2. • Expliquer le concept de
restauration d’écosystème
• Discuter les approches et
les obstacles à la
restauration d’écosystème
• Concevoir un processus de
restauration d’écosystème
visant à améliorer les SE
pour l’atténuation de la
pauvreté
Objectifs d’apprentissage
4. Les coûts et bénéfices de la dégradation
des terres et de la restauration (IPBES 2018)
• La dégradation des terres affecte négativement
3.2billions de personnes
• Cela représente une perte économique d’environ 10%
du produit global brut annuel
• L’évitement de la dégradation des terres et la
restauration ont des bénéfices multiples :
- Augmentation de la sécurité alimentaire et en eau
- Augmentation de l’emploi
- Augmentation de l’égalité entre genre
- Evitement de conflits et de la migration
• En moyenne, les bénéfices de la restauration sont 10
fois plus élevés que els coûts
6. Motivations pour la restauration
• Restaurer les services écosystémiques
• Atténuer les impacts sur les écosystèmes ailleurs
• Habitat pour les espèces menacées ou en danger
• Préoccupations esthétiques, raisons morales
• Exigences légales (Loi sur l’eau saine, etc.)
• Améliorer les moyens d’existence
• Renforcer les capacités des populations locales
• Améliorer la productivité de l’écosystème
7. Concepts clés
• Ecologie de la restauration: recherche et étude des
populations, communautés et écosystèmes restaurés
• Processus d’atténuation: la où un nouveau site est
créé ou réhabilité en remplacement d’une autre zone
détruite ou en cours de développement
• Sites de référence: zones ayant une composition en
espèces et une structure d’écosystème comparables,
utilisées pour déterminer les introductions appropriées
et les procédures pour la restauration d’un site
9. La restauration à différentes
échelles
• Petite échelle, spécifique à un site, par ex.
plantation d’arbres
• Echelle intermédiaire, orienté sur des zones
critiques à l’intérieur d’un écosystème
• Grande échelle, restauration d’écosystèmes
entiers, par ex. re-création de zones humides
10. Modèle de dégradation et
restauration d’écosystème
Barrière
abiotique
Barrière
biotique
Nécessite de la
modification des
propriétés
physique et
chimique
Nécessite une
modification
biologique
Nécessite une
amélioration de
gestion
Complètement
fonctionnelle
Non-
Fonctionnelle
Propriétés de
l’écosystème
Etat de
l’écosystème
Dégradé Intact
1
2
4
3
5
6
11. Exercice
Dans la diapo précédente, nous avons discuté deux
types de seuils/barrières qui empêchent les systèmes de
retourner à un état moins dégradé sans effort de gestion.
• En travaillant en groupe, pouvez-vous identifier et
illustrer quelques exemples des deux types de
seuils/barrières à la restauration d’écosystèmes ?
• Pour chaque seuil/barrière, pouvez-vous identifier le
type d’intervention de restauration nécessaire pour le
surmonter ?
12. Approches de restauration
(Cameron 2018)
Restauration passive:
• Repose sur la capacité naturelle de régénération de
l’écosystème
• Dépend de la réduction des pressions et facteurs de
dégradation
Interventions écologiques actives :
• Conçu pour diriger la succession et accélérer la restauration
• Se concentre souvent sur un nombre limité de SE
• Particulièrement bénéfique dans les écosystèmes
hautement dégradés
13. Les options de restauration de terrains
forestiers
(IUCN et WRI 2014)
• Terrain forestier
i. Plantation de forêts et de bois
ii. Régénération naturelle
iii. Sylviculture
• Terrain agricole
iv. Agroforesterie
v. Jachère améliorée
• Terrains de protection et zones tampons
vi. Restauration de mangroves
vii. Protection de bassin versant et contrôle de l’érosion
15. Restauration et pauvreté
(Cameron 2018)
• Beaucoup d’activités de restauration ont des objectifs
sociaux mais très peu ont des buts mesurables
• La restauration active peut créer des emplois temporaires
• La restauration peut augmenter la disponibilité d’une
gamme de SE – mais les liens ne sont pas toujours clairs
entre amélioration de la biodiversité et le rendement des SE
• Les plus pauvres peuvent être des perdants si les activités
de régénération les empêche l’accès à des écosystèmes
dont ils dépendent de manière disproportionnelle
16. Etude de cas: Les compromis de la
restauration dans le Sud de l’Ethiopie
(Byg et al. 2017)
• Projets de reforestation dans 3 zones d’étude– toutes avec un objectif but
explicite d’améliorer le bien-être.
• Les projets ont produit plus de SE que de disservices :
- Services écosystémiques : température plus fraiche ; diminution de l’érosion et des
risques d’inondation; augmentation de la production de bois, bois de chauffe,
fourrage, paille
- Disservices écosystémiques : les phacochères et les singes dévastent les cultures
à proximité des forêts restaurées
• Mais les participants étaient insatisfaits parce que :
- La menace de la dévastation des cultures était plus immédiate et sérieuse et a
pesé sur la vie des gens plus que les différents bénéfices de la restauration
- Les ménages riches ont bénéficié davantage et étaient moins vulnérables aux
risques de dévastation des cultures
• Suggère le besoin de participation significative de la population locale –
riche et pauvre – dans la négociation de la distribution des coûts et
bénéfices de la restauration
17. Facteurs à considérer dans la
planification de la restauration
(Holl et Aide 2011)
• Objectifs : Biodiversité, service écosystémique, mode
de vie
• Ressources : budget, travail, temps
• Stratégie de restauration (de passive à active) qui doit
prendre en considération :
- L’historique de l’utilisation des sols – Quel est le niveau de
dégradation ?
- La résilience des écosystèmes – Quel est le niveau
intrinsèque de restauration ?
- Les caractéristiques du paysage – Quels facteurs de
dégradation et quelles sources de graines/animales sont
présentes?
18. En résumé :
• Il y a un besoin global massif en activités de restauration
d’écosystème
• La restauration passive est souvent plus effective (et de
meilleure valeur monétaire) que la restauration
• Il est important de considérer quels SE seront restaurés, et
pour qui ?
• Alors que les activités de restauration peuvent bénéficier
aux pauvres, peu de projets ont des objectifs sociaux
explicites, et encore moins font un suivi de leurs résultats
• Les processus de restauration doivent engager divers
acteurs dans des négociations transparentes pour se mettre
d’accord sur les objectifs et résoudre les compromis.
19. Exercice de classe : Concevoir un
projet de restauration
En utilisant l’exemple d’écosystème endommagé identifié
à la diapo 4, travaillez en groupe pour concevoir un projet
de restauration qui vise à améliorer les SE pour
l’atténuation de la pauvreté.
C’est une opportunité d’intégrer les connaissances des
thèmes précédents en réfléchissant à :
• Quels SE voulez-vous restaurer ? Et pour qui ?
• Equité : Y-a-t-il des gagnants et des perdants Comment résoudre les
compromis ?
• Est-ce que les techniques de modélisation et de cartographie
pourraient aider à planifier la restauration ?
• La restauration pourrait-elle se foncer sur un PSE ?
20. Références
Lectures clées
• Cameron, A. (2018) Restoration of ecosystems and ecosystem services. Chapter 9
in Schreckenberg, K., Mace, G. and Poudyal, M. (eds) Ecosystem Services and
Poverty Alleviation: Trade-offs and Governance. Routledge, Abingdon, UK.
• Holl, K.D. et Aide, T.M. (2010) When and where to actively restore ecosystems?
Forest Ecology and Management 261: 1558-1563.
• IPBES (2018): Summary for policymakers of the assessment report on land
degradation and restoration of the Intergovernmental Science-Policy Platform on
Biodiversity and Ecosystem Services. IPBES secretariat, Bonn, Germany. Available
at: www.ipbes.net
• IUCN et WRI (2014). A guide to the Restoration Opportunities Assessment
Methodology (ROAM): Assessing forest landscape restoration opportunities at the
national or sub-national level. Working Paper (Road-test edition). Gland, Switzerland:
IUCN. 125pp.
Autres lectures
• Byg, A. et al. (2017) Trees, soils, and warthogs – Distribution of services and
disservices from reforestation areas in southern Ethiopia. Forest Policy and
Economics 84:112-119.
21. Séminaire consacré à l’étude de cas
• Etude de cas G: Rendre de nouveau vert la
région du Sahel en Afrique
• Reij, C., Tappan, G. et Smale, M. (2009) Re-
Greening the Sahel: Farmer-led innovation in Burkina
Faso and Niger. Chapter 7 in Spielman, D.J. and
Pandya-Lorch, R. (Eds.) Millions Fed: Proven
Successes in Agricultural Development. Spielman,
International Food Policy Research Institute (IFPRI),
Washington, D.C. Available at:
http://ebrary.ifpri.org/cdm/ref/collection/p15738coll2/id
/130817
Notas del editor
Dans les sujets précédents, nous avons appris comment l’homme, à travers différentes activités socioéconomiques, technologiques et institutionnelles, ont contribué à la dégradation de beaucoup d’écosystèmes et des services qu’ils fournissent. L’IPBES (2018) pointe particulièrement du doigt la société de haut niveau de consommation (entraînant la surexploitaiton des ressources) comme la principale cause de la dégradation des terres dans le monde .
La preuve du déclin à grande échelle des écosystèmes se trouve dans l’augmentation du nombre des espèces menacées de plantes et d’animaux à travers le monde, de même que la dénaturation des structures, fonctions et processus écosystémiques (entraînant l’incapacité des écosystèmes à maintenir les niveaux de service écosystémiques désirés par les bénéficiaires).
[Demandez aux étudiants d’identifier des écosystèmes quelconques de leur entourage qui ont été dégradés, et les types de bénéfices perdus à cause de cette dégradation. Veuillez vous assurer que des notes soient prises avec soin car les écosystèmes et leurs services identifiés seriont utilisés comme étude de cas à la fin de ce cours. Allez à la diapo 19 pour l’exercice final]
La restauration d’écosystème est un large cadre intellectuel et scientifique pour développer les interactions humains-espaces naturelles bénéfiques.
Mais elle n’est pas un ensemble figé de procédures
Les activités de restauration vont d’une légère amélioration de fonctions et services clés de l’écosystème, à la restauration complète de la biodiversité naturelle et de la structure de l’habitat, avec un objectif implicite de restaurer la gamme complète des fonctions et services écosystémiques.
Image: http://wwf.panda.org/our_work/wildlife/problems/habitat_loss_degradation/
Image: Protecting Environment-Planting trees (Creative commons)
[Discutez et donnez des exemples spécifiques si possibles. Parmi les exemples il y a :
Restauration des services écosystémiques : Pour récupérer ou réparer les écosystèmes pour leur capacité de fournir divers services (c’est-à-dire une approche utilitariste centrée sur les besoins humains). Dans le contexte de la lutte contre le changement climatique, il y a une inclinaison politique massive et globale pour la reforestation afin d’accroître la séquestration de carbone.
Raisons biotiques : pour recouvrer les aspects perdus de la biodiversité locale
Raisons esthétiques : la nature est belle et nous devrions apprécier, préserver et restaurer la beauté de la Terre, comme nous le ferions avec un beau ou bâtiment historique ou une peinture
Raisons idéalistes : consistent en les expressions personnelles et culturelles de la préoccupation pour la dégradation environnementale ou de la réparation de la dégradation environnementale, un réengagement avec la nature, et/ou l’accomplissement spirituel]
Les efforts de restauration écologique peuvent être effectuées à petite échelle (par ex. Plantation d’arbres) ou peut engager des efforts humains et techniques majeurs (par ex. re-création de zones humides)
Il est important de comprendre l’écosystème, pourquoi il est dégradé et quelles opportunités existent pour le restaurer. Un trait général de beaucoup de systèmes semble être la capacité du système à exister dans un certain nombre d’états, et la probable existence de seuils/obstacles à la restauration qui empêchent le système de retourner à un état moins dégradé sans effort de gestion (Hobbs & Norton 1996).
Whisenant (1999) suggère que deux principaux types de tels seuils sont probables:
Celui causé par des interactions biotiques
Celui causé par des contraintes abiotiques
Le modèle fournit un modèle conceptuel pour comprendre les états des écosystèmes et les transitions entre ces états.
Il aide également à identifier les types d’interventions qui pourraient être nécessaire pour restaurer les fonctions des écosystèmes qui sont dégradées à des degrés variables.
Les « coupes » numérotées représentent les états alternatifs des écosystèmes qui peuvent exister à cause de l’influence de perturbation naturelle ou anthropique et des stress.
Ceux-ci peuvent causer des transitions vers des états de plus en plus dégradés (6 étant le plus dégradé) tandis que les interventions (activités de restauration tentent de forcer les transitions vers un état intact (ex. Etat 1 ou en dessus)
La résilience écologique de l’écosystème dans n’importe quel état est indiquée par la largeur et la profondeur de la « coupe »
Sa profondeur représente le degré de perturbation (déplacement vers la gauche) ou d’intervention (déplacement vers la droite) nécessaire pour provoquer une transition entre les états.
Il peut y avoir de nombreux obstacles pour chaque attribut d’écosystème.
Les interventions peuvent ainsi être comprises comme axées sur la prévention ou l’inversion de la transition des états d’écosystème à travers ces obstacles (Whisenant 1999; Hobbs and Harris 2001)
Quelques idées pour aider à répondre aux questions sont :
[Si le système a été dégradé essentiellement à cause des changements biotiques (tels que des changements en composition végétale provoqués par le pâturage), les efforts de restauration devrait être axés sur des manipulations biotiques qui enlèvent le facteur de dégradation (ex. les animaux en pâturage) et ajuster la composition biotique (ex. replanter les espèces désirées). Si, d’autre part, le système a été dégradé à cause des changements des attributs abiotiques (par exemple par l’érosion du sol ou la contamination), les efforts de restauration devront d’abord être axés sur l’élimination du facteur dégradant et la réparation de l’environnement physique et/ou chimique. Dans le dernier cas, il ne fait pas de sens de toucher aux aspects biotiques avant d’avoir aborde les problèmes abiotiques]
La restauration des écosystèmes peut être appréhendée selon deux perspectives :
Restauration passive : vise à réduire les pressions externes, par ex. :
Précention des feux dans les systèmes terrestres
Prévention de la surexploitation telle que les pratiques de pêche destructive
Prévention de l’arrivée d’espèces invasives
Intervention écologique active: Activités conçues pour diriger la succession et accélérer la restauration, promouvant souvent le rendement d’un nombre limité de SE (par ex. Production de bois).
Des mesures de restauration active sont souvent nécessaires dans des écosystèmes très dégradés, par ex. là où les sols sont compactés, avec formation de croûte dure, perte des horizons supérieures, ou les espèces invasives dominent.
Les méthodes de restauration active incluent : la préparation du sol, la production de plants en pépinières, la plantation et les soins des plants, la restauration manuelle des méandres des rivières, ou la transplantation de coraux cultivés vers les récifs dégradéss.
Les actions d’intensité moyenne sont conçues pour améliorer la succession, comme la plantation d’enrichissement stratégique, le regarnissage des stocks des forêts dégradées, l’ensemencement des récifs coraliens et le contrôle des espèces invasives
NB. La restauration passive est habituellement plus rentable que la restauraiton active.
.
[Laissez les étudiants discuter quelques exemples d’écosystèmes ayant subi une restauration dans leur entourage. Pour chaque écosystèm,e laissez-les identifier et discuter les actions de restauration entreprises.]
Le Partenariat Global pour la Restauration Forestière a défini 7 catégories d’option de restauration de terrains forestiers selon la principale utilisation du sol voulue de la zone. Une mosaique de différentes options de restauration peut être appliquée à une zone.
Cet exemple montre que les projets de restauration peuvent paraître une réussite pour une mesure (par ex. Le nombre de SE restaurés), tout en entraînant pourtant une insatisfaction largement répandue parmi les locaux parce que :
La dévastation des cultures était une menace immédiate et sérieuse pour la vie des locaux (les paysans devaient investir dans le gardiennage des cultures la nuit), mais il y a eu beaucoup de bénéfices (comme la diminution des risques d’érosion et d’inondation) au profit des habitants en aval.
La distribution des bénéfices et des coûts était inégale. Les ménages riches ont pu utiliser leurs quotas de produits (comme le bois ou le fourrage) issus de la forêt alors que les ménages pauvres n’ont souvent pas pu payer les frais pour leurs quotas. En même temps, les ménages riches étaient moins vulnérables à la dévastation des cultures puisqu’ils avaient plusieurs parcelles (dont toutes ne sont pas à côté de la forêt).
Les auteurs argumentent que la plupart des projets n’ont pas pris en compte les relations de pouvoir entre les concepteurs de projet et les populations locales, et entre les différents groupes dans la population locale.
Un guide utile pour la planification des activités de restauration est le guide de l’UICN et du WRI (2014) pour la Méthodologie d’Evaluation des Opportunités de Restauration (MEAR, ROAM en anglais).
Au départ, il est important de déterminer si l’écosystème est effectivement endommagé et nécessite d’être restauré, quels facteurs sont la cause de la dégradation et à quelle échelle ils agissent. Comment la restauration s’accorde avec les objectifs des politiques locales et nationales (par ex. En relation avec la séquestration de carbone)?
Qui sont les acteurs? Qui est responsable des activités de restauration? Quel est le statut foncier et qui prendra les décisions sur les objectifs et les approches de la restauration?
Evaluer les différentes types d’approche de restauration qui peuvent être appropriés – qui serait impliqué dans la mise en oeuvre ? Que peut-on apprendre d’écosystèmes similaires dans la région ?
Qui bénéficie et qui perd ? Y-a-t-il des processus de facilitation de dialogue entre les acteurs et de résolution des différends entre eux ?
Un guide utile pour la planification des activités de restauration est le guide de l’UICN et du WRI (2014) pour la Méthodologie d’Evaluation des Opportunités de Restauration (MEAR, ROAM en anglais).
Au départ, il est important de déterminer si l’écosystème est effectivement endommagé et nécessite d’être restauré, quels facteurs sont la cause de la dégradation et à quelle échelle ils agissent. Comment la restauration s’accorde avec les objectifs des politiques locales et nationales (par ex. En relation avec la séquestration de carbone)?
Qui sont les acteurs? Qui est responsable des activités de restauration? Quel est le statut foncier et qui prendra les décisions sur les objectifs et les approches de la restauration?
Evaluer les différentes types d’approche de restauration qui peuvent être appropriés – qui serait impliqué dans la mise en oeuvre ? Que peut-on apprendre d’écosystèmes similaires dans la région ?
Qui bénéficie et qui perd ? Y-a-t-il des processus de facilitation de dialogue entre les acteurs et de résolution des différends entre eux ?
[Ceci pourrait constituer un exercice court en classe (1 heure), ou bien être développé dans un vrai projet de groupe avec possibiité d’utilisation d’outils de cartographie des SE et même engagement des acteurs ]
Les références citées dans les notes:
Hobbs, R.J. et Harris, J.A. (2001) Restoration ecology: repairing the Earth's ecosystems in the new millennium. Restoration Ecology 9: 239-246.
Hobbs, R.J. et Norton, D.A. (1996) Towards a conceptual framework for restoration ecology. Restoration Ecology 4: 93-110.
Whisenant, S.G. (1999) Repairing damaged wildlands: a process-oriented, landscape-scale approach. Cambridge University Press, Cambridge, UK.
[Veuillez se référer aux résumés des études de cas correspondant pour l’étude de cas G]
