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Maurice de Bevere

23 de Sep de 2011
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Maurice de Bevere

  1.  
  2. Morris De Bevere (1923-2001)
  3. 1923
  4. MAURICE DE B ÉVÈRE MORRIS
  5. André Franquin Eddy Paape Pierre Culliford 1943
  6. Joseph Gillain Willy Maltaite André Franquin Maurice de Bévère
  7. 1945
  8. Lucky Luke et Jolly Jumper Les Daltons Rantanplan
  9.  
  10. Lucky Luke apparaît pour la première fois Son apparence est très différente à celle d’aujourd’hui
  11. Jack Davis Harvey Kurtzman Morris 1950
  12. 1955
  13. 1983 1974 1977
  14. 1964-1967 Le BD est un art
  15. 1968 1972
  16. 1983
  17. 1987 1993 Vittorio Léonardo
  18. 1992
  19. 2001 DÉCÈS

Notas del editor

  1. Je crois que la plupart d’entre nous reconnaissent ce hero. Oui, c’est sans doute Lucky Luke – le fameux cowboy de l’Ouest.
  2. Aujourd’hui on va étudier la biographie de son « père ».
  3. Maurice de Bévère, de son vrai nom Morris, est né en 1923 en Belgique.
  4. Son pseudonyme n’était qu’une autre façon d’épeler son nom.
  5. En 1943, à l'âge de 20 ans, il est entré, au « CBA », un studio belge de dessins animés où il a travaillé comme « encreur ».
  6. À la fermeture du studio, il a rejoint Franquin et Will chez Jijé, formé avec eux « La Bande des quatre ».
  7. En 1945, Morris a fait de l'illustration pour « Le Moustique » et pour le quotidien « Les dernières nouvelles ». C'est à cette époque précisément qu'il a décidé de choisir le pseudonyme de Morris pour scénariser et dessiner les premières aventures pleines d'humour de Lucky Luke.Il crée le personnage de « Lucky Luke ».
  8. Lucky Luke, c'est le cow-boy solitaire au grand cour, c'est aussi le parfait justicier imperturbable et sympathique, toujours accompagné de son sage et inséparable compagnon, Jolly Jumper, et du chien le plus stupide de l'Ouest, Rantanplan.
  9. En 1946, la première aventure du célèbre cow-boy solitaire, « Arizona », a paru fin 1946 dans « L'Almanach Spirou ». Elle a été suivie du début de « La Mine d'or de Dick Digger » dans l'hebdomadaire « Spirou » à partir de 1947. Tout en continuant « Lucky Luke » pour les éditions « Dupuis », la série était par ailleurs reprise en albums à partir de 1949.
  10. En 1950, Morris s'est établit aux Etats-Unis. Il y a fait la connaissance de Jack Davis et de Harvey Kurtzman et assiste à la naissance du magazine « MAD ».
  11. Outre ces deux dessinateurs, il a aussi rencontré René Goscinny, qu'il s'adjoignait comme scénariste dès son retour en Europe en 1955. En 1955, leur premier album commun « Des rails sur la prairie » a paru dans « Spirou ».
  12. Ils collaboraient jusqu'à la mort de Goscinny, en 1977.
  13. Durant cette période, de 1964 à 1967, avec Pierre Vankeer, Morris a réalisé « La Chronique du 9e Art ».
  14. En 1968, « Lucky Luke «  a paru dans « Pilote », une magazine français hebdomadaire de bande dessinée. En 1972, il a reçu le Grand Prix Saint-Michel, le plus vieux prix européen de bande dessinée.
  15. En 1983, Lucky Luke a arrêté de fumer et a remplacé sa cigarette par un fétu de paille. Avoir montré le bon exemple, en 1988, à Genève, Morris a été récompensé par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) lors de la Journée Mondiale sans Cigarette.
  16. À partir de 1987, parallèlement aux aventures de "Lucky Luke", il a crée la série « Rantanplan », (le chien idiot de « Lucky Luke »). En 1993, il a laissé le soin de reprendre « Rantanplan » à son coloriste préféré, Vittorio Léonardo.
  17. Le 27 juin 1992, il a reçu le Grand Prix Spécial du 20­­ e Anniversaire du Salon International de la Bande Dessinée d'Angoulême.
  18. Maurice de Bévère a été décédé le mardi 17 Juillet 2001, suite d'une chute accidentelle. Il avait 78 ans. « Lucky Luke » est traduit dans plus de 30 langues et connaît un succès sans cesse grandissant, ce qui en fait avec « Tintin » et « Astérix » un des plus grands classiques de la Bande Dessinée d'expression française. À noter aussi que Morris est un des rares auteurs à s’être consacré entièrement à un seul héros. On peut encore signaler que le choix de l'appellation « Neuvième Art » pour la bande dessinée revient à Morris, tout comme l'expression plus vite que son ombre (Le Robert -Dictionnaire des Expressions) abondamment utilisée dans des contextes aussi multiples que variés.
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