S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
S23 revue de presse kylia - semaine du 7 au 13 juin 2021
1. La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 7 au 13 juin 2021
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Reprise de la consommation : les Français sont
au rendez-vous
Le 07/06/2021
2. La revue de Presse KYLIA
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Le niveau des transactions par carte bancaire montre une nette reprise de la consommation annonce
Bercy : "lors de la deuxième semaine des réouvertures, du 24 au 30 mai, les dépenses par cartes
bancaires ont été de 15% supérieurs à leur niveau pendant la même période de 2019. Le dynamisme
de la consommation ne se dément donc pas après le rebond des premiers jours de réouverture (+20%
du 19 au 23 mai par rapport à la même période de 2019). Les dépenses par cartes bancaires dans la
restauration - alors que seules les terrasses sont ouvertes - sont à environ 85% de leur niveau de la
même période en 2019. Mêmes proportions dans l’hôtellerie."
Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
5. La revue de Presse KYLIA
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The Londoner
Cette fois, direction Leicester Square, où l’hôtel The Londoner s’apprête à ouvrir ses portes. Dans ce
quartier animé où touristes et promeneurs convergent massivement, un vaste complexe hôtelier
ouvrira en septembre prochain. Haut de 16 étages et équipé de 350 chambres (dont des suites et une
tour-penthouse), l’ensemble comprendra un nouveau cinéma Odéon de 2 salles, 6 options de
restauration (dont un ‘gastro tavern’ avec live music), une salle de bal, des salles de conférences, une
gym et un spa. Le clou de l’établissement ? L’élégant rooftop du 8e étage, où déguster une cuisine
japonaise contemporaine, autour d’un braséro design.
Pan Pacific London
Pour son premier hôtel européen, le groupe singapourien de luxe Pan Pacific a choisi de s’établir à
Londres, à Liverpool Street (Shoreditch). Lové dans une tour de 43 étages, l’établissement fera partie
du complexe immobilier One Bishopsgate Plaza. Outre ses 237 chambres et suites, et ses
160 résidences privées, le Pan Pacific London promet d’ores et déjà une partition culinaire attractive.
Relevons notamment la venue de la chef pâtissière Cherish Finden (bien connue des Britanniques
pour sa présence télévisuelle), qui supervisera l’Afternoon Tea du Orchid Lounge ; ainsi que le bar
Ginger Lily, dont la vaste offre de champagnes proposera plus de 100 références. À noter, l’offre
s’élargira encore fin automne, avec l’ouverture d’un second bar, dont le design sera signé Tom Dixon.
NYX Hotel London Holborn
Ouvert le 17 mai, le premier NYX Hotel (by Leonardo Hotels) du Royaume-Uni apporte son style arty,
pop et lifestyle au quartier très bien situé de Holborn. Entre toiles signées d’artistes locaux, station de
DJ et événements pop-up, rien ne manque pour célébrer la vie culturelle et noctambule de la capitale.
213 chambres, un spa, une piscine intérieure, un bar et un restaurant présideront un séjour design et
coloré, sur fond de luxe décontracté.
Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
6. La revue de Presse KYLIA
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Absence de facture = (grosse) amende ?
Le 08/06/2021
Actuellement, le fait, pour un professionnel, de ne pas délivrer de facture alors même que la
réglementation l’y oblige, entraîne l’application d’une amende fiscale égale à 50 % du montant de la
transaction… Ce qui, selon certains, paraît (légèrement) disproportionné. Qu’en pense le juge ?
Défaut de facture : des amendes disproportionnées… mais applicables temporairement
Le fait de ne pas délivrer une facture est aujourd’hui sanctionné par une amende fiscale égale à 50 %
du montant de la transaction.
Toutefois, si le fournisseur apporte, dans les 30 jours de la mise en demeure adressée par
l’administration fiscale, la preuve que l’opération a malgré tout été régulièrement comptabilisée,
l’amende est réduite à 5 % du montant de la transaction.
7. La revue de Presse KYLIA
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Des sanctions qui méconnaissent le principe de proportionnalité des peines et qui doivent être
déclarées contraires à la Constitution, selon une société, qui a donc saisi le juge en ce sens.
A l’appui de sa demande, elle indique :
que la sanction est encourue, même dans le cas où les sommes afférentes à la transaction
n’ont pas été soustraites frauduleusement à la TVA ;
que les taux de l’amende ne peuvent pas être modulés en fonction des faits reprochés au
fournisseur : le montant de l’amende peut donc être manifestement disproportionné dans
certains cas.
Des arguments qui suffisent à convaincre le juge. Bien qu’elles poursuivent l’objectif de répression
des manquements aux règles relatives à l’établissement des factures, les amendes en question
méconnaissent le principe de proportionnalité des peines : elles doivent donc être déclarées
contraires à la Constitution.
Précisons toutefois que le juge a tout de même décidé de reporter l’abrogation de ces amendes au 31
décembre 2021.
En conséquence, toutes les mesures prises par l’administration fiscale avant cette date ne pourront
pas être contestées sur le fondement de cette décision.
Source : Question prioritaire de Constitutionnalité du 26 mai 2021, n°2021-908
Source : www.bar-brasserie.fr
8. La revue de Presse KYLIA
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«La crise sanitaire a accéléré les difficultés de
recrutement dans le secteur de la restauration»
Le 09/06/2021
FIGAROVOX/TRIBUNE - La réouverture de l'intérieur des restaurants a lieu ce mercredi 9 juin. Le
secteur de la restauration va faire face à de graves difficultés de recrutement, prévient Bernard
Boutboul, directeur de Gira conseil, qui invite les restaurateurs à changer leurs méthodes de travail.
«Malgré un début d'année 2020 prometteur, la crise a provoqué des pertes historiques pour le
secteur de la restauration». Adobe Stock
Bernard Boutboul est directeur de Gira conseil, un cabinet de conseil spécialisé dans la restauration.
Malgré un début d'année 2020 prometteur, la crise a provoqué des pertes historiques pour le secteur
de la restauration. Avec une baisse de - 34 %, la restauration commerciale enregistre 36,9 milliards
d'euros de chiffre d'affaires en 2020. Les professionnels ont néanmoins su s'adapter pour maintenir
une activité et l'année 2020 aura surtout été une prise de conscience. Il a fallu fonctionner autrement,
et de ce fait, faire de la restauration autrement.
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Cette crise sanitaire va se poursuivre par une crise de croissance, avec plus de consommateurs
souhaitant se faire plaisir et passer du temps à table. Et donc plus de couverts qu'avant.
Or, cette crise a accéléré la pénurie de personnel déjà en cours depuis plusieurs années. Selon une
étude nationale de l'UMIH, 150 000 salariés de l'hôtellerie-restauration ont changé de métier depuis la
crise de la Covid-19. Changements d'aspirations, pénibilité du travail difficulté en termes d'horaires
(nombre d'heures, pas de valorisation des horaires de nuit, dimanche, jours fériés), problème de
rémunération, difficulté de service autant de facteurs qui ont poussé les travailleurs à changer de voie
pendant la crise.
Il sera donc encore plus compliqué dans les mois et les années à venir de trouver du personnel
qualifié et motivé.
On constate déjà que les pénuries de personnel devraient être fortes et donner des difficultés aux
restaurateurs, et celles-ci resteront fortes jusqu'au printemps 2022. Il sera donc encore plus compliqué
dans les mois et les années à venir de trouver du personnel qualifié et motivé. Se pose alors
aujourd'hui la question de mettre en place un nouveau modèle économique pour le restaurant, en
commençant par recruter autrement.
Comment ?
En valorisant les métiers de l'hôtellerie-restauration, avec un changement dans les conditions
de travail, en travaillant notamment sur une réorganisation des plannings.
En revalorisant les salaires.
En misant sur des profils différents, des retraités ou des étudiants comme peut le faire
l'enseigne McDonald's depuis de nombreuses années. L'entreprise doit maintenant s'adapter
à son salarié, en étant flexible sur les contrats et les horaires.
Recruter plusieurs petits contrats, même si le coût est plus élevé.
En établissant de nouveaux modes de recrutement, en adoptant la cooptation en interne.
Cette méthode permet de fidéliser son personnel actuel tout en les impliquant dans le
recrutement de nouveaux collaborateurs.
En rémunérant autrement, pour attirer des candidats plus nombreux. Avec des incentives sur
le chiffre d'affaires, sur la satisfaction client par exemple.
En prenant le temps de former ses collaborateurs, à leur poste mais aussi aux valeurs de
l'établissement. La formation a un coût mais permettra par la suite de fidéliser son personnel
tout en augmentant la productivité.
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En fidélisant ses collaborateurs en les impliquant dans des tâches différents (gestion des
stocks, administratif, communication…) et en déléguant certaines tâches, une preuve de
confiance. Pour fidéliser ses nouvelles recrues il est en effet important qu'elles comprennent «
le sens » de ce qu'elles font et qu'elles soient impliquées dans l'établissement.
La crise aura aussi permis une prise de conscience sur la nécessité de changer ses méthodes de
recrutement et de fidélisation des collaborateurs.
Les professionnels de la restauration devront donc encore une fois d'adapter, prendre du recul sur
leurs métiers et leurs façons de faire en imaginant de nouvelles organisations et de nouvelles
méthodes de travail. La crise ayant été une accélération dans bon nombre de domaines, elle aura
aussi permis une prise de conscience sur la nécessité de changer ses méthodes de recrutement et de
fidélisation des collaborateurs.
Source : www.lefigaro.fr
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Réouverture des discothèques : 30 juin ou 2
juillet ?
Le 10/06/2021
De g à d : Roland Héguy, Thierry Fontaine, Jérôme Guilbert et Didier Chenet.
Alors que le président de la République, Emmanuel Macron, a donné rendez-vous aux discothèques
le 21 juin sans autre précision officielle, les représentants du secteur se sont exprimés ce jeudi 10 juin
devant la presse, annonçant notamment que le protocole sanitaire de réouverture avait été validé par
le ministère de la santé. Les entreprises se disent prêtent à rouvrir le 30 juin, troisième phase du
déconfinement. A Bercy, il semble que ce soit le 2 juillet qui soit le plus probable. Il existait 1600
discothèques avant la pandémie, 200 ont déjà définitivement fermés. Les organisations
professionnelles estiment toutefois que 25% des établissements restant n'auront pas la capacité à
réouvrir dès cet été, faute d'une ventilation adaptée.
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Retrouvez toutes les dernières informations concernant la réouverture des discothèques dans notre
blog SOS Experts Covid-19
Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
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Le ras-le-bol
L’ennui, la monotonie, le sentiment d’avoir fait le tour de son affaire, l’envie de faire autre chose
peuvent être très fortement ressentis par un professionnel. Il faut, dans ce cas, avoir le courage et la
clairvoyance de reconnaître son état d’esprit et de prendre des dispositions. Cette situation se
rencontre fréquemment. C’est également elle qui, avec le divorce ou la séparation, peut provoquer le
plus de dégâts sur la valeur de l’affaire. Les professionnels peuvent se sentir fautifs. Ils n’en parlent
pas à leur entourage et ne prennent aucune décision. Comme ils ne s’occupent pas ou plus de leur
affaire, celle-ci va péricliter et d’autres types de problèmes surviennent (les finances, le personnel, la
qualité, les relations clients…).
La vente peut être une solution mais elle n’est pas la seule. Vous pouvez réfléchir à la diversification
de vos activités en complément de votre métier d’hôtelier-restaurateur. Vous pouvez également suivre
une formation dans un domaine que vous affectionnez particulièrement ou au contraire que vous
maîtrisez mal. Vous pouvez chercher à transmettre votre savoir ou encore vous impliquer dans la
défense de la profession... La vente est une bonne solution si c’est le bon moment économique pour
le faire.
L’incapacité, la retraite
L’incapacité et la maladie sont des situations imprévisibles. La retraite doit en revanche se préparer,
se chiffrer et se dater.
L’incapacité
- L’incapacité physique, qui vous empêche d’occuper votre poste au sein de l’entreprise, ne se résout
pas forcément par la vente de l’affaire. Chaque cas dépend du poste occupé, de l’importance de
l’affaire, de son état économique, de la période à laquelle cette incapacité arrive et de sa durée.
Certaines assurances permettent au dirigeant de prévoir la prise en charge de l’embauche d’un
remplaçant. La probabilité d’une incapacité temporaire ou permanente augmente évidemment avec
l’âge. Elle doit donc faire l’objet d’une réflexion et d’une décision (traiter ou ne pas traiter ce risque).
- Vous pouvez aussi faire gérer votre affaire par une société spécialisée. C’est un contrat de gestion
ou de management. Vous restez propriétaire de votre affaire, votre personnel reste en place et la
société se comporte vis-à-vis de vous comme un directeur qui vous rend des comptes régulièrement
et vous propose des options de gestion et commerciales. Son activité est définie dans un cahier des
charges qui est négociable et sa rémunération se fait par un pourcentage sur le chiffre d’affaires
réalisé et sur le résultat brut d’exploitation (RBE). Cette dernière possibilité n’est réservée qu’aux
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établissements réalisant un chiffre d’affaires (CA) suffisant pour supporter l’équivalent d’un salaire de
direction.
La retraite
- La retraite doit se préparer car elle va avoir des répercussions sur le niveau de vie future. Pour les
hôteliers, cela a d’autant plus d’importance s’ils ont toujours vécu dans un hôtel. En effet, ils peuvent
avoir perdu quelque peu la notion de ce que coûte réellement le fait d’être logé, blanchi, chauffé,
entretenu, et parfois même nourri.
- Cette période de la vie est une sorte de grand audit sur ses envies, sa capacité future à diriger et à
occuper son poste, son état de santé, celui de son conjoint, l’âge et la situation des enfants, leur
capacité à reprendre ou non l’affaire, la situation économique de la zone de chalandise, de la
concurrence, la situation financière de l’entreprise et son état général.
- La transmission de l’affaire à ses enfants doit s’analyser en profondeur. La même affaire dans les
années 1950 - ou auparavant - permettait de vivre à trois ou quatre générations, si chacune faisait sa
part en assurant l’entretien et la croissance. Les évolutions des modes de vie et des mentalités étaient
lentes, les villes se transformaient peu à peu. Aujourd’hui, les évolutions du plan local d’urbanisme
(PLU) présentent une quasi-révolution tous les cinq ans dans l’aménagement des villes : la
construction d’un palais des congrès, la reconstruction de la mairie à une autre adresse, l’arrivée
d’une sortie d’autoroute, la mise en chantier d’un nouveau quartier... Les plans annuels d’amélioration
de la circulation ont pour conséquence de vider les centres-villes vers les centres commerciaux et les
complexes cinématographiques.
- N’oubliez pas que votre histoire professionnelle et votre réussite sont les vôtre, et celle de votre
conjoint, en aucun cas celle de vos enfants. Il n’y a aucune raison pour que, dans un contexte
différent nécessitant des qualités et savoir-faire différents, le seul fait de porter le même nom soit une
assurance de réussite.
Le changement du statut matrimonial
C’est l’une des causes les plus fréquentes de la vente d’une affaire.
- Pour le divorce, le différent d’ordre strictement privé devient public. L’appréciation du temps est
généralement opposée pour chacun, l’un voulant aller vite et l’autre prendre son temps. L’affaire doit
cependant continuer à satisfaire ses clients, faire du chiffre, conserver son personnel, trouver un
acquéreur, etc.
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- Dans le cas d’un décès, la situation se complique du fait de la succession et de ses conséquences
quant à l’autorisation de vente à donner par les héritiers au survivant.
Une situation économique et financière insatisfaisante
En dehors de causes totalement extérieures comme une modification importante de la zone de
chalandise pour des raisons de PLU ou économiques, lorsqu’une affaire a des difficultés de
rentabilité, il faut faire établir un diagnostic humain, technique, financier et commercial.
Très souvent, l’application de concepts et démarches marketing permettent d’obtenir des résultats
parfois spectaculaires de redressement à condition qu’il soit posé un bon diagnostic au départ. Ce
n’est pas le plan d’action qui est difficile à concevoir et à mettre en œuvre, c’est le constat marketing,
notamment en faisant appel à un cabinet spécialisé dans les études de marché sur ce type d’activité,
bien que le coût puisse être un frein (surtout si l’entreprise est en forte difficulté financière) : la
révélation d’une mauvaise gestion, de mauvais choix professionnels et surtout la crainte que l’étude
préconise d’aller vers une forme d’hôtellerie et de restauration qui n’est pas souhaitée par l’exploitant.
Lorsqu’une affaire est en difficulté, il faut :
- réagir rapidement et ne pas ruminer sa déception en culpabilisant ;
- ne pas hésiter à s’entourer d’avis compétents pour diagnostiquer les causes réelles, notamment en
faisant réaliser un constat marketing ;
- accepter de reconnaître que l’on a fait fausse route et mettre en œuvre les préconisations.
L’envie de nouveaux projets, d’une nouvelle vie
Peu à peu, l’idée s’impose, peut devenir une obsession. On sait quelle voie emprunter, on sait
comment, désormais, on veut pratiquer son métier. Là encore, le temps peut sembler long avant de
pouvoir se libérer de l’affaire actuelle pour acquérir la nouvelle.
À quel moment prendre la décision ?
Le temps joue un rôle décisif dans la vente d’une affaire. Toutes les affaires finissent en général par
se vendre, et elles le sont correctement si les vendeurs ont du temps devant eux. Entre pression
psychologique et pression financière, le temps doit être apprivoisé. Il faut en faire un allié, sinon, il
sera votre pire ennemi, celui qui vous fera perdre toutes les batailles. Un acheteur veut toujours savoir
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quelle est la vraie raison de la vente : en fait, il cherche à évaluer si le temps est de son côté ou du
vôtre.
Bien plus que le prix demandé par le vendeur ou proposé par l’acheteur, le temps ou son abolition est
souvent un déclencheur très important dans une vente. Si vous souhaitez vendre au meilleur prix,
réfléchissez à une stratégie qui vous donne du temps : pour constituer votre dossier, trouver un
acquéreur, négocier et céder l’affaire.
Il y a cependant avec le temps, l’évolution des villes et leur PLU, les changements de comportement
des clients, les modifications de structures de la concurrence, des signes avant-coureurs qu’il faut
savoir interpréter pour anticiper une décision de vente. On peut citer, sans que la liste soit exhaustive :
une chute régulière du taux d’occupation que l’on n’arrive pas à enrayer, un renouvellement de
clientèle annuelle inférieure à 50 %, des difficultés financières pour rénover régulièrement ses
chambres, ses locaux ou sa façade (5 à 7 % de son CA HT annuel), un EBE en chute ou en
décroissance permanente, un budget de communication quasiment inexistant ou en baisse (2 % du
CA HT au minimum, 4 % en croisière, 6-7 % en budget de conquête), des actions commerciales
inexistantes… Le but est ici d’éviter d’entrer dans une spirale qui souvent devient infernale.
Quel est le bon moment pour vendre ?
Il n’y a pas forcément de bon moment pour vendre, car la décision est soit mûrie (motivation
professionnelle ou raison personnelle), soit s’impose par les aléas de la vie. Mais il peut y avoir
d’autres raisons :
- le bon moment pour vendre son affaire, c’est lorsqu’elle est prête à être vendue : son aspect
extérieur et intérieur, sa gestion et ses résultats, permettent de justifier le prix demandé par son
propriétaire. N’oubliez pas que le coup de cœur de votre acheteur pour votre affaire est un élément
non négligeable dans sa décision d’achat.
- Le bon moment pour vendre son affaire, c’est quand elle va bien et non quand elle traverse une crise
financière (trésorerie en berne) ou économique (chiffres d’affaires et/ou résultats en forte baisse).
Dans ce cas, vous donnez tous les arguments à votre acheteur pour faire baisser le prix.
- Le bon moment pour vendre votre affaire, c’est quand vous en avez envie et que vous êtes
psychologiquement prêt à vous en séparer.
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- Le bon moment pour vendre votre affaire c’est quand vous avez décidé de la suite et qu’elle vous
convient. Ainsi vous serez mieux disposé à négocier, ce qui est un facteur essentiel pour parvenir à
un accord avec votre acheteur.
Source : www.l’hôtellerie-restauration.fr
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A propos de KYLIA Commerce
Le département Commerce et Entreprise du groupe KYLIA, nouvel acteur de l'immobilier en France,
est un réseau de cabinets d'affaires spécialistes de la vente de Commerces et de l'immobilier
commercial.
En construisant la carrière de nos agents, ces derniers construiront en retour une entreprise comme
jamais nous ne l’aurions imaginé !
Méritocratie, Partage et Excellence
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA France
Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18