FRANCE
1. Financement des ETI et des grandes entreprises en octobre 2014 : une situation de trésorerie jugée aisée
2. Prix à la consommation en septembre 2014 : +0,3% sur un an, rythme le plus faible depuis octobre 2009
3. Production industrielle en août 2014 : -0,2% sur un mois, -0,1% en moyenne mobile sur trois mois
4. Défaillances d’entreprise en août 2014 : -3,1% en cumul sur 3 mois, +1,5% en cumul sur 12 mois
5. Sous-traitance internationale fin 2011 : 18% des sociétés, 27% des salariés
INTERNATIONAL
6. Tendances récentes des marchés
1. MEDEF Actu-Eco semaine du 16 au 20 juin 2014 1
MEDEF Actu-Eco - n°178
Semaine du 13 au 17 octobre 2014
SOMMAIRE
FRANCE
1. Financement des ETI et des grandes entreprises en octobre 2014 : une situation de trésorerie jugée
aisée
2. Prix à la consommation en septembre 2014 : +0,3% sur un an, rythme le plus faible depuis octobre
2009
3. Production industrielle en août 2014 : -0,2% sur un mois, -0,1% en moyenne mobile sur trois mois
4. Défaillances d’entreprise en août 2014 : -3,1% en cumul sur 3 mois, +1,5% en cumul sur 12 mois
5. Sous-traitance internationale fin 2011 : 18% des sociétés, 27% des salariés
INTERNATIONAL
6. Tendances récentes des marchés
2. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 2
1. Financement des ETI et des grandes entreprises en octobre 2014 : une
situation de trésorerie jugée aisée
Selon les trésoriers des ETI et des grandes
entreprises (500 salariés ou plus) interrogés
début octobre 2014 par l’AFTE et Coe-Rexecode :
- la situation de trésorerie d’exploitation est
jugée aisée, même si le solde d’opinion est un
peu inférieur à son niveau de juillet dernier. La
tendance retrouve ses points hauts de fin
2010 – début 2011 ;
- l’indicateur sur les délais de paiement clients
poursuit sa baisse tendancielle entamée à
l’été 2012, au-delà de ses fluctuations
mensuelles (rebond ce mois-ci après un repli
en septembre) et s’inscrit en dessous de sa
moyenne 2005-2013 ;
- les marges appliquées sur les crédits
bancaires continuent de se réduire, avec un
indicateur au plus bas depuis sept ans ;
- La recherche de financement est jugée facile :
le solde d’opinion est au plus haut depuis août
2007.
Source : AFTE / Coe-Rexecode
-30
-25
-20
-15
-10
-5
0
+5
+10
+15
+20
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Situation de la trésorerie d'exploitation
(solde d'opinion, %)
Moyenne 2005-2013
0
+5
+10
+15
+20
+25
+30
+35
+40
+45
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Délais de paiement clients (solde d'opinion, %)
Moyenne 2005-2013
-20
-10
0
+10
+20
+30
+40
+50
+60
+70
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Evolution des marges de crédits bancaires
(solde d'opinion, %)
Moyenne 2005-2013
-70
-60
-50
-40
-30
-20
-10
0
+10
+20
oct.-07
avr.-08
oct.-08
avr.-09
oct.-09
avr.-10
oct.-10
avr.-11
oct.-11
avr.-12
oct.-12
avr.-13
oct.-13
avr.-14
oct.-14
Recherche de financement (solde d'opinion, %)
Moyenne 2005-2013
3. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 3
2. Prix à la consommation en septembre 2014 : +0,3% sur un an, rythme
le plus faible depuis octobre 2009
* En données brutes, l’indice des prix à la
consommation a reculé de -0,4% en septembre
2014, après une progression de +0,4% en août.
En données corrigées de variations saisonnières,
il a diminué de -0,1%, annulant la hausse de
+0,1% enregistrée en août.
Ce léger recul est le résultat combiné d’une
contraction des prix dans les services (-0,2%) et
dans l’énergie (-0,5%) et d’un accroissement des
prix dans les produits manufacturés (+0,1%) et
dans l’alimentation (+0,5%).
Hors tarifs publics, énergie et produits frais,
c’est-à-dire l’inflation sous-jacente, le repli a été
de -0,3%.
Source : INSEE
* Entre juin et septembre 2014, les prix ont
augmenté de +0,8% l’an (-0,3% l’an entre mars et
juin). Cette hausse recouvre :
- une baisse des prix des produits énergétiques
de -6,3% l’an (-6,1% pour les seuls produits
pétroliers), après +7,2% sur les 3 mois
précédents ;
- une progression inférieure à +1% l’an pour les
prix des services (+0,8% l’an, après +1,2%) et
des produits manufacturés (+0,9% l’an après -
2,4%) ;
- une hausse de +2,7% l’an des prix des
produits alimentaires (+26,5% pour les seuls
produits frais), après -2,6% l’an.
* Sur un an, les prix ont progressé de +0,3%,
rythme le plus faible depuis octobre 2009.
L’inflation sous-jacente a été nulle, record
historique.
0,0
+0,3
-0,5
0
+0,5
+1,0
+1,5
+2,0
+2,5
Evolution sur un an de l'indice des prix à la
consommation (%, données CVS)
sous-jacent
total
0 0,0
+0,5
+1,0
+1,5
+2,0
+2,5
+3,0
+3,5
+4,0 Inflation sous-jacente (évolution sur un an, %)
4. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 4
Evolution des prix à la consommation
septembre 2014 sur un mois sur 3 mois sur 3 mois annualisée sur 12 mois
Total -0,1 +0,2 +0,8 +0,3
Total sous-jacent -0,3 +0,2 +0,7 +0,0
Energie, dont: -0,5 -1,6 -6,3 -2,5
Produits pétroliers -0,7 -1,6 -6,1 -4,9
Alimentation, dont : +0,5 +0,7 +2,7 -0,6
Produits alimentaires frais +4,5 +6,0 +26,5 -2,2
Produits manufacturés, dont: +0,1 +0,2 +0,9 -0,6
Habillement et chaussures -0,4 +1,7 +7,1 +0,5
Produits de santé -0,2 -0,7 -2,9 -2,8
Automobiles neuves +0,6 +0,7 +2,8 +4,2
Services, dont : -0,2 +0,2 +0,8 +1,6
Loyers -1,4 +0,1 +0,5 +1,0
Services de santé +0,1 +0,0 +0,0 +0,4
Transports et télécommunications -1,2 -0,3 -1,2 +0,0
Source : INSEE
5. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 5
3. Production industrielle en août 2014 : -0,2% sur un mois, -0,1% en
moyenne mobile sur trois mois
* La production de l’ensemble de l’industrie a
stagné en août 2014, après avoir progressé de
+0,3% en juillet. En revanche, pour la seule
industrie manufacturière, la production s’est
contractée de -0,2%, après -0,1%.
Prévisible au regard de l’évolution défavorable
du climat des affaires dans l’industrie
manufacturière en août puis en septembre, ce
repli recouvre des évolutions contrastées selon
les secteurs : baisse dans la fabrication
d’équipements (-0,9%), dans les industries
agroalimentaires (-1%), et dans la fabrication de
matériels de transport (-1,5%, mais +7,3% dans
l’automobile) ; hausse dans la fabrication des
« autres produits industriels » (+0,3%) et dans la
cokéfaction et le raffinage (+5%).
Source : INSEE
* En moyenne mobile sur les trois derniers
mois connus (juin, juillet, août 2014), la
production manufacturière s’est inscrite en
baisse de -0,1% par rapport aux trois mois
précédents (-0,1% sur un an).
Cette baisse se retrouve dans tous les sous-secteurs,
à l’exception de la fabrication de
matériels de transport (+2,7%, dont +3,4% dans
l’automobile) :
. -0,3% dans la fabrication d’ « autres produits
industriels », avec par exemple -0,2% dans la
métallurgie, +0,5% dans le bois et le papier,
+1,6% dans la chimie ;
. -0,3% dans la fabrication d’équipements ;
. -1,4% dans les industries agroalimentaires ;
. -4,5% dans la cokéfaction et le raffinage.
*Par rapport à son point haut du 1er trimestre
2008, l’activité manufacturière est en baisse de -
17%. Elle s’effrite de manière quasi-continue
depuis le 1er trimestre 2011 (-5,9%).
90
95
100
105
110
115
120
Indice de production dans l'industrie
manufacturière (base 100 en 2010, moyenne
mobile sur trois mois)
75
80
85
90
95
100
105
110
115
Indice de production dans l'industrie
manufacturière (base 100 en 2010, moyenne
mobile sur trois mois)
Fabrication
d'équipements
IAA
Automobiles
Cokéfaction et raffinage
6. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 6
Evolution de la production industrielle
Evolution en % des trois mois juin, juillet et août 2014 par rapport à : 2008T1 2011T1
Industrie manufacturière -17,0 -5,9
IAA -3,6 -5,2
Cokéfaction et raffinage -36,8 -25,2
Fabrication d'équipements -25,2 -6,0
Fabrication de matériels de transport -9,0 +0,5
Automobiles -31,1 -15,3
Fabrication d'autres produits industriels -17,8 -6,7
Source : INSEE
7. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 7
4. Défaillances d’entreprise en août 2014 : -3,1% en cumul sur 3 mois,
+1,5% en cumul sur 12 mois
* Selon les données provisoires de la Banque
de France, les défaillances d’entreprise se sont
établies à 63 149 unités légales en août 2014, en
cumul sur un an. En dépit du tassement observé
depuis le début de l’année (-3,1% en glissement
sur trois mois), elles s’inscrivent en hausse de
+1,5% par rapport à août 2013 (+921).
Source : Banque de France
* Dans le détail, par taille, près de 9
défaillances sur 10 concernent les
microentreprises, en hausse de +1,6% entre août
2013 et août 2014 (cumul sur douze mois). En
revanche, elles se sont repliées sur la même
période pour les PME hors microentreprises (-1%)
et, plus encore, pour les ETI et les grandes
entreprises (-13%). Pour ces dernières, il s’agit du
8ème mois consécutif de baisse.
Défaillances d’entreprise par taille d’entreprise (cumul sur les 12 derniers mois)
Unités légales
Juillet 14 Août 14
Août 2014 /
août 2013 (%)
Part dans
total (%)
PME, dont : 58 886 58 866 +1,4 93,2
Microentreprises et taille inconnue 54 233 54 240 +1,6 85,9
PME hors microentreprises 4 653 4 626 -1,0 7,3
ETI et GE 59 60 -13,0 0,1
Holdings et sièges sociaux* 1 269 1 272 +9,2 2,0
Activités financières et d'assurance hors holdings* 462 468 10,9 0,7
Activités immobilières + promotion immobilière* 2 492 2 483 -1,5 3,9
Total 63 168 63 149 +1,5 100
Source: Banque de France / (*) les holdings, les entités ayant une activité financière ou d’assurance et les activités
immobilières sont isolées à partir de leurs codes NAF, car elles présentent certaines spécificités en matière
d’endettement bancaire.
63 149
50 000
52 000
54 000
56 000
58 000
60 000
62 000
64 000
août-07
févr.-08
août-08
févr.-09
août-09
févr.-10
août-10
févr.-11
août-11
févr.-12
août-12
févr.-13
août-13
févr.-14
août-14
Défaillances d'entreprise
(cumul sur douze mois, unités légales)
8. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 8
* Parallèlement, les défaillances d’entreprise,
toujours en cumul sur un an, ont augmenté dans
la majorité des secteurs d’activité, avec des
ampleurs différentes :
- légère progression dans la construction, le
commerce, les activités immobilières, le
soutien aux entreprises et l’enseignement et
la santé ;
- progression marquée dans l’agriculture, les
transports, l’hébergement et la restauration,
et plus encore les activités financières et
d’assurance (+11,5%).
En revanche, elles se sont repliées pour le
deuxième mois consécutif dans l’industrie (-0,9%
sur un an) et dans l’information et la
communication (-1% sur un an).
Pour mémoire, la construction et le commerce
représentent près de la moitié des défaillances.
Défaillances d’entreprise par secteur d’activité (cumul sur les 12 derniers mois)
Unités légales
Juillet 14 Août 14
Août 2014 /
août 2013 (%)
Part dans
total (%)
Agriculture, sylviculture et pêche 1 343 1 343 +6,0 2,1
Industrie 4 752 4 728 -0,9 7,5
Construction 15 943 15 933 +0,6 25,2
Commerce et réparation automobile 14 100 14 089 +1,0 22,3
Transports et entreposage 1 994 1 984 +3,5 3,1
Hébergement et restauration 7 819 7 848 +5,1 12,4
Information et communication 1 543 1 542 -1,0 2,4
Activités financières et d'assurance 1 247 1 256 +11,5 2,0
Activités immobilières 2 219 2 211 +1,1 3,5
Soutien aux entreprises 6 753 6 766 +0,5 10,7
Enseignement, santé humaine, action sociale, services aux ménages 5 347 5 337 +0,3 8,5
Total 63 168 63 149 +1,5 100
Source: Banque de France
9. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 9
5. Sous-traitance internationale fin 2011 : 18% des sociétés, 27% des
salariés
L’organisation internationale des
entreprises résulte de plusieurs
phénomènes qui favorisent « la dispersion
spatiale de la chaîne de production »1 : le
développement des technologies de
l’information et de la communication,
l’intégration européenne, l’émergence de pays
à bas coût de main d’oeuvre. Engagées depuis
longtemps dans les échanges internationaux, les
entreprises implantées en France font appel à
des filiales étrangères ou à des sous-traitants
externes pour réaliser une part significative de
leur activité productive. La note de l’INSEE
souligne les points suivants, concernant l’année
2011 :
- 18% des sociétés marchandes non
agricoles et non financières de 50 salariés
ou plus implantées en France ont recours à
la sous-traitance internationale (STI)
externe au groupe, soit 27% des salariés.
Source : INSEE / (1) I »La sous-traitance internationale, une pratique fréquente » (INSEE Première n°1518,
octobre 2014)
- la STI est plus répandue dans les sociétés
appartenant à un groupe multinational :
28% des sociétés (10% pour les autres), et
38% font appel à des filiales de leurs
groupes situées à l’étranger ;
- cette pratique augmente avec la taille de
la société : 27% des sociétés de 250
salariés ou plus, contre 14% pour celles de
50 à 99 salariés et 19% pour celles de 100 à
149 salariés ;
- la STI concerne principalement le « coeur
de métier » (13% des sociétés), et dans
une moindre mesure les fonctions support
(5% pour la logistique et le transport). A
titre de comparaison, 57% des sociétés
recourent à de la sous-traitance « intra-nationale
», recours là encore plus
fréquent pour le coeur de métier (44%), et
plus fréquent que le recours à la STI pour la
logistique et les transports (26%) ;
- sectoriellement, la STI est le plus répandu
dans les sociétés de l’information et la
communication (32%, et 31% des salariés)
et dans l’industrie manufacturière (28%, et
42% des salariés) ;
18
28
32
12
27
42
31
22
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
TOUS SECTEURS
CONFONDUS
Industrie
manufacturière
Information
communication
Autres secteurs
Recours à la sous-traitance internationale fin 2011
en % de sociétés en % de salariés
10. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 10
- géographiquement, la STI s’organise
principalement dans l’Union européenne
hors France (81% des sociétés), très
majoritairement dans l’UE à 15 : « la
proximité juridique ou géographique est un
élément fondamental du recours à la STI ».
Viennent ensuite loin derrière la Chine et
l’Afrique.
La destination de la STI dépend des
fonctions sous traitées : coeur de métier
plus particulièrement en Chine (industrie
manufacturière notamment) ; sous-traitance
des services informatiques, de la
R&D, de l’ingénierie plus fréquente en
Inde ; recours aux activités de logistique et
de transport dans l’Union européenne et
aux Etats-Unis (implantations de groupes
français dans ces zones, ouverture des
marchés) ; marketing, services de
commercialisation, services après-vente
relativement plus sous-traités en Afrique
(usage de la langue française qui favorise
l’existence de nombreux centres d’appel).
*
Avec la globalisation, la chaine de valeur
des entreprises devient plus complexe, se
fractionne et s’internationalise. Leur
développement international repose sur le
triptyque exportation–importation-implantation
à l’étranger. La sous-traitance
internationale répond à cette logique de la
mondialisation et à l’exigence de
développement des entreprises (compétitivité
coût, partenariats économiques, proximité des
marchés). Elle s’accompagne d’effets de
retour positifs en termes d’activité et
d’emploi.
Symétriquement, les ETI et PME françaises
de sous-traitance, dont la qualité est
reconnue à l’étranger, doivent davantage
s’internationaliser, ce qui impose de les
accompagner dans la prospection de donneurs
d’ordres étrangers, et de conduire une
politique favorable à leur croissance et au
renforcement de leur compétitivité.
11. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 11
6. Tendances récentes des marchés
1,14
0,77
0,6
0,8
1,0
1,2
1,4
1,6
1,8
2,0
Taux de rendement des obligations d'Etat à 10 ans (%)
France
Allemagne
2,38
2,10
1,9
2,1
2,3
2,5
2,7
2,9
3,1 Taux de rendement des obligations d'Etat à 10 ans
(%)
Espagne
Italie
1,27
1,24
1,26
1,28
1,30
1,32
1,34
1,36
1,38 1 euro = ... dollar
90
92
94
96
98
100
102
104
106 Indice boursier CAC 40 (100 = 2008)
86
88
90
92
94
96
98
100 Indice boursier Eurostoxx 50 (100 = 2008)
152
154
156
158
160
162
164
166 Indice boursier Standard and Poor's(100 = 2008)
12. MEDEF Actu-Eco semaine du 13 au 17 octobre 2014 12
Rédaction achevée le 17 octobre 2014
165
170
175
180
185
190
195
200
205
Cours des matières premières hors pétrole
et métaux précieux (100 = 1988)
dollars
euros
87,27
68,9
60
70
80
90
100
110
120 Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent)
dollars
euros
165
170
175
180
185
190
195
200
205
210 Cours des matières premières alimentaires (1988 = 100)
dollars
euros
165
170
175
180
185
190
195
Cours des matières premières industrielles
(1988=100)
dollars
euros
200
205
210
215
220
225
230
235
240 Cours des matières premières métaux communs
(1988=100)
euros
dollars
1237,5
1150
1200
1250
1300
1350
Cours de l'once d'or (en dollars)