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S37 revue de presse kylia - semaine du 4 au 10 septembre 2017

KYLIA France
10 de Sep de 2017
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  1. La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 4 au 10 septembre 2017 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL Baisse des APL : Macron appelle les propriétaires à diminuer leurs loyers de 5 euros ! Le 05/09/2017 Nicolas Tavernier / REA Pour gommer le coup de rabot à venir sur les APL, le chef de l’Etat demande aux bailleurs de faire des efforts. Vous ne rêvez pas ! Devant les préfets, réunis ce mardi matin à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron a appelé les propriétaires et les bailleurs sociaux à... baisser leurs loyers de 5 euros.
  2. La revue de Presse KYLIA 2 Aussi surprenant sur la forme que sur le fond, l’appel présidentiel vise tout bonnement à gommer le coup de rabot de 5 euros sur les APL que le gouvernement a acté pour le 1er octobre. Il en va de “la responsabilité collective”, a ainsi lâché l’actuel locataire de l’Elysée. Pour rappel la baisse des APL avait suscité une forte polémique au coeur de l’été. Selon les propos rapportés par le Canard Enchaîné, le chef de l’Etat aurait lui-même qualifié cette baisse de “connerie sans nom.” Comme dépassé par son propre camp. Que le président se rassure, nombre de propriétaires n’ont toutefois pas attendu son appel pour baisser leurs loyers. D’après l’Observatoire Clameur, publié ce mardi, les loyers de marché - c’est-à- dire l’ensemble des nouveaux baux signés - baissent déjà dans plus plus de 64% des villes de plus de 100.000 habitants depuis le début de l’année. Redoutant des risques d’impayés, les propriétaires accordent même parfois des rabais spectaculaires : - 3,6% à Rennes, -3,5% au Havre, -2,7% à Marseille, voire même - 0,6% à Paris. Ce qu’on ne sait pas encore cependant, c’est quelle sera l’ampleur du nouveau coup de rabot sur les aides au logement que le gouvernement annoncera dans le prochain projet de loi de Finances… Source : www.capital.fr
  3. La revue de Presse KYLIA 3 Logement: les loyers en baisse de 0,6% depuis le début de l'année Le 06/09/2017 Les loyers sont en baisse depuis le début de l'année. AFP PHOTO / THOMAS SAMSON Les loyers ont diminué dans deux-tiers des villes de plus de 100 000 habitants, révèle le baromètre Clameur. Les propriétaires font en revanche moins de travaux d'entretien. Un léger reflux. Les loyers ont baissé de 0,6% entre janvier et août 2017, comparé à la même période de 2016, selon le baromètre Clameur, relayé par Les Echos. Cet observatoire regroupe recouvre plus de 96% du marché locatif privé métropolitain. Cette tendance est observée avant l'annonce par le gouvernement cet été d'une diminution de cinq euros de l'aide personnalisée au logement. Ce recul s'observe dans deux-tiers (64,1%) des villes de plus de 100 000 habitants, tandis que la hausse est inférieure à l'inflation dans 25,6% d'entre elles. Les baisses les plus fortes ont été constatées à Rennes (3,6%), Le Havre (3,5%) et Marseille (2,7%).
  4. La revue de Presse KYLIA 4 En baisse à Paris et Bordeaux Les loyers reculent également dans des villes prisés des acheteurs, comme Paris (0,6%) et Bordeaux (0,8%). À l'inverse, certaines villes sont frappées par une hausse des loyers. C'est notamment le cas de Lyon (2,1%) et de Lille (1%). Cette diminution des loyers varie selon les types de surface. Le recul est plus fort sur les grands appartements, où elle oscille entre 1,2% et 1,7%, que dans les studios et les une pièce (0,1%). Cette diminution des loyers a un effet collatéral, souligne Les Echos. Les propriétaires entreprennent moins de travaux d'entretien et de rénovation (14,2% en 2017). Macron veut faire baisser les loyers L'exécutif tente aujourd'hui d'amplifier cette tendance à la baisse. Mardi, Emmanuel Macron a exhorté les propriétaires d'accorder à leurs locataires une diminution de cinq euros de leur loyer, afin de compenser la diminution équivalente de l'aide personnalisée au logement. Dans un entretien au Point, le chef de l'État a plaidé pour une "transformation profonde qui doit faire baisser les loyers". "Il faut libérer le droit de l'urbanisme, les procédures, réduire les coûts, les normes, libérer le foncier public et parapublic plus fortement en permettant de vendre à bas prix, simplifier ces règles en ciblant en particulier les zones tendues, c'est-à-dire le Grand Paris, Lyon et la frontière suisse, ainsi qu'Aix- Marseille", expliquait Emmanuel Macron. Source : www.lespress.fr
  5. La revue de Presse KYLIA 5 Immobilier : les 10 commandements pour bien acheter Le 07/09/2017 Immobilier : les 10 commandements pour bien acheter Acheter un bien immobilier, c’est s’engager sur de gros montants, parfois pour de nombreuses années. Même s’il a un coup de cœur, l’acquéreur ne doit pas occulter les vérifications indispensables. Vade-mecum. Avant de signer ou même de se plonger dans les petites annonces ou de courir chez l'agent immobilier du coin, tout ce qu'il faut savoir pour mettre les chances de son côté et réussir son acquisition. 1. Définir ses besoins et évaluer son budget Avant de commencer toute prospection, mieux vaut définir avec précision ce dont on a besoin en termes de surface minimum, de nombre de pièces et de prestations. Et vérifier que ces critères correspondent à son budget. Les simulateurs en ligne des banques et courtiers immobiliers sont
  6. La revue de Presse KYLIA 6 aujourd'hui suffisamment nombreux pour évaluer son pouvoir d'achat. Une visite à la banque peut aider pour affiner le budget et s'informer sur les prêts aidés. 2. Lister les critères prioritaires Lister les critères prioritaires auxquels vous ne dérogerez pas : le quartier, le nombre de pièces, la surface, un immeuble avec un ascenseur, une terrasse ? « Certains privilégient en plus la proximité des écoles, des commerces et des transports », précise Gaëtan Vandewalle, responsable du service transactions chez Descampiaux Dudicourt et Associés. 3. Connaître le prix de marché Scruter les annonces en ligne et mettre en place des alertes pour s'informer en temps réel. Certaines plates-formes (MeilleursAgents.com, Drimki.fr) donnent des fourchettes de prix à l'adresse et à la rue près. Les prix de dernières ventes sont aussi consultables sur le site Immobilier.notaires.fr. 4. Décrypter les diagnostics immobiliers Plusieurs diagnostics immobiliers (obligatoires) vous informent sur l'état général du bien (amiante, plomb, etc.). « Mieux vaut les lire et, si besoin, se les faire expliquer par un agent immobilier », - conseille Eric Allouche, directeur exécutif d'Era France. Ces documents ne sont qu'informatifs, ils n'obligent pas le vendeur à effectuer des travaux. 5. Découvrir le quartier Une balade dans le quartier à différents moments de la journée, en semaine et le week-end permet de sentir l'ambiance et de discuter avec les riverains. C'est en revenant plusieurs fois que d'éventuelles nuisances sonores (bars, circulation) et/ou olfactives (restaurants) peuvent être repérées. 6. Se renseigner sur les impôts locaux Même si l'exonération de la taxe d'habitation est annoncée, elle ne concernera pas tout le monde. Et la taxe foncière subsistera en tout cas. Son niveau peut varier sensiblement entre communes limitrophes. 7. S'informer sur la copropriété et les charges Il faut connaître le montant des charges courantes et s'informer sur les gros travaux réalisés, votés ou envisagés. Le syndic doit fournir un état daté, qui dresse un état des lieux financiers de la copropriété.
  7. La revue de Presse KYLIA 7 8. Discuter des détails Par exemple, il faut discuter avec le vendeur du désencombrement des annexes (cave, grenier, etc.). « N'oubliez pas de mentionner dans le compromis de vente les équipements qui resteront », conseille Christine Fumagalli, directrice des agences AD Immobilier à Paris 14 e . 9. Tenter la négociation Ce jeu va dépendre de l'état du marché immobilier à l'instant T. Si à Lille, Marseille ou Montpellier, la négociation est envisageable, c'est beaucoup moins vrai à Paris. 10. Penser au délai de rétractation A compter de la signature du compromis de vente, l'acheteur dispose d'un délai de rétractation de 10 jours. N'hésitez pas à l'utiliser si vous regrettez votre choix. Les règles d'évaluation d'un bien « Bien que conçus au départ sur le même modèle à chaque niveau, les appartements d'un même bâtiment sont différents (étage, vue, lumière). Avec le temps, ces spécificités peuvent s'accentuer (redistribution, suppression de cloisons, rénovation) », signale Thomas Bertin, de l'agence Laforêt Immobilier du 17 e arrondissement. Parmi les critères qui influent positivement ou négativement sur la valeur, il y a l'état général, la lumière, la qualité du plan, la présence ou non d'un ascenseur, le vis-à- vis ou la vue dégagée. Certains défauts coûtent cher (rez-de-chaussée, vis-à-vis proche...) alors que certains avantages (terrasse, double ou triple exposition, grande hauteur sous plafond, verrière, vue dégagée) dopent la valeur (voir le tableau pondération du prix). Source : www.patrimoinelesechos.fr
  8. La revue de Presse KYLIA 8 Logement : le « choc d’offre » doit encore faire ses preuves Le 07/09/2017 Malgré une production en hausse depuis 2014, les prix n’ont pas baissé. Le projet de loi annoncé prévoit pourtant de recourir aux mêmes outils. En quelques années, le temps de fabrication des logements s'est considérablement allongé. A cause des recours et, disent les promoteurs, des nouvelles normes liées à l'environnement, notamment. - Photo Romain Gaillard/REA A une semaine de la présentation de la stratégie logement du gouvernement Philippe, programmée lors du prochain Conseil des ministres le 13 septembre, le ministre de la Cohésion des territoires, Jacques Mézard, a évoqué quelques pistes dans un entretien au « Figaro ». Même si l'objectif de produire 500.000 logements par an a été abandonné, son diagnostic est en phase avec celui de ses prédécesseurs : malgré la baisse des taux d'intérêt, il demeure difficile et coûteux de se loger en France, notamment dans et autour des métropoles. Pour faire baisser les prix, il faut donc construire plus. Or, depuis trois ans, les chiffres de la production sont repartis, mais l'inflation aussi.
  9. La revue de Presse KYLIA 9 - Trouver des terrains Le foncier ne manque pas en France. Encore faut-il qu'il soit bien placé et sur le marché. Afin d'inciter les propriétaires à vendre, Jacques Mézard envisage de diminuer l'impôt sur les plus-values. « Cette baisse d'impôt peut déclencher des mises en vente, commente un promoteur, mais risque aussi de faire augmenter leurs prix. » En outre, ajoute-t-il, « c'est discutable sur le fond car c'est bien la collectivité qui crée la plus-value en rendant les terrains constructibles et en aménageant leurs abords. C'est à elle que devrait revenir cette rente. » Autre piste : la vente d'anciennes casernes, d'anciens forts, d'anciens ministères et d'autres terrains inutilisés par l'Etat, le plus grand propriétaire de France. Elle est sur la table depuis des années. Mais elle a été longtemps guidée d'abord par l'idée de remplir les caisses. « Un intéressement aux bénéfices des opérations immobilières construites sur ces terrains serait bien plus efficace qu'une décote immédiate, mais il faut sortir de la logique budgétaire annuelle », explique un spécialiste. - Convaincre les élus Ce n'est pas la tâche la plus facile tant les maires ont intérêt à autoriser la construction de bureaux et de commerces qui leur rapportent en impôts locaux, plutôt que de logements qui leur coûtent en équipements publics. Comment imaginer en effet des habitations sans une école, un gymnase, etc. ? Les opérations d'intérêt national (OIN) dans le périmètre desquelles les préfets peuvent signer les permis de construire à la place des maires sont au programme. - Accélérer les procédures Trois, voire quatre ans, c'est un délai classique pour voir une opération immobilière de taille moyenne enfin aboutir. En quelques années, le temps de fabrication des logements s'est considérablement allongé. A cause des recours et, disent les promoteurs, des nouvelles normes liées à l'environnement, notamment. « Sortez les dossiers, nous saurons les construire, l'appareil de production peut très bien fournir de 50.000 à 60.000 logements en plus chaque année », affirme Jacques Chanut, le président de la Fédération française du bâtiment. -Soutenir la construction Le gouvernement semble avoir choisi de maintenir au-delà de leur échéance prévue au 31 décembre 2017 les aides aux investisseurs (Pinel) et aux acquéreurs de leur résidence principale (PTZ). « Les supprimer ne serait pas raisonnable », a dit le ministre, qui envisage néanmoins d'en modifier les modalités, au risque de déséquilibrer un marché très sensible.
  10. La revue de Presse KYLIA 10 Ces perfusions, sous forme de prêts bonifiés ou d'avantages fiscaux, sont à la fois les piliers de la reprise et les responsables désignés du maintien des prix hauts, comme du coût énorme de la politique du logement. Les supprimer assainirait peut-être le marché, mais c'est un risque qu'aucun gouvernement n'a osé prendre depuis plus de trente ans et la mise en oeuvre du premier dispositif, du nom du ministre de l'époque, le « Méhaignerie », en 1984. Tout décidé soit-il à réformer le secteur en profondeur, il est peu probable que le gouvernement Philippe s'aventure sur ce terrain miné. Source : www.lesechos.fr
  11. La revue de Presse KYLIA 11 Le pouvoir d'achat immobilier à son niveau de 2002 Le 08/09/2017  Un ménage moyen peut s'offrir 70 mètres carrés en moyenne. Mais les disparités entre villes sont criantes. Paris, en particulier, est déconnectée du reste du pays. Cela ne suffira sans doute pas à consoler ceux qui désespèrent d'avoir un jour les moyens de se porter acquéreur de leur logement mais, si l'on croit l'étude de MeilleursAgents.com présentée jeudi, globalement le pouvoir d'achat des Français dans l'immobilier s'est redressé. Au point « d'avoir retrouvé au 1 er septembre son niveau de 2002, soit plus ou moins 70 mètres carrés, ce que pouvait alors acquérir un ménage moyen », souligne la plateforme digitale de l'immobilier. Au plus fort de la crise financière de 2008, il était descendu à 46 m², pas loin du minimum requis pour un logement décent, en l'occurrence 45 m² pour un ménage moyen, soit 18 m² par personne. L'embellie résulte d'un crédit toujours très bon marché, permettant d'absorber, pour partie, les remontées des prix. « Les ménages ont compris que les prix montaient et qu'il leur fallait profiter de
  12. La revue de Presse KYLIA 12 taux exceptionnellement bas », relève Thomas Lefebvre, directeur scientifique de MeilleursAgents.com. Ce gain de pouvoir d'achat dissimule en réalité de grandes disparités locales. Le pouvoir d'achat est souvent malmené dans les grandes villes, dont les prix ont beaucoup augmenté ces derniers mois, tandis qu'à l'autre bout du spectre de nombreux départements ruraux offrent un pouvoir d'achat élevé, jusqu'à plus de 120 m². Des niveaux qui ne pouvaient pas être atteints en 2008. Dans les grandes villes, s'il est encore possible aujourd'hui, pour un ménage moyen, d'acheter plus de 45 m² à Marseille (58 m 2 ), Toulouse, Nantes et Strasbourg (54 m²), Lille (52 m²), Montpellier (49 m²) ou encore Lyon (47 m²), ce n'est pas le cas à Bordeaux (40 m 2 ), Nice (38 m 2 ) et Paris (23 m²). Surchauffe à Bordeaux Le marché parisien, hypertendu, demeure inaccessible, même compte tenu du niveau plus élevé des revenus dans la capitale : le pouvoir d'achat y est deux fois en dessous du seuil permettant d'acquérir un logement décent ! Pour le marché niçois, la « crise » tient, de longue date, à un parc important de résidences secondaires. Quant à la situation bordelaise (lire aussi notre supplément « Les Echos Patrimoine immobilier »), « elle devient inquiétante », s'alarme Sébastien de Lafond, président de MeilleursAgents.com. Depuis douze mois, les prix grimpent fortement (+ 14,5 % au 1 er septembre). En cause, l'appétit croissant des investisseurs locatifs, qui pèsent pour plus d'un tiers des acquéreurs, soit plus du double de la moyenne nationale. « Les primo et secondo accédants sont, en quelque sorte, "chassés" de leur ville », déplore-t-il. Source :www.lesechos.fr
  13. La revue de Presse KYLIA 13 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE Les clientèles internationales amorcent leur retour dans les hôtels français – Baromètre Deloitte-In Extenso Le 04/09/2017 Si juillet a été plutôt bon, août s'annonce plutôt en demi-teinte. La saison estivale restera néanmoins satisfaisante et montrera probablement des signes de progression comparés à l'année dernière. © Thinkstock Certaines grandes villes françaises affichent encore des RevPAR en retrait. L'hôtellerie lyonnaise enregistre ainsi une baisse d'activité sur l'ensemble des catégories. D'après les résultats du baromètre Deloitte-In Extenso, l'ensemble des catégories hôtelières françaises ont enregistré des taux de fréquentation supérieurs à 70 % en juillet, malgré des recettes moyennes par chambre louée en repli de - 0,2 % pour l'hôtellerie super-économique à - 11,4 % sur le
  14. La revue de Presse KYLIA 14 segment luxe. En conséquence, les RevPAR progressent sur les marchés économiques et milieu de gamme uniquement (+ 2 % et + 5 %) en juillet. Après les attentats survenus en 2015 et 2016 en Europe, les touristes étrangers ont fait leur grand retour sur certaines destinations en France cet été. Certains établissements hôteliers et professionnels du tourisme ont pu le constater, notamment sur les segments individuels. Malgré tout, l'effet Brexit se fait ressentir et la clientèle britannique, habituellement nombreuse, s'est faite plus discrète, notamment en Normandie et en Provence-Alpes- Côte d'Azur. L'hôtellerie francilienne se porte mieux L'hôtellerie parisienne continue d'afficher des taux d'occupation en progression. Avec des taux de fréquentation supérieurs à 80 % pour l'hôtellerie économique, milieu et haut de gamme, ces résultats sont de bon augure. Alors qu'ils étaient absents en 2016, les touristes étrangers continuent leur retour en Île-de-France. Selon le conseil régional du tourisme, le nombre de visiteurs japonais a progressé de 41 % par rapport à 2016, celui des visiteurs chinois de près de 23 %. Le nombre d'Américains, première clientèle internationale de la région avec 1,14 million de touristes, augmente de 21 %. En dépit d'une bonne fréquentation, les prix moyens sont en retrait sur les catégories supérieures. Malgré tout, comme depuis le début de l'année, les RevPAR restent en progression à fin juillet sur l'hôtellerie parisienne, allant de + 2 % sur le marché luxe et palaces à + 10 % sur le haut de gamme. Si juillet a été plutôt bon, août s'annonce quant à lui en demi-teinte. La saison estivale restera néanmoins globalement satisfaisante et montrera probablement des signes de progression. Le secteur reste tout de même fragile et soumis à de nombreux facteurs variables. En effet, si les quinze premiers jours de juillet ont été plutôt bons en raison de la tenue de plusieurs événements (Fashion Week…), la mauvaise météo sur la deuxième quinzaine a affecté les résultats de l'hôtellerie parisienne. Les récents attentats à Barcelone ont également rappelé la réalité de la menace terroriste. La catégorie luxe se démarque en province En province, l'hôtellerie d'entrée de gamme affiche des RevPAR en baisse ce mois-ci et à fin juillet. Contrairement à l'hôtellerie parisienne et à la Côte d'Azur, la catégorie luxe se démarque en régions et tire son épingle du jeu, avec des indicateurs en hausse fin juillet. Certaines grandes métropoles françaises comme Toulouse présentent de très bons résultats. La situation reste cependant mitigée, d'autres grandes villes françaises affichant des RevPAR en retrait. L'hôtellerie lyonnaise enregistre une baisse d'activité sur l'ensemble des catégories : la tenue de la demi-finale de la coupe d'Europe de football en 2016 et l'absence de certains salons ont impacté les résultats.
  15. La revue de Presse KYLIA 15 Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Si 2015 a été exceptionnelle, l'attentat du 14 juillet 2016 avait marqué un point d'arrêt pour l'hôtellerie en Paca. Un an après, l'activité touristique repart sur la Côte d'Azur, mais pas de manière uniforme. En juillet, Cannes a souffert de l'absence des clientèles étrangères aisées, en particulier celles du Moyen-Orient, ce qui explique la baisse des performances notamment sur le segment luxe. À Nice en revanche, les congrès du Cent et d'Innovative City ont dynamisé l'activité. Données mensuelles juillet Luxe Haut de gamme Milieu de gamme Économique Super économique TO 2017 71 % 80 % 75,5 % 73 % 72 % Var. /n-1 0 % 2 % 6 % 3 % 0 % RMC 2017 525 € 213 € 105 € 63 € 44 € Var. /n-1 - 11 % - 3 % - 1 % - 1 % 0 % RevPAR 2017 375 € 170 € 79 € 46 € 31 € Var. /n-1 - 11 % - 1 % 5 % 2 % 0 % TO : taux d'occupation RMC : recette moyenne par chambre louée RevPAR : revenu moyen par chambre disponible Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
  16. La revue de Presse KYLIA 16 TVA : des précisions sur l’application du taux de 5,5 % Le 04/09/2017 Vous allez réaliser des travaux d’isolation par l’extérieur (sarking) d'une habitation, ce qui nécessitera certainement des travaux de reprise de toiture. Si les travaux d’isolation sont bien soumis au taux de TVA de 5,5 %, qu’en est-il des travaux de reprise ? Le taux de 5,5 % applicable aux travaux induits et indissociables des travaux d’amélioration de la qualité énergétique A l’occasion de la réalisation de travaux dans des logements d’habitation, la question du taux de TVA applicable se pose fréquemment. Notez qu’aujourd’hui, 3 taux coexistent :  le taux normal de 20 %, qui s’applique généralement aux travaux réalisés dans les logements achevés depuis moins de 2 ans et aux travaux de construction et d’agrandissement ;
  17. La revue de Presse KYLIA 17  le taux réduit de 10 % (dit « taux intermédiaire ») qui s’applique, toutes conditions remplies, aux travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement et d’entretien des logements achevés depuis plus de 2 ans ;  le taux réduit de 5,5 % qui s’applique, toutes conditions remplies, aux travaux d’amélioration de la qualité énergétique des logements achevés depuis plus de 2 ans, ainsi qu’aux travaux induits qui leur sont indissociablement liés. Parmi les travaux d’amélioration de la qualité énergétique, on retrouve les travaux d’isolation des parois opaques ou vitrées, des volets isolants ou des portes d’entrées donnant sur l’extérieur. Quant aux travaux induits indissociablement liés aux travaux d’amélioration de la qualité énergétique, il s’agit des travaux qui portent sur la même pièce que celle sur laquelle ont porté ces travaux d’amélioration ou sur les éléments du bâti directement affectés par ces travaux d'amélioration. C’est le cas par exemple de certains travaux touchant aux toitures (maintien ou reprise d’étanchéité, remplacement de tuiles ou ardoises, etc.). Il vient de nous être rappelé que l’administration ne distingue pas selon que les travaux d’isolation sont réalisés par l’intérieur ou par l’extérieur (sarking). Si des travaux d’isolation par l’extérieur d’une habitation achevée depuis plus de deux ans nécessitent, par exemple, la réalisation de travaux de reprise de corniches, fenêtres de toits, évacuations d’eaux pluviales, etc., ces travaux induits bénéficieront du taux réduit de TVA de 5,5 %. En revanche, les travaux de réfection totale d’une toiture ou de reprise d’une charpente ne bénéficient toujours pas du taux réduit. Source : Réponse ministérielle Carrez, Assemblée nationale du 4 avril 2017, n°93563 Source.www.bar-brasserie.fr
  18. La revue de Presse KYLIA 18 De faux avis créés par une machine, plus vrais que nature Le 08/09/2017 Chicago (ETATS-UNIS) Des chercheurs de l'université de Chicago ont réussi à créer un programme qui crée et publie des avis positifs et négatifs sur Yelp. Ces avis sont personnalisés et argumentés selon l'établissement qu'ils évoquent. © https://arxiv.org/pdf/1708.08151.pdf La fraude humaine moins productive que la machine Le journal Le Monde a relaté les enseignements d'une étude réalisée par cinq chercheurs américains de l'université Cornell : ceux-ci ont réussi à passer à travers les mailles de l'algorithme du géant Yelp grâce à un un robot qui peut non seulement publier des avis, mais aussi les créer en personnalisant et en qualifiant le contenu. Selon les chercheurs, "aujourd'hui, [sur internet], la désinformation est utilisée tel un outil pour nuire à la concurrence, gagner des campagnes politiques et retourner l'opinion publique". Les avis sur les restaurants ne dérogent pas à cette règle, comme l'ont prouvé ces chercheurs. Jusqu'alors, la pratique consistait à rémunérer des prestataires humains pour créer et déposer de faux avis, soit en faveur d'un établissement, soit en défaveur d'un autre.
  19. La revue de Presse KYLIA 19 L'usage de l'intelligence artificielle et du Machine Learning pourrait conduire vers de nouveaux types de fraudes. Ces machines "ont atteint un point où elles peuvent produire un contenu suffisamment clair et correct pour devenir non-différenciable de celui produit par les humains". Les avis évoquent, par exemple, le type de cuisine proposée par l'établissement, son environnement immédiat… Ces chercheurs ont pu créer une machine qui produit, tel un humain, des avis frauduleux sans être repérés par les robots modérant les sites d'avis. Pire, ils ont été publiés sur Yelp , maintenus et ont été jugés utiles par les visiteurs, au même titre que les avis écrits par des humains. Les chercheurs ont toutefois également créé un antidote à leur arme de publication, en prouvant que les avis publiés par le robot peuvent être détectés grâce à la faiblesse de son vocabulaire. Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
  20. La revue de Presse KYLIA 20 Les cavistes profitent d'un marché florissant Le 08/09/2017 Les ventes de vin se portent bien en France, au grand bonheur des enseignes spécialisées. Fortes de leur organisation en réseau, celles-ci disposent des arguments nécessaires pour convaincre de futurs entrepreneurs de les rejoindre. Crédits photo : shutterstock.com In vino veritas. La France est le pays où l'on consomme le plus de vin dans le monde, derrière les États-Unis. Et selon les chiffres de Vin et Société – une structure qui représente les acteurs du secteur – 85 % des ménages français ont acheté au moins une bouteille en 2016. Toujours plus épicuriens, les Français ont changé leur mode de consommation ces dernières années, réduisant certes leur consommation en volume mais privilégiant la qualité. « En 2016, le marché a progressé de 3,5 %, en valeur. Dans le détail, nous avons connu une hausse de 1,9 % en grande distribution contre 5 % chez les cavistes », explique Stéphane Caramagnol, directeur d'Inter Caves. Si les réseaux de distributions du vin sont multiples (grande distribution, vente en domaine, Internet, etc.), les spécialistes ont le vent en poupe avec un panier moyen qui s’élève en moyenne à 46 euros. Parmi les enseignes spécialisées, Nicolas jouit d'une large visibilité avec plus de 500 implantations (principalement en succursales). D'autres acteurs, développés eux sous forme de commerce organisé, poursuivent leur développement à l'instar d'Eurocave, V and B, BiboVino, Les Domaines qui Montent ou encore Cavavin et Inter Caves.
  21. La revue de Presse KYLIA 21 La force des réseaux Ces réseaux de cavistes disposent de plusieurs atouts à jouer face à leurs homologues indépendants. A commencer par la richesse de leur offre. « Nous disposons de 150 fournisseurs, dont beaucoup de partenariats exclusifs, explique à ce titre Olivier Mermuys, directeur des opérations et de l'international de Cavavin. Nous cherchons sans cesse de nouvelles pépites tout en travaillant dans la durée avec les produits que nous proposons ». Dans ses 152 magasins, l'enseigne propose à ses franchisés quelque 2 000 références en commande. « Il n'y a jamais la même chose dans deux magasins. Le caviste fait ses choix, il a également la possibilité de commander à la bouteille, ce que ne pourrait jamais se permettre un indépendant », poursuit-il. La force de l'organisation en réseau réside également dans les plateformes qui permettent aux magasins d'être livrés chaque semaine. Un service « qui reviendrait trop cher à un indépendant », assure Olivier Mermuys. Une stratégie qui se retrouve dans d’autres réseaux de cavistes, comme par exemple chez Inter Caves : « la force du réseau permet au caviste de commander ses quantités par références. A l’inverse, l'indépendant s'engage sur un volume donné. Cela signifie qu’un franchisé peut prendre un carton et faire des essais, disposant ainsi d’une large flexibilité sur les choix et volumes », abonde Stéphane Caramagnol. Développer l'activité et la relation client Si le vin reste le produit phare d’Inter Caves avec 800 références, cette enseigne aux 100 magasins a également fait le choix de développer deux autres rayons : les bières avec 450 références ainsi que les spiritueux (750). Une polyvalence qui permet d'attirer une nouvelle clientèle et de générer du trafic dans les magasins. Inter Caves et Cavavin ont par ailleurs une stratégie commune. Faire de la visite dans leur point de vente, un moment particulier pour les clients. « Nous souhaitons faire venir dans nos caves des personnes qui ne seraient jamais venues », prévient Olivier Mermuys. Cavavin propose ainsi le « signe œnologique », qui permet de présenter au client les vins qui lui correspondent. « Une expérience ludique qui permet de renforcer la relation client », ajoute le directeur des opérations de l'enseigne. De son côté, Stéphane Caramgnol assure qu'Inter Caves travaille son repositionnement afin de « créer de l'événement et de faire vivre la cave en créant des moments de partage avec des dégustations des vins d'une région spécifique, de cépages, d'appellations... Nous souhaitons inciter nos clients à la découverte et au voyage ». Source : www.lhôtellerie-restauration.fr
  22. La revue de Presse KYLIA 22 A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1 er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18
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