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Marcel OK Zoomer

  1. Disclaimer : en vrai le concept de gen Z n’a pas de sens. Parce qu’on te voit, penser qu’Ok Zoomer est une représentation exhaustive et fidèle de ce qu’est notre génération. Tout comme on te voit, lire avec appétit les études Mintel et Kantar "What does gen Z REALLY want?". En vrai, il y a moins d’hétérogénéité au sein de la gen Z, qu’au sein de toutes les générations confondues. Un Zoomer ne ressemble en moyenne pas plus à un autre Zoomer qu’à n’importe qui d’autre. Pour s’en convaincre, il suffit de se rappeler que la gen Z, c’est à la fois le Prince George et Lil Pump.
  2. Je suis très flatté que les Zoomers me sollicitent encore pour le pitch de leur nouveau "wrapped" annuel. J’avais envie de le faire avec légèreté, impertinence, audace mais comme je ne sais pas dans les mains de qui va se retrouver cet ouvrage, je vais la jouer autrement et cibler plus large. Alors, que vous soyez CEO, CMO, Head of, DC, ECD etc, ou simplement un passionné de communication, vous avez entre les mains de quoi vous apprendre. Ok Zoomer c’est le résumé intelligent d’une année de tendances vues par la Gen Z de l’agence Marcel. Vous y trouverez leurs analyses des sujets qui ont fait les conversations cette année, systématiquement (hyper bien) décryptés par leurs yeux de transformateurs. C’est un boulot dingue que je les vois faire discrètement sous mes yeux, et, dans leur grande générosité, ils nous en font cadeau… pour nous apprendre à mieux les comprendre.
  3. POWER OF USERS Si on se dit les termes : ça fait combien de temps que t’as pas vu une VRAIE nouveauté sur Insta, Twitter, Netflix, Twitch? Cherche pas plus, la réponse est : longtemps. Mais pendant ce (long) temps, les gens eux, n’ont pas arrêté d’évoluer. Les générations continuent à avancer, leurs besoins aussi, et si les features des plateformes n’évoluent plus, les usages des gens, eux, oui. Et c’est en réponse à ces usages que le streaming, le gaming, les réseaux sociaux, finissent par adapter leurs plateformes pour essayer de suivre. Mais calmons nos crises d’angoisse, on va s’aider à y voir plus clair ensemble. On te proposeunpetittourd’horizondesnouveaux usages qui se développent à Zoomerland et qui tirent vers l’avant le développement de plateformes sinon devenues paresseuses. #1
  4. S02E01 : Celui qui ne regardait pas comme les autres Avecl’avènementdesplateformesdestreaming,lesspectateurs s’affranchissent de la télévision et de ses horaires, mais aussi de tous ses codes. Après le "binge watching", place maintenant au plus vorace "speed watching" ou encore au "nibbling". Entre rythmes de vie toujours plus effrénés, hyperdisponibilité des contenus en ligne, et structures narratives toutes similaires… il fallait bien s’attendre à ce que l’Homme s’adapte à son environnement. Avis aux plus sceptiques! Le visionnage linéaire n’est pas mort mais s’accompagne souvent d’un contenu additionnel comme les podcasts de débrief. On est quasi sûrs que le podcast Still Watching s’est déjà penché sur le cas de ta série préférée. Au-delà de la production des séries, des applications comme TVShowtime poussent aussi à changer nos modes de consommation par une gamification du visionnage, en t’invitant à tester tes connaissances sur les épisodes. Et là ça réveille notre esprit de compétition… Séries à la première personne Les séries aussi sont touchées par la fièvre du gaming. Alors, on a jeté un œil à la série Halo et on n’a pas pu s’empêcher de remarquer un mode de réalisation plutôt cool et pertinent : la caméra subjective, un mode de vue qui te permet de voir ce que le personnage voit. À la base, Halo, c’est un jeu vidéo à la première personne, une méthode de captation qu’on voit peu au ciné, à part pour quelques plans. Et c’est ça qui nous intéresse ici. L’utilisation du point de vue sort de l’ordinaire : par moments, l’expérience du héros sous son casque est entièrement retranscrite. Au-delà de la volonté de se rapprocher du mode de vue dans le jeu, l’immersion permet aussi de renouveler la place de l’imaginaire. Comme dans un livre, le spectateur est libre d’avoir sa vision du personnage. Après tu peux aussi faire comme si c’était toi l’acteur, tout dépend de la taille de ton égo ou de la circonférence de tes chevilles. La caméra subjective, un moyen de se rapprocher de son audience et de créer plus de résonance (-onance, -onance, -onance)?
  5. Diviser pour mieux payer Netflixisation des jeux vidéos, ou gamification des séries Netflix? Dans ce monde il y a deux catégories de personnes : ceux qui payent les abonnements et ceux qui les squattent. Et ce n’est pas Canal+ et Arte qui nous diront le contraire. Le parasitage est devenu monnaie courante, au grand désarroi de certains. Et ça, Spliiit l’a bien intégré. L’application met en relation les abonnés pour partager les coûts de leurs abonnements. Spliiit compte déjà Netflix, Canal+, Prime Video, Spotify, Deezer ou encore Apple Music parmi ses offres. À l’heure où les business models par abonnement comme celui de NeNe sont au plus mal entre inflation, concurrence accrue, suspension et hausse des prix, Spliiit pourrait bien donner quelques idées aux plateformes pour muter… Et si demain on pouvait partager ses abonnements directement sur les plateformes? Un tarif unique, individuel, accessible à tous. On n’est pas en train de collectiviser le streaming, mais presque. En 2022, il y a une sortie Netflix qui est passée un peu inaperçue. Pourtant, rien d’anodin dans Battle Kitty. Vraiment rien. Oui oui, t’as bien lu : Battle Kitty. Non non, on n’est pas en train de se moquer de toi avec cette animation d’un chaton bagarreur et de son pote orc. D’ailleurs (pour une fois) on ne va pas juger de la qualité de cette production. Ce qui nous a surtout interpellés ici, c’est le format. Parce que si les grandes annonces dans la presse nous avaient appris que Netflix se développait dans le jeu vidéo, la plateforme est restée beaucoup plus discrète sur ses contenus dits "interactifs". On se souvient tous de Bandersnatch, l’épisode interactif de Black Mirror, mais il y a aussi eu entre temps You vs. Wild, Cat Burglar ou encore Unwind Your Mind. Le leader du divertissement n’en est donc pas à son coup d’essai. Ce qui change, c’est que dans Battle Kitty, la proximité avec le jeu vidéo est encore beaucoup plus assumée, que ce soit sur l’histoire, les thèmes ou la représentation visuelle. Même la manière de progresser dans la série est calquée sur celle d’un jeu vidéo, puisqu’on s’y déplace sur une carte, sélectionnant tour à tour les épisodes qu’on souhaite visionner pour avancer et débloquer les suivants. Certainement un sujet à observer de près –surtout depuis que Netflix a créé son propre studio de jeux vidéos– pour comprendre le futur du divertissement qui s’ouvre devant nous…
  6. Et si TikTok démocratisait l’ultra- court-métrage? C’est pas la taille qui compte. Dans l’océan de trends et de contenus volontairement mal craftés, se trouve @ suillaud, un compte qui aborde TikTok sous un angle cinématographique. Depuis 100 ans, le cinéma grand public s’est concentré quasi essentiellement sur des formats allant de 1h20 à 3h. Meanwhile, les courts métrages ont à peu près autant de mal à passer le cap de leurs cercles de cinéphiles initiés qu’un parisien à passer le périph’. À l’instar de ses grands frères Youtube et Instagram, TikTok devient un terreau fertile pour la création où des vidéos de mauvaise qualité côtoient des pépites de créativité. Le 26 février dernier, la plateforme accueillait la première série exclusivement diffusée sur Tiktok. Et en mai, la plateforme était partenaire du Festival de Cannes. Entre références cinéma, série et gaming, les vidéos présentes sur la plateforme mélangent les codes et ouvrent un horizon de possibilités encore peu exploré. Mais si TikTok est le nouveau cinéma et participe à l’ouverture culturelle des jeunes, les créateurs qui s’y exposent ne devraient-ils pas bénéficier des financements du CNC? La plateforme elle-même devrait-elle participer au financement de l’exception culturelle française? Si aujourd’hui un "film de cinéma français" n’est considéré comme tel qu’en étant programmé en salle, les plateformes de SVOD et TikTok pourraient bien venir donner un coup de pied dans la fourmilière.
  7. Depuis maintenant 3 ans environ, sur TikTok principalement, mais aussi sur d’autres plateformes comme Instagram ou Twitter, les gens proposent de partager leurs fiches de révisions pour s’entraider pour les cours; par exemple des méthodes de travail, mais aussi pour des examens. Avec l’arrivée du brevet, du bac, beaucoup de fiches circulent sur TikTok, pour permettre aux gens de tout simplement "screenshoter" la fiche, ce qui évite de perdre du temps pour réaliser des fiches de révisions. Coup de vieux pour les Zoomers On ne compte pas passer le flambeau tout de suite, mais on commence à enquêter sur la jeunesse qui nous succèdera… Pour cet article on a donc passé le clavier à Pénélope, Grégoire, Maxence - nos stagiaires en observation pour la semaine, i.e. des Zoomers cœur de fourchette. Gain de temps de ouf sur ces fiches qui prennent LA VIE à rédiger. Points de vue différents du cours suivi. Après, ça fait râler les parents parce que les écrans c’est le diable. Et puis, rédiger soi-même ses fiches, ça permet d’apprendre en même temps… On n’a pas pu s’empêcher de leur rappeler qu’on faisait la même à notre époque : le.a premier.ère de la classe filait des photocopies de ses fiches Bristol. Plus vintage mais non moins efficace, ok? Et puis en disant ça on s’est sentis boomers. Comme quoi, ça arrive à tout le monde.
  8. Faire la cour is the new way to Tinder Parlons dating et Chronique des Bridgerton si tu le veux bien. On a été aussi surpris que toi quand on a entendu que cette série très plaisante à regarder avait eu une influence sur la Tinder-drague d’aujourd’hui. La nouvelle tendance en matière de tchatche est donc de parler comme un british du XIXe siècle. Tinder révèle même que l’utilisation du mot "courtiser" a augmenté de 12% chez les 18-25 ans. Toi qui en avais marre des "slt sava tfk?", tu vas pouvoir diversifier tes phrases d’accroche avec des "je brûle pour toi" ou des "impeccable ma chère". N’hésite pas à parler de toi à la troisième personne, et à vouvoyer ton.a bien aimé.e. Mais si faire la cour c’est pas ton truc et que tu préfères te fier à la tech pour t’assurer le succès sur les applis de rencontre, on t’invite à découvrir la vidéo du QR code sur le sujet. Micode s’y est intéressé aux approches ayant le taux de réponse le plus élevé.
  9. tristement célèbres QuelestlepointcommunentreEmmaBovary,laViergeau pied de la Croix, les héroïnes des peintures romantiques et Lana Del Rey? Bingo : ce sont des femmes qui souffrent et qui incarnent le beau. Et des femmes qui vont mal et qu’on célèbre, y en a moults autres exemples. Mais pourquoi un tel sadisme esthétique? On pourrait écrire des essais entiers d’explications socio- historico-artistiques, mais comme on n’a pas beaucoup de lignes ici, on va résumer ça en un mot : le patriarcat. Quand on veut rappeler aux femmes leur rôle d’infériorité et de soumission dans la société, rien de plus simple que de les bombarder d’images d’un féminin en passion, affaibli, passif (et même parfois mort). C’était le sujet de l’expo sur les Héroïnes Romantiques au Musée de la Vie Romantique qui s’est terminée en septembre. Les salles de l’expo étaient blindées de meufs. Sûrement parce que ça fait du bien que ces images qui ont guidé notre manière de devenir femme soient remises en question. Même le beau amoureux est une histoire de souffrance. À nouveau, la culture occidentale a construit un imaginaire de la passion amoureuse qui flirte avec souffrance et violence pour les femmes. C’est ce qu’explique Mona Chollet dans son dernier livre Réinventez l’amour. Elle y parle des mythes qui ont façonné la notion de passion amoureuse, qui valorisent clairement la violence. Mais on ne tue ni ne meurt par amour, point barre.
  10. PUBERTÉ DES PUBARDS Les premières années de publicitaire, c’est un peu comme une seconde puberté. Desdécouvertes,peudesommeil,desémois,des premières fois, des désillusions et l’impression d’avoir un regard nouveau sur tout et surtout sur le milieu. Alors on regarde. Et on critique. On a sélectionné pour toi le meilleur de cette crise d’ado bis. Enjoy, and don’t get offended. #2
  11. Think outside inside the box Pose cette tasse de café, faut qu’on te parle d’une pépite d’ingéniosité sur laquelle on est tombés. Pour la faire courte : l’association PERIOD qui lutte pour éradiquer la précarité menstruelle a créé Loopholes : une fausse marque de céréales qui cache des produits menstruels dans ses boîtes à la place du petit jouet inutile et toujours décevant… Aux US, 1 femme sur 4 n’a pas accès à des produits menstruels malgré leur nécessité évidente. En l’absence de soutien financier sur cette typologie de produits, contrairement aux denrées alimentaires, il n’est pas rare qu’une femme ait à choisir entre acheter à manger et acheter des tampons. Ça donne Loopholes, une marque engagée au design flashy qui pourrait changer la donne… si seulement elle était réellement commercialisée. Attention c’est là que le #coupdegueule commence. Même si l’idée est admirable, la "scalabilité" du projet n’a pas encore été démontrée ou même envisagée. D’un côté, on est tristes voire saoulé.es de se dire que c’est peut-être juste un ghost pour gagner des prix. D’un autre côté on se dit que ça peut sensibiliser et inspirer d’autres marques/personnes sur le sujet. Who knows? Pas nous.
  12. Pubérisation Lapubn’apasd’avenir. Le divertissement oui. Commençons par une grande révélation qui fait mal. Un peu l’équivalent de la désillusion de la non-existence du Père Noël, mais pour les marketeux. Allez on se lance : les gens n’aiment pas la publicité. Et d’ailleurs ils n’aiment pas non plus les publicitaires. Un moyen pour dépasser cette réticence? Divertir. Faire rêver, s’extasier, exciter. Apporter un peu de joie et de folie dans le quotidien des gens. Récemment, on a trouvé que BMW avait réussi ce coup- là parfaitement, avec leur campagne de Nouvel an. Pas de message, pas de propos, juste un truc extrêmement divertissant et beau, digne d’un jeu vidéo ou d’un clip de ton artiste préf. Et ça a eu un succès fou. Genre vraiment fou. Genre 300 millions de vues sur les réseaux. Alors ça fait du bien parfois de se rappeler qu’on a pas besoin de mettre des messages partout. Parfois, le mieux que l’on puisse faire c’est de faire kiffer les gens. Tu travailles dans la pub mais tu as AdBlock sur ton ordi ? Honte à toi mais bienvenue au club. Si même les pubards se sentent submergés par le nombre de pubs qu’ils voient dans la journée, imagine un peu comment se sentent les autres ? Alors quand on nous dit que placer des écrans publicitaires sur le sac des livreurs est la nouvelle idée de génie d’une start-up française… notre sang ne fait qu’un tour. On se dit que tout ça commence quand même à ressembler un peu beaucoup à un scénario blackmirroresque. Parce qu’en plus de rajouter de la pub dans le paysage urbain, on vient capitaliser sur les failles d’un métier de livreur déjà précaire avec une très faible compensation. Plutôt que de chercher absolument de nouveaux points de contact, nous aurions plutôt intérêt à essayer d’optimiser la manière de communiquer sur chacun de ceux qu’on a déjà et d’explorer toutes les possibilités qu’ils ont encore à nous offrir. On n’oublie pas que la contrainte est l’amie de la créativité et pas l’inverse.
  13. (En)jeux de société Historiquement, les Français ont déjà la culture du jeu de société mais depuis le Covid on s’arrache plus que jamais la rue de la Paix et on accuse le colonel Moutarde de meurtre. En même temps, entre tourner en rond chez soi et se changer les idées en passant du bon temps, le choix est vite fait… Au paroxysme de l’individualité, les jeux de société ont fait figure de lien social physique. Et aussi fou que cela puisse paraître, en 2022, les Français joueraient davantage aux jeux de société qu’aux jeux vidéo sur leur temps libre (45,5% vs 36% selon Kantar TGI 2022). Il faut croire qu’on se laisse plus souvent tenter par un Code Names ou un Seven Wonders qu’un Mario Kart. Alors si le gaming est le grand nouvel entrant de nos briefs, pourquoi les jeux de société ne seraient pas eux aussi une opportunité? C’est un peu moins facile, on te l’accorde. Mais pas impossible. Monopoly en est l’exemple. Tiers Mondopoly met les joueurs dans la peau d’exploitants agricoles péruviens qui doivent s’entraider pour faire face aux imprévus climatiques et agressions. Dans la même veine, le Monopoly des Inégalités, en partenariat avec l’Observatoire des inégalités, utilise le jeu pour pointer du doigt inégalités et discriminations. La preuve que l’effervescence que connaît l’industrie peut être l’occasion d’aborder des enjeux plus sérieux. Intergénérationnel, ludique et pédagogique, le jeu de société fait partie de nos ressources publicitaires sous-côtées. Alors que tu utilises LinkedIn pour aller stalker tes collègues (ou tes concurrents), d’autres personnes investissent ce réseau pour partager des posts toujours plus sordides. À coup de grands #inspiration, #succès ou encore #gratitude, ces pseudo-gourous t’apprennent à tirer une leçon de chaque expérience de ta vie. À ressortir #grandi de ta balade en forêt du dimanche ou à donner à ta fille de 1 an le #feedback nécessaire pour évoluer positivement. Une des raisons au fait que ces posts détestables perdurent, c’est que sur LinkedIn, terre promise de la start-up nation, les discours ont tendance à se calquer sur ceux des entrepreneurs. Des discours simplifiés à l’extrême, car pensés pour convaincre en quelques mots des investisseurs qui entendent des pitchs tous identiques du matin au soir. Le résultat : approximations, raccourcis, appropriations. Le tout enrobé d’une idéologie libérale et capitaliste poussée à l’extrême. Or, nous publicitaires, il y a un truc qu’on ne pense pas trop mal faire : c’est de dire des choses simples, sans pour autant être chiants. Alors quand est-ce qu’on s’empare de LinkedIn pour élever le niveau? Si besoin de se convaincre qu’on peut faire des activations cool sur LinkedIn, on jette un œil à la campagne Dyslexic Thinking et on se rappelle humblement que ça a choppé un Titanium aux Cannes Lions 2022. On m’a demandé ce que je voulais faire dans la vie. J’ai répondu : influenceur LinkedIn.
  14. Netflix, nouveau DC chez Marcel. La télé, c’est gratuit mais y a de la pub. Sur Netflix, y a pas de pub et donc c’est payant. C’est un peu le deal – preuve, s’il en fallait encore, que la pub est considérée par les gens comme une nuisance, un coût. Mais c’est pas le sujet. Parce que le sujet, c’est que bientôt, sur Netflix aussi, il y aura de la pub. Dans 12 pays, dont la France. Là où ça devient intéressant, c’est quand on lit le détail de leur offre : "La montée en charge publicitaire se fera, elle, très progressivementetlesannonceursélusseronttriéssurlevolet. Les équipes de Xandr, en charge de la commercialisation de l’offre, le disent clairement : elles seront très regardantes sur la qualité des spots publicitaires." Parce que payer pour voir de la pub, oui, mais alors autant que ce soit de la bonne pub. Et ça c’est génial parce que : Ça va élever le niveau global de créativité de la pub (pour émerger dans un tunnel de pubs de ouf, il faudra forcément sortir des pubs de ouf). Ça va accoutumer les gens à de la bonne pub (et peut-être faire renaître ce mood des années 90, notamment au UK, où la pub était plus efficace parce que les gens y accordaient sincèrement de l’importance).
  15. En 2022, l’œuf mayo du bouillon Pigalle est devenu le 3e plat le plus commandé du monde sur Deliveroo. On répète : le plus commandé DU MONDE. Ça peut paraître absurde comme ça, mais c’est un peu une base dans la culture française, cet œuf mayo. C’est le pouvoir de la nostalgie et des petits plats qui nous rapprochent pour pas grand chose. Un truc de connaisseurs qui permet d’échanger un hochement de tête avec le serveur. Bel exemple par ailleurs du traditionnel, ancestral et inamovible chauvinisme français et de ce petit kiff qu’on a pour les produits et les tendances désuètes. Fleurs séchées, vie à la campagne rêvée en mode cottage core, fringues de friperie démodées, soupes et plats typiques de la cuisine de papi et mamie… Le passé nourrit les rêves du présent. Après tout, le retour de l’œuf mayo, c’est aussi celui des bouillons, non? Pour que tu vois à quel point c’est récent, dis-toi que le championnat du monde des meilleurs œufs mayo ne date que de 2018. Et il a certainement un bel avenir devant lui… Oeuf mayo : la recette du succès !
  16. Peut-être que tu ne connais pas Wordle. En gros, c’est une version cool et moderne de notre Motus national, mais avec un seul mot par jour. Chez les Zoomers, on a clairement été atteints de la fièvre Wordle et on va pas te mentir, on a été frustrés de ne pas pouvoir écrire "canon", "effie", "rédac" ou autres mots en 5 lettres du lexique pubard. Avec ça, on explose les scores, c’est sûr. Et bien figure-toi que dans le Sud, ils ont ressenti la même frustration. Sauf qu’ils ont carrément décidé de créer leur propre motus avec un lexique exclusivement provençal : "motchus". Et ça, ça force l’admiration. Parce que non seulement tu donnes une portée nationale à un parler local mais surtout tu revalorises la langue parlée au quotidien qui ne respecte pas forcément les codes plébiscités par l’Académie. Et nous, tout ce qui casse les codes ça nous parle, donc rendez-vous au bench du planning pour une partie de motchus. Un moment d’évasion pour s’imaginer au soleil, un Ricard à la main autour d’une partie de pétanque. Alors ça… …ça m’espante
  17. ZOOMER ZEITGEIST #3 Cetitrec’estd’abordparcequ’onaimebienlalettreZ. Et qu’on adore utiliser des mots compliqués. Non, en vrai, le zeitgeist c’est de l’allemand et ça veut dire esprit du temps, sensibilité d’une époque. C’est un peu toutes ces choses qu’on a trouvées justes, intéressantes ou piquantes à un instant T (et pas Z, t’as capté). Autrementdit,onespèretefairedireàlafindecette partie qu’on est des jeunes gens dans le vent.
  18. Mon signe astro? Sorcière. L’année 2022 a été traversée par beaucoup, beaucoup de sujets polarisants. Et nous on a choisi de parler de : l’astrologie. Forcément, on a voulu comprendre pourquoi les astres déchaînent les passions. Les plus pragmatiques d’entre nous répondront qu’il n’y a aucun lien scientifique entre les astres et le comportement humain, et qu’il suffit de dire des banalités pour que tout le monde à la fin s’y retrouve un peu. Soit. Mais peut-être est-ce aussi lié au fait que cette pseudo-science est une pratique quasi exclusivement féminine, comme le furent un temps la sorcellerie ou la cartomancie. Et pas la peine de te rappeler comment ont fini les " sorcières " au Moyen- Âge. Aujourd’hui, il y a de bonnes raisons au come-back inopiné de l’occultisme, entre Insta d’astrologues amateurs et TikToks de tireuses de tarot. Les psychologues et sociologues y voient une réponse au stress créé par l’incertitude. L’astrologie permet de se rassurer en trouvant à nouveau du sens là où la religion pour certain.es ou les sciences "dures" n’en apportent plus. On peut aussi considérer la pratique de l’astrolo- gie comme une nouvelle forme de développement personnel. En apportant une réflexion ouverte sur nos traits de personnalité via nos signes, l’astrologie permet de se découvrir ou se per- fectionner autrement. Bref,qu’onycroitounon, nous on adore parler de rétrogradation de Vénus en Mars.
  19. Courge Spice Latte Malgré les dossiers consacrés au sujet dans les magazines société et les beaux portraits dressés de partout, "l’investissement massif des campagnes par les citadins" crié sur tous les toits de la capitale n’est pas encore la réalité qu’ils laissaient entendre. Ne soyons pas tout à fait mauvaise langue, certains chiffres confirment quand même la tendance : 40 cafés ont ouvert dans les communes de moins de 3500 habitants. Tout ça a été rendu possible grâce au programme "1000 cafés" lancé en 2019, qui a donné les moyens à des jeunes de retaper des cafés historiques, condamnés à l’abandon. Et en France, le choix du café est tout sauf anodin. Lieu du contact et de la rencontre sociale par excellence, le café c’est un peu l’anti-confinement, le remède à l’isolement. C’est à la fois une salle des fêtes, un commerce, un endroit où se croisent (ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien). Le "collectif" y est possible, des décisions sociales et structurelles y sont prises. (Re)venir à la campagne, c’est un sujet qui fait frétiller les meilleurs esprits de notre temps : d’Edouard Louis à Nicolas Mathieu en passant par Didier Eribon, la sociologie de ceux qui (re)viennent en raconte tout autant (et peut-être même plus) sur ceux qui restent. On ne sait pas pour toi, mais on a déjà pris nos billets de train pour Crayssac.
  20. On vit dans la pire simulation… Adieu les riches Il est probable que tu aies entendu parler de la série L’Effondrement. Et pour cause, un des épisodes ressemble étrangement à ce qu’il se passe en ce moment dans nos stations-services. Cette série, comme son nom l’indique, met en scène l’Effondrement ou the Event dans la langue de Shakespeare. C’est une vraie théorie issue d’un courant de pensée appelé la collapsologie qui prédit que notre civilisation industrielle va finir par s’écrouler pour cause de différentes crises : énergétique, environnementale, économique, sociale, sanitaire... Et face à cette théorie nos amis les ultras-riches commencent déjà à trouver des parades. Pour la faire courte, de plus en plus d’ultra-riches se mettent à construire des bunkers, des zones protégées ou encore des hôtels "autosuffisants" pour se barricader en cas de basculement irréversible. Mais nous ce que ça nous fait dire, c’est qu’encore une fois face à l’urgence et à la nécessité d’agir -notamment face au climat-, bah les riches se défilent. Et c’est rageant quand on sait qu’une personne appartenant aux 0,01% les plus riches de la population mondiale –environ 771000 personnes–, émet en moyenne 2332 tonnes d’équivalents CO₂, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l’humanité n’en émet que 1,4. Alors les bourreaux de la planète vont-ils se terrer sous terre et créer leur nouveau monde, ou va-t-on finir par les défier et leur faire modérer leurs émissions? On n’arrête pas de nous le rabâcher, le métavers arrive. La vie se digitalise. On crée de plus en plus de simulations réalistes (ou pas). Et en parallèle, on se questionne sur la réalité (ou pas) de notre monde. Ces dernières décennies, nous sommes devenus capables de créer des outils de prédiction très précis -et même des simulations de mondes entiers. Alors il est hautement probable qu’une autre civilisation que la nôtre en soit capable également, et qu’elle ait effectivement lancé une multitude de simulations- pour prédire l’avenir, pour analyser des possibilités alternatives, ou pour s’amuser. Reformulons. Imagine qu’une civilisation qui en a les moyens lance 999999 simulations de mondes réels probables. Cela veut dire qu’avec elle, il existe 1 million de réalités. Le truc c’est que nous sommes encore incapables de savoir si nous, dans le monde que nous connaissons, nous sommes dans une simulation ou pas. Cela signifie que la probabilité que nous vivions dans la réalité "originelle" est dans cet exemple de 1 sur un million. Peut-être que nous avons trouvé le sens de la vie. Plutôt que "rien", on pourrait se dire qu’on existe pour aider une civilisation supérieure à comprendre son avenir ou s’amuser… Rassurant? Bof. En tout cas, une fois qu’on commence à voir la simulation autour de nous, difficile de revenir en arrière. Et le moins qu’on puisse dire c’est que si tout ça est vrai bah… on n’est pas tombés dans la simulation la plus prometteuse du tiroir.
  21. Face à cette fièvre de la pompe, Nike (évidemment) n’a pas raté l’occasion de capitaliser dessus. Alors ils ont créé une app, SNKRS. En gros, c’est la gamification de la rareté et des enchères pour tes pieds. Ils droppent des paires, en édition limitée et si t’arrives à en choper, tant mieux, sinon rendez-vous la semaine prochaine. Evidemment, nouvelle économie parallèle : si t’es pas matinal, mais un peu geek, tu peux trouver des groupes Discord à l’entrée payante qui te filent des tuyaux sur les prochaines sorties de la semaine, ou même des "bots" payants afin de s’assurer d’être le premier arrivé sur le site marchand. Bref, une petite ambiance prohibition et bootleggers flotte sur l’univers de la sneakers. Et quand on voit qu’une paire de Air Force 1 s’est vendue à plus de 100000 dollars, on se dit qu’elle a beau être douce, cette drogue est un business qui ne ferait pas rougir Escobar. Les sneakers vers l’infini et l’au-delà. La chaussure n’est plus un accessoire. Aujourd’hui, ta paire de sneakers c’est la base de ton outfit et tu construis le reste de ta tenue autour. À vrai dire, la route pour choper une paire n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Au 133, on était aux premières loges pour témoigner de la queue interminable chez Louis Vuitton ou même chez Nike, où les plus motivés attendaient des heures pour dégoter une paire retail. Alors ce n’est pas si surprenant que toute une économie parallèle se soit développée, avec des "resellers" qui s’occupent de choper les paires rares pour les revendre au prix fort aux collectionneurs.
  22. La valeur travail (sur soi) Le monde corporate connaît son avant-après Covid. Et les patrons vont peut-être faire la gueule. En témoigne la tendance américaine du "quiet quitting", popularisée sur TikTok. Littéralement "démission silencieuse", cette tendance consiste à travailler uniquement sur ses heures de bureau, à faire seulement le travail inscrit sur sa fiche de poste et à éviter le zèle non rémunéré. En France, on appellerait plutôt ça le droit du travail. Mais soit, le monde de l’entreprise change, et en particulier parce que toute une nouvelle génération le rejoint. Des jeunes qui sont bien décidés à tirer les leçons des dernières années et à les appliquer à leur vie professionnelle en imposant leurs priorités, quitte à contourner les règles. Se bloquer du temps pour soi dans son agenda Outlook, partir dès qu’on a fini sans présentéisme, changer les formules de politesse en les remplaçant par des tournures très tiktokiennes ("warmest vibes" remplace les "kind regards"). On sent évidemment l’effet confinement qui a rendu plus attentif au soin de sa santé mentale. Mais à nouveau, ces petites boutades virales sont très très américaines. Parce qu’en France, c’est pas vraiment comme ça qu’on fait (coucou la CGT). Dans tous les cas, c’est un mouvement de fond : are you ready for the Gen Z wave? Pas sûr. Difficile de s’en battre les steaks… Sandrine Rousseau was right! Bon, probablement pas sur tout. Mais sur ça oui. Bref, de quoi parle-t-on? Du lien entre barbecue et symbole de virilité! Elle insistera pourtant plus tard ("toutes les études montrent que j’ai raison") mais personne n’y croit, un peu comme à table avec tonton Gérard qui ne veut pas croire que la domination exercée sur les femmes existe en France et qui nous invite à regarder la situation là où elle est encore pire. Alors on a trouvé l’étude dont elle parlait sans doute, et ses résultats sont stupéfiants. L’étude montre en effet que les gros consommateurs de viande rouge ont davantage tendance à adhérer aux stéréotypes sexistes que ceux qui en mangent moins. 21% des Français trouvent ça normal que dans un couple, la femme effectue plus d’activités ménagères, ce chiffre grimpe à 47% chez les viandards. Côté consentement, c’est pas mieux : à l’affirmation "Lorsqu’on veut avoir une relation sexuelle avec elles, beaucoup de femmes disent "non" mais ça veut dire "oui"" : 12% des Français approuvent et ce chiffre passe à 26% chez les gros consommateurs de viande. On te laisse sur ces chiffres. Et pense à prendre un steak végé à la cantine.
  23. À la New York University, ils vont pouvoir suivre des cours sur Lana Del Rey, Taylor Swift ou encore Harry Styles. À l’Université de Montréal, c’est un cours sur Kanye West. À Copenhague sur Beyoncé. En Caroline du Sud, c’est Lady Gaga qui auraledroitàsonsemestre. Et on ne se parle pas de lire leur page Wikipédia. C’est l’impact de ces stars sur notre culture, nos usages, ce qu’ils et elles racontent de nos sociétés et de leurs changements, qui va être disséqué. Pourquoi pas chez nous? Parce qu’en France, terre des arts et des lettres classiques, on a encore beaucoup de mal à débloquer les verrous de la culture légitime. On s’imagine que le savoir ne vient pas de la futilité. Nous on imagine déjà la Sorbonne et ses futurs cours sur "Jul, Marseille et le sentiment national" ou en- core "Angèle, entre ultra-digitalisation delamusiqueetluttesprogressistes". Vous avez 4h. Well, the Zoomers really would like to disagree. Dans un monde où les politiciens, les figures religieuses, et les hommes dépositaires d’un pouvoir “traditionnel” ont perdu de leur crédibilité, ils sont remplacés par des figures populaires, encensées et plus représentatives des problématiques qui transcendent notre époque. Faut croire que dans le monde universitaire étranger, ils ont vachement mieux compris Bourdieu que chez nous, puisqu’ils ont déjà opéré ce shift de paradigme. Pop culture 101 Sipasserdeuxheuresdecourssomnolentes à te dire que "vraiment c’est le dernier amphi auquel je viens" est une expérience familière pour toi, ça sera vraiment pas le cas pour les étudiants de plusieurs universités étrangères cette année.
  24. Semaine de 8 jours à Zoomerland L’organisation du temps, du travail, des jours et de la vie, nous, les Zoomers, ça nous interroge. Beaucoup d’entre nous ressentent un léger mal-être depuis le premier confinement sans vraiment en trouver le coupable. Mais on pense l’avoir attrapé. À l’heure du bien-être personnel, de la décroissance présumée et du progressif remplacement de l’homme par les machines, il est peut- être temps de remettre en question cette convention. Nous par exemple, on pense qu’un weekend de 3 jours ça serait bien. Mais on pense aussi que travailler 5 jours, c’est plus pratique que 4. Alors on a trouvé une alternative : la semaine de 8 jours. On a même pensé à un nom pour le 8e jour qui respecte la logique des 7 autres : Pludi. On s’est aussi dit qu’une semaine à durée aléatoire pourrait être un super moyen de remettre un peu de piment et de sérendipité dans nos vies. Il nous manque plus qu’un pays fantoche pour faire l’expérience. Zoomerland. Certains bossent 2 heures par jour, d’autres 4 jours sur 5, certains 90 heures par semaine. Mais dans tous les cas, le rythme des 7 jours dicte nos vies depuis la naissance. Pourtant, aux US, ça fait seulement 200 ans que la semaine dure 7 jours. Même si elle est pratique pour plein d’aspects, cette loi d’airain guide aujourd’hui nos existences et nos manières de penser. Et avec 5 jours sur 7 dédiés au boulot, on a l’impression de ne pas avoir tiré la meilleure carte.
  25. Tu as aimé nous lire? Tu vas adorer nous écouter. À l’occasion de la sortie de cette édition collector, on t’a concocté 3 épisodes, écrits, enregistrés et montés in-house, avec la participation exceptionnelle du plus zoomer de tous les boomers, Pascal Nessim. Un dernier mot avant de se quitter. On remercie de tout notre petit cœur toutes les personnes qui nous ont aidés et soutenus au cours de cette dernière année. Pascal pour son soutien indéfectible et pour avoir accepté d’être notre guest star. Ghislain, Sarah et Léoda pour la confiance, la relecture, et les conseils. Éva pour l’incroyable DA, on n’en revient toujours pas. Matthieu et Suzanne, toujours impeccables sur la dernière ligne droite. Tim et Loïck pour la prod des podcasts. Mél et Laurène pour la patience malgré les DR pas carrées. Aliou, le SoMe et Marcel Proust pour la campagne de lancement.
  26. Car l’immaturité, parfois, ça a du bon. Il en faut peut-être un peu pour générer des idées brutes, sincères, créatives. C’est cette fraîcheur que l’on cherche à cultiver dans Ok Zoomer, la newsletter des jeunes planneurs stratégiques de l’agence Marcel. Le projet a pour vocation de partager et de transmettre nos intérêts, nos passions et nos opinions, avec la candeur (et l’impertinence) de jeunesquinetravaillentpasdepuissuffisamment longtemps pour être formatés à une seule manière de penser. Dans ce livre, nous avons regroupé le meilleur du travail de ces 12 derniers mois. En espérant transmettre à toutes les générations qui l’ouvriront, un peu de cette immaturité dont on a appris qu’elle avait finalement autant de valeur que l’expérience. Ok Zoomer a 2 ans. L’âge de la maturité? Absolument pas.
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