Le Lean sur une ligne de production : Formation et mise en application directe
Le judaïsme issus de falcification semuro babylonien
1. Le Judaïsme provient de textes sumero-babyloniens copiés et falsifiés
"Pour faire court, on va dire que le peuple d'Israël (vaste territoire avec pour
capitale Méguido) a été déporté à Babylone, puis il a été exilé loin de sa terre
natale. Un peuple (demeurant plus au sud) a pris la place qu'il avait jalousement
convoitée. Son Roi, Esdras avec scribes, a réécrit l'histoire de son peuple :
Falsification, usurpation. De nombreux prophètes on vu le jour dans ce peuple,
ils ont souvent été tués. Jésus Christ en parle en terme très fort et peu élogieux :
Ils l'ont crucifié. Certaines prophéties de ces temps anciens ne sont pas encore
réalisées, mais elles le seront en leur temps, car le Temps du Christ n'est pas le
notre. Depuis 2000 ans, la Lumière est restée sous le boisseau. La Révélation
est proche... Peu à peu le voile se lève...
Prenons garde à ne pas jeter la poupée avec son eau sale, il faut faire preuve de
discernement, ce qui est fort difficile en cette période de confusion généralisée".
Enlil
Judaïsme et falsification : Les néo-chercheurs et les néo-scientifiques qui se sont
dotés aujourd’hui d’une technologie plus adaptée, plus performante, et d’un sens
critique plus aigu, réécrivent petit à petit l’Histoire. Ce sens critique fait enfin
surface, celui qui avait disparu ou qui n’avait jamais existé afin d'empêcher les
dogmes d’être remis en question pour éviter de briser les tabous et d'ensevelir
les mensonges.
Les religions, les systèmes dominateurs, le darwinisme et le créationnisme vivent
leur dernières heures. Même l’astronomie doit réinterpréter ses théories et ses
conclusions. Le XXI siècle sera une révolution des esprits de par la fin de ces
dogmes qui ont anéanti la conscience de l‘humanité en faveur d‘une élite
toujours identique ; si la politique et la finance remplacent les religions, ces
dernières continent malgré tout d’œuvrer dans l’inconscient, il est donc urgent
d'instaurer une vraie démarche spirituelle.
2. Ainsi les nouveaux exégètes (1*), paléologues (2*), paléographes (3*),
paléoanthropologues, mythographes (4*), astrophysiciens, historiens et
archéologues nous invitent, dans de nombreux ouvrages, en librairie, à
reconsidérer nos connaissances imposées par l’orthodoxie régnante et à balayer
d‘un revers de la main ces trop nombreux sophismes (5*) qui nous ont fait nous
égarer, nous éloigner de la vérité et qui ont permis tant d‘abus et d’injustices à
l‘encontre des peuples.
1*. L'exégèse est, en philologie, une étude approfondie et critique d'un texte. On
pratique donc l'exégèse comme un travail préalable à l'édition sur les travaux de
tous les auteurs, anciens comme contemporains.
2*. Les Paléologues sont une famille noble d’origine grecque dont est issue la
dernière dynastie ayant gouverné l’empire byzantin.
3*. La paléographie est l'étude des écritures manuscrites anciennes,
indépendamment de la langue utilisée (grec ancien, latin classique, latin
médiéval, ancien français, moyen français, français classique, anciens
caractères chinois, etc.).
4*. Un mythographe est celui qui compile et étudie les mythes. Dans un sens
plus large, on peut considérer que le mythographe est un écrivain réalisant le
même travail de relecture et d'évolution qu'effectue l'hagiographe vis-à-vis de
l'histoire réelle et des biographies, mais sur le plan des légendes et des mythes.
5*. Un sophiste désigne à l'origine un orateur et un professeur d'éloquence de la
Grèce antique, dont la culture et la maîtrise du discours en font un personnage
prestigieux dès le V siècle av. J.-C., et contre lequel la philosophie va en partie
se développer.
Un travail impossible pour certains, car nous ne pouvons concevoir une autre
réalité qu'en fonction de l'élargissement de notre propre conscience.
3. Enki
Depuis plus de 120 ans des découvertes importantes ont été passées sous
silence comme celles des Tablettes d’argile retrouvées dans l’ancienne
Mésopotamie, Sumer, Ur, Ninive, Uruk, (les + anciennes écritures à ce jour)
celles de Nag Hammadi en Égypte, celles du désert de Taklamakan en Chine,
au Pérou et au Mexique, l'histoire incroyable des Dogons (1*) du Mali qui
connaissaient déjà comme les Sumériens (3800 ans) toutes les planètes et leur
composition, celle des Hopis d'Arizona et, bien d’autres, sur tous les continents.
1*. Les Dogons sont un peuple du Mali, en Afrique de l'Ouest. Ils occupent la
région, nommée Pays Dogon, qui va de la falaise de Bandiagara au sud-ouest
de la boucle du Niger. Quelques Dogons sont installés dans le nord du Burkina
Faso, d'autres se sont installés en Côte d'Ivoire.
Un silence coupable s’est abattu sur nos écrans et dans nos livres de peur que
tous les enseignements acquis ne s’écroulent dans la conscience collective et
qu’un séisme ravageur ne vienne détruire la vie de ceux qui ont mentis, qui
continuent de nous mentir et de ceux qui se sont tout bêtement trompés.
Nous apprenons que l’histoire du Livre des Hébreux, le Tanakh (1*), n’est que la
copie falsifiée de textes retrouvés en Mésopotamie, en Akkad, en Babylonie et
en Égypte. Un scribe, enfin des scribes sans scrupule (ils seraient quatre ou cinq
sur plusieurs siècles) ont pioché dans l’Enuma Elish, l’épopée de Gilgamesh,
celle d’Atrahasis, dans le Code d’Hammurabi, dans les croyances et les codex
de l’ancienne Égypte pour se construire une identité et pour modifier à leur
convenance les récits dits, mythographiques par certains, et évhéméristes (2*)
par d’autres.
1*. Tanakh
4. 2*. L'évhémérisme est une théorie selon laquelle les dieux sont des personnages
réels qui auraient été divinisés après leur mort, leur légende étant simplifiée et
embellie jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'une sorte de symbolisme absolu et
universel. Elle tire son nom du mythographe grec Évhémère.
Ces scribes misogynes ont en premier lieu éradiqué le culte féminin pour l’ériger
en un culte monothéiste ( un seul dieu unique ), masculin, profondément
phallocrate ( qui se considère supérieur à la femme ) et dominateur ; puis ils ont
viré les nombreux dieux de Sumer, d’Akkad, de Babylonie et d‘Égypte ; même si
la Genèse reste sans équivoque quand elle parle d’Elohim, désignant un pluriel
des dieux et des Néphilims.
Il faut bien reconnaître que depuis les premières versions en araméen, en
hébreu, les traductions de la Septante (1*), celle de la Vulgate (2*), celle de
l’Historiale (3*) et les divers conciles qui ont fait de très nombreuses
manipulations à l'avantage du clergé, et non pour celui des croyants, avec des
retraits et des ajouts successifs, il faut avouer que la Bible nous en fait perdre
notre latin.
1*. La Septante (latin : Septuaginta) est une version de la Bible hébraïque en
langue grecque. Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée (IIe siècle
av. J.-C.), la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux)
traducteurs à Alexandrie, vers 270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II.
2*. La Vulgate désigne la version latine de la Bible, traduite par saint Jérôme,
entre la fin du IV et le début du V siècle, directement depuis le texte hébreu pour
l'Ancien Testament.
3*. La Bible historiale est l'une des premières traductions en prose et en français
de la Bible. C'est la traduction de passages significatifs de la Vulgate latine de
5. saint Jérôme, accompagnée d'extraits de l'Historia Scholastica de Pierre le
Mangeur.
Le Christianisme reprendra à son compte plus tardivement les mêmes récits ;
avec tout autant d‘irrespect envers les femmes dans l’écriture d’évangiles, de
lettres et d’épitres comme ceux de saint Augustin, saint Paul et par d’autres
écrits comme ceux de Tertullien par exemple, pour ne citer qu‘eux. Mais le livre
apocryphe d’Enoch, aussi très violent, retiré du canon biblique car jugé
dangereux par la théocratie, est clair. Les princes, les Rois et les puissants
(Clergé compris) doivent se faire du mouron pour s'être rendus coupables d'abus
sur les faibles, en déshonorant et en ensanglantant la Terre et en bafouant le
vrai Dieu. La Justice sera rendue.
St Thomas : Le royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi. Pas dans les
édifices de bois et de pierre. Fend le morceau de bois et je suis là. Soulève la
pierre et tu me trouveras.
Évangile apocryphe de la paix du disciple Jean qui honore la Mère au même titre
que le Père ici.
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Goatfishes_Louvre
Le texte de la Création, celui du Déluge, ceux sur la Cosmogonie (1*) (Tiamat,
Nibiru pour Sumer), l’Astronomie et la présence du ou des serpents évoquant
une race reptilienne, de dieux venant du ciel se retrouvent dans des récits
i-den-tiques sur tous les continents (dans 244 cultures). Ils le sont sur le fond
6. uniquement, car, sur la forme les noms sont diffèrents en fonction des
civilisations et des pays.
1*. La cosmogonie est définie comme un système de la formation de l'Univers.
Elle se distingue de la cosmologie, qui est la « science des lois générales par
lesquelles le monde physique est gouverné ».
Ces découvertes montrent également que des sociétés antédiluviennes
( antérieur au Déluge ) ont permis de transmettre leurs savoirs aux
homo-sapiens ( ou sapines-sapiens ) et que les dieux et les déesses n’étaient en
fin de compte que des hommes et des femmes très évolués technologiquement
et ayant des pouvoirs psychiques et cosmo-telluriques, perdus depuis.
Mais revenons à notre génie juif. Comme la sauce n’était pas encore assez
épaisse et indigeste pour le commun des mortel pour que celle-ci l’empoisonne,
le clergé devait imposer une théocratie sans faille, une monarchie religieuse qui
dominerait le peuple par une foi aveugle pour conquérir et s’installer dans un
pays. Le fondamentalisme, dans l’interprétation des textes, ne devait surtout pas
être remis en question et, pour cela, la culpabilité et la peur devaient être les
deux éléments fondamentaux, les deux piliers, les deux leviers par lesquels la
domination allait s’exercer dans les esprits et par laquelle un obscurantisme allait
s’abattre implacablement sur les peuples, pour y régner encore de nos jours.
Afin que le peuple ne puisse se rebeller, s’émanciper et s‘interroger sur ses
origines, il devait avoir peur et obéir aveuglément à un Dieu puissant, cruel à la
main destructrice. La Genèse est révélatrice sur ce sujet, elle est un texte plus
qu’intéressant à étudier en tentant une lecture herméneutique (1*) des faits pour
se rendre compte de la violence et de la cruauté de ce Dieu, de certains de ses
Anges et de certains de ses fils.
1*. L'herméneutique est la théorie de la lecture, de l'explication et de
l'interprétation des textes.
7. Tiamat
Un dieu de l’Ancien Testament qui a usurpé les créations inscrites sur des
tablettes d'argile antérieures de 2000 ans à Moïse, celle d’une grande déesse
sumérienne en y ajoutant sa propre vision délétère ( toxique, dangereux pour la
santé ; néfaste ) de la relation au Divin qui, en fait, nous en éloigne dans les trois
religions monothéistes de la réelle Source divine et de la Création. Puis les Dieux
tels qu’An, Enki, Enlil et les déesses telles que la très grande Nammu (mère
primordiale de la Terre et du ciel), Innana (Isis) et Ninhursag disparaitront pour
donner naissance à ce Dieu unique. Et Atrahasis sera tout simplement remplacé
par Noé, le Dilmun (1*) par l'Éden. Enki, lui mange les plantes défendues par la
déesse Ninhursag et sera remplacé par Ève et Adam pour la faute originelle. Le
décalogue de Moïse et le Mosaïsme, puis le Judaïsme seront inspirés, non pas
par Dieu, mais par le code Hammurabi babylonien.
1*. Dilmun est un pays mentionné durant toute l’histoire de la Mésopotamie
ancienne, depuis le III millénaire jusqu'au milieu du I millénaire av. J.-C.. Il est
situé d'après les textes dans le Golfe Persique, sur une route commerciale
d’importance entre Mésopotamie et Indus, en bord de mer, à proximité de
sources artésiennes. On s'accorde pour le localiser plus précisément dans l'île
de Bahreïn, et aussi l’île de Failaka, située au Koweït, voire les territoires côtiers
du nord-est de la Péninsule Arabique, comme l'îlot de Tarut. L'appellation
pourrait correspondre à une fédération, réelle ou fictive, selon les époques, de
petits ports de transit des époques anciennes.
Difficile à admettre car nos esprits se heurtent et s'enferment dans des
croyances millénaires et comment abolir une vérité, plutôt un sophisme, répété
durant deux millénaires sans que sa propre dignité ne soit atteinte ?
8. Pour que Galilée fasse admettre la sphéricité, l'héliocentrisme et non le
géocentrisme de la Terre, beaucoup de sang a coulé, c'est vrai ; mais aujourd'hui
personne ne risque de procès pour croire à un autre début, à une autre origine.
En y introduisant un péché originel, incombant en premier à la femme, puis, à
Adam, ensuite un enfer pour ceux qui ne respectaient pas la Loi, et une
culpabilité de tous les instants avec une épée de Damoclès en permanence au
dessus de nos têtes, pour ceux qui s‘éloignaient de ce Dieu, ces hébreux
refoulés, ayant quand même quelques troubles de la personnalité, pour
n’employer qu’un euphémisme, et leurs descendants, sont parvenus depuis
presque 3000 ans pour les Juifs, 2000 ans pour les Chrétiens et 1400 ans pour
les Musulmans à entretenir le mensonge pour conserver leur pouvoir sur les
peuples. Cet obscurantisme a privé les Êtres humains de leur source Originelle
divine et non simiesque ( qui tient du singe ), de leur libre-arbitre, de la quête du
véritable Dieu ou Tout unifié dans l'unité, et du chemin spirituel qui y mène.
Ces mensonges ataviques (1*) et millénaires sont encore aujourd’hui le sceau, la
marque innée avec laquelle nous naissons. La faute originelle, qui n’a jamais
existée, a conduit des centaines de générations à avoir peur, à vivre dans la peur
des géhennes (2*), à expier des péchés qui n’en étaient pas, et à faire mourir de
trop nombreux croyants qui pensaient avoir offensé Dieu.
1*. Un atavus est un caractère primitif qui réapparaît après une ou plusieurs
générations.
2*. Géhenne : Enfer Torture Souffrance. Le premier sens de géhenne est
Biblique : Il désigne le séjour des réprouvés. La vallée de Géhinnon fut ainsi pour
les Juifs l'emblème de l'enfer. C'est pour cela que le terme de géhenne est
souvent employé pour désigner le lieu auquel les méchants seront condamnés
après leur mort.
9. Moïse
Cet artéfact divin a conduit la plus grande partie de l’Humanité dans l’obscurité, à
la perte de la Connaissance ou de la Lumière originelle, à la haine des autres,
aux guerres sanglantes et destructrices, à la confiscation de la Vérité par
quelques-uns, aux pillages et aux injustices les plus dures.
Il serait temps de rendre à César ce qui est à César. Le génie du Judaïsme ne
se résume donc qu’à un simple pillage et en une simple falsification d’anciens
textes venant de Mésopotamie, et ce, pour s‘approprier le pouvoir et exiger par le
sang une Terre qui ne leur a jamais été promise par Dieu.
Pas très glorieux ni pour eux, ni pour les Chrétiens d‘ailleurs. La Terre de
Palestine appartient bien en premier aux descendants des indigènes, les vrais
Sémites qu’ils soient aujourd'hui musulmans, hébreux ou chrétiens, mais en
aucun cas aux juifs venant pour l'ensemble de l'Europe ou des USA qui
composent leur majorité. Ces croyants ou ces athées nommés injustement, le
Peuple élu de Dieu pour la Terre promise, est une des plus grandes hérésies qui
perdure. D'ailleurs le concept de Terre promise est bien antérieur au judaïsme
puisqu'il émane de l'Inde et plus précisément de l'Himalaya et des prêtres Naacal.
Ce qui n'a rien à voir avec les Sémites.
La Terre promise appartient à tous et est partout, et aucun Dieu ne peut décider
de choisir une poignée de croyants, sauf si il est totalement humain et
profondément injuste et calculateur, pour lui offrir le bien d'autrui. La paix est
donc possible. Que la Vérité se fasse.
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Certaines erreurs ou mensonges source :
Lévitique : 11: 6 "Vous ne mangerez pas le lièvre qui rumine, mais qui n'a pas la
corne fendue"... V'la que le lièvre est un ruminant !
10. Deutéronome : 20 : 16 "Mais dans les villes de ces peuples dont l'Éternel, ton
Dieu, te donne le pays pour héritage, tu ne laisseras la vie à rien de ce qui
respire"... Étrange Dieu qui commande d'exterminer les hommes, les femmes et
les enfants...
34 : 5 La mise en Terre de Moïse. Sachant que c'est lui qui est censé avoir écrit
ce récit, ça pose un problème sémantique...
Josué : 6 : 5 Les murailles de Jéricho, dont les murailles d'enceinte se seraient
écroulées au son des trompettes de guerre. À l'époque citée par la Bible, Jéricho
n'était pas encore fortifiée !
1 Samuël : 28 Inspiré du poème sumérien où l'on voit l'ombre d'Enki sortir du Kur
et se jeter dans les bras de Gilgamesh.
Cantique des cantiques :
Une suite empruntée au chant sumérien du mariage sacré : Même style, même
thèmes, détails, vocabulaire, mêmes personnages, monologues, dialogues,
même langage fleuri et redondant. Voir par exemple le chant d'amour de Shu-Sin
au chapitre XXI. Shu-Sin qui ressemble fort au Roi Salomon dont l'existence
n'est pas certaine et, s'il a existé, son règne n'a rien à voir avec celui décrit dans
la Bible.
1 Rois : 1 : 34 Les remparts de Jérusalem sous le Roi Salomon : À cette époque
là, Jérusalem, un modeste village, n'était pas fortifié.
2 Rois : 3 : 19 "Vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes d'élite,
vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les sources d'eau, et
vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs champs"... Quel est ce Dieu qui
ordonne de semer la désolation ?
Esther : L'Esther du livre d'Esther vient de la déesse babylonienne Ishtar.
Mardochée est le Dieu assyrien Mardukéa.
Le livre de Job : Le thème de Job découle directement des tablettes sumérienne
de Nipur. Il utilise les termes même du "poème de la Création" qui décrit le
combat de Mardouk contre Kingou : Yahvé brise le crâne de Léviathan comme
Mardouk celui de Tiamat.
Isaïe : 2 : 4 "Il sera le juge des nations, l'arbitre d'un grand nombre de peuples.
De leurs glaives ils forgeront des hoyaux (1*), et de leurs lances des serpes :
Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, et l'on n'apprendra plus la
guerre". Des milliers d'années plus tard, toujours des guerres (dont beaucoup
11. sont des guerre de religions) : Encore une prédiction ratée...
1*. Hoyaux
7 : 14 Une des nombreuses falsifications de la Bible de Jérusalem : Pour
augmenter le nombre de prophéties réalisées : "La jeune femme" a été
remplacée par "la vierge". Ce qui montre au passage que l'évangile de Matthieu
a été rédigé très tardivement, par un non-juif qui n'avait pas accès aux textes
hébreux.
9 : 11 : Largement inspiré du texte sumérien qui décrit la descente aux enfers du
monarque Ur-Nammu qui arrive dans le Kur.
11 : 6-9 "Le loup habitera avec l'agneau, et la panthère se couchera avec le
chevreau ; le veau, le lionceau, et le bétail qu'on engraisse, seront ensemble, et
un petit enfant les conduira. La vache et l'ours auront un même pâturage, leurs
12. petits un même gîte ; et le lion, comme le bœuf, mangera de la paille. Le
nourrisson s'ébattra sur l'antre de la vipère, et l'enfant sevré mettra sa main dans
la caverne du basilic. Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne
sainte ; car la Terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, comme le fond
de la mer par les eaux qui le couvrent". À peu près 3000 ans plus tard, toujours
rien...
24 : 1 "La face de la Terre". Ici, la Bible nous dit clairement que la Terre est
plate...
Jérémie : 31 : 34 "Celui-ci n'enseignera plus son prochain, ni celui-là son frère,
en disant : Connaissez l'Éternel ! Car tous me connaîtront, depuis le plus petit
jusqu'au plus grand, dit l'Éternel ; car je pardonnerai leur iniquité ( grande
injustice ; inégalité ), et je ne me souviendrai plus de leur péché"... Toujours rien.
48 : 10 : L'Éternel tend un piège à David. Forcément, David tombe dedans et il
est puni : L'Éternel est content : Il a couillonné un mortel !
49 : 36 "Les quatre coins de l'horizon"... Ici aussi, la Bible nous dit clairement que
la Terre est plate....
Lamentations de Jérémie : Ces lamentations sont reprises de "La lamentation
sur la destruction de Nippur", récit sumérien.
4 : 20 "Le souffle de nos narines, l'oint du seigneur a été pris dans leurs fosses,
lui dont nous disions : À son ombre, nous vivons parmi les nations"...
Directement inspiré du pharaon Ramsés II : "Toi qui est le souffle de nos
narines" ... "faucon qui protège ses sujets de ses ailes et répand l'ombre sur
eux".
Ézéchiel : Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l'adoraient
sous le nom d'Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
http://www.diatala.org/pages/Le_Judaisme_provient_de_textes_sumeriens_falsifi
es-2588066.html