Critique des indicateurs statistiques de l’UIT sur l’accès numérique (IAN) et de la Banque mondiale
pour « la société de l’information » , afin d'inclure la lecture et de la littératie
Indicateurs statistiques pour « la société de l’information »
1. Indicateurs statistiques de la lecture et de la littératie pour « la société de l’information » face aux indices « technicistes » de l’UIT Ksibi Ahmed /Prof à Institut Supérieur de Documentation de Tunis - Université de Manouba (Tunisie) ahmed.ksibi@isd.rnu.tn; aksibi @ voila.fr
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7. indicateurs statistiques de mesure de la société de l'information et du E-readiness Examples of existing indices* Name Variables E-Business Readiness Rankings The Economist Intelligence Unit (EIU) 100 McConnell International’s Risk E-Business: e-Readiness (MI) 14 CID's E-Readiness: Harvard University’s Center for International Development 9 SIBIS – Statistical Indicators Benchmarking the Information Society 23 ITU Digital Access Index (DAI) International Telecommunications Union 8
8. Exemple : l’Indice d’Accès Numérique (IAN Digital Access Index (DAI)
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Notas del editor
A la veille de la deuxième phase du Sommet mondial sur la Société de l’Information (SMSI), la mesure du progrès vers la société de l’information, qu’on appelle communément le "e-readiness", est devenue un enjeu de très haute importance pour les gouvernements et les collectivités de plusieurs pays. En application du Plan d’action du SMSI, les grandes organisations internationales onusiennes, notamment l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), responsable de l’organisation de ce sommet, et celles du néo-libéralisme : la Banque mondiale [1] , l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques OCDE…, et beaucoup d’autres organismes [2] ont contribué à l’élaboration des instruments et des indicateurs statistiques permettant de disposer des critères de mesure de la société de l'information, comparables à l'échelle internationale. Les indicateurs d’impact des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTICs) sont considérés comme un outil essentiel pour le processus de planification des actions et du développement, notamment la réalisation des objectifs du Millénaire décrétés par les Nations Unies. En regardant de près ces indicateurs statistiques des organisations internationales du néo-libéralisme, nous constatons une configuration de la société de l’information déformée, car fondée essentiellement sur des indices qui mettent en exergue les équipements d’informatique et de télécommunication. Cette configuration est amputée, car elle néglige les facteurs humains, la qualité et les compétences des ressources humaines.
Ma proposition tente de relativiser les données orientées « équipement » par des données se basant sur des variables qui mettent en valeur la culture informationnelle. Les usages et les pratiques de fréquentation des bibliothèques par les jeunes et le développement de la lecture et de la littératie sont énoncés pour prendre en compte les éléments fondateurs de l’environnement informationnel des pays observés et susciter le débat sur les facteurs humains déterminants. L’hypothèse de départ suppose que la société de l’information n’a pas une seule configuration : elle n’est pas seulement déterminée par la technologie ou le jeu des forces économiques. Les bibliothèques, l'établissement culturel le plus utilisé par les jeunes, pourraient préfigurer les éléments constituant la société de l’information. Ainsi la définition de la société de l’information n’est pas spécifiée seulement par une infrastructure prédéfinie, elle est surtout déterminée par les composantes «socioculturelles » plutôt que par des éléments technologiques. Cette hypothèse relativise l’approche techniciste, adoptée par certaines organisations internationales et notamment par l’UIT. Cette approche techniciste omet les indicateurs sur la lecture et la littératie qui constituent pourtant les comportements nécessaires pour former une société cultivée et innovante.
Ma proposition tente de relativiser les données orientées « équipement » par des données se basant sur des variables qui mettent en valeur la culture informationnelle. Les usages et les pratiques de fréquentation des bibliothèques par les jeunes et le développement de la lecture et de la littératie sont énoncés pour prendre en compte les éléments fondateurs de l’environnement informationnel des pays observés et susciter le débat sur les facteurs humains déterminants. L’hypothèse de départ suppose que la société de l’information n’a pas une seule configuration : elle n’est pas seulement déterminée par la technologie ou le jeu des forces économiques. Les bibliothèques, l'établissement culturel le plus utilisé par les jeunes, pourraient préfigurer les éléments constituant la société de l’information. Ainsi la définition de la société de l’information n’est pas spécifiée seulement par une infrastructure prédéfinie, elle est surtout déterminée par les composantes «socioculturelles » plutôt que par des éléments technologiques. Cette hypothèse relativise l’approche techniciste, adoptée par certaines organisations internationales et notamment par l’UIT. Cette approche techniciste omet les indicateurs sur la lecture et la littératie qui constituent pourtant les comportements nécessaires pour former une société cultivée et innovante.
Ma proposition tente de relativiser les données orientées « équipement » par des données se basant sur des variables qui mettent en valeur la culture informationnelle. Les usages et les pratiques de fréquentation des bibliothèques par les jeunes et le développement de la lecture et de la littératie sont énoncés pour prendre en compte les éléments fondateurs de l’environnement informationnel des pays observés et susciter le débat sur les facteurs humains déterminants. L’hypothèse de départ suppose que la société de l’information n’a pas une seule configuration : elle n’est pas seulement déterminée par la technologie ou le jeu des forces économiques. Les bibliothèques, l'établissement culturel le plus utilisé par les jeunes, pourraient préfigurer les éléments constituant la société de l’information. Ainsi la définition de la société de l’information n’est pas spécifiée seulement par une infrastructure prédéfinie, elle est surtout déterminée par les composantes «socioculturelles » plutôt que par des éléments technologiques. Cette hypothèse relativise l’approche techniciste, adoptée par certaines organisations internationales et notamment par l’UIT. Cette approche techniciste omet les indicateurs sur la lecture et la littératie qui constituent pourtant les comportements nécessaires pour former une société cultivée et innovante.
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