2. Notre grille d’acier était si dure que personne ne pouvait la briser. Notre jardin était très accueillant avec ces
centaines de fleurs. A l'intérieur, nos tapisseries étaient faites d'or, il y avait une cinquantaine de chambres, une
énorme salle à manger, une cuisine et la grande salle du château …
Notre vaisselle était très raffinée et ornée de pierres précieuses. Nos cuisiniers étaient reconnus comme les
meilleurs.
Nous avions eu un air surpris!
Bernard nous décrivit le voyou: il était blond aux cheveux longs, avec de grands yeux bleus.
Ses vêtements étaient salles et plein de boue.
Il était armé d'un poignard et courrait aussi vite que l'éclair.
Quand nous étions en train d'écouter la description de Bernard, nous vîmes un des oiseaux royaux se
digérer vers nous. Il tenait entre ses serres acérées une lettre de la plus haute importance et qui nous laissais
apparaître le sceau du père d’Adélaïde. Quand il passa au-dessus de nos têtes, il lâcha la lettre et Anthéa la
rattrapa. Adélaïde la lut à haute voix:
«-Chères chevalières de notre château, vous êtes invitées à l'adoubement du futur chevalier Charles. Vous avez
rendez-vous aujourd'hui à quatorze heure dans la grande salle du château avec nos meilleures couturières qui
vous créeront de magnifiques robes, chaussures et accessoires spécialement conçues pour vous. Puis vous
devrez assistées aux répétitions du défilé. Et demain matin nous viendrons vous réveillez vers sept heure pour
vous embellies de plus belles.
Signé: le papa d’Adélaïde»
Pour résumer notre château était devenue la 8ème merveille du
monde.
Comme tous les dimanches nous allions cueillir nos fruits
frais, dans notre jardin secret lorsque nous avons entendu
Bernard pleurer. Nous sommes allées le voir.
.Il nous a dit qu'un jeune homme masqué l'avait menacé et lui
avait interdit d'écrire ce qu'il voulait sur le «mur des pensées».
Ce mur est un lieu magique où l'on pouvait écrire ce que l'on
voulait; et où chacun pouvait se recueillir et pouvait se vider de
ses émotions.
Elle referma avec délicatesse la lettre puis, regarda Anthéa et en
cœur poussèrent un cri de joie. Elles étaient ravies de pouvoir
assister à l'adoubement du frère d’Adélaïde. Elles durent avec
regret quitter Bernard qui avait l'air très frustré. Il retourna chez
lui, tandis que nous remontâmes sur nos chevaux; et nous partîmes
au galop de notre jardin secret.
otre magnifique château de Ventilac se situait au bord de la mer.
Celui-ci accueillait des milliers de personnes chaque jour, car il était grandiose. Sur la
façade il y avait des feuilles de lierres préalablement plantées par notre jardinier Jean. Nos
tours étaient faites de pierres poncées chaque jour avec amour. Nos fenêtres semblaient si
grandes qu'elles laissaient passer beaucoup de lumière et on pouvait y voir la mer.
3. Le lendemain matin, comme prévus, les dames vinrent nous réveillées. Elles nous avaient chouchoutées
pour l'adoubement du frère d'Adélaïde et nous étions magnifiques.
Nous partîmes de suite très discrètement en ayant une pincée au cœur pour nos familles…
Nous étions en train d'avancer au petit trop; quand nous eûmes un coup de fatigue. Adélaïde aperçu une
petite maisonnette qui avait l'air très charmante et décida d'y aller. Nous frappâmes trois fois puis une jeune
femme nous ouvrit. Nous lui demandâmes si elle pouvait nous héberger juste pour cette nuit. Elle accepta avec
grande joie. Elle avait même une grande étable pour y mettre nos chevaux; sa maison était très chaleureuse,
nous nous mîmes en tenues de nuit puis nous allions nous coucher.
Nous dormîmes très mal, car nous avions une préoccupation en tête: quand Bernard nous avait décrit le
voyou nous avions eus une impression de déjà le connaître. Mais nous réussîmes à nous endormir très tard. Le
lendemain, à l'aube le soleil nous réveilla malgré les rideaux fermés. Pour ne pas perdre de temps nous nous
habillâmes en toute de vitesse. A notre arrivée dans la cuisine la jeune femme était déjà levée et habillée et nous
avait préparé un petit déjeuner des plus gourmands: pain aux céréales, aux fruits confis, aux herbes et natures;
avec ça un bon verre de vin et une grosse meule de fromage frais. Avec ceci de délicieux fruits également frais
et juteux.
Après avoir bien manger; nous allâmes nous armer puis sceller nos chevaux. Avant de repartir nous
remerciâmes la jeune femme de nous avoir héberger et nourries et en guise de remerciements nous lui
promîmes un acceuille chaleureux si elle venait à Ventilac.
Nous repartîmes le ventre plein et continuâmes notre route… Il était quatorze heure et nous
commençâmes a avoir très faim; nous aperçûmes un bon gros gibier, nous sortîmes nos lances de nos étui d'or
et essayâmes d'attraper les sanglier. Nous lançâmes nos armes et elles arrivèrent en même temps dans le foie de
l'animal. Nous récupérâmes l' animal ensanglanté et le mirent dans un vieux tissu pour le conserver jusqu'au
soir. Anthéa accrocha la bête à la selle de son cheval et nous continuâmes notre chemin…
Au coucher du soleil, comme nous ne trouvâmes pas de foyer, nous installâmes nos tentes pour pouvoir dormir
au chaud. Après avoir monté nos tentes, nous nous séparâmes pour aller chercher du bois pour faire un feu qui
nous permettra de cuire notre gibier. Après trente minutes de recherche nous revînmes avec énormément de
branches.
Nous commençâmes a faire notre feu lorsque Adélaïde entendit un bruit étrange, elle vit des yeux à
travers un buisson.
Tout d'un coup loup affamé sortit du buisson avec fureur et enfonça ses crocs dans la cuisse d'Anthéa; et
Adélaïde lui lança la torche de feu ce qui lui brûla la patte. Il parti en courant.
Adélaïde lui fit un garrot mais cela n’empêcha l'énorme perte de sang. Elle la mit confortablement sur un tas de
ous rentrâmes au château pour y manger un solide repas gentiment préparer par nos
cuisiniers. Après ce merveilleux repas nous partîmes vers le point de rendez-vous.
Quand nous arrivâmes dans la grande salle du château tout était prêt. Nous fîmes
accueillit par de magnifiques couturières. Six longues heures passèrent et nous avions
finis.
Nous passâmes une merveilleuse après-midi mais après l'adoubement
nous nous souvinrent du voyou qui avait menacé Bernard. Nous nous fîmes
une promesse: venger Bernard.
A l’abri des regards nous prîmes nos armures, nos armes et quelques deniers.
Puis nous laissâmes un mot à notre faucon qui à l'aurore l’emmènera à notre
bon roi.
4. feuilles et lui donna à manger et à boire. Elles s'endormir côte à côte.
Le lendemain matin, pendant qu'Anthéa dormait Adélaïde préparait le petit déjeuner et les affaires pour partir…
Quand Anthéa se leva elle commençâmes le petit déjeuner. Sa blessure ne saignait plus mais elle lui faisait
encore mal.
Elles étaient en pleine discussion lorsque qu'elles entendirent faiblement le son d'une crécelle.Elles cherchirent
du regard d’où provenait la musique,et elles aperçurent un jongleur tout joyeux qui faisait des cabrioles. Nous
lui fiment des grands gestes de la main pour l'appeler.
Il nous demandâmes ce que nous faisions ici.nous lui expliqua nous n'avions pas trouver de foyer où dormir.Il
nous priâmes de le suivre et nous emmenâmes dans une ville merveilleuse dîtes la ville aux chevaliers des
quatre coins du monde.Nos yeux étaient remplis d’étoiles.
Nous entrâmes dans une énorme lice et le jongleur nommé «cou de travers» nous proposa de participer aux
combats. Nous acceptâmes avec joie et allâmes nous préparée. Deux écuyers vinrent vers nous et
commencèrent nos armures. Un sons de vielle retentit, ce qui déclencha le début des combats. Anthéa était face
à un chevalier petit et trapu avec un regard noir. Il avait une lance de six mètres, des traits grossiers, la mâchoire
carrée, des cheveux fourni et bouclé.Il avait un sourire hypocrite et il semblait très sur de lui. Mais Anthéa ne le
craignait pas. Ils s’élancèrent l'un vers l'autre et la lance d'Anthéa fit tomber son adversaire à terre. Pour que le
combat soit équitable, Anthéa descendit de son cheval, tendit que son adversaire se releva fièrement. Ils
sortirent leurs épée de leurs fourreau et ils se battirent avec fureur. Après dix minutes de combats acharné,
Anthéa finit par atteindre le bras de son adversaire. Celui tomba à terre et lâcha son épée. Anthéa posa son arme
sous le menton du vaincu. Il lui promis une rançon en échange de sa liberté. Comme le combat avait durer
longtemps, le soleil était déjà bas et on avait du mal à distinguer les chevaliers. Ce fut au tour d'Adélaïde de
combattre. Son adversaire était élancé et avait une silhouette longiligne et paraissait maigre, son visage était très
ridé et ovale. Ses traits étaient fins et son teint blafard. Ses yeux était étirés en amande et de couleurs prunes,
ses cheveux raides et ébouriffés fessait peur à Adélaïde. Il avait un sourire hypocrite et un regard moqueur, il
n'avait pas l'air très sympathique.
Le combat commença, dés le début il accéléra très vite vers Adélaïde mais celle-ci l'esquiva. Adélaïde avança et
son adversaire enfonça sa lance dans le coup de son cheval; elle tomba à terre et son adversaire lui donna un
coup de pied dans le dos. Elle se retrouva allongée sur le sol. Elle était en colère et avait des éclairs dans les
yeux, c'était décidé, elle allait tuer son adversaire. Avec la poussière elle ne put distinguer son ennemie; mais
comme elle était maligne elle regarda son épée et avec la lumière du soleil elle aperçu le visage de son ennemie
juré. Elle se retourna avec rapidité et enfonça son épée dans le ventre de son adversaire. Il s’effondra au sol
avec le corps en sang.
Sur le chemin du retour, le lendemain, nous vîmes un homme qui nous paraissait familier. Nous le
poursuivîmes et nous nous rendîmes comptes que c'était l’agresseur de Bernard. Il ne s'était pas aperçu de notre
présences. Nous nous fîmes discrète et après quelques minutes d'attentes, nous lui sautâmes dessus et le ligota.
Nous étions le bon malfaiteur. Nous le ramenâmes à Ventilac pour le montrer à Bernard.
Arrivé à Ventilac, tout le monde nous sauta dessus car tous étaient heureux de nous voir en vie; mais
quand il virent le voyou ils prirent peur! Nous demandâmes à Bernard si c'était le bon agresseur. Il acquiesça.
Nous le forçâmes à présenter ses excuses et à laisser les gens s'exprimer comme ils le souhaitait. Il partit à toute
vitesse car il eut peur de nous… Nous avons réussi à venger Bernard: nous avons réussis à sauver sa liberté:
la liberté
d'expression