La réforme permet d’assurer la pérennité du régime au-delà de 2020 sans solliciter un concours supplémentaire de l’Etat.
Le nouveau règlement de la caisse de retraite répond notamment à llo(bjectif répondre aux observations de la Cour des comptes.
L’ensemble de ces mesures permet d’interrompre la dégradation du fonds de réserve en 2022 et d’amorcer ensuite sa reconstitution à hauteur de l’équivalent d’un an de pensions en 2030.
2. OBJECTIFS
2
Pérenniser le régime de retraites sur la base d’hypothèses prudentes
(mais réalistes) de ses ressources :
Maintien de la subvention de l’Etat et de la part « employeur » des cotisations
Recettes de valorisation estimées hors « gros contrats »
Reconstituer à terme le fonds de réserve à un niveau prudentiel
acceptable (1 an de pensions)
Répondre aux observations de la Cour des comptes
Sans remise en cause des droits à pension déjà acquis
par les futurs pensionnés 2
3. Rappel des mesures prises lors de la réforme de 2011
Mesures relatives aux dépenses
– Baisse du taux de rendement des annuités, lissée en fonction des périodes de mandat
effectuées entraînant une diminution de près de 15% du montant de la pension pour les
conseillers les plus récemment nommés;
– Passage progressif de l’âge de départ en retraite de 60 à 62 ans (selon le régime de la
fonction publique) ;
– Liquidation de la pension de l’ancien membre reportée à la date de liquidation de sa
pension principale ;
– Plafonnement de la majoration pour enfants à 10 % pour 3 enfants et plus ;
– Prise en compte du dispositif « carrières longues » ;
– Création d’un fonds de soutien,
3
4. Rappel des mesures prises
lors de la réforme de 2011
Ces mesures, conjuguées à l’abondement du fonds de réserve par une partie des
recettes de valorisation et à l’augmentation de la subvention de l’Etat, ont permis
de réduire considérablement le recours au fonds de réserve.
D’un montant de 22,1 M€ en 2007, le fonds de réserve s’établissait à 10,6 M€
en 2010. Il était de 9,8 M€ fin 2014 alors qu’il devait être épuisé à cette date.
Grâce l’abondement du fonds de réserve par la valorisation de 500 000 € par
an au minimum, sa diminution annuelle s’élève à environ 1 M€/1,5 M€ par an
au lieu de 4 M€ auparavant.
Reste que, si le fonds de réserve s’épuise moins vite,
il s’épuise. Son extinction est simplement reculée.
4
5. Rappel des mesures prises
lors de la réforme de 2011
Le financement actuel (2014)
En l’état actuel des choses, seuls la contribution de sauvegarde et le prélèvement
sur le fonds de réserve sont susceptibles d’évoluer, les autres ressources étant
pour le moment bloquées. 5
Cotisations
membres
1.62 M€
Cotisations
CESE
2.86 M€
Subvention
équilibre Etat
4.90 M€
Fonds de
réserve
1.36 M€
Contribution de
sauvegarde
0.11 M€
6. Rappel des mesures prises
lors de la réforme de 2011
A paramètres (cotisations, rendement et contribution de sauvegarde sur les pensions) et
subvention de l’Etat inchangés, le prélèvement sur le fonds de réserve ne peut aller qu’en
s’accroissant.
Or, le haut niveau de recettes tirées de la valorisation, qui pourrait permettre cet équilibre,
une fois la période de réhabilitation du palais d’Iéna achevée ne peut être atteint que grâce
au contrat « Prada » ou à un contrat équivalent. Il ne serait pas responsable de prétendre
assurer la pérennité de la caisse de retraites sur une ressource aussi peu certaine.
En revanche, sur la base des trois derniers exercices, il est parfaitement crédible
d’atteindre un niveau de ressources de l’ordre de 500 000 € par an (locations
d’espaces…).
C’est sur cette base que sont établies toutes les projections qui suivent.
6
7. Sur la base de ces hypothèses,
Gel de la valeur du point d’indice et donc des cotisations des membres
Gel des cotisations patronales
Gel de la subvention de l’Etat
Contribution de sauvegarde maintenue à 1 %
Abondement du fonds de réserve de 500 000 €/an
les pensions ne sont financées que jusqu’en 2022 (voir graphique page
suivante)
Les objectifs de pérennité de la caisse ne peuvent être
satisfaits que par l’évolution des paramètres
7
8. Evolution du solde du Fonds de réserve (K€)
8
-15,000
-10,000
-5,000
0
5,000
10,000
2015 2020 2025 2030
10. Les mesures générales
Suppression de la cotisation du double et augmentation de 66 % de la
cotisation des membres,
Indexation des pensions à hauteur de 18 % du taux d’augmentation de
l’indemnité
Augmentation de la contribution de sauvegarde de 1 à 3 %
Montant de l’allocation viagère divisé par 2 par rapport au montant
actuel
10
11. Mesure 1
Suppression de la cotisation double pendant les 5 premières années et des droits
afférents, pour les mandats accomplis à compter du renouvellement de novembre
2015
Cette double cotisation, et donc la double pension perçue plus tard, est héritée de
l’alignement du régime de retraite du CESE sur celui des deux autres assemblées. Il
s’agit d’une disposition que la Cour des comptes jugeait très – trop – avantageuse
depuis longtemps. De fait, un membre ayant accompli un mandat perçoit une pension
de plus de 700 €, proche du minimum vieillesse (800 € au 1er octobre 2014). La
limitation du nombre de mandats à 2 et le renouvellement plus rapide des membres
accroît mécaniquement le besoin de financement pour les années futures. 11
Article 3
nouveau
12. Mesure 2
Augmentation de la cotisation des membres de 66 %
La suppression de la cotisation du double et des droits afférents réduit le besoin de financement à venir mais
réduit immédiatement les ressources (de près d’un million d’euros) permettant de financer les droits déjà
acquis.
La Cour des comptes préconisait une augmentation de la contribution de sauvegarde actuellement fixée à 1%
Cependant une trop forte augmentation du taux irait au-delà de la mise en œuvre du principe de solidarité
établi en 2011 et contredirait le principe d’un maintien des droits acquis au risque d’entraîner des contentieux.
Accroître la cotisation des futurs membres et des membres renouvelés a donc été préférée par le Bureau.
La proposition d’une augmentation de 66 % résulte d’une simple règle de trois permettant de maintenir le
montant des cotisations sur la base du nombre prévisible de membres renouvelés.
12
Article 3
nouveau
13. Mesure 3
Augmentation de la cotisation des membres de 66 %
Evolution du taux de cotisation (calée sur celle de la fonction publique) sur la partie
rémunération de l’indemnité:
Le taux de cotisation des membres sera donc à terme de 37,96 % sur la partie rémunération de l’indemnité. Les
conseillers paieront moins de cotisations pendant leur premier mandat puisqu’ils ne cotiseront plus en double, soit
une diminution de 6,97 points de leurs cotisations, en 2016. En revanche, ils cotiseront 1,66 fois plus pour les
mandats effectués à compter du second mandat. 13
Année
Taux de cotisation
Actuel Actuel x 1,66
2014 18,83 % 18,83%
2015 19,65 % 32,63%
2016 20,48 % 33,99%
2017 21,20% 35,19%
2018 21,75 % 36,12%
2019 22,31 % 37,04%
A compter de
2020
22,87 % 37,96%
Article 3
nouveau
Le 1,66 correspond au lissage sur deux
mandats de la suppression de la
double cotisation
14. Mesure 4
Indexation des pensions à hauteur de 18 % du taux d’augmentation de
l’indemnité
Le rapport démographique de la caisse est de 1 cotisant pour près de 3,7 pensionnés.
Si on fait l’hypothèse d’un gel des dotations de l’Etat (part patronale des « cotisations » et
subvention) et d’une alimentation du fonds de réserve limitée à 500 000 €, la seule variable
significative d’augmentation des ressources est la cotisation des membres. Celle-ci évolue en
fonction de la valeur du point d’indice.
Les cotisations des membres représentent 18 % des ressources de la caisse des retraites. Il a donc
été décidé que si la valeur du point d’indice augmente de 1 point, les pensions soient
revalorisées de 0,18 point.
Dans la situation présente de gel du point d’indice, cette mesure équivaut à un gel des pensions.14
Article 20
nouveau
15. Mesure 5
Accroissement temporaire et révisable de la contribution de sauvegarde
Les mesures 2,3,4 représentent un effort très important des membres du conseil qui verront leur
mandat renouvelé (augmentation de 66 % de la cotisation) et plus encore pour ceux qui ont été
renouvelés au cours du dernier mandat qui perdront en partie la possibilité de la double cotisation et
donc de la double pension.
Les pensionnés actuels et ceux qui ne seront pas renouvelés conservent leurs droits intacts et ne seront
pénalisés que par la moindre revalorisation prévue par la mesure 4. Une pénalité modeste dans la
période de faible inflation que nous connaissons (0,3 % en rythme annuel fin 2014).
La mesure 5 consiste à solliciter l’effort des pensionnés afin d’accélérer reconstitution du fonds de
réserve. Elle est par ailleurs nécessaire pour permettre d’atteindre l’objectif de reconstitution du fonds
de réserve à 100 % en 2030 (L’objectif serait atteint en 2032)
Le taux de la contribution sera augmenté à 3 % jusqu’en 2030 15
Article 5
nouveau
16. Mesure 6
Attribution de l’allocation viagère, avec un montant divisé par deux par rapport au
montant actuel, pour les conseillers totalisant moins de 5 ans de mandat et pour les
droits acquis à partir du nouveau mandat 2015
Elle résout la contradiction de l’actuel règlement intérieur (article 10) qui dispose que le droit à pension est
accordé aux membres ayant accompli un mandat de 5 ans mais que ceux qui n’ont pas accompli 5 ans
bénéficient d’une allocation viagère proportionnelle à la durée accomplie (Titre IX).
Aux termes de l’article 10, il pouvait être envisagé de supprimer purement et simplement l’allocation viagère.
C’était s’exposer à des recours dans la mesure où les cotisations versées par les membres concernés l’auraient
été en pure perte.
La solution adoptée permet de s’affranchir de cette hypothèse puisque les rentes servies seront supérieures
aux cotisations versées.
Cette mesure est très difficilement chiffrable et nous n’en tenons pas compte dans les prévisions d’équilibre.
16
Article 19
nouveau
17. Mesure 7
Alignement des âges de liquidation sur le calendrier de montée en
charge de la fonction publique,
Le calendrier de montée en charge de la réforme dans la fonction publique
est fonction de l’année de naissance, celui du CESE est fonction de la date de
naissance.
Ces dispositions sont pratiquement sans influence sur l’équilibre de la caisse.
17
Article 6
nouveau
18. Les mesures concernant les avantages familiaux
Objectif:
– Avoir un règlement s’approchant le plus possible
des règles de la Fonction Publique
18
19. Bonification de durée de
cotisation pour enfant
Avant
• Les femmes membres du
Conseil bénéficient d’une
annuité de versement pour
chacun des enfants qu’elles
ont eus (article 12)
Après
• Suppression de la
bonification de durée de
cotisation pour enfant
19
20. Majoration pour enfant du conjoint
survivant plafonnée à 10%
Avant
• Pas de plafonnement de
l’avantage (article 32), les
conjoints récupéraient les
droits de l’ancien membre,
en fonction des enfants eus
avec celui-ci.
Après
• Plafonnement à hauteur de
10% comme pour les
liquidations de droit direct.
20
Article
17
nouveau
21. Liquidation de la pension de
réversion
Avant
• Pas de condition d’âge pour liquider
la pension de réversion (article 16 si
plusieurs mariages, liquidation au
prorata temporis)
• Pas de plafonnement de la pension
(article 16)
Après
• Liquidation de la pension de
réversion à partir de 55 ans (si
plusieurs mariages, liquidation au
prorata temporis)
• Plafonnement de la pension de
réversion brute totale à hauteur de ½
SMIC soit à ce jour 728,76€ (mensuel
brut)*
21
Article 10
nouveau
Article 18
nouveau
*Plafonnement nécessaire pour les pensions
de droit direct supérieures à 1 457,52€ (principalement les
mandats avant le 15/11/2015 )
22. Liquidation d’une pension
d’orphelin
Avant
• Article 18: Chaque orphelin
a droit à une pension de 10
% de la pension du membre,
jusqu’à l’âge de 21 ans, ou
sans condition d’âge s’il est
atteint d’une maladie
incurable ou d’une infirmité
le rendant inapte à tout
travail rémunéré,
Après
• A ajouter à l’article 18:
précisions sur les conditions
de justification du handicap
(au vu des textes législatifs
et réglementaires en
vigueur)
22
Articles 12 et
23 nouveaux
23. Allocations d’études
Avant
• Article 25: Les orphelins des membres du Conseil décédés en
exercice, les enfants à charge et les orphelins des titulaires de
pension d’invalidité ont droit à des allocations d’études
calculées sur la pension principale qui a ou qui aurait été
attribuée à l’invalide total.
• Concernant les enfants à charge des membres du Conseil
décédés en service, ils peuvent bénéficier d’une allocation
d’études à la condition d’avoir moins de vingt ans à la date du
décès du membre du Conseil et de poursuivre leurs études
selon les dispositions fixées par l’article 26 du règlement.
• Ces allocations sont fixées à :
• 10 % si l’enfant est âgé de moins de 11 ans ;
• 15 % si l’enfant est âgé de 11 à 17 ans ;
• 20 % si l’enfant est âgé de plus de 17 ans et de moins de 26
ans à la condition qu’il poursuive régulièrement ses études.
• Elles se substituent aux pensions d’orphelins prévues par le
présent règlement.
Après
• Suppression de l’ancien
article 25 mais en renvoyant
vers une utilisation mieux
encadrée du fonds de
soutien
23
Articles 35
et 36
nouveaux
24. Réversion de la pension des membres
décédés en cours de mandat
Avant
• Article 23: Le conjoint survivant d’un
membre du Conseil décédé en
exercice a droit, sur sa demande, à
l’attribution immédiate d’une
pension au taux de 50 % de la
pension qui aurait été attribuée à
celui-ci. Cette pension ne peut être
inférieure au taux correspondant à 10
annuités de versement des sommes
soumises à retenues pour pension,
conformément au 1er alinéa de
l’article 28 du règlement.
Après
• Plafonnement de la pension
de réversion brute totale à
hauteur de ½ SMIC soit à ce
jour 728,76€ (brut mensuel)
24
Article 11
nouveau
25. Conditions de fonctionnement du
fonds de soutien
Il convient de mieux encadrer le fonctionnement du fonds de
soutien en rédigeant plus précisément:
– Les cas où une aide peut être versée
– Les conditions pour l’obtention d’une aide
– Les montants des aides
– L’instance de prise de décision
25
Articles 34,
35, 36 et 37
nouveaux
26. Les autres rectifications proposées
• Suppression de l’insaisissabilité des pensions
• Suppression de la suspension de la pension en cas de
peine infamante
• Mise à jour de la rédaction concernant la coordination
des régimes de pensions des assemblées
• Actualisation des diverses ressources de la Caisse
• Création « d’un titre » sur la gestion de la Caisse
• Mesures transitoires pour les mandats actuels ou passés26
Article 31
nouveau
Articles 38 à 41
nouveaux
Articles 42 à
45 nouveaux
Article 2
nouveau
27. Les conséquences des
mesures proposées
27
0%
20%
40%
60%
80%
100%
120%
Evolution du Fonds de réserve en % des prestations
28. Mesures transitoires
• Les conseillers actuels sont soumis à l’ancien régime pour leur
mandat courant jusqu’au 15 novembre 2015 en ce qui
concerne les conditions de liquidation de leur retraite
• Les conseillers renouvelés en novembre 2015 seront soumis
pour les avantages familiaux au nouveau régime
• Les réversions existant actuellement ne sont pas impactées
par le plafonnement, par contre toute liquidation de pension
de réversion après le 15 novembre 2015 est soumise au
nouveau régime 28
29. L’EVOLUTION DES PENSIONS
AVANT/APRES
AVANT LA REFORME
• Un mandat : 707,36 €
• Deux mandats : 1 129,96 €
APRES LA REFORME
• Un mandat : 344,59 €
• Deux mandats : 689,19 €
• Conseiller renouvelé en
2015 (un mandat avant et
un après) : 1 051,96 €
29
Notas del editor
Le tableau a été mis à jour pour tenir compte de la suppression du coefficient de 2,06 appliqué à la base.
Le tableau a été mis à jour suite au Décret n° 2010-1749 du 30 décembre 2010 portant relèvement du taux de cotisation des fonctionnaires, des militaires et des ouvriers des établissements industriels de l'Etat
Article 1 En savoir plus sur cet article...
Modifié par DÉCRET n°2014-1531 du 17 décembre 2014 - art. 11
Le taux de la cotisation prévue au 2° de l'article L. 61 du code des pensions civiles et militaires de retraite et des retenues mentionnées au I de l'article 42 du décret du 5 octobre 2004 susvisé et au I de l'article 3 du décret du 7 février 2007 susvisé évolue dans les conditions figurant dans le tableau suivant :
ANNÉE TAUX 2015 :9,54 % 2016:9,94 % 2017:10,29 % 2018:10,56 %
2019 :10,83 %
A compter de 2020 :11,10 %
NOTA : Conformément au décret n° 2014-1531 du 17 décembre 2014 article 13 I, ces dispositions s'appliquent aux modalités de calcul des cotisations de sécurité sociale dues au titre des rémunérations versées à compter du 1er janvier 2015.
Attention suppression de la majoration enfant liquidée pour les allocations viagères (article 19 nouveau)
La suppression de cet avantage est conforme à la réglementation de la fonction publique car la bonification n’est accordée qu’une fois dans tous les régimes de pensions dont bénéficie l’ancien Conseiller; de plus pour en bénéficier le retraité doit avoir arrêté son activité.
Argumentaire plafonnement de la pension:
Les principales mesures de réforme du régime proposées conduisent à ce que les futurs conseillers voient leur pension brute plafonnée à ½ SMIC brut. Il est logique que les futures pensions de réversion ne dépassent pas ce montant.
Le montant proposé est très légèrement inférieur au minimum vieillesse auquel il s’ajoute le cas échéant;
La mesure est très difficilement chiffrable car elle doit tenir compte de la situation familiale des retraités (que nous ne connaissons pas) et de la situation familiale des futurs retraités; le choix de ne pas tenir compte de cette mesure dans les calculs sur l’évolution du fonds de réserve est donc simplement une mesure prudentielle puisque nous ne pouvons pas véritablement chiffrer son impact. De plus, si on s’aperçoit dans le futur que l’impact est important, on pourra lors des examens « de revoyure » tous les cinq ans soit revenir sur cette mesure, soit modifier d’autres paramètres.
Rôle des COTOREP et des MDPH (maisons départementale des personnes handicapées)
Indiquer également que depuis la rédaction du règlement en 1957, une personne handicapée peut percevoir des aides personnalisées (AAH, allocation tierce personne etc.)
Idem réversion mais sans application de l’âge minimum de 55 ans
La première puce ne pouvait plus se justifier juridiquement
La deuxième puce était basée sur une peine qui ne figurait plus dans le code pénal
La troisième puce était nécessaire en raison des changements dans les règlements des deux autres assemblées
Quatrième puce: on ajoute les recettes propres du Cese et on tient compte du fait d’une nouvelle rédaction de la part patronale
Sixième puce sur les mesures transitoires
Explication de la différence entre 2 mandats futurs et un mandat actuel: dû à la valeur de l’annuité qui était dégressive pour le mandat actuel (maintenant le taux de l’annuité est stabilisé).