Préface
• Le concept de la morale continue d intéresser les philosophes , les intellectuels,
et les éducateurs; parce que le rôle des valeurs est crucial pour la formation de
la personne humaine et les générations future en particulier.
• Si le sujet de l éthique est si vaste, défendre les idées des philosophies et
penseurs est nécessaire avant de s engager dans des développements d éthique
de carrière qui répondait aux besoins concernes des secteurs de travail.
• Il est concerté que les valeurs ont un rôle influent dans la vie des individus et
des communautés, ainsi que dans le domaine de l orientation scolaire et
professionnelle comme source de comportement dans la société. Et aussi l
avenir professionnel de la personne ne dépend pas non plus de sa volonté d
agir et son choix du domaine dans lequel il travail. Mais il s agit aussi de la
société et de ses valeurs.
• Selon la vision social du travail les individus ont tendance à choisir
un type d éducation souhaité par différents médias ou
organisations, l individu va alors à la profession , qui repend à ses
besoins et désires. Et ils sont d accord avec ses différentes valeurs (
sociales, économique, religieuses, politiques, esthétiques…) ils
choisissent également le type ou le domaine d études qui les
qualifie pour rejoindre la carrière, qui veut travailler dont il est
dédié ( = réservé ) à la réussite et à la réalisation de ses capacités et
de l auto-renforcement à travers eux.
• Ainsi, le système social qui permet ses valeurs professionnelles de
passer d un niveau économique et social à l autre. Pour sa part, elles
ont un impact différent sur l orientation scolaire ou professionnelle
au système imposé aux enfants ( étudiants) un travail dans la
profession des parents.
• Ce sont les valeurs associées à la même hypothèse qui
constitue sa vision de la vie et sa façon de penser et de
travailler avec les autres dans la société. Cela indique qu' il
y a un effet entre les valeurs et les types d études ou le
domaine auquel il se rapporte pour ces personnes et leurs
pratiques de leurs rôles.
Le concept générale de moralité
• Il existe un accord entre les philosophes , les intellectuelles, les sociologues, et les
psychologues sur un concept générale de moralité . Dans l ensemble, ce sont les
règles qui permettent aux être humains de distinguer entre ce qui est bon et ce qui
est mauvais.
• En même temps, la moralité peut être considérée comme une chose extérieure à l
homme , puisque ces règles viennent de la religion, de la société et de la capture (
famille).
• Ce sont donc, des règles qui ont été imposées aux humains de leur environnement
depuis leur enfances; c est elle qui régit (= encadre ) son comportement et ses actions.
• Mais la morale peut être comme une conscience vivante à notre façon, elles nous avertissent
toujours de ce qui est vertueux et de ce qui contre. La conscience, donc est de parler à soi-
même pour le moment de la prise de décision.
• Quelle est cette conscience où conscience fraternelle qui
existe en nous?
• Est-ce juste ce qui nous a été divulgué ( dévoiler ) de l
étranger, durant notre vie?
• Où est-ce cet extérieur qui est devenu une conscience
vivante en nous?
• Est-ce que la source de la morale, c est ce qui nous
entoure?
• Il y a beaucoup d entrées pour répondre à ses questions ; ce qui est
philosophique, y compris ce qui est social, et ce qui est psychologique.
• Pour certains, la morale est le gain qui vient de la religion et de la société aussi
bien de sa gamme ( éducation) .
• Et, à certains, come Jean jaque Rosso; la morale est quelque chose qui est venu
avec l homme depuis son enfance; c est donc, interne.
• Le psychologue Simon Freud appelle la conscience morale le sur-moi ( l ego supérieur, la hue,
l égo ) ; cela permet à l être humain une distinction entre le bien et le mal dans la vie en
générale ; c est ce sur-moi acquis à travers la métaphore par laquelle il se forme; ( des
commandes et noix par les parents et la communauté en général ) .
• Donc, l éducation morale de l enfant passe par des sanctions et des incitations et l
encouragement donné par la famille et la société, en invoquant la raison, l explication, et la
comparaison pour justifier des jugements, bien qu' il soit bon et autrement. C est aussi par la
morale qu' on demande à l enfant d imiter totalement.
• En général , le concept de moralité de Freud, il est principalement lié au rôle de la famille en
tant que médiateur pour façonner sa conscience morale ( il se concentre sur l enfant comme
stade de formation de notre personnalité ).
• Chez Emil Durkheim, il y a un concept différent de la morale; si Freud insiste sur le rôle de
la famille dans la composition du conscience morale chez l enfant, par contre, Durkheim
donne à la société un rôle centrale dans la construction de ce moral; il passe d une personne à
une autre et de génération en génération. Donc la conscience morale chez Durkheim est
conditionnée par la société.
• Pour John jaque Rosso, nous somme en face d un concept philosophique , ou
plutôt, avec une dimension philosophique.
• La morale n est pas un gain, mais c est inné. Et ce qui est inné est sacrée.
• la morale chez Rosso , c est un esprit placé dans l homme par Dieu et non par
d autre condition externes. Dieu est celui qui nous a mis amour avec le bien
apparent nous le voyons, et il nous a mis une haine maléfique quand on la
rencontrée.
• Donc c est grâce à cet esprit sacré je distingue le bien du mal comme il s
apparait.
• le concept de moralité semble être multiple et différent, et ce n est pas assez
clair.
SCEPTICISME MORALE= األخالقي الشك
• Comment vivre avec toute cette différence dans une société qui nous
rassemble?
• La vie sociale a besoin de s entendre sur ce qui est autorisé et ce qui est interdit
; ou ce qui est inacceptable est ce qui est admirable.
• Dans une société, les angles théorique du bien et du mal sont multiples. En
particulier dans les société multi religieuses et multiculturelles.
• Dans la société, nous avons besoin du soi-disant standard éthique que nous
acceptons, on le reconnait et on l interpelle quand on est différent dans nos
points de vue.
• Mais cette norme morale est-elle possible?
• et comment nous pouvons le guider et l accepter?
• C est ce que vous allez voire avec Kant quand nous appendrons le concept de
moralité qu' il a.
• La morale ( chez Kant) est en même temps ce qui est acquis et ce qui est innée; la
morale gagne en ce qu' elle s accumule et est un ensemble de tribulation de l
éducation familiale et sociale. Cependant, l arrivée de l homme à son Age adulte
apporte l équilibre de l esprit ; chacun a alors, une mesure personnelle en utilisant sa
raison.
• Donc , chaque être humain a un esprit ou une santé mentale ( selon Kant toujours ) il peut
distinguer le bien du mal .
• Par cette exigence, toutes les personne ont la capacité d utiliser leur raison pour la distinction.
• Selon Kant , si de nous fait un effort personnel pour utiliser sa raison, il peut
trouver des normes éthiques clairement , et des principes généraux lui permet
de distinguer .
• Ces principes que l homme atteint grâce à son esprit sain, ils devient des
principes généraux et communs à tous = règles acceptées par tout le monde .
• En ce sens, chez Kant, la morale semble innée; parce que tout cela situé à la
extérieur des être humains. Et chacun de nous a ses propres normes mentales.
• Dans un premier temps, la moralité est gagnée grâce à l éducation et elle se
transforme en dernier quand la majorité est atteinte, à des règles mentaux. Et
dans ce cas elle est innée.
• Mais Kant, n utilise ( ni acquis ni inné) ; il utilise un concept intuitif ( apriori ).= بديهي
• l éthique est tirée intuitivement de la raison quand elle est à la fois rationnelle, et elle
est pure et cruciale. Avec l échelle de l esprit il n y a pas de différence. Alors elle
devient universel; parce qu' elle est présente dans la raison de chaque homme.
• Pure = parce qu' elle est séparée de chaque expérience, et il n y a pas de modèle a
suivre.
• Crucial = dans le sens , qu' elle est séparée de tous contexte; tout ce qui n est pas lié à son état.
• alors selon Kant, tout acte est conforme aux principes ou aux normes qui l accepte l esprit
humain; c est un acte morale. Ainsi , l action morale n est plus jugée morale . Selon son objectif,
mais il est morale, car il repend à son autorité morale ;et la morale humaine gouvernée par la
raison.
Selon la philosophie de Kant :
• Peu importe le but ou les conséquences de la loi, mais l intention ( but = finalité ) qui
la motive.
• L acte noble n est pas considéré, mais pourquoi je fais cet acte? Et pour quel but? Ces
deux questions n ont pas d importance chez Kant, mais quel est le motif pour cet acte?
Et pourquoi je le fais?
• La repense que Kant accepte pour que l action soit morale est : je le fais parce que je
veux être en accord avec moi-même, et les principes que je produis mentalement et ce
n est morale que dans ce cas.
• Si vous faite quelques chose pour vos propres intérêts, bénéfices, ou la peur ce n est
pas tout à fait morale.
• Autrement dit, pour que mon acte soit morale, selon Kant, aucun autre motif ne doit être
caché sauf que je suis harmonie avec mon esprit
Quels sont ces principes et normes éthiques scientifiques; ce qui
sont en même temps sain et nécessaires; parce qu' elles sont
dérivées du mentale?
• universel
• « toujours vider pour obtenir autant que vous pouvez pour rendre
votre action légale et universel »
• Si chacun de nous se comporte de cette façon ; nos actes deviendrons une règle
universel.
• La seul action qui pourrait être considérée comme éthique est que je peux le
faire pour qu' elle devienne une loi universel, et c est dans l intérêt du morale
entier.
Le respect de l homme.
« agissez d une manière comme tu aimes être traité toujours; comme
un gain pas comme un ciseler ». = crédit.
Donc, le respect de la liberté humaine est la base de toute action en
ce sens déterminisme absolu.
= en effet, selon Kant, l homme est la finalité de tous nos actions et l
exploitation des être humains à d autres fins est un acte non verbal/
non moral.
Indépendantiste
• « agissez toujours comme si vous étiez un législateur et sujet
dans sa République du volontés libres et raisonnables ».
• Ce principe est en fait une composition des deux anciens principes ; parce qu' en
repend à ce principe nous appelons la grande finalité chez Kant. Et qui est l être
humain en soi . C est ce principe qui crée une loi universellement accessible.
• nous devons donc, nous retrouvons dans la loi morale.
le respect de ces trois règles est ce qui constitue un acte
morale.
Le libre arbitre –il est nécessaire à la morale
• D après Romain Saudrais ; priori, oui : faire le bien, ce n est pas le
faire par hasard mais vouloir le faire. C est avoir décidé librement de
faire le bien. La moralité exige une intention consciente. Faire le
bien sans le faire exprès, ou en étant conditionné à le faire, c est agir
conformément à la morale, mais pas par pure moralité. Si, donc, je n
ai aucun libre arbitre, si je suis conditionné ou déterminé à faire le
bien, alors je ne suis pas vraiment un être moral. Je me comporte
peut-être bien dans les faits, mais la vraie moralité exige davantage
que cela. Comme votre question le laisse entendre, la moralité
repose donc sur la liberté. Du moins si l on fonde, avec Kant, la
morale en raison. Mais on peut aussi, avec Rousseau, la fonder dans
le cœur,
• dans le sentiment. Agir moralement reviendrait alors à
retrouver le cœur enfoui ( cacher ) de cette bonne première
nature. Dans ce cas, on pourrait penser une morale sans
libre arbitre: une morale plus naturelle que naturelle.
• D après, les repenses que le philosophe Charles Pépin à
proposer au public dans « Philosophie magazine »n
142/septembre 2020/p14
conclusion
• Dans cette présentation, nous avons élaboré la morale/; ce concept qui
signifie la somme des règles qui distingue le bien du mal; qui est peut
être innée selon Rosso. c est un esprit Sain et Sacré qui est mis en nous
dés notre naissance, où elles sont acquises et transformées pour nous par
l éducation , la société, la culture, et la religion. Comme la voit Durkheim.
Quand à Kant , sa propre caractéristique morale, elle peut être une
alternative ( apriori) au sens que chaque être humain a un esprit sain qui
le rend capable à distinguer entre le bien et le mal dés l Age de maturité.
• Tu dois donc tu peut = Kant