Publicidad

Más contenido relacionado

Similar a Morale et éthique KANT.pptx(20)

Publicidad

Morale et éthique KANT.pptx

  1. La Morale chez Kant 2
  2. Préface • Le concept de la morale continue d intéresser les philosophes , les intellectuels, et les éducateurs; parce que le rôle des valeurs est crucial pour la formation de la personne humaine et les générations future en particulier. • Si le sujet de l éthique est si vaste, défendre les idées des philosophies et penseurs est nécessaire avant de s engager dans des développements d éthique de carrière qui répondait aux besoins concernes des secteurs de travail. • Il est concerté que les valeurs ont un rôle influent dans la vie des individus et des communautés, ainsi que dans le domaine de l orientation scolaire et professionnelle comme source de comportement dans la société. Et aussi l avenir professionnel de la personne ne dépend pas non plus de sa volonté d agir et son choix du domaine dans lequel il travail. Mais il s agit aussi de la société et de ses valeurs.
  3. • Selon la vision social du travail les individus ont tendance à choisir un type d éducation souhaité par différents médias ou organisations, l individu va alors à la profession , qui repend à ses besoins et désires. Et ils sont d accord avec ses différentes valeurs ( sociales, économique, religieuses, politiques, esthétiques…) ils choisissent également le type ou le domaine d études qui les qualifie pour rejoindre la carrière, qui veut travailler dont il est dédié ( = réservé ) à la réussite et à la réalisation de ses capacités et de l auto-renforcement à travers eux. • Ainsi, le système social qui permet ses valeurs professionnelles de passer d un niveau économique et social à l autre. Pour sa part, elles ont un impact différent sur l orientation scolaire ou professionnelle au système imposé aux enfants ( étudiants) un travail dans la profession des parents.
  4. • Ce sont les valeurs associées à la même hypothèse qui constitue sa vision de la vie et sa façon de penser et de travailler avec les autres dans la société. Cela indique qu' il y a un effet entre les valeurs et les types d études ou le domaine auquel il se rapporte pour ces personnes et leurs pratiques de leurs rôles.
  5. Le concept générale de moralité • Il existe un accord entre les philosophes , les intellectuelles, les sociologues, et les psychologues sur un concept générale de moralité . Dans l ensemble, ce sont les règles qui permettent aux être humains de distinguer entre ce qui est bon et ce qui est mauvais. • En même temps, la moralité peut être considérée comme une chose extérieure à l homme , puisque ces règles viennent de la religion, de la société et de la capture ( famille). • Ce sont donc, des règles qui ont été imposées aux humains de leur environnement depuis leur enfances; c est elle qui régit (= encadre ) son comportement et ses actions. • Mais la morale peut être comme une conscience vivante à notre façon, elles nous avertissent toujours de ce qui est vertueux et de ce qui contre. La conscience, donc est de parler à soi- même pour le moment de la prise de décision.
  6. • Quelle est cette conscience où conscience fraternelle qui existe en nous? • Est-ce juste ce qui nous a été divulgué ( dévoiler ) de l étranger, durant notre vie? • Où est-ce cet extérieur qui est devenu une conscience vivante en nous? • Est-ce que la source de la morale, c est ce qui nous entoure?
  7. • Il y a beaucoup d entrées pour répondre à ses questions ; ce qui est philosophique, y compris ce qui est social, et ce qui est psychologique. • Pour certains, la morale est le gain qui vient de la religion et de la société aussi bien de sa gamme ( éducation) . • Et, à certains, come Jean jaque Rosso; la morale est quelque chose qui est venu avec l homme depuis son enfance; c est donc, interne.
  8. • Le psychologue Simon Freud appelle la conscience morale le sur-moi ( l ego supérieur, la hue, l égo ) ; cela permet à l être humain une distinction entre le bien et le mal dans la vie en générale ; c est ce sur-moi acquis à travers la métaphore par laquelle il se forme; ( des commandes et noix par les parents et la communauté en général ) . • Donc, l éducation morale de l enfant passe par des sanctions et des incitations et l encouragement donné par la famille et la société, en invoquant la raison, l explication, et la comparaison pour justifier des jugements, bien qu' il soit bon et autrement. C est aussi par la morale qu' on demande à l enfant d imiter totalement. • En général , le concept de moralité de Freud, il est principalement lié au rôle de la famille en tant que médiateur pour façonner sa conscience morale ( il se concentre sur l enfant comme stade de formation de notre personnalité ). • Chez Emil Durkheim, il y a un concept différent de la morale; si Freud insiste sur le rôle de la famille dans la composition du conscience morale chez l enfant, par contre, Durkheim donne à la société un rôle centrale dans la construction de ce moral; il passe d une personne à une autre et de génération en génération. Donc la conscience morale chez Durkheim est conditionnée par la société.
  9. • Pour John jaque Rosso, nous somme en face d un concept philosophique , ou plutôt, avec une dimension philosophique. • La morale n est pas un gain, mais c est inné. Et ce qui est inné est sacrée. • la morale chez Rosso , c est un esprit placé dans l homme par Dieu et non par d autre condition externes. Dieu est celui qui nous a mis amour avec le bien apparent nous le voyons, et il nous a mis une haine maléfique quand on la rencontrée. • Donc c est grâce à cet esprit sacré je distingue le bien du mal comme il s apparait. • le concept de moralité semble être multiple et différent, et ce n est pas assez clair.
  10. SCEPTICISME MORALE= ‫األخالقي‬ ‫الشك‬ • Comment vivre avec toute cette différence dans une société qui nous rassemble? • La vie sociale a besoin de s entendre sur ce qui est autorisé et ce qui est interdit ; ou ce qui est inacceptable est ce qui est admirable. • Dans une société, les angles théorique du bien et du mal sont multiples. En particulier dans les société multi religieuses et multiculturelles. • Dans la société, nous avons besoin du soi-disant standard éthique que nous acceptons, on le reconnait et on l interpelle quand on est différent dans nos points de vue.
  11. • Mais cette norme morale est-elle possible? • et comment nous pouvons le guider et l accepter? • C est ce que vous allez voire avec Kant quand nous appendrons le concept de moralité qu' il a. • La morale ( chez Kant) est en même temps ce qui est acquis et ce qui est innée; la morale gagne en ce qu' elle s accumule et est un ensemble de tribulation de l éducation familiale et sociale. Cependant, l arrivée de l homme à son Age adulte apporte l équilibre de l esprit ; chacun a alors, une mesure personnelle en utilisant sa raison. • Donc , chaque être humain a un esprit ou une santé mentale ( selon Kant toujours ) il peut distinguer le bien du mal . • Par cette exigence, toutes les personne ont la capacité d utiliser leur raison pour la distinction.
  12. • Selon Kant , si de nous fait un effort personnel pour utiliser sa raison, il peut trouver des normes éthiques clairement , et des principes généraux lui permet de distinguer . • Ces principes que l homme atteint grâce à son esprit sain, ils devient des principes généraux et communs à tous = règles acceptées par tout le monde . • En ce sens, chez Kant, la morale semble innée; parce que tout cela situé à la extérieur des être humains. Et chacun de nous a ses propres normes mentales. • Dans un premier temps, la moralité est gagnée grâce à l éducation et elle se transforme en dernier quand la majorité est atteinte, à des règles mentaux. Et dans ce cas elle est innée.
  13. • Mais Kant, n utilise ( ni acquis ni inné) ; il utilise un concept intuitif ( apriori ).= ‫بديهي‬ • l éthique est tirée intuitivement de la raison quand elle est à la fois rationnelle, et elle est pure et cruciale. Avec l échelle de l esprit il n y a pas de différence. Alors elle devient universel; parce qu' elle est présente dans la raison de chaque homme. • Pure = parce qu' elle est séparée de chaque expérience, et il n y a pas de modèle a suivre. • Crucial = dans le sens , qu' elle est séparée de tous contexte; tout ce qui n est pas lié à son état. • alors selon Kant, tout acte est conforme aux principes ou aux normes qui l accepte l esprit humain; c est un acte morale. Ainsi , l action morale n est plus jugée morale . Selon son objectif, mais il est morale, car il repend à son autorité morale ;et la morale humaine gouvernée par la raison.
  14. Selon la philosophie de Kant : • Peu importe le but ou les conséquences de la loi, mais l intention ( but = finalité ) qui la motive. • L acte noble n est pas considéré, mais pourquoi je fais cet acte? Et pour quel but? Ces deux questions n ont pas d importance chez Kant, mais quel est le motif pour cet acte? Et pourquoi je le fais? • La repense que Kant accepte pour que l action soit morale est : je le fais parce que je veux être en accord avec moi-même, et les principes que je produis mentalement et ce n est morale que dans ce cas. • Si vous faite quelques chose pour vos propres intérêts, bénéfices, ou la peur ce n est pas tout à fait morale. • Autrement dit, pour que mon acte soit morale, selon Kant, aucun autre motif ne doit être caché sauf que je suis harmonie avec mon esprit
  15. Quels sont ces principes et normes éthiques scientifiques; ce qui sont en même temps sain et nécessaires; parce qu' elles sont dérivées du mentale? • universel • « toujours vider pour obtenir autant que vous pouvez pour rendre votre action légale et universel » • Si chacun de nous se comporte de cette façon ; nos actes deviendrons une règle universel. • La seul action qui pourrait être considérée comme éthique est que je peux le faire pour qu' elle devienne une loi universel, et c est dans l intérêt du morale entier.
  16. Le respect de l homme. « agissez d une manière comme tu aimes être traité toujours; comme un gain pas comme un ciseler ». = crédit. Donc, le respect de la liberté humaine est la base de toute action en ce sens déterminisme absolu. = en effet, selon Kant, l homme est la finalité de tous nos actions et l exploitation des être humains à d autres fins est un acte non verbal/ non moral.
  17. Indépendantiste • « agissez toujours comme si vous étiez un législateur et sujet dans sa République du volontés libres et raisonnables ». • Ce principe est en fait une composition des deux anciens principes ; parce qu' en repend à ce principe nous appelons la grande finalité chez Kant. Et qui est l être humain en soi . C est ce principe qui crée une loi universellement accessible. • nous devons donc, nous retrouvons dans la loi morale.  le respect de ces trois règles est ce qui constitue un acte morale.
  18. Le libre arbitre –il est nécessaire à la morale • D après Romain Saudrais ; priori, oui : faire le bien, ce n est pas le faire par hasard mais vouloir le faire. C est avoir décidé librement de faire le bien. La moralité exige une intention consciente. Faire le bien sans le faire exprès, ou en étant conditionné à le faire, c est agir conformément à la morale, mais pas par pure moralité. Si, donc, je n ai aucun libre arbitre, si je suis conditionné ou déterminé à faire le bien, alors je ne suis pas vraiment un être moral. Je me comporte peut-être bien dans les faits, mais la vraie moralité exige davantage que cela. Comme votre question le laisse entendre, la moralité repose donc sur la liberté. Du moins si l on fonde, avec Kant, la morale en raison. Mais on peut aussi, avec Rousseau, la fonder dans le cœur,
  19. • dans le sentiment. Agir moralement reviendrait alors à retrouver le cœur enfoui ( cacher ) de cette bonne première nature. Dans ce cas, on pourrait penser une morale sans libre arbitre: une morale plus naturelle que naturelle. • D après, les repenses que le philosophe Charles Pépin à proposer au public dans « Philosophie magazine »n 142/septembre 2020/p14
  20. conclusion • Dans cette présentation, nous avons élaboré la morale/; ce concept qui signifie la somme des règles qui distingue le bien du mal; qui est peut être innée selon Rosso. c est un esprit Sain et Sacré qui est mis en nous dés notre naissance, où elles sont acquises et transformées pour nous par l éducation , la société, la culture, et la religion. Comme la voit Durkheim. Quand à Kant , sa propre caractéristique morale, elle peut être une alternative ( apriori) au sens que chaque être humain a un esprit sain qui le rend capable à distinguer entre le bien et le mal dés l Age de maturité. • Tu dois donc tu peut = Kant
Publicidad