1. Les nouveaux membres du réseau Un concept original et innovant
IDair se lance le défi de dépolluer et éclairer nos rues
simultanément
Serait-il possible d’imaginer un dispositif capable à la fois de filtrer
l’air pollué de nos villes et d’éclairer nos rues, le tout de façon
écologique et durable ? Il semblerait que oui et c’est un groupe
d’étudiants de l’université de la Haye, au Pays-Bas, qui planche sur
la problématique. Zoom sur IDair, une invention technologique
futuriste.
Doté d’une technologie autosuffisante en énergie, le dispositif
fonctionne sans être relié au réseau électrique. Des cellules
photovoltaïques fournissent l’énergie nécessaire au système de
filtration pendant la journée, puis l’éclairage LED une fois la nuit
venue.
L’arbre de métal est équipé de lampes à LED basse consommation
qui sont alimentée par des cellules photovoltaïques placées sur les
feuilles de métal.
L’innovation d’IDair est éco-conçue ! Fibres de verre pour les
feuilles, acier inoxydable brossé pour le poteau (composé à 60% de
matière recyclée et qui donne au métal un aspect mate et non
réfléchissant) ainsi que de lampes LED basse consommation sont
les matériaux durables qui constituent le dispositif.
ISFFEL In Extenso
Numéro 17 Le réseau des Entreprises Eco-Responsables de Bretagne Janvier 2015
ISFFEL, Institut Supérieur de Formation
Depuis 15 ans, l'ISFFEL a su susciter l'intérêt des entreprises du
territoire en se plaçant comme un intermédiaire incontournable
dans le domaine de la formation professionnelle, selon 2 deux
axes :
- Former des jeunes par l'intermédiaire de diplômes ou titres
professionnels (de niveau Bac à Bac+5)
- Développer les compétences des collaborateurs salariés grâce
à la formation continue
Site internet : http://www.isffel.fr
Une vision claire de l’expertise comptable
In Extenso, membre du Groupe Deloitte, avec 4 300
collaborateurs sur 215 sites, est l'un des leaders de l'expertise
comptable en France, et parmi les premiers prestataires de paie
du marché, avec plus de 180 000 bulletins réalisés chaque mois.
In Extenso propose un service de proximité couvrant tous les
aspects comptables, administratifs, juridiques, fiscaux et sociaux
de leur organisation.
Site internet : http://www.inextenso.fr
OZONE
PARTICULES FINES
2. « Vous êtes-vous jamais demandé si l’argent que vous dépensez
finit par financer des causes auxquelles vous êtes opposées ? »,
c’est la question posée sur le site de l’application pour smartphone
Buycott.
Buycott : faire les courses en adéquation
avec vos valeurs
L’inscription, gratuite, se fait rapidement et la prise en main de
l’application est simple. Une fois connecté, le client choisit des «
campagnes » auxquelles il souhaite adhérer, disponibles sous
différentes catégories.
Parmi elles, la cause animale, la justice, les droits civils,
l’environnement, les droits humains etc.
En pratique, comment agir ? Il suffit au client de scanner, via un
smartphone, le code-barres du produit qu’il souhaite acheter.
En faisant cela, il obtient des informations sur les campagnes
menées par l’entreprise, sur ses valeurs et ses engagements. Sur la
base de cette connaissance, à lui de choisir s’il souhaite ou non
procéder à l’achat d’un produit de manière éthique et
écoresponsable.
L’application Buycott vous permet grâce au scanner de code barres
de déterminer la structure de la propriété de tout produit, en le
traçant jusqu’à sa société mère grâce au diagramme d’arborescence
interactif.
En plein développement, Buycott rencontre quelques
problématiques. En effet, en plus d’être totalement en anglais, la
majorité des produits répertoriés reste d’origine américaine.
http://www.bioalaune.com
Si pour les Canadiens et les Américains, emporter
ses restes va de soi, les Français, au moment de
l'addition, jouent les timides. Aujourd'hui, des
initiatives émergent pour décomplexer les
convives.
Vous voilà attablé devant une tarte citron
meringuée. Souci : les lasagnes avec supplément de
parmesan pèsent encore fort lourd sur votre
estomac. Il faut vous rendre à l’évidence : vous avez
eu les mirettes plus grosses que le bedon. Que
faire ? Laisser la tarte filer vers le fond d’une
poubelle ou demander, dans un chuchotement
inaudible, s’il vous serait possible de l’emporter
avec vous. Confrontés à cette question, les Français
répondent massivement par l’inaction. Selon un
sondage mené par la Direction régionale de
l’alimentation, de l’agriculture et de la Forêt de
Rhône Alpes, 70 % des personnes interrogées n’ont
jamais formulé cette requête parce qu’ils
ont« honte » (à 40%), parce que « ça ne se fait pas »
(à 45%), parce qu’ils n’y ont « même pas pensé » (à
31%). « La plupart du temps, les gens ont peur de
passer pour des radins, décrypte Elisabeth Manzon,
chef de projet alimentation de la Draaf Rhône-
Alpes. Mais ce n’est pas le seul frein : « Au pays de
la gastronomie, les gens pensent que le plat
emporté sera moins bon, moins joli que lorsqu’il
avait été préparé par le restaurant ».
Pourtant des solutions existent. Parmi, elles, le
doggy bag à la mode nord-américaine.
Des restaurateurs qui improvisent à l’heure de
l’addition
Dans le sillon de son étude et pour répondre, à
sa manière, aux défis lancés par le Pacte
national de lutte contre le gaspillage
alimentaire, la région Rhône Alpes s’est lancé
dans l’aventure en créant son estampille. Point
de « sac pour toutou » cette fois mais un
« Gourmet bag », à la dénomination jugée plus
valorisante. En clair, si elle ne distribue pas
physiquement les sacs, elle met, sur son site
Internet, à la disposition de tous les
restaurateurs de la région, des autocollants
« C’est si bon, je finis à la maison » à apposer
sur leur vitrine, leur menu et des flyers à
imprimer.
Des autocollants pour informer le client, c’est
bien. Des contenants prévus pour lui faire
emporter ses restes, c’est mieux, assurent
quelques start-ups qui ont investi le marché.
Car, jusqu’ici, les quelques restaurateurs qui
s’aventuraient à proposer le service,
improvisaient à l’heure de l’addition.
« le principal frein pour les restaurateurs c’est
qu’ils pensent qu’ils n’en ont pas le droit »,
rapporte Elisabeth Manzin. Ou qu’ils prennent
des risques à le faire. Aussi, la DRAAF Rhône-
Alpes s’est-elle efforcée de rappeler, dans une
note réglementaire que « rien ne s’oppose à
emporter ce qui n’a pas été consommé d’un plat
ou d’un menu au restaurant. Cette pratique
relève du secteur domestique privé pour lequel
le Paquet Hygiène ne s’applique pas. » En clair,
la responsabilité du restaurateur s’arrête une
fois la nourriture passée la porte de son
établissement.
Un atout marketing pour les restaurateurs
Rassurés sur la légalité de la pratique et mieux
formés, les restaurateurs peuvent donc
aujourd’hui franchir le pas. Et en tirer – au delà
de la satisfaction de ne pas voir leur travail finir
à la poubelle –, un bénéfice économique. « La
motivation du restaurateur n’est pas forcément
écolo, assure ainsi Nicolas Duval de Take Away.
C’est aussi une manière de valoriser son image,
d’offrir un nouveau service – le droit d’emporter
sa bouteille ou son plat non terminé - à sa
clientèle. » « Pour les restaurateurs qui le
mettent en place, c’est un avantage
concurrentiel, abonde Elisabeth Manzon. C’est
très approuvé de la clientèle anglo-saxonne qui
fréquente notamment nos stations de ski. »
http://www.terraeco.net
Doggy Bag, pourquoi la France tarde à s’emballer
hausse en 2013.
-Record battu !2014 : année la plus chaude en France
depuis 1900.
-Pollution : les camions n’iront plus à Chamonix.
-58 territoires français mobilisés autour du « Zéro déchet ».
-Le secteur des énergies renouvelables renoue avec la
croissance forte.
-Algues vertes : l’indemnisation des Côtes d’Armor
confirmée en appel.
-Les biotechnologies bretonnes confortent leur ascension.
-En 2014, 20 000 tonnes de médicaments non utilisés,
15 000 tonnes recyclés et 5 000 tonnes évanouis dans la
nature. Mais les français les ramènent de plus en plus en
pharmacie.
www.actu-environnement.com
Buycott : l’application pour consommer en toute transparence
Entreprises Eco responsables de Bretagne
Fixe : 02 98 40 00 57 / Portable : 06 38 21 65 59
www.eco-responsables.fr
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