Selon la dernière étude du cabinet d’audit et de conseil PwC, intitulée « Bridging the gap », sept investisseurs institutionnels sur dix (70 %) – parmi les 60 qui ont été interrogés par PwC au plan mondial – affirment qu’ils refuseraient de participer à une levée de fonds de private equity ou à un co-investissement si ceux-ci présentaient un risque environnemental, social ou de gouvernance. Méthodologie : Pour réaliser cette étude, PwC a mené des entretiens individuels avec 60 commanditaires de 14 pays, totalisant quelque 500 milliards USD d’allocation aux gérants ou general partners (GP) de fonds de private equity. Les participants à l’enquête ont répondu sur la base du volontariat, d’où une surreprésentation probable des investisseurs relativement avancés dans leur approche de l’investissement responsable. Le panel était composé à 30 % de fonds de pension, à 20 % de gestionnaires d’actifs et à 7 % de fonds souverains ou publics. Parmi les répondants figuraient de grands fonds de pension du monde entier, comme le CalSTRS (caisse de retraite de l’enseignement public de Californie), l’USS (caisse de retraite de l’enseignement supérieur britannique), la caisse de retraite de BT, le West Midlands Pension Fund, le Wellcome Trust, un fonds de pension suédois et des fonds confessionnels aux États-Unis et en Finlande. Parmi les principaux gestionnaires d’actifs figuraient les sociétés Aberdeen, Hermes GPE, F&C et BlackRock. 7 investisseurs français ont aussi participé à cette étude comme par exemple BPI France, Ardian ou OFI Asset Management (devenu depuis SWEN Capital Partners).
Selon la dernière étude du cabinet d’audit et de conseil PwC, intitulée « Bridging the gap », sept investisseurs institutionnels sur dix (70 %) – parmi les 60 qui ont été interrogés par PwC au plan mondial – affirment qu’ils refuseraient de participer à une levée de fonds de private equity ou à un co-investissement si ceux-ci présentaient un risque environnemental, social ou de gouvernance. Méthodologie : Pour réaliser cette étude, PwC a mené des entretiens individuels avec 60 commanditaires de 14 pays, totalisant quelque 500 milliards USD d’allocation aux gérants ou general partners (GP) de fonds de private equity. Les participants à l’enquête ont répondu sur la base du volontariat, d’où une surreprésentation probable des investisseurs relativement avancés dans leur approche de l’investissement responsable. Le panel était composé à 30 % de fonds de pension, à 20 % de gestionnaires d’actifs et à 7 % de fonds souverains ou publics. Parmi les répondants figuraient de grands fonds de pension du monde entier, comme le CalSTRS (caisse de retraite de l’enseignement public de Californie), l’USS (caisse de retraite de l’enseignement supérieur britannique), la caisse de retraite de BT, le West Midlands Pension Fund, le Wellcome Trust, un fonds de pension suédois et des fonds confessionnels aux États-Unis et en Finlande. Parmi les principaux gestionnaires d’actifs figuraient les sociétés Aberdeen, Hermes GPE, F&C et BlackRock. 7 investisseurs français ont aussi participé à cette étude comme par exemple BPI France, Ardian ou OFI Asset Management (devenu depuis SWEN Capital Partners).