d'offre pourra, sur les marchés tendus, permettre désormais de réenclencher la marche en avant de la première accession» à la propriété, écrit Gilbert Emont, dans un livre «Logement: pronostic vital engagé» à paraître en juin (Editions Economica). Mais les prix continuent d'augmenter: au premier trimestre, le prix moyen au mètre carré des logements collectifs neufs affiche une hausse de 1,7% sur un an. Il s'est aussi accru de 2,9% dans le secteur individuel, selon le ministère. Source : LeFigaro.fr 7
  8. Baisse modeste des prix de l'immobilier à Paris Le 31/5/12 Les prix de l'immobilier ancien à Paris amorcent enfin la baisse tant attendue Crédit: Jean-Christophe Marmara Au premier trimestre, les prix ont reculé d'1,1% dans la capitale. Du coup, la baisse ne devrait pas dépasser les 5% cette année à Paris. Les prix de l'immobilier ancien à Paris amorcent enfin la baisse tant attendue. Mais ce reflux est encore très modeste. Selon la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France, les prix n'ont reculé que de 1,1% dans la capitale au premier trimestre. La baisse est plus marquée qu'en proche banlieue. Notamment dans les Hauts-de-Seine ou la Seine-Saint-Denis où elle na pas dépassé 0,4%. N'empêche, le m2 moyen à Paris vaut toujours plus de 8000 euros. Très exactement 8260 euros fin mars. Pas si loin du record établi à la fin de l'année dernière lorsque le m2 avait atteint la valeur record de 8380 euros. En tout cas, cette baisse n'efface pas la hausse intervenue précédemment. Depuis un an, les appartements parisiens ont vu leur prix grimper de 7%. Un coup d'œil dans le rétroviseur donne encore plus le vertige. «Au cours des cinq dernières années, les prix dans le quartier d'Odéon ont augmenté de 67,3% et ceux à Rochechouart de 56,3%», constate Thierry Delesalle, notaire à Paris. 8
  9. Le marché est encore hésitant De fait, même depuis un an, les évolutions diffèrent suivant les arrondissements. Le plus inflationniste? Le IXe où les prix du m2 ont progressé de 10,5% à 8790 euros. Aujourd'hui, il y a même plus de six arrondissements où le m2 vaut en moyenne plus de 10.000 m2. Finalement, c'est dans le XVIe arrondissement que les tarifs ont connu la progression la plus modérée avec une augmentation de 3,7% à 9420 euros le m2. Compte tenu de cette baisse mesurée intervenue au premier trimestre, difficile de prédire si ce recul des prix se poursuivra et sera significatif cette année. En janvier, la Fnaim avait dit s'attendre à une baisse de 10% cette année dans la capitale. Les notaires, eux, parient sur un recul bien plus limité qui ne devrait pas dépasser les 5%. Ainsi, dans les promesses de vente signées au premier trimestre qui déboucheront sur des actes de vente définitifs en juillet, le prix moyen a encore reculé à 8100 euros le m2. Mais les avant-contrats d'avril font état d'une légère remontée à 8210 euros le m2. Bref, le marché est encore hésitant et on ne peut parler d'un effondrement des prix comme l'espéraient beaucoup d'acquéreurs potentiels. Source : LeFigaro.fr 9
  10. A propos de KYLIA KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39 10
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