3. C’est le rêve de Fabienne Stasse, une chênéenne de 45 ans : Créer une
association en faveur des enfants défavorisés d'ici et d'ailleurs.
Admirative de Sœur Emmanuelle et de son engagement, Fabienne Stasse a
choisi le slogan de celle-ci comme nom pour son asbl.
Yalla ! Est né de ce rêve en novembre 2011.
Le moteur de notre action est de donner la chance aux enfants de sortir de
leur carcan de pauvreté par l'éducation. Le mot d'ordre de Fabienne est UN
ENFANT = UN ENFANT, qu'il soit d'ici ou d'ailleurs, il mérite soins,
respect et amour.
Le but de l'association est de récolter de l'argent et ensuite, d'apporter une
aide très pratique : colis de vêtements, de nourriture, de livres,... pour les
enfants défavorisés en Belgique et l’envoi de matériel en Afrique (matériel
scolaire, sanitaire, ...), achat de nourriture, de médicaments, de livres, de
jeux,... Prise en charge des frais médicaux liés à la santé des enfants
parrainés. L'éducation des enfants et l'accès à l'école sont les priorités de
'YALLA ! EN AVANT
4. FEM-Solidarité est une association humanitaire œuvrant
pour la promotion des droits fondamentaux des femmes et
des enfants au Burkina Faso!
Ses actions sont axées sur: l'Éducation, la Santé, et
l’Économie rurale!
Son cheval de bataille est la protection des fillettes contre
les MGF, les mariages précoces et la promotion de
l'éducation des filles.
5. Un puits pour le périmètre maraîcher des femmes de
Soumyaga.
Soutien au CREN de Ouahigouya.
Un âne et une charrette pour alimenter l’école de
Goubré en eau potable.
Panneau solaire et mise en place de cours
d’alphabétisation des femmes en soirée à l’école
de Tanghin.
Un petit jardin potager à l ’école de Tanghin.
Opération de Mohamado et Guélil: ces deux
enfants souffrent de GENU VALGUM et
GENU VARUM.
Yalla financera leur opération, programmée le
25 juillet 2015.
6. Lutte contre l’excision
FEM SOLIDARITE en a fait son
cheval de bataille!
80% des filles étaient encore victimes
de ce genre de MGF en 2011!
Par ses campagnes de sensibilisation
dans les villages, FEM à persuadé
des mamans, et ensuite des chefs
de village, pour en 2015, réussir à
faire adhérer à notre Programme
Protection Excision SM le roi du
Passoré, chef spirituel de plus de
300 villages de la province!
Ces campagnes ont permis d’obtenir
une diminution du taux d'excision
dans les villages où nous agissons
Le Programme Protection
Excision
Les parents qui désirent aider leurs
filles en les protégeant des MGF et
des mariages précoces signent un
contrat avec FEM SOLIDARITE,
s'engageant à ne pas mutiler les
fillettes, à les scolariser jusqu'en fin
de primaire et ensuite , le
secondaire ou la formation
professionnelle. Ces filles ne seront
pas mariées avant leurs 18 ans.
Ces parents sont parfois rejetés par
leur famille pour ce choix: c’est
pourquoi, pour les aider, nous leur
trouvons des marraines qui, pour
10 euros par mois, couvrent les
frais de scolarité et de formation
7. LES PARRAINAGES
• Nous en sommes aujourd'hui, en
2015, à 150 enfants parrainés et
donc scolarisés: 16 garçons et 134
filles.
• En dehors du Programme
Protection Excision, nous ne
parrainons que les enfants les plus
précarisés : orphelins ou souffrant
d'un handicap, malades… leurs
familles ou tuteurs n'ont pas les
moyens de les prendre en charge
correctement, et la scolarité ou la
formation voire la prise en charge
médicale spécifique, ne sont pas
accessibles pour eux hors
parrainage.
LUTTE CONTRE LE NOMA
Quand on entend son nom pour la
première fois, on n'est aucunement
ému. Lorsqu'on en fait la description,
on n'arrive pas à y croire. Et quand on
le voit, on ne peut plus jamais l'oublier.
LE NOMA est une maladie qui débute par
une infection bénigne de la bouche,
suivie d'une plaque gangréneuse avec
destruction irréversible des tissus mous
et osseux (os du nez et de la mâchoire,
lèvres, joues, et paupières). Sans
soins, l'évolution est foudroyante. En
quelques jours, l'enfant meurt dans 70
à 90 % des cas.
Nous distribuons chaque année des
centaines de brosses à dents et de
tubes de dentifrice aux enfants, et
sensibilisons les mamans à leur usage.
8. LE PROGRAMME CHEVRES
Posséder un couple de chèvres ou de
moutons permet aux familles
d'améliorer grandement le
quotidien: le lait est utilisé ou
revendu pour faire du fromage.
La reproduction permet d'augmenter
le cheptel ou de revendre les
jeunes pour augmenter, voire
donner, un revenu aux familles.
Certaines marraines offrent un couple
à la famille de leur filleule.
Les familles qui reçoivent un couple
offrent le premier petit à une famille
du village dont aucun enfant n'est
parrainé, ceci afin que notre aide
se répercute sur l'ensemble de la
population.
LA CANTINE SCOLAIRE
En octobre 2015 ouvrira la cantine
scolaire, tenue par des mamans
bénévoles et dont nous avons
financé l'achat du matériel.
Il faut un budget de 2€ par mois et
par enfant pour un repas par jour
de classe.
Le Potager scolaire alimentera
partiellement cette cantine. Nous
cherchons donc, pour l’achat du
riz et d’autres légumes, des
marraines et parrains pour la
cantine.
Vous pouvez nous aider via ce
parrainage collectif en versant
une somme à partir de 2€/mois
par ordre permanent.
9. LES SOINS DE SANTE
Etant donné que nous ne
parrainons que les enfants les
plus faibles, Yalla en avant!
prend en charge les frais de
soins de santé autant que ses
finances le lui permettent.
Chaque année, ce sont environ
500 euros de frais,
essentiellement dû aux crises
de paludisme, maladie qui tue
encore des centaines d'enfants
chaque année!!
Nous sommes à la recherche d'un
système de mutuelle santé, qui
commence à s'installer au
Burkina Faso.
LUTTE CONTRE LE
PALUDISME
Chaque année, nous lançons une
campagne moustiquaire juste
avant la saison des pluies.
Les marraines y sont sensibilisées,
et c'est souvent le premier
cadeau offert aux filleuls.
Yalla finance chaque année l'achat
de 20 moustiquaires imprégnées
pour les familles sans
parrainage.
Une moustiquaire imprégnée coûte
5 EUR et permet de protéger 2
enfants.
Cette campagne a permis de
réduire considérablement les cas
de crises de paludisme dans les
familles qui en possèdent.
10. Les garçons parrainés souffrant souvent de handicap ou de grandes difficultés
d'apprentissage dues à leurs conditions familiales difficiles, ils doivent s'orienter vers des
formations, qui ne sont souvent pas accessibles aux enfants non suffisamment lettrés.
C'est pourquoi notre premier projet, pour la rentrée d'octobre 2015, est de mettre en
place un poulailler collectif, où ces enfants recevraient chacun 10 poules et 2 coqs.
Les enfants seront formés par un adulte, père de famille sans source de revenus
actuellement, qui recevra en contrepartie de son travail son propre poulailler
entièrement équipé pour commencer son activité d'élevage.
Pour cette rentrée, deux enfants sont concernés par cette formation.
Les poussins issus des élevages d'apprentissage serviront à fournir les poules et coqs des
enfants suivants qui bénéficieront de cette formation.
Le "surplus" de poussins ou d'oeufs par rapport aux nécessités des familles ou du centre
d'apprentissage, sera vendu pour financer l'achat de la nourriture et des vaccins
nécessaires aux animaux, et à l'agrandissement du centre de formation.
A la fin de sa formation, chaque enfant pourra garder son cheptel de début de formation
pour démarrer sa propre activité.
12. Nous étudions les nécessités et les qualités des terrains afin de trouver
l'endroit idéal pour créer un périmètre maraîcher collectif, à culture
diversifiée et biologique.
Les femmes du village y recevront une formation en agriculture
biologique, y cultiveront collectivement et les récoltes seront partagées
équitablement entre les villageois.
Ce jardin alimentera également la cantine scolaire, afin de diminuer le
coût des repas, et permettre de les distribuer à tous les enfants inscrits.
Ce projet est encore à l'étude, mais le budget est déjà estimé à plus de
15.000€.
13. Construction de trois classes en matériau durable, le tout alimenté par
panneaux solaires.
Une classe supplémentaire permettra de répartir plus équitablement les
enfants afin de ne pas avoir des classes trop surchargées.
Le centre coupe/couture permettra aux filles qui n'ont pas le niveau ou les
moyens financiers pour faire des études secondaires d'avoir une formation
professionnelle et donc un revenu à l'âge adulte. La vente des vêtements
réalisés en formation financera l'achat des fournitures nécessaires.
Chaque fille qui réussira sa formation recevra une machine à coudre.
La maison des enfants centralisera les jeux d'éveil, éducatifs, jouets, jeux de
société et les livres afin que tous les enfants puissent en profiter.
Il s'y déroulera également des activités communes, telle la sensibilisation à
l'agriculture via le potager scolaire.
Devis pour la construction des trois locaux et de l'alimentation électrique par
panneaux solaires: 33.000 €
14. Par le bénévolat: organiser
des activités afin de
collecter de l’argent pour
nos projets
Organiser chez vous une
démo de nos CREAS DE
YALLA( en province de
liège).
Si vous êtes indépendant,
vous pouvez nous
sponsoriser.
LES PARRAINAGES
Collectif: à partir de
2€/mois pour la cantine
scolaire.
Individuel: PPE ou enfant
précaire: 10€/mois.
FAIRE UN DON pour le
projet qui vous tient à
cœur.
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