Presentation aux Maires du Mouvement les Citoyens avec Alexandre Jardin.
Nos territoires ne sont pas partisans.
Parrainer Alexandre Jardin, n’est pas un geste contre les candidats traditionnels mais POUR défendre nos communes.
Servez-vous de sa voix et de l’élection présidentielle pour vous faire entendre !
1. Aux maires qui en ont assez !
« Laissez-nous faire,
on sait faire, on a
envie de faire et
surtout on fait ! »
- une maire
2. Alexandre Jardin
On ne peut pas continuer à oublier les territoires, les
citoyens et les solutions locales.
Arrêtons d’accepter l’inacceptable !
La perte d’indépendance des communes doit cesser.
La loi NOTRe et le mépris des petites communes, ça suffit !
Nos territoires ne sont pas partisans. Me parrainer n’est
pas un geste contre les candidats traditionnels mais POUR
défendre nos communes. Servez-vous de ma voix et de
l’élection présidentielle pour vous faire entendre !
3. Vanik Berberian
Il est grand temps que la campagne électorale aborde les
questions d’équilibre du territoire, de la ruralité oubliée,
d’organisation territoriale comme l’avenir de nos communes
par exemple, ces clés du renouveau français […]
Le parrainage n’engage ni le conseil municipal, ni la
commune, ni même l’opinion du signataire. Il s’agit
simplement de permettre l’accès au débat démocratique.
4. Les Citoyens
Le mouvement Les Citoyens n’est ni de gauche ni de
droite, mais en face des partis traditionnels, c’est-à-dire
avec les citoyens et POUR les territoires inécoutés.
Il se veut une alternative à un système centralisé qui est en
fin de vie. Depuis 40 ans, l’Etat lointain n’apporte que des
mauvaises nouvelles : normes, charges, fermetures
d’écoles et désordre. Ensemble, nous pouvons mettre en
avant des solutions de terrain qui fonctionnent VRAIMENT,
à moindre coûts.
La soumission des élus locaux, ça suffit.
5. Le terrain
Présent à vos cotés dans vos communes depuis les 4
dernières années - pas seulement pendant les élections -,
je découvre tous les jours avec l’aide des Maisons des
Citoyens et des maires inventifs comme Michel Fournier,
Thierry Barba, Dominique Verien, Laurance Bussières,
Jean-Luc Martinet, Benoit Hennart, Philippe Perrein, Jean-
François Lemesle, Jean Paul-Carteret et tant d’autres
créateurs de solutions efficaces qui nous ont fait découvrir
leurs réussites partout en France.
6. L’offre politique
L’offre politique qu’on nous ressert — de la gauche jusqu’à
l’extrême-droite — n’est pas du niveau de la présidentielle.
Nous avons un problème de système déconnecté qui ne
répare plus le pays — quelle que soit la politique menée.
Si le centralisme français marchait, nous serions tous au
courant. Les candidats issus du système n’oseront jamais
en sortir. En cinq ans, nous allons tout faire pour rendre le
pouvoir d’agir aux citoyens et à nos territoires, soit
directement, soit en pesant ensemble dans cette élection.
7. Révoltons-nous positivement
Je veux proposer une révolte positive pour empêcher
qu’une négative se profile.
Vos motifs de colères sont légitimes.
Exprimons les en restant plus que jamais fidèles à nos
valeurs républicaines, en personnes de coeur.
.
9. Le cauchemar
Si dans un cauchemar vous êtes poursuivi par
un monstre, vous avez deux solutions pour lui
échapper : courir très vite ou… vous réveiller !
Réveillez-vous en utilisant ma voix et ma
capacité de mobilisation des médias pour vous
défendre.
10. Le cauchemar — 1re solution
Le premier type de changement — courir — ne règle pas le
problème urgent.
Tous les candidats centralisateurs proposent ce type de
changement à chaque élection : changer d’équipes
d’énarques qui en vérité utiliseront les mêmes méthodes
que les énarques précédents.
Cela ne fait pas disparaître le monstre qui vous menace et
vous maintient dans l’insécurité d’un système lointain qui
préserve ses intérêts et réduit vos budgets locaux.
11. Le cauchemar — 2e solution
Le deuxième type de changement — «se réveiller» — fait à
coup sûr disparaître le monstre. Ainsi, chacun devient
véritablement acteur d’une démocratie citoyenne où
l’individu n’existe pas tous les cinq ans, mais pendant les
cinq années du mandat.
Le bassin de vie, s’appuyant sur des communes libres de
leur choix, doit au plus vite devenir le cœur de l’action
publique — l’État se portant bien évidemment garant de
l’égalité de nos territoires et de minima pour tous.
12. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR TRAVAILLER DANS NOS COMMUNES
Il faut mieux répartir l’emploi sur le tout le pays puisqu’une
inégalité fait que même si 1 français sur 4 réside en milieu
rural, seul 1 sur 8 peut y travailler en raison de la
concentration des emplois dans les métropoles.
13. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR ACCÉDER À LA CULTURE LÀ OÙ NOUS
VIVONS
Aller au cinéma, à l’opéra, au théâtre, dans une
bibliothèque
Quel que soit l’endroit où l’on habite, grâce à un grand
projet d’accès et de transport de tous les Français vers un
lieu culturel de référence, en favorisant les structures qui
accueillent des publics lointains ou qui se déplacent vers
tous les recoins de la France.
14. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR ÉDUQUER SES ENFANTS
PRÈS DE CHEZ SOI
Aider au maintien des écoles rurales partout dans le pays,
y compris les écoles à peu de classes, mais qui permettent
à tous d’apprendre à lire.
En 1980, il y avait 69 000 écoles, maternelles et
élémentaires contre 52 600 fin 2013. Ces regroupements
scolaires se sont faits au détriment des petites communes
et de la réussite scolaire. Et ça continue.
15. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR SE SOIGNER DANS NOS COMMUNES
Convaincre les jeunes internes grâce aux médecins
installés, et leur faire découvrir la joie et le plaisir d’exercer
en milieu rural.
Chiffres actuels: 2,6 c’est le nombre de médecins en
Picardie pour 1 000 hab. contre 4 médecins pour 1000
habitants en Île-de-France.
16. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR TÉLÉPHONER
Déployer très vite la 4G partout et pas seulement dans les
grandes villes
L’État a imposé en 2003 une exigence ridicule, de couvrir
en téléphonie les 500 mètres autour d’un point de chaque
commune : concrètement ça revient à couvrir 6 % du
territoire géographique !
17. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR UTILISER INTERNET TRÈS HAUT DÉBIT
Déployer très vite un réseau de fibres optiques partout sur
le territoire.
Si on reste dans le rythme actuel, des habitants n’auront
pas la fibre avant 10 ans.
18. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR PRÉFÉRER LA PRÉSENCE HUMAINE A LA
MISE À DISTANCE
Maintenons le maillage de nos communes, dont le bénéfice
social est largement supérieur au coût — modeste — d’une
administration bien moins développée qu’en ville
19. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR SE DÉPLACER
Développer des services de mobilité pour les personnes
fragiles
Des initiatives formidables existent, mais sans moyen, rien
ne sera efficace et de nature à réduire l’usage de la voiture
individuelle; ce qui a été investi dans les trams et les
métros doit avoir son équivalent pour les transports à la
campagne.
20. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR RESPECTER LES ASPIRATIONS DES
CITOYENS
• C’est repousser le développement des populismes,
• C’est respecter nos repères démocratiques (la
commune, le maire,…)
• C’est rendre à tous des capacités d’action,
• C’est abandonner le principe de concentration des
pouvoirs et des moyens par une néo-centralisation, etc.
21. Sortir du cauchemar, c’est…
POUVOIR ASSURER LA SÉCURITÉ DES CITOYENS
Il faut apprendre des erreurs des attentats de Nice et de
Paris. Les pouvoirs locaux doivent pouvoir travailler dans le
respect de leurs compétences.
De plus, il est nécessaire de créer un FBI français qui
pourra s’occuper du grand banditisme, du terrorisme et de
la sécurité frontalière.
22. Votre apport…
Les Maires devraient être libres de leur choix de parrainage
et pourtant ils subissent aujourd’hui des pressions
explicites ou implicites des partis, dans le but de les
empêcher de soutenir des candidats hors partis
traditionnels.
En réalité, ces grands partis ont peur, peur de perdre ce
pouvoir centralisateur qui leur assure eux-mêmes un
pouvoir dont ils font rarement bon usage.