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Le Mix marketing

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
Du marketing stratégique au marketing
opérationnel

[CHAPITRE 2]

La politique produit

[CHAPITRE 3]

La politique de prix

[CHAPITRE 4]

La politique de distribution

[CHAPITRE 5]

2h pour
appréhender
les composantes
du marketing
opérationnel

[CHAPITRE 1]

La vente et ses outils

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
01#

Du marketing stratégique au marketing opérationnel

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
L’élaboration d’une stratégie marketing répond à 5 étapes successives.
Elles constituent le marketing stratégique de l’entreprise.

01#

Analyse

› De l’environnement interne de l’entreprise :
portefeuille de marque,
positionnement,
Segmentation…
› De l’environnement externe : études.

02#

Diagnostic

› Synthèse de l’analyse, le diagnostic s’attache
à dégager les points majeurs et structurant
du marché, de la concurrence et de l’entreprise.

› Il se concrétise par une matrice SWOT : strenghts,
weakness, opportunities, threats.
Origines internes
Origines externes

Forces

Faiblesses

› Liste des points forts
› liés au produit, à la marque,
à l’entreprise.

› Listes des points faibles
liés au produit, à la marque,
à l’entreprise.

Opportunités

Menaces

› Liste des opportunités : marché,
tendances conso, espace
vacants des concurrents,
innovations…

› Liste des menaces :
marché, tendances conso,
espace occupés des
concurrents, innovations///

Matrice SWOT
03#

Objectifs

Ces objectifs sont fixés suite aux problèmes
mis en avant dans le diagnostic :
› Objectifs de volume et de parts de marché
› Objectifs de rentabilité
› Objectifs qualitatifs

04#

Cibles

Ces cibles sont fixées selon 3 critères :
› Leur nature
› Leur nombre et leur taille
› Leurs critères de définition

05#

Positionnement

› Le positionnement du produit est formulé
en adéquation avec les objectifs et les cibles
définies
› Le positionnement est le garant du mix marketing
‘’

Du marketing stratégique au marketing opérationnel

du positionnement du produit, découle le
marketing mix

‘’
Positionnement du produit
<

Formulation du mix marketing

Politique de produit

› Caractéristiques
intrinsèques du
produit.

Politique de prix

› Prix.
› Conditions
tarifaires…

Politique de distribution

› Taille et organisation
de
la force de vente.

› Composition
de la gamme.

› Choix des canaux de
distribution.

› Conditionnement.

› Budget de
référencement.

› Nom, identité
visuelle.

› Taux de présence…

Politique de
communication

› Montant et répartition
des moyens de com
› Stratégie média.
› Stratégie Hors média.
01#

La politique produit

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
02# le packaging

‘’

Le produit
On peut définir le produit comme un ensemble de caractéristiques tangibles
et symboliques incluant le service après-vente et la garantie.
Le produit peut également être une association, un club,
un parti politique, un acteur de cinéma,....

Il est la promesse faite par l'entreprise de satisfaire un ou
plusieurs besoins (psychologiques ou physiologiques) du marché
à un moment donné. (Pettigrew.et Turgeon - Darmon)

‘’
4 grandes familles de classement
<
des produits

selon la durée de vie

selon le comportement
d'achat
(grande consommation)

Les biens durables

Produits d'achat courant

Les périssables

Les matières premières
et composants

Produits d'achat réfléchi

Les services

selon la place dans le
processus de production
(biens industriels)

Produits de spécialité

Bien banal
Bien anomal

Les biens d'équipements
Les fournitures et services
Produits non recherchés

par fréquence d'achat
Concept marketing d’un produit
Pour tout client, un produit possède plus qu’une unité fonctionnelle,
il a un contenu symbolique.
Nos achats sont déterminés par les symboles que l’on attache
aux produits et aux marques.
C’est confirmé par les études de motivations, les entretiens : un produit est aussi
un symbole de réussite, de performance, d’efficacité, …

Ce contenu symbolique sert à définir et/ou à déterminer le concept marketing d’un
produit, de sorte qu’il puisse répondre à l’attente essentielle du consommateur.
De la même manière que le concept marketing construit le contenu symbolique
d’un produit…
Quand j’achète du caviar, je n’achète pas
seulement un produit alimentaire…
Ce n’est pas dans le but de me nourrir !
C’est pour se faire plaisir, découvrir
de nouvelles sensations, et aussi
sûrement, afficher mon standing
(mon groupe de référence).
Concept marketing d’un produit
Il s’exprime dans des termes qui appartiennent à l’univers du consommateur et non à
celui du producteur (= différent de la description technique).

Les produits doivent souvent satisfaire plusieurs cibles.
Il faut donc définir le concept marketing pour toutes les cibles.

Ce concept marketing évolue dans le temps
Les produits évoluent, la technologie aussi, donc banalisation, concurrence,
mode de vie…

évolution et évolution primordiale pour rester compétitif.
Concept marketing d’un produit
Le concept marketing est souvent proche du positionnement

2 cas de figures peuvent se présenter

01#

Produit innovant
sans concurrence

Concept marketing
et positionnement sont
identiques.

02#

Plusieurs
produits, même
concept

le concept exprime l’identification à
un certain univers de consommation,
le positionnement apporte
des éléments de différenciation
(prix, distribution, communication).
Composantes de la politique produit

01#

Fixation des caractéristiques intrinsèques de chacun
des produits considérés : Formule, performances, design.

+

02#

Conception si besoin un packaging.

+

03#

Définition d’ une politique de gamme.
Composantes de la politique produit
01# les caractéristiques intrinsèques

Malgré l’amoindrissement
des différences entre les produits d’une
même catégorie,
les caractéristiques intrinsèques
sont pour beaucoup dans la réussite ou
l’échec d’un produit.

› La formule du produit :
description technique
de ses composants.
› Les performances du produit :
objectivement observable.
› Le design du produit :
aspect visuel extérieur.
Qu’est-ce qu’un bon produit ?
Un produit qui réunit :
#1 qualité (degré auquel ses performances répondent aux attentes que le client
est en droit d’avoir à son égard)
#2 et avantage produit (caractéristique intrinsèque et distinction positive du
produit par rapport aux produits concurrents).

Utilité des tests pour valider les performances produit
Le cycle de vie des produits
Comme pour un individu, la vie d’un produit peut être analysée en plusieurs phases qui
vont du lancement (la naissance) au développement (l’adolescence) puis à la maturité
(l’âge adulte) enfin au déclin (la vieillesse et la mort).
Le cycle de vie des produits

Il existe des marchés spécifiques…
Des marchés sans âge

01#
02#

Le sucre, les biscottes, les biens de
première nécessité…

Des marchés ou produits
au cycle de vie très bref
Ils dépendent d’une mode ou d’une
avancée technologique (gadgets,
jeux, …).

… Mais globalement,
il est difficile de déterminer
exactement le cycle de vie d'un
produit.
Ceci dépend à la fois du produit
et du marché sur lequel il se
trouve.
Adéquation cycle de vie du produit, stratégie marketing
Phase 2
LANCEMENT

Phase 3a
CROISSANCE 1

Phase 3b
CROISSANCE 2

Phase 4
MATURITE

Phase 5
DECLIN

Environnement

Croissance lente de la
demande , Courbe des
profits négative, Coût de
production et de
lancement importants,
recettes faibles, volume
de production faible.

Pénétration massive
du produit sur le marché
Croissance à taux
croissant, Courbe des
profits également,
apparition de la
concurrence

Croissance à taux
décroissant Concurrence
se concentre

Ventes ralentissent
Taux de croissance
presque nul
Les Pdm sont +/importantes
Courbe des profits est
maximale

Ventes diminuent
Certains concurrents
disparaissent

Principaux
objectifs
stratégiques

Développer la demande
globale

Développer la demande
préférentielle de marque

Créer une fidélité
à la marque

Maintenir la fidélité

Cesser le produit
ou le relancer sous une
nouvelle formule

Produit

Insister sur la mise au
point technique et
commerciale du produit

On produit en grande
série, voire on étend la
gamme
Améliorer le produit

Fréquents changements
de modèles
Réduction gamme

Le marché se segmente.
Il faut modifier le produit
pour se démarquer

Réduire les gammes

Prix

Après avoir effectué des
recherches sur les
marchés-tests, on fixe le
prix de revient

Tendance à la baisse des
prix

Tendance à la baisse
Concurrence prix

Les prix baissent du fait
de la forte concurrence

Les prix baissent encore
afin d'écouler les stocks

Distribution

Limité (on met le produit
en place)
Pas de promotion
agressive

On étend la distribution

Intensive et extensive
Réduction des marges
SAV important

Distribution sélective,
réduction

La distribution redevient
sélective et spécialisée

Communication

Le but de la
communication est de
faire connaître le produit
par les grands médias

La communication a un
rôle informatif et
persuasif pour créer une
préférence de marque

Fidélité à la marque

Fidéliser + augmenter le
taux d'utilisation par les
actions promotionnelles

Se limite aux promotions
pour l'écoulement des
stocks
Composantes de la politique produit
02# le packaging

‘’

Le packaging
Ensemble des éléments matériels qui, sans faire partie du produit lui même, sont
vendus avec lui en vue de permettre ou de faciliter
sa protection, son transport, son stockage, sa présentation en linéaire, son
identification, et son utilisation par les consommateurs.

‘’
Les 3 niveaux du packaging
#1 L’emballage primaire : celui qui en contact direct avec le produit.
#2 L’emballage secondaire : qui regroupe plusieurs unités de consommation du
produit (yaourts) pour en faire une unité de vente.
#3 L’emballage tertiaire : fonction logistique (transport, entrepôt…) palettes…
Composantes de la politique produit
02# le packaging

Le contenant et le décor se complètent et ont un rôle fondamental
sur la perception du produit par le public. Ils racontent une histoire,
un positionnement, un prix, un univers…

Le contenant :
matériaux utilisés
(plastique, verre, carton, métal…), form
e, système
de fermeture, de bouchage, etc.

Le décor :
éléments purement visuels qui n’ont pas
d’incidence directe sur ses
caractéristiques d’utilisation : graphisme,
couleurs, typos, formes…
Sturia et ses concurrents

Du noir

Des bateaux de pêche…

Du bleu et des poissons
Sturia et ses concurrents

VS de l’arlequin
Le packaging est capital
›

C’est lui qui noue le premier contact
entre le produit et le client

›

Parfois le produit doit « se vendre tout
seul »

›

Il permet de faire la différence entre
deux produits qui remplissent la même
fonction

›

Fait partie de l’univers
de la marque
Composantes de la politique produit
02# le packaging
En fait, le packaging remplit à la fois des fonctions techniques
et des fonctions de communication :
Fonctions techniques
› Protection et conservation du produit
› Commodités d’utilisation
› Facilités de transport, de stockage, de rangement et d’élimination
› Protection de l’environnement

Les 3 niveaux du packaging
Fonctions de communication
› Le packaging est le premier média du produit
› Impact visuel (fonction d’alerte)
› Reconnaissance (de la marque)
› Identification (de la catégorie de produit)
› Expression du positionnement (évoquer les traits saillants et distinctifs
que l’on a décider de conférer à la marque)
› Information du consommateur (infos légales, conseils d’utilisation)
› Impulsion à l’achat (apetissant, impression de taille, qualité esthétique)
Composantes de la politique produit
03# Une politique de gamme
Une gamme de produits est constituée d’un plus ou moins grand nombre de
produits ou de services que l’on peut regrouper en plusieurs lignes de produits.

Milieu de gamme
ou cœur de gamme

Entrée de gamme
ou bas de gamme

Ligne 1

Ligne 2

Ligne 3

Ligne 4

Largeur de gamme = nb de lignes

Prix

Profondeur de ligne = nb de produits

Haut de gamme
Composantes de la politique produit
03# Une politique de gamme
Une gamme de produits se pilote : c’est l’équilibre choisi entre les différents produits à
différents stades de maturité d’âge, de prix (niveau de gamme)
pour que le tout soit rentable.

Rôle de la gamme dans la politique marketing
Rôle d’attraction

1
4

Attirer de nouveaux
consommateurs du produit/de
la marque.

2

Rôle de leader
Rôle tenu par les constituants
de la gamme qui ont les
meilleures parts de marché.

3

Rôle tactique
Gêner la concurrence.

Rôle de transition

Transition entre une famille vieillissante et une nouvelle pas encore prête ou, transition entre une
technologie en cours de banalisation et une technologie innovante pour laquelle le marché n'est pas encore
prêt ou entre deux cycles d'un produit à ventes saisonnière.
Composantes de la politique produit
03# Une politique de gamme

3 stratégies de gamme possibles

Une marque par produit :
Un produit haut de gamme porte un nom et un produit bas de gamme un
autre.
Une marque par ligne :
Tous les produits d'1 même ligne portent le même nom.

Une marque unique
Elle désigne tous les produits de la société même s'il s'agit de produits
totalement différents. La marque sert de vecteur de réputation.
Composantes de la politique produit
03# Une politique de gamme

Exemple : Sturia, gamme de produits
Classic
Niveau de
gamme
Prix*
% de la
production
Caractéristiques
Stade de
développement

* Prix constatés en 2012

Entrée de
gamme

Primeur

Vintage

Grand chef

Milieu / Cœur de gamme

Prestige

Oscietra

Haut de gamme

1800 €/kg

2030 €/kg

2100 €/kg

2525 €/kg

2775 €/kg

3055 €/kg

50 %

5%

35 %

4%

3%

L’essentiel

L’originalité

La griffe

Sélection chefs
étoilés

Gros Grains

Espèce prestige

Maturité

Lancement

Maturité

Développement

Développement

Lancement

3%
02#

La politique de prix

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
‘’

La politique de prix
La politique de prix consiste à fixer les prix de vente des différents produits aux
différents clients (acheteurs finaux ou distributeurs).

‘’

Le prix de vente se fixe au début du lancement d’un produit mais peut
adapté facilement à tout moment.
Une pratique réglementée

Le producteur est libre de fixer ses prix, mais parfois il y a des règlementations
(médicaments, produits pétroliers, transports
en commun, …).

La vente à perte est interdite.

Les prix doivent être affichés clairement.
Un impacte sur la rentabilité
Le prix, une variable qui a un impact considérable : les effets du prix sur le
volume des ventes et sur la rentabilité sont très importants.

Prix de vente

Effet économique
(frein à l’achat)

Effet psychologique
(image du produit)

Effets sur les attitudes
des distributeurs

Volume des ventes

En raison des crises successives, la tendance est toujours à la recherche du
meilleur rapport qualité prix.
Un impacte sur la rentabilité

Qu’est-ce que la rentabilité ?
La rentabilité d’un produit est la résultante de deux facteurs qui sont :
#1 La marge unitaire, c’est-à-dire la différence entre le prix de vente
et le prix de revient d’une unité de produit.
#2 Le volume des ventes, c’est-à-dire le nombre d’unités vendues.
Si le prix de vente exerce une influence sur le volume des ventes et le prix
de revient, l’idée selon laquelle plus un produit est vendu cher,
plus il est rentable, n’est pas forcément vraie…

12 €

10 €

100 000

130 000

C) Prix de revient unitaire

7€

6€

D)Marge unitaire (A-C)

5€

4€

E) Marge totale (DXB)

500 000 €

520 000€

B) Volume des ventes

100 000

130 000

A) Prix de vente

B) Volume des ventes
Fixation du prix

La fixation du prix de vente repose sur 3 facteurs :

Les coûts
Le prix de vente doit permettre de couvrir les coûts et d'assurer à l'entreprise une marge
de rentabilité. Les coûts sont en partie liés aux relations
de l'entreprise avec ses fournisseurs.

La demande
Le prix doit être en cohérence avec les attentes des consommateurs en termes de prix et
également de qualité.

La concurrence
Le prix doit permettre de positionner l'offre par rapport à celles de ses concurrents. La
compétitivité prix permet d'assurer les parts de marché
de l'entreprise et ainsi sa rentabilité.
Fixation du prix

La fixation du prix peut alors suivre 3 logiques :

1
2

Mais le prix obtenu correspond-il
aux attentes des consommateurs ?
Est-il compétitif par rapport
aux concurrents ?

3

En cas de guerre de prix, cette logique peut
conduire l'entreprise à réduire dangereusement
sa marge, voire à obtenir une marge négative,
non viable à long terme.

Par les coûts
On calcule le prix de revient, on ajoute la
marge souhaitée.

Par la demande
On établit le prix de vente selon
la méthode du prix psychologique :
c'est celui qui maximise la demande des
consommateurs. La marge obtenue découle alors
de la différence entre ce prix de vente et le prix de
revient du produit.
Par la concurrence
On fixe le prix de vente en fonction
de celui des concurrents directs
du produit et du positionnement
souhaité : plus ou moins cher ?

Mais cette marge permet-elle d'assurer la
rentabilité de l'entreprise ?
Fixation du prix

La fixation du prix de vente doit donc
reposer sur la prise en compte conjointe
de ces 3 logiques.
Un moyen au service de la stratégie

Enfin, la politique de prix, comme toutes les autres
composantes du marketing mix d’un produit,
n’est qu’un moyen au service de la stratégie marketing de
ce produit et tient donc compte
des objectifs généraux de l’entreprise.
Un moyen au service de la stratégie
Objectif de rentabilité
et de volume :
parfois la rentabilité à court ou moyen terme est
un objectif en soit (pour éliminer des
concurrents ou pénétrer un marché).

01#

Lien entre prix et objectifs
généraux de l’entreprise

Objectifs d’image :
Le prix est au service
du positionnement, dans le luxe notamment ou
quand la valeur ajoutée technologique
est forte.

02#

03#

Objectif de gamme :
Pour segmenter, structurer
une gamme de produits.
Un moyen au service de la stratégie
Evidemment, tout cela se base aussi sur une étude approfondie des prix des concurrents
et de la politique de prix des distributeurs
03#

La politique de distribution

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
‘’

la distribution
On appelle circuit de distribution, le chemin suivi par un produit ou un service pour
aller du stade de la production à celui de la consommation.
Cet itinéraire est fait d’ensemble de personnes ou d’entreprises que l’on appelle
« intermédiaires ».

‘’
Un canal de distribution est constitué par une catégorie
d’intermédiaires de même type.

Producteur

Canal 2

Canal 1
Grossiste

Canal 3

Centrales d’achats
Vente directe

Détaillant

Hypermarché

Consommateur
Les fonctions de distribution
Ces fonctions sont assurées par le distributeur ou par les intermédiaires

Une fonction physique

#1 Fonction de transport
et d’éclatement de la production.
#2 Fonction d’assortiment.
#3 Fonction de stockage.

VS

Une fonction intangible :
le service

#1 Fonction marketing
› Le suivi des marchés.
› La mise en scène des produits
(théâtralisation).
› Le Développement De Marques (MDD).

#2 Financement
Développement de cartes
de paiement.
Evaluation et choix d’un circuit
Idéalement, un circuit de distribution est choisi en fonction des objectifs marketing
pour un produit ou une gamme de produit.

7 critères principaux d’évaluation
#1 adéquation avec la cible

#2 Expérience dans la vente de ce type de produit
#3 Image du circuit
#4 Contrôle de la distribution
#5 Compatibilité des circuits entre eux
#6 coût de la distribution
#7 possibilité d’évolution des circuits
Evaluation et choix d’un circuit
Le choix du canal de distribution repose en premier lieu sur un choix stratégique : dans
quelle mesure dois-je être présent sur le marché ?

Distribution intensive
Etre présent dans un maximum
de points de vente.
On maximise alors des
indicateurs de panels tels que la
DN (disponibilité numérique) ou
la DV (disponibilité en valeur).

Distribution exclusive
Donner l'exclusivité
de la distribution à un petit
nombre d'intermédiaires.

Distribution sélective
A mi-chemin entre distribution
intensive
et exclusive, il s'agit de limiter le
nombre de détaillants
sur certains critères de façon à
assurer leur cohérence avec le
positionnement souhaité de la
marque.
Evaluation et choix d’un circuit

Le circuit de distribution rejailli sur l’image de la marque
Il est donc nécessaire pour le fabricant de choisir un circuit
de distribution qui lui permette d'offrir à ses clients un niveau
de service donné pour garantir son image auprès des consommateurs

services antérieurs à l'achat, service après-vente, annexes
Evaluation et choix d’un circuit
La stratégie de choix du circuit de distribution va dépendre également
du cycle de vie du produit.
Produit existant qui arrive sur un marché
concurrentiel

Phase de maturité

Dans la perspective d'un positionnement haut
l'entreprise peut chercher à écrémer le marché en
distribuant à prix élevé de manière sélective, voire même
exclusive.
Une distribution ouverte est indispensable, appuyée par
un prix relativement bas pour intimider les concurrents
ou au moins les dissuader un certain temps de venir se
battre sur le terrain.

Bien banal
Phase de croissance

Produit plus ou moins nouveau
sur un marché qui est encore évolution

Produit de grande consommation

Phase de lancement

Selon le positionnement (haut/bas gamme). selon le
caractère anomal ou banal, l'entreprise peut choisir dans
le premier cas, une distribution sélective, dans le
deuxième cas une distribution ouverte.

La distribution devra être plus vaste. si elle ne l'est déjà,
et diversifiée en raison des phénomènes d'infidélité à la
marque.

Bien anomal

La pratique de distribution d'écrémage puis
de pénétration est intéressante : on élargit la distribution
tout en réduisant le prix chaque fois qu'un segment de
client potentiel a été exploité.

La distribution sera généralement étendue. Il est peut être alors utile de recentrer ses à forte concentration
de chiffre d'affaires.
Exemple de stratégie de distribution :
facteur clé de succès
Stratégie de
différenciation

Tupperware :
Le succès de Tupperware s'est construit sur le développement
de la vente par réunion et le pouvoir d'influence des hôtesses d'accueil.
Ce mode de distribution met en avant la rareté des produits Tupperware et la «
chance » de pouvoir en acheter uniquement en faisant partie
du réseau et en étant invité à une de leur fameuse réunion.
Exemple de stratégie de distribution :
facteur clé de succès
Stratégie de
domination par les
coûts

Dell :
Basée sur la vente directe par téléphone puis par Internet, le système
de distribution mis en place par Dell permet de réduire les coûts
de distribution, d'adapter sur mesure le produit au besoin du client
et de limitation des stocks, puisque les ordinateurs sont construits
à la commande.
Exemple de stratégie de distribution :
facteur clé de succès
Stratégie de
focalisation

Yves Rocher
En développant un circuit de distribution intégré, détenu en propre par
la marque, Yves Rocher prend alors le contrôle total des conditions
de commercialisation de ses produits et notamment la cohérence
de son image.
Le distributeur est aussi vecteur d’image,
il peut :
› renforcer l’attractivité de notre marque
› Être une source d’information
› Parfois être un partenaire
04#

La force de vente

Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
Pour faire le tour de la politique de distribution, il faut
voir ce qu’il y a en amont et en aval,
c’est-à-dire :

La force de vente
Le merchandising
La promo des ventes
Le marketing direct
La force de vente

‘’

Force de vente
La force de vente d’une entreprise est l’ensemble des personnes qui ont pour
mission principale de vendre les produits. Il s’adressent aux clients, distributeurs
et prescripteurs.

‘’

La force de vente est un facteur aussi important
que la qualité des produits
Pourquoi ?
La force de vente

Elle est une source d’information
pour les clients ou
prospects,
donc une source d’image
du produit et de
fidélisation.

remontante pour
l’entreprise (besoin
et attentes du marché,
actions de la
concurrence…)
Le merchandising

‘’

Le merchandising
Ensemble des méthodes et des techniques ayant attrait
à la présentation et à la mise en valeur du produit sur le lieu de vente.

‘’
Le merchandising

Objectif
Rôle d’attraction visuelle et
d’incitation à l’achat :
Il a un impact direct
en terme d’image
et de quantité de ventes.

Ses moyens
›

Optimiser la rentabilité d'un
point de vente
et des produits qu'il contient.

Choix de l’emplacement

›

De la surface de vente
attribuée

›

De la quantité de produit, de
leur disposition

›

Du matériel de présentation et
de signalisation des produits
Le merchandising
Une discipline très élaborée qui met en scène le produit dans le linéaire,
on parle d’assortiment, de linéaire, de facing…

L’assortiment

La notion de largeur
D’autant plus large que le nombre
de produits répondant à la satisfaction
de différents besoins sera grand.

Il se qualifie par
La notion de profondeur
d'autant plus profond que le nombre
de produits répondant à la satisfaction
de mêmes besoins sera grand.
Le merchandising
L’assortiment
L'assortiment du point de vente est constitué en fonction :

01#
02#

de sa vocation
(multispécialisé
ou spécialisé)

De la demande de la zone
de chalandise

03#

Des parts de marché
des différentes marques

04#

De l'offre de la
concurrence
Le choix de l'assortiment d'un point de vente se fait en fonction
des besoins des consommateurs de la zone de chalandise.
stratégie

Assortiment

Produits

Image du magasin

Attraction

Niveau de prix

exemple

Occupation
du territoire,
défensive

Large et peu
profond

Banalisés

Proximité
Dépannage

La plus forte
du quartier

Moyen

Supermarché

Offensive

Etroit mais peu
profond

Spécialité
Shopping

Compétences
Spécialistes

Forte

Elevé ou bas
selon la forme de
commerce

Petit Indépendant
Grande surface

Dépannage

Etroit et peu
profond

Banalisés

Service de
proximité

Faible

Elevé

Epicerie
d'alimentation
Station essence
Drugstore

Attraction

Large et profond

Convenience
Shopping / Biens
de spécialité

Choix et prix

Très forte

Faible ou élevé
selon la forme de
commerce

Hypermarché
Grands magasins

Les choix définitif des produits et des fournisseurs est fait en fonction des prix
pratiqués, des conditions de livraison et de règlement.
Le merchandising
Le linéaire

La notion de largeur

L’implantation des produits
dans les rayons se font
selon un linéaire.
Il se caractérise par :

Linéaire au sol (longueur au sol
de présentation des produits) ou développé
(linéaire au sol X nombre de niveaux
de présentation des produits).

En nombre d’unités
de produits (ou en centimètres) présentés sur la
1ère rangée, en façade (facing en anglais).
Exemple de stratégie d’implantation

objectifs

Maximiser le CA et la marge

Contraintes

Présenter les produits de façon
cohérente

Solutions
Mettre côte à côte des produits vendus
à faible marge et des produits à plus forte
marge (pâtes et sauces préparées, apéritifs et
biscuits d'apéritif)
Placer les produits de 1ère nécessité
en bout d'allée
Utiliser une présentation verticale
(toutes les produits d'une même famille sont
disposés sur toute la hauteur
de la gondole) et non horizontale

Développer les achats non prémédités

Limiter la fatigue du client
et lui permettre de circuler dans les
meilleures conditions possibles

Inciter le client à acheter les produits à
plus forte marge

Ne pas lui donner l'impression d'un
circuit imposé

Augmenter la rotation des stocks et
faciliter l'écoulement des produits

Tenir compte des PDM
des différentes marques

Allouer à chaque produit un linéaire
en rapport avec son écoulement (frontale
minimum de 50cm en hyper)

Fidéliser la clientèle

Mettre en valeur les produits
d'appel et les produits que
l'enseigne souhaite promouvoir

Utiliser les têtes de gondole pour
les promotions et les mises en avant
de produits.

Présenter au niveau des yeux les produits à
forte marge
La promotion des ventes

Opérations qui consistent à faire connaître
le produit, faciliter
le passage à l’acte, attirer d’autres cibles…
Opérations destinées soit au grand public,
soit aux distributeurs (la stimulation des
ventes) ou les deux.

La mécanique

Elle se distingue de la publicité parce
qu’elle cherche un effet
à court terme, la où la publicité
cherche à modifier des images, ou
comportements, sur la durée.
La promotion des ventes
Le principe : offrir un avantage temporaire au consommateur pour :

01#

02#

Gagner des acheteurs

Ses moyens
Faire essayer le produit /
promouvoir de nouvelles
utilisations

› Essai gratuit (échantillon, dégustation)
› Réduction temporaires de prix
› Primes et cadeaux associés à l’achat d’un
produit

› Jeux, concours et loteries

03#

Fidéliser

04#

Drainer du trafic et faire
acheter

› Animations, mise en avant du produit.
Le marketing direct

Son rôle

c’est à la fois un moyen
de communication
et un canal de distribution,
donc
un outil de vente.

Etablir des relations directes et
interactives, sans face à face
entre vendeur et un acheteur
dans le but d’obtenir une
réponse concrète et immédiate
(commande).
Animer commercialement
la marque, permettant aussi de
faire vivre l’image.

Ses moyens
mailing papier ou internet,
phoning.

La dimension web
Dans le cadre du
e commerce, le marketing direct
se traduit principalement par
le marketing à la performance.
‘’

Le marketing à la performance
Le marketing à la performance est le fait de mener une campagne
de publicité en fonction d’objectifs précis et définis par le client.
Ces objectifs sont déterminés selon des critères quantitatifs, qu’ils soient
d’ordre financier (rentabilité), d’ordre média (trafic) ou d’ordre commercial
(conversion, inscription, achat).

‘’
Pub online vs marketing à la performance

x

Publicité traditionnelle

Marketing à la performance

Objectif principal

Visibilité, branding, construction de
la marque

ROI : génération de trafic
sur site, de leads, de ventes

Indicateurs clés

Taux de visibilité, durée
d’exposition, mémorisation

Visites, taux de transformation,
Coût d’acquisition

Valeur

Audience, couverture

Contraintes

Pour l’annonceur essentiellement
qui ne maîtrise pas son ROI

Pour le support essentiellement puisque l’annonceur ne
paie qu’aurésultat.
Le risque pour l’annonceur est de ne pas obtenir
le volume d’actions attendues pendant la période
souhaitée et de moins bien maîtriser les modalités de
diffusion (support, fréquence, intégration, format...)

Principaux modes d’achat

CPM, CPC

CPC et CPM optimisé, CPA
(CPL et CPS)

Source : livre blanc, le marketing à la performance, IAB

Internaute : nouveau client, panier moyen
Faire de marketing à la performance,
c’est entrer dans une logique de test and learn.
Le trafic manager doit en permanence combiner les
leviers, adapter les dispositifs suivant le ratio
coût/performance pour permettre le meilleur coût
d’acquisition client (CAC).
Etat des lieux des leviers par objectifs

x

acquisition pure

Acquisition +
notoriété

Display

x

x

E mailing

x

x

Site under

x

x

Cashback

x

Comparateurs de prix

x

Bon de réduction

x

Co registration

x

Sites affinitaires

x

Fidélisation +
réactivation

x

x
x

x
x
Le display
Définition
Modèle basé sur le principe
de l’essaimage :
principe consistant à acheter
des bannières publicitaires à prix discount
pour une diffusion large.
Ces bannières sont soumises
à une logique d’A/B testing pour identifier les
stratégies de diffusion
et de ciblage les plus efficaces.
Cette tactique peut aussi être appelée Run of
Network (RON).
L’achat peut être réalisé en millier
d’impressions (low CPM) ou au clic (CPC).

Objectifs
› obtenir de la visibilité à un coût très faible.
› générer du trafic sur son site.
› faire progresser l’utilisateur dans le tunnel de
conversion via les techniques
de retargeting.
Focus sur le search targeting
une technique publicitaire entre le display et le search maketing.

Principe
Cibler les internautes en recherche d’un produit ou service lié à l’activité de
l’annonceur ou sur la base de mots-clés achetés pour sa campagne
de liens sponsorisés.

L’internaute tape un mot-clé lié à
l’activité de l’annonceur (SEO)ou
acheté par ce dernier en
référencement payant (SEA).

une publicité display
de l’annonceur est servie
sur le réseau.
E mailing à la performance

Définition
L’e-mailing est utilisé sur les campagnes
d’acquisition à la performance basées
sur des modèles économiques CPC / CPL /
CPA et parfois CPM depuis 1999.

Objectifs
› Maximiser son ROI (le levier e-mail
est le n 1 en termes de ROI, de taux
de clic, et de taux de conversion).
› Profiter durablement de leur apport
potentiel de prospection.
› Booster, par ricochet, les KPIs
sur l’ensemble des canaux de vente
(search, retargeting, affiliation) digitaux et
même offline.
› Ne pas prendre de risques en termes
d’image de marque et d’e-réputation.
Site under

Définition
Le site under est un levier d’acquisition
qui consiste à ouvrir la page d’un
annonceur sous la page courante
qu’un internaute visite.
Il existe deux types de rémunérations : à la
performance ou au CPM (20% du marché).

C’est un levier très intéressant pour répondre à
la fois à des problématiques de performance et
de trafic.

Objectifs
› Générer des ventes tout au long
de l’année et en particulier lors
de temps forts (tels que les soldes par
exemple).
Cash Back
Définition
Le cashback permet d’être rétribué pour les
achats effectués via ce site.

Une partie de la somme du panier d’achat
(exprimée en pourcentage
ou en valeur) est reversée à l’acheteur.
Cette retro commission peut prendre
la forme de « cash », d’épargne,
de bons de réduction ou être destinée
à une œuvre caritative.

Objectifs
› Cibler des acheteurs actifs
et bénéficier de mises en avant
sur des sites ayant un nombre important
de visiteurs uniques.
› Augmenter le panier moyen
de l’internaute. Les membres de portails
de cashback, face à une
« bonne affaire »,étant plus enclins
à la dépense.
› Fidéliser les membres afin de créer une
véritable communauté d’acheteurs actifs.
Le cashback commence à apparaître IRL (In real Life)
avec des applications qui mettent en avant des offres
promotionnelles dans les magasins physiques.
L’internaute se voit rétribuer son cashback en
photographiant son ticket de caisse.
Comparateurs de prix

Définition
Les comparateurs de prix sont des services
en ligne qui permettent aux consommateurs
de pouvoir chercher, comparer et acheter un
produit
au meilleur prix en listant les offres
et les services de différents
e-commerçants.

Objectifs
› Pour les e-commerçants encore peu
connus du grand public, être visibles face
à des grands noms de la distribution en
ligne.
› renforcer la visibilité des enseignes lors
des temps forts :
soldes, Noël, fête des mères, SaintValentin… (dispositifs événementiels
proposés par les comparateurs).
Intérêt double

Effet de prescription

Les comparateurs de prix sont des acteurs
incontournables dans le paysage
du marketing à la performance.
Un comparateur est un prescripteur en amont du
processus d’achat.

Gage de qualité

Le prix n’est, en effet, pas le seul critère mis en
avant : avis client, services, notoriété de la
marque peuvent aussi impacter le classement
des offres.

A noter :
les comparateurs de prix enregistrent des taux de conversion élevés
entre 1 et 3% constatés sur l’ensemble des plates-formes d’affiliation.
trois typologies de modèles économiques :

Les comparateurs au clic

1

Modèle au CPC.
Selon son secteur d’activité
L’annonceur paie lorsque
l’internaute est redirigé vers le site de
l’e-commerçant ou la fiche produit
correspondante.
Ce coût par clic peut varier de 0,05€ à
0,40€ en moyenne selon la catégorie
de produit référencé.

2

Les comparateurs
à la performance

Généralistes ou avec une
thématique particulière du type
« high-Tech »,« fleurs » « courses
en ligne »… Les partenaires offrent la
possibilité de référencer les offres d’un
e-commerçant à la perf via
une commission perçue pour chaque
vente générée.

3

Les comparateurs
thématiques

Souvent avec une
thématique autour des secteurs
d’activités bancaires,
assurances ou automobiles,
les comparateurs thématiques
s’illustrent avec une rémunération
au lead (CPL).
Ils comptabilisent des audiences très
qualifiées.
Bons de réductions
Intérêt
Les bons de réduction répondent à une
demande croissante des internautes
qui souhaitent « conforter leur décision d’achat
en s’assurant qu’ils ont fait une
bonne affaire » ou « acheter au meilleur prix ».
Cible :
› Usage répandu chez les hommes
et les femmes de -de 35 ans
› 79 % des CSP+ les utilisent

Objectifs
› Optimiser les marges tout en boostant le
volume de leur vente :
les bons de réductions permettent
de convertir les acheteurs hésitants.
› fidéliser
Co registration
Définition
Levier permettant l’acquisition de profils
qualifiés (optin) et ciblés par le biais
de sites éditeurs tiers. Cette collecte mutualisée
s’effectue via leurs formulaires d’inscription ou
des jeux concours.
Lorsque l’internaute renseigne ses infos
personnelles pour s’enregistrer en base
de données, il se voit proposer des offres
auxquelles il peut adhérer ou non
en cochant la case optin.
La co registration repose sur un modèle
à la performance où l’annonceur
rémunère le partenaire au CPL.

Objectif
› Générer des profils qualifiés et complets
(cibles captives).
ce procédé est ajustable pour tendre
vers les meilleurs taux de transformation :
ajustement du ciblage, des sites
de diffusion, de l’offre présentée
à l’internaute…
Sites affinitaires
Définition
Egalement appelés sites verticaux, ce sont tous
les sites en accord direct avec une cible ou un
secteur d’activité précis.
Plus ce site aura une forte notoriété,
plus la visibilité apportée sera intéressante et
impactante. Ils peuvent prendre différentes «
formes » : comparateurs, sites de contenus,
blogs…
Ex : un comparateur de vols est intéressant
pour un annonceur voyage.
Ces affiliés privilégient les éléments display
(bannières, habillage), Ils sont donc plus
sensibles aux modèles économiques au CPM
ou CPC.

Intérêts
› Les sites verticaux offrent un
environnement qualitatif car ils donnent
accès à une audience identique à celle de
l’annonceur.
MERCI !
Me contacter
Tel : 06 87 21 51 06
E mail : jyantigny@hashtagmachine.fr
@jydeparis

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cours de marketing mix pour les creatifs - ECV bordeaux

  • 1. Le Mix marketing Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 2. Du marketing stratégique au marketing opérationnel [CHAPITRE 2] La politique produit [CHAPITRE 3] La politique de prix [CHAPITRE 4] La politique de distribution [CHAPITRE 5] 2h pour appréhender les composantes du marketing opérationnel [CHAPITRE 1] La vente et ses outils Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 3. 01# Du marketing stratégique au marketing opérationnel Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 4. L’élaboration d’une stratégie marketing répond à 5 étapes successives. Elles constituent le marketing stratégique de l’entreprise. 01# Analyse › De l’environnement interne de l’entreprise : portefeuille de marque, positionnement, Segmentation… › De l’environnement externe : études. 02# Diagnostic › Synthèse de l’analyse, le diagnostic s’attache à dégager les points majeurs et structurant du marché, de la concurrence et de l’entreprise. › Il se concrétise par une matrice SWOT : strenghts, weakness, opportunities, threats.
  • 5. Origines internes Origines externes Forces Faiblesses › Liste des points forts › liés au produit, à la marque, à l’entreprise. › Listes des points faibles liés au produit, à la marque, à l’entreprise. Opportunités Menaces › Liste des opportunités : marché, tendances conso, espace vacants des concurrents, innovations… › Liste des menaces : marché, tendances conso, espace occupés des concurrents, innovations/// Matrice SWOT
  • 6. 03# Objectifs Ces objectifs sont fixés suite aux problèmes mis en avant dans le diagnostic : › Objectifs de volume et de parts de marché › Objectifs de rentabilité › Objectifs qualitatifs 04# Cibles Ces cibles sont fixées selon 3 critères : › Leur nature › Leur nombre et leur taille › Leurs critères de définition 05# Positionnement › Le positionnement du produit est formulé en adéquation avec les objectifs et les cibles définies › Le positionnement est le garant du mix marketing
  • 7. ‘’ Du marketing stratégique au marketing opérationnel du positionnement du produit, découle le marketing mix ‘’
  • 8. Positionnement du produit < Formulation du mix marketing Politique de produit › Caractéristiques intrinsèques du produit. Politique de prix › Prix. › Conditions tarifaires… Politique de distribution › Taille et organisation de la force de vente. › Composition de la gamme. › Choix des canaux de distribution. › Conditionnement. › Budget de référencement. › Nom, identité visuelle. › Taux de présence… Politique de communication › Montant et répartition des moyens de com › Stratégie média. › Stratégie Hors média.
  • 9. 01# La politique produit Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 10. 02# le packaging ‘’ Le produit On peut définir le produit comme un ensemble de caractéristiques tangibles et symboliques incluant le service après-vente et la garantie. Le produit peut également être une association, un club, un parti politique, un acteur de cinéma,.... Il est la promesse faite par l'entreprise de satisfaire un ou plusieurs besoins (psychologiques ou physiologiques) du marché à un moment donné. (Pettigrew.et Turgeon - Darmon) ‘’
  • 11. 4 grandes familles de classement < des produits selon la durée de vie selon le comportement d'achat (grande consommation) Les biens durables Produits d'achat courant Les périssables Les matières premières et composants Produits d'achat réfléchi Les services selon la place dans le processus de production (biens industriels) Produits de spécialité Bien banal Bien anomal Les biens d'équipements Les fournitures et services Produits non recherchés par fréquence d'achat
  • 12. Concept marketing d’un produit Pour tout client, un produit possède plus qu’une unité fonctionnelle, il a un contenu symbolique. Nos achats sont déterminés par les symboles que l’on attache aux produits et aux marques. C’est confirmé par les études de motivations, les entretiens : un produit est aussi un symbole de réussite, de performance, d’efficacité, … Ce contenu symbolique sert à définir et/ou à déterminer le concept marketing d’un produit, de sorte qu’il puisse répondre à l’attente essentielle du consommateur. De la même manière que le concept marketing construit le contenu symbolique d’un produit…
  • 13. Quand j’achète du caviar, je n’achète pas seulement un produit alimentaire… Ce n’est pas dans le but de me nourrir ! C’est pour se faire plaisir, découvrir de nouvelles sensations, et aussi sûrement, afficher mon standing (mon groupe de référence).
  • 14. Concept marketing d’un produit Il s’exprime dans des termes qui appartiennent à l’univers du consommateur et non à celui du producteur (= différent de la description technique). Les produits doivent souvent satisfaire plusieurs cibles. Il faut donc définir le concept marketing pour toutes les cibles. Ce concept marketing évolue dans le temps Les produits évoluent, la technologie aussi, donc banalisation, concurrence, mode de vie… évolution et évolution primordiale pour rester compétitif.
  • 15. Concept marketing d’un produit Le concept marketing est souvent proche du positionnement 2 cas de figures peuvent se présenter 01# Produit innovant sans concurrence Concept marketing et positionnement sont identiques. 02# Plusieurs produits, même concept le concept exprime l’identification à un certain univers de consommation, le positionnement apporte des éléments de différenciation (prix, distribution, communication).
  • 16. Composantes de la politique produit 01# Fixation des caractéristiques intrinsèques de chacun des produits considérés : Formule, performances, design. + 02# Conception si besoin un packaging. + 03# Définition d’ une politique de gamme.
  • 17. Composantes de la politique produit 01# les caractéristiques intrinsèques Malgré l’amoindrissement des différences entre les produits d’une même catégorie, les caractéristiques intrinsèques sont pour beaucoup dans la réussite ou l’échec d’un produit. › La formule du produit : description technique de ses composants. › Les performances du produit : objectivement observable. › Le design du produit : aspect visuel extérieur.
  • 18. Qu’est-ce qu’un bon produit ? Un produit qui réunit : #1 qualité (degré auquel ses performances répondent aux attentes que le client est en droit d’avoir à son égard) #2 et avantage produit (caractéristique intrinsèque et distinction positive du produit par rapport aux produits concurrents). Utilité des tests pour valider les performances produit
  • 19. Le cycle de vie des produits Comme pour un individu, la vie d’un produit peut être analysée en plusieurs phases qui vont du lancement (la naissance) au développement (l’adolescence) puis à la maturité (l’âge adulte) enfin au déclin (la vieillesse et la mort).
  • 20. Le cycle de vie des produits Il existe des marchés spécifiques… Des marchés sans âge 01# 02# Le sucre, les biscottes, les biens de première nécessité… Des marchés ou produits au cycle de vie très bref Ils dépendent d’une mode ou d’une avancée technologique (gadgets, jeux, …). … Mais globalement, il est difficile de déterminer exactement le cycle de vie d'un produit. Ceci dépend à la fois du produit et du marché sur lequel il se trouve.
  • 21. Adéquation cycle de vie du produit, stratégie marketing Phase 2 LANCEMENT Phase 3a CROISSANCE 1 Phase 3b CROISSANCE 2 Phase 4 MATURITE Phase 5 DECLIN Environnement Croissance lente de la demande , Courbe des profits négative, Coût de production et de lancement importants, recettes faibles, volume de production faible. Pénétration massive du produit sur le marché Croissance à taux croissant, Courbe des profits également, apparition de la concurrence Croissance à taux décroissant Concurrence se concentre Ventes ralentissent Taux de croissance presque nul Les Pdm sont +/importantes Courbe des profits est maximale Ventes diminuent Certains concurrents disparaissent Principaux objectifs stratégiques Développer la demande globale Développer la demande préférentielle de marque Créer une fidélité à la marque Maintenir la fidélité Cesser le produit ou le relancer sous une nouvelle formule Produit Insister sur la mise au point technique et commerciale du produit On produit en grande série, voire on étend la gamme Améliorer le produit Fréquents changements de modèles Réduction gamme Le marché se segmente. Il faut modifier le produit pour se démarquer Réduire les gammes Prix Après avoir effectué des recherches sur les marchés-tests, on fixe le prix de revient Tendance à la baisse des prix Tendance à la baisse Concurrence prix Les prix baissent du fait de la forte concurrence Les prix baissent encore afin d'écouler les stocks Distribution Limité (on met le produit en place) Pas de promotion agressive On étend la distribution Intensive et extensive Réduction des marges SAV important Distribution sélective, réduction La distribution redevient sélective et spécialisée Communication Le but de la communication est de faire connaître le produit par les grands médias La communication a un rôle informatif et persuasif pour créer une préférence de marque Fidélité à la marque Fidéliser + augmenter le taux d'utilisation par les actions promotionnelles Se limite aux promotions pour l'écoulement des stocks
  • 22. Composantes de la politique produit 02# le packaging ‘’ Le packaging Ensemble des éléments matériels qui, sans faire partie du produit lui même, sont vendus avec lui en vue de permettre ou de faciliter sa protection, son transport, son stockage, sa présentation en linéaire, son identification, et son utilisation par les consommateurs. ‘’
  • 23. Les 3 niveaux du packaging #1 L’emballage primaire : celui qui en contact direct avec le produit. #2 L’emballage secondaire : qui regroupe plusieurs unités de consommation du produit (yaourts) pour en faire une unité de vente. #3 L’emballage tertiaire : fonction logistique (transport, entrepôt…) palettes…
  • 24. Composantes de la politique produit 02# le packaging Le contenant et le décor se complètent et ont un rôle fondamental sur la perception du produit par le public. Ils racontent une histoire, un positionnement, un prix, un univers… Le contenant : matériaux utilisés (plastique, verre, carton, métal…), form e, système de fermeture, de bouchage, etc. Le décor : éléments purement visuels qui n’ont pas d’incidence directe sur ses caractéristiques d’utilisation : graphisme, couleurs, typos, formes…
  • 25. Sturia et ses concurrents Du noir Des bateaux de pêche… Du bleu et des poissons
  • 26. Sturia et ses concurrents VS de l’arlequin
  • 27. Le packaging est capital › C’est lui qui noue le premier contact entre le produit et le client › Parfois le produit doit « se vendre tout seul » › Il permet de faire la différence entre deux produits qui remplissent la même fonction › Fait partie de l’univers de la marque
  • 28. Composantes de la politique produit 02# le packaging En fait, le packaging remplit à la fois des fonctions techniques et des fonctions de communication : Fonctions techniques › Protection et conservation du produit › Commodités d’utilisation › Facilités de transport, de stockage, de rangement et d’élimination › Protection de l’environnement Les 3 niveaux du packaging Fonctions de communication › Le packaging est le premier média du produit › Impact visuel (fonction d’alerte) › Reconnaissance (de la marque) › Identification (de la catégorie de produit) › Expression du positionnement (évoquer les traits saillants et distinctifs que l’on a décider de conférer à la marque) › Information du consommateur (infos légales, conseils d’utilisation) › Impulsion à l’achat (apetissant, impression de taille, qualité esthétique)
  • 29. Composantes de la politique produit 03# Une politique de gamme Une gamme de produits est constituée d’un plus ou moins grand nombre de produits ou de services que l’on peut regrouper en plusieurs lignes de produits. Milieu de gamme ou cœur de gamme Entrée de gamme ou bas de gamme Ligne 1 Ligne 2 Ligne 3 Ligne 4 Largeur de gamme = nb de lignes Prix Profondeur de ligne = nb de produits Haut de gamme
  • 30. Composantes de la politique produit 03# Une politique de gamme Une gamme de produits se pilote : c’est l’équilibre choisi entre les différents produits à différents stades de maturité d’âge, de prix (niveau de gamme) pour que le tout soit rentable. Rôle de la gamme dans la politique marketing Rôle d’attraction 1 4 Attirer de nouveaux consommateurs du produit/de la marque. 2 Rôle de leader Rôle tenu par les constituants de la gamme qui ont les meilleures parts de marché. 3 Rôle tactique Gêner la concurrence. Rôle de transition Transition entre une famille vieillissante et une nouvelle pas encore prête ou, transition entre une technologie en cours de banalisation et une technologie innovante pour laquelle le marché n'est pas encore prêt ou entre deux cycles d'un produit à ventes saisonnière.
  • 31. Composantes de la politique produit 03# Une politique de gamme 3 stratégies de gamme possibles Une marque par produit : Un produit haut de gamme porte un nom et un produit bas de gamme un autre. Une marque par ligne : Tous les produits d'1 même ligne portent le même nom. Une marque unique Elle désigne tous les produits de la société même s'il s'agit de produits totalement différents. La marque sert de vecteur de réputation.
  • 32. Composantes de la politique produit 03# Une politique de gamme Exemple : Sturia, gamme de produits Classic Niveau de gamme Prix* % de la production Caractéristiques Stade de développement * Prix constatés en 2012 Entrée de gamme Primeur Vintage Grand chef Milieu / Cœur de gamme Prestige Oscietra Haut de gamme 1800 €/kg 2030 €/kg 2100 €/kg 2525 €/kg 2775 €/kg 3055 €/kg 50 % 5% 35 % 4% 3% L’essentiel L’originalité La griffe Sélection chefs étoilés Gros Grains Espèce prestige Maturité Lancement Maturité Développement Développement Lancement 3%
  • 33. 02# La politique de prix Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 34. ‘’ La politique de prix La politique de prix consiste à fixer les prix de vente des différents produits aux différents clients (acheteurs finaux ou distributeurs). ‘’ Le prix de vente se fixe au début du lancement d’un produit mais peut adapté facilement à tout moment.
  • 35. Une pratique réglementée Le producteur est libre de fixer ses prix, mais parfois il y a des règlementations (médicaments, produits pétroliers, transports en commun, …). La vente à perte est interdite. Les prix doivent être affichés clairement.
  • 36. Un impacte sur la rentabilité Le prix, une variable qui a un impact considérable : les effets du prix sur le volume des ventes et sur la rentabilité sont très importants. Prix de vente Effet économique (frein à l’achat) Effet psychologique (image du produit) Effets sur les attitudes des distributeurs Volume des ventes En raison des crises successives, la tendance est toujours à la recherche du meilleur rapport qualité prix.
  • 37. Un impacte sur la rentabilité Qu’est-ce que la rentabilité ? La rentabilité d’un produit est la résultante de deux facteurs qui sont : #1 La marge unitaire, c’est-à-dire la différence entre le prix de vente et le prix de revient d’une unité de produit. #2 Le volume des ventes, c’est-à-dire le nombre d’unités vendues.
  • 38. Si le prix de vente exerce une influence sur le volume des ventes et le prix de revient, l’idée selon laquelle plus un produit est vendu cher, plus il est rentable, n’est pas forcément vraie… 12 € 10 € 100 000 130 000 C) Prix de revient unitaire 7€ 6€ D)Marge unitaire (A-C) 5€ 4€ E) Marge totale (DXB) 500 000 € 520 000€ B) Volume des ventes 100 000 130 000 A) Prix de vente B) Volume des ventes
  • 39. Fixation du prix La fixation du prix de vente repose sur 3 facteurs : Les coûts Le prix de vente doit permettre de couvrir les coûts et d'assurer à l'entreprise une marge de rentabilité. Les coûts sont en partie liés aux relations de l'entreprise avec ses fournisseurs. La demande Le prix doit être en cohérence avec les attentes des consommateurs en termes de prix et également de qualité. La concurrence Le prix doit permettre de positionner l'offre par rapport à celles de ses concurrents. La compétitivité prix permet d'assurer les parts de marché de l'entreprise et ainsi sa rentabilité.
  • 40. Fixation du prix La fixation du prix peut alors suivre 3 logiques : 1 2 Mais le prix obtenu correspond-il aux attentes des consommateurs ? Est-il compétitif par rapport aux concurrents ? 3 En cas de guerre de prix, cette logique peut conduire l'entreprise à réduire dangereusement sa marge, voire à obtenir une marge négative, non viable à long terme. Par les coûts On calcule le prix de revient, on ajoute la marge souhaitée. Par la demande On établit le prix de vente selon la méthode du prix psychologique : c'est celui qui maximise la demande des consommateurs. La marge obtenue découle alors de la différence entre ce prix de vente et le prix de revient du produit. Par la concurrence On fixe le prix de vente en fonction de celui des concurrents directs du produit et du positionnement souhaité : plus ou moins cher ? Mais cette marge permet-elle d'assurer la rentabilité de l'entreprise ?
  • 41. Fixation du prix La fixation du prix de vente doit donc reposer sur la prise en compte conjointe de ces 3 logiques.
  • 42. Un moyen au service de la stratégie Enfin, la politique de prix, comme toutes les autres composantes du marketing mix d’un produit, n’est qu’un moyen au service de la stratégie marketing de ce produit et tient donc compte des objectifs généraux de l’entreprise.
  • 43. Un moyen au service de la stratégie Objectif de rentabilité et de volume : parfois la rentabilité à court ou moyen terme est un objectif en soit (pour éliminer des concurrents ou pénétrer un marché). 01# Lien entre prix et objectifs généraux de l’entreprise Objectifs d’image : Le prix est au service du positionnement, dans le luxe notamment ou quand la valeur ajoutée technologique est forte. 02# 03# Objectif de gamme : Pour segmenter, structurer une gamme de produits.
  • 44. Un moyen au service de la stratégie Evidemment, tout cela se base aussi sur une étude approfondie des prix des concurrents et de la politique de prix des distributeurs
  • 45. 03# La politique de distribution Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 46. ‘’ la distribution On appelle circuit de distribution, le chemin suivi par un produit ou un service pour aller du stade de la production à celui de la consommation. Cet itinéraire est fait d’ensemble de personnes ou d’entreprises que l’on appelle « intermédiaires ». ‘’
  • 47. Un canal de distribution est constitué par une catégorie d’intermédiaires de même type. Producteur Canal 2 Canal 1 Grossiste Canal 3 Centrales d’achats Vente directe Détaillant Hypermarché Consommateur
  • 48. Les fonctions de distribution Ces fonctions sont assurées par le distributeur ou par les intermédiaires Une fonction physique #1 Fonction de transport et d’éclatement de la production. #2 Fonction d’assortiment. #3 Fonction de stockage. VS Une fonction intangible : le service #1 Fonction marketing › Le suivi des marchés. › La mise en scène des produits (théâtralisation). › Le Développement De Marques (MDD). #2 Financement Développement de cartes de paiement.
  • 49. Evaluation et choix d’un circuit Idéalement, un circuit de distribution est choisi en fonction des objectifs marketing pour un produit ou une gamme de produit. 7 critères principaux d’évaluation #1 adéquation avec la cible #2 Expérience dans la vente de ce type de produit #3 Image du circuit #4 Contrôle de la distribution #5 Compatibilité des circuits entre eux #6 coût de la distribution #7 possibilité d’évolution des circuits
  • 50. Evaluation et choix d’un circuit Le choix du canal de distribution repose en premier lieu sur un choix stratégique : dans quelle mesure dois-je être présent sur le marché ? Distribution intensive Etre présent dans un maximum de points de vente. On maximise alors des indicateurs de panels tels que la DN (disponibilité numérique) ou la DV (disponibilité en valeur). Distribution exclusive Donner l'exclusivité de la distribution à un petit nombre d'intermédiaires. Distribution sélective A mi-chemin entre distribution intensive et exclusive, il s'agit de limiter le nombre de détaillants sur certains critères de façon à assurer leur cohérence avec le positionnement souhaité de la marque.
  • 51. Evaluation et choix d’un circuit Le circuit de distribution rejailli sur l’image de la marque Il est donc nécessaire pour le fabricant de choisir un circuit de distribution qui lui permette d'offrir à ses clients un niveau de service donné pour garantir son image auprès des consommateurs services antérieurs à l'achat, service après-vente, annexes
  • 52. Evaluation et choix d’un circuit La stratégie de choix du circuit de distribution va dépendre également du cycle de vie du produit. Produit existant qui arrive sur un marché concurrentiel Phase de maturité Dans la perspective d'un positionnement haut l'entreprise peut chercher à écrémer le marché en distribuant à prix élevé de manière sélective, voire même exclusive. Une distribution ouverte est indispensable, appuyée par un prix relativement bas pour intimider les concurrents ou au moins les dissuader un certain temps de venir se battre sur le terrain. Bien banal Phase de croissance Produit plus ou moins nouveau sur un marché qui est encore évolution Produit de grande consommation Phase de lancement Selon le positionnement (haut/bas gamme). selon le caractère anomal ou banal, l'entreprise peut choisir dans le premier cas, une distribution sélective, dans le deuxième cas une distribution ouverte. La distribution devra être plus vaste. si elle ne l'est déjà, et diversifiée en raison des phénomènes d'infidélité à la marque. Bien anomal La pratique de distribution d'écrémage puis de pénétration est intéressante : on élargit la distribution tout en réduisant le prix chaque fois qu'un segment de client potentiel a été exploité. La distribution sera généralement étendue. Il est peut être alors utile de recentrer ses à forte concentration de chiffre d'affaires.
  • 53. Exemple de stratégie de distribution : facteur clé de succès Stratégie de différenciation Tupperware : Le succès de Tupperware s'est construit sur le développement de la vente par réunion et le pouvoir d'influence des hôtesses d'accueil. Ce mode de distribution met en avant la rareté des produits Tupperware et la « chance » de pouvoir en acheter uniquement en faisant partie du réseau et en étant invité à une de leur fameuse réunion.
  • 54. Exemple de stratégie de distribution : facteur clé de succès Stratégie de domination par les coûts Dell : Basée sur la vente directe par téléphone puis par Internet, le système de distribution mis en place par Dell permet de réduire les coûts de distribution, d'adapter sur mesure le produit au besoin du client et de limitation des stocks, puisque les ordinateurs sont construits à la commande.
  • 55. Exemple de stratégie de distribution : facteur clé de succès Stratégie de focalisation Yves Rocher En développant un circuit de distribution intégré, détenu en propre par la marque, Yves Rocher prend alors le contrôle total des conditions de commercialisation de ses produits et notamment la cohérence de son image.
  • 56. Le distributeur est aussi vecteur d’image, il peut : › renforcer l’attractivité de notre marque › Être une source d’information › Parfois être un partenaire
  • 57. 04# La force de vente Hashtag Machine I cours 3 ECV I 1er semestre 2013
  • 58. Pour faire le tour de la politique de distribution, il faut voir ce qu’il y a en amont et en aval, c’est-à-dire : La force de vente Le merchandising La promo des ventes Le marketing direct
  • 59. La force de vente ‘’ Force de vente La force de vente d’une entreprise est l’ensemble des personnes qui ont pour mission principale de vendre les produits. Il s’adressent aux clients, distributeurs et prescripteurs. ‘’ La force de vente est un facteur aussi important que la qualité des produits Pourquoi ?
  • 60. La force de vente Elle est une source d’information pour les clients ou prospects, donc une source d’image du produit et de fidélisation. remontante pour l’entreprise (besoin et attentes du marché, actions de la concurrence…)
  • 61. Le merchandising ‘’ Le merchandising Ensemble des méthodes et des techniques ayant attrait à la présentation et à la mise en valeur du produit sur le lieu de vente. ‘’
  • 62. Le merchandising Objectif Rôle d’attraction visuelle et d’incitation à l’achat : Il a un impact direct en terme d’image et de quantité de ventes. Ses moyens › Optimiser la rentabilité d'un point de vente et des produits qu'il contient. Choix de l’emplacement › De la surface de vente attribuée › De la quantité de produit, de leur disposition › Du matériel de présentation et de signalisation des produits
  • 63. Le merchandising Une discipline très élaborée qui met en scène le produit dans le linéaire, on parle d’assortiment, de linéaire, de facing… L’assortiment La notion de largeur D’autant plus large que le nombre de produits répondant à la satisfaction de différents besoins sera grand. Il se qualifie par La notion de profondeur d'autant plus profond que le nombre de produits répondant à la satisfaction de mêmes besoins sera grand.
  • 64. Le merchandising L’assortiment L'assortiment du point de vente est constitué en fonction : 01# 02# de sa vocation (multispécialisé ou spécialisé) De la demande de la zone de chalandise 03# Des parts de marché des différentes marques 04# De l'offre de la concurrence
  • 65. Le choix de l'assortiment d'un point de vente se fait en fonction des besoins des consommateurs de la zone de chalandise. stratégie Assortiment Produits Image du magasin Attraction Niveau de prix exemple Occupation du territoire, défensive Large et peu profond Banalisés Proximité Dépannage La plus forte du quartier Moyen Supermarché Offensive Etroit mais peu profond Spécialité Shopping Compétences Spécialistes Forte Elevé ou bas selon la forme de commerce Petit Indépendant Grande surface Dépannage Etroit et peu profond Banalisés Service de proximité Faible Elevé Epicerie d'alimentation Station essence Drugstore Attraction Large et profond Convenience Shopping / Biens de spécialité Choix et prix Très forte Faible ou élevé selon la forme de commerce Hypermarché Grands magasins Les choix définitif des produits et des fournisseurs est fait en fonction des prix pratiqués, des conditions de livraison et de règlement.
  • 66. Le merchandising Le linéaire La notion de largeur L’implantation des produits dans les rayons se font selon un linéaire. Il se caractérise par : Linéaire au sol (longueur au sol de présentation des produits) ou développé (linéaire au sol X nombre de niveaux de présentation des produits). En nombre d’unités de produits (ou en centimètres) présentés sur la 1ère rangée, en façade (facing en anglais).
  • 67. Exemple de stratégie d’implantation objectifs Maximiser le CA et la marge Contraintes Présenter les produits de façon cohérente Solutions Mettre côte à côte des produits vendus à faible marge et des produits à plus forte marge (pâtes et sauces préparées, apéritifs et biscuits d'apéritif) Placer les produits de 1ère nécessité en bout d'allée Utiliser une présentation verticale (toutes les produits d'une même famille sont disposés sur toute la hauteur de la gondole) et non horizontale Développer les achats non prémédités Limiter la fatigue du client et lui permettre de circuler dans les meilleures conditions possibles Inciter le client à acheter les produits à plus forte marge Ne pas lui donner l'impression d'un circuit imposé Augmenter la rotation des stocks et faciliter l'écoulement des produits Tenir compte des PDM des différentes marques Allouer à chaque produit un linéaire en rapport avec son écoulement (frontale minimum de 50cm en hyper) Fidéliser la clientèle Mettre en valeur les produits d'appel et les produits que l'enseigne souhaite promouvoir Utiliser les têtes de gondole pour les promotions et les mises en avant de produits. Présenter au niveau des yeux les produits à forte marge
  • 68. La promotion des ventes Opérations qui consistent à faire connaître le produit, faciliter le passage à l’acte, attirer d’autres cibles… Opérations destinées soit au grand public, soit aux distributeurs (la stimulation des ventes) ou les deux. La mécanique Elle se distingue de la publicité parce qu’elle cherche un effet à court terme, la où la publicité cherche à modifier des images, ou comportements, sur la durée.
  • 69. La promotion des ventes Le principe : offrir un avantage temporaire au consommateur pour : 01# 02# Gagner des acheteurs Ses moyens Faire essayer le produit / promouvoir de nouvelles utilisations › Essai gratuit (échantillon, dégustation) › Réduction temporaires de prix › Primes et cadeaux associés à l’achat d’un produit › Jeux, concours et loteries 03# Fidéliser 04# Drainer du trafic et faire acheter › Animations, mise en avant du produit.
  • 70. Le marketing direct Son rôle c’est à la fois un moyen de communication et un canal de distribution, donc un outil de vente. Etablir des relations directes et interactives, sans face à face entre vendeur et un acheteur dans le but d’obtenir une réponse concrète et immédiate (commande). Animer commercialement la marque, permettant aussi de faire vivre l’image. Ses moyens mailing papier ou internet, phoning. La dimension web Dans le cadre du e commerce, le marketing direct se traduit principalement par le marketing à la performance.
  • 71. ‘’ Le marketing à la performance Le marketing à la performance est le fait de mener une campagne de publicité en fonction d’objectifs précis et définis par le client. Ces objectifs sont déterminés selon des critères quantitatifs, qu’ils soient d’ordre financier (rentabilité), d’ordre média (trafic) ou d’ordre commercial (conversion, inscription, achat). ‘’
  • 72. Pub online vs marketing à la performance x Publicité traditionnelle Marketing à la performance Objectif principal Visibilité, branding, construction de la marque ROI : génération de trafic sur site, de leads, de ventes Indicateurs clés Taux de visibilité, durée d’exposition, mémorisation Visites, taux de transformation, Coût d’acquisition Valeur Audience, couverture Contraintes Pour l’annonceur essentiellement qui ne maîtrise pas son ROI Pour le support essentiellement puisque l’annonceur ne paie qu’aurésultat. Le risque pour l’annonceur est de ne pas obtenir le volume d’actions attendues pendant la période souhaitée et de moins bien maîtriser les modalités de diffusion (support, fréquence, intégration, format...) Principaux modes d’achat CPM, CPC CPC et CPM optimisé, CPA (CPL et CPS) Source : livre blanc, le marketing à la performance, IAB Internaute : nouveau client, panier moyen
  • 73. Faire de marketing à la performance, c’est entrer dans une logique de test and learn. Le trafic manager doit en permanence combiner les leviers, adapter les dispositifs suivant le ratio coût/performance pour permettre le meilleur coût d’acquisition client (CAC).
  • 74. Etat des lieux des leviers par objectifs x acquisition pure Acquisition + notoriété Display x x E mailing x x Site under x x Cashback x Comparateurs de prix x Bon de réduction x Co registration x Sites affinitaires x Fidélisation + réactivation x x x x x
  • 75. Le display Définition Modèle basé sur le principe de l’essaimage : principe consistant à acheter des bannières publicitaires à prix discount pour une diffusion large. Ces bannières sont soumises à une logique d’A/B testing pour identifier les stratégies de diffusion et de ciblage les plus efficaces. Cette tactique peut aussi être appelée Run of Network (RON). L’achat peut être réalisé en millier d’impressions (low CPM) ou au clic (CPC). Objectifs › obtenir de la visibilité à un coût très faible. › générer du trafic sur son site. › faire progresser l’utilisateur dans le tunnel de conversion via les techniques de retargeting.
  • 76. Focus sur le search targeting une technique publicitaire entre le display et le search maketing. Principe Cibler les internautes en recherche d’un produit ou service lié à l’activité de l’annonceur ou sur la base de mots-clés achetés pour sa campagne de liens sponsorisés. L’internaute tape un mot-clé lié à l’activité de l’annonceur (SEO)ou acheté par ce dernier en référencement payant (SEA). une publicité display de l’annonceur est servie sur le réseau.
  • 77. E mailing à la performance Définition L’e-mailing est utilisé sur les campagnes d’acquisition à la performance basées sur des modèles économiques CPC / CPL / CPA et parfois CPM depuis 1999. Objectifs › Maximiser son ROI (le levier e-mail est le n 1 en termes de ROI, de taux de clic, et de taux de conversion). › Profiter durablement de leur apport potentiel de prospection. › Booster, par ricochet, les KPIs sur l’ensemble des canaux de vente (search, retargeting, affiliation) digitaux et même offline. › Ne pas prendre de risques en termes d’image de marque et d’e-réputation.
  • 78. Site under Définition Le site under est un levier d’acquisition qui consiste à ouvrir la page d’un annonceur sous la page courante qu’un internaute visite. Il existe deux types de rémunérations : à la performance ou au CPM (20% du marché). C’est un levier très intéressant pour répondre à la fois à des problématiques de performance et de trafic. Objectifs › Générer des ventes tout au long de l’année et en particulier lors de temps forts (tels que les soldes par exemple).
  • 79. Cash Back Définition Le cashback permet d’être rétribué pour les achats effectués via ce site. Une partie de la somme du panier d’achat (exprimée en pourcentage ou en valeur) est reversée à l’acheteur. Cette retro commission peut prendre la forme de « cash », d’épargne, de bons de réduction ou être destinée à une œuvre caritative. Objectifs › Cibler des acheteurs actifs et bénéficier de mises en avant sur des sites ayant un nombre important de visiteurs uniques. › Augmenter le panier moyen de l’internaute. Les membres de portails de cashback, face à une « bonne affaire »,étant plus enclins à la dépense. › Fidéliser les membres afin de créer une véritable communauté d’acheteurs actifs.
  • 80. Le cashback commence à apparaître IRL (In real Life) avec des applications qui mettent en avant des offres promotionnelles dans les magasins physiques. L’internaute se voit rétribuer son cashback en photographiant son ticket de caisse.
  • 81. Comparateurs de prix Définition Les comparateurs de prix sont des services en ligne qui permettent aux consommateurs de pouvoir chercher, comparer et acheter un produit au meilleur prix en listant les offres et les services de différents e-commerçants. Objectifs › Pour les e-commerçants encore peu connus du grand public, être visibles face à des grands noms de la distribution en ligne. › renforcer la visibilité des enseignes lors des temps forts : soldes, Noël, fête des mères, SaintValentin… (dispositifs événementiels proposés par les comparateurs).
  • 82. Intérêt double Effet de prescription Les comparateurs de prix sont des acteurs incontournables dans le paysage du marketing à la performance. Un comparateur est un prescripteur en amont du processus d’achat. Gage de qualité Le prix n’est, en effet, pas le seul critère mis en avant : avis client, services, notoriété de la marque peuvent aussi impacter le classement des offres. A noter : les comparateurs de prix enregistrent des taux de conversion élevés entre 1 et 3% constatés sur l’ensemble des plates-formes d’affiliation.
  • 83. trois typologies de modèles économiques : Les comparateurs au clic 1 Modèle au CPC. Selon son secteur d’activité L’annonceur paie lorsque l’internaute est redirigé vers le site de l’e-commerçant ou la fiche produit correspondante. Ce coût par clic peut varier de 0,05€ à 0,40€ en moyenne selon la catégorie de produit référencé. 2 Les comparateurs à la performance Généralistes ou avec une thématique particulière du type « high-Tech »,« fleurs » « courses en ligne »… Les partenaires offrent la possibilité de référencer les offres d’un e-commerçant à la perf via une commission perçue pour chaque vente générée. 3 Les comparateurs thématiques Souvent avec une thématique autour des secteurs d’activités bancaires, assurances ou automobiles, les comparateurs thématiques s’illustrent avec une rémunération au lead (CPL). Ils comptabilisent des audiences très qualifiées.
  • 84. Bons de réductions Intérêt Les bons de réduction répondent à une demande croissante des internautes qui souhaitent « conforter leur décision d’achat en s’assurant qu’ils ont fait une bonne affaire » ou « acheter au meilleur prix ». Cible : › Usage répandu chez les hommes et les femmes de -de 35 ans › 79 % des CSP+ les utilisent Objectifs › Optimiser les marges tout en boostant le volume de leur vente : les bons de réductions permettent de convertir les acheteurs hésitants. › fidéliser
  • 85. Co registration Définition Levier permettant l’acquisition de profils qualifiés (optin) et ciblés par le biais de sites éditeurs tiers. Cette collecte mutualisée s’effectue via leurs formulaires d’inscription ou des jeux concours. Lorsque l’internaute renseigne ses infos personnelles pour s’enregistrer en base de données, il se voit proposer des offres auxquelles il peut adhérer ou non en cochant la case optin. La co registration repose sur un modèle à la performance où l’annonceur rémunère le partenaire au CPL. Objectif › Générer des profils qualifiés et complets (cibles captives). ce procédé est ajustable pour tendre vers les meilleurs taux de transformation : ajustement du ciblage, des sites de diffusion, de l’offre présentée à l’internaute…
  • 86. Sites affinitaires Définition Egalement appelés sites verticaux, ce sont tous les sites en accord direct avec une cible ou un secteur d’activité précis. Plus ce site aura une forte notoriété, plus la visibilité apportée sera intéressante et impactante. Ils peuvent prendre différentes « formes » : comparateurs, sites de contenus, blogs… Ex : un comparateur de vols est intéressant pour un annonceur voyage. Ces affiliés privilégient les éléments display (bannières, habillage), Ils sont donc plus sensibles aux modèles économiques au CPM ou CPC. Intérêts › Les sites verticaux offrent un environnement qualitatif car ils donnent accès à une audience identique à celle de l’annonceur.
  • 87. MERCI ! Me contacter Tel : 06 87 21 51 06 E mail : jyantigny@hashtagmachine.fr @jydeparis