Sites web de services d'archives - Comment faire connaitre son site Web ?
1. Association des archivistes français – 21 mars 2012
SITES WEB DE SERVICES
D’ARCHIVES
COMMENT FAIRE
CONNAÎTRE SON SITE WEB ?
CC BY-NC-SA Vicky&Chuck Rogers, Flickr Pauline Moirez – BnF
30. Des expériences innovantes pour
améliorer le contenu des notices de
Wikipédia
Un wikimédien en résidence au British
Museum propose un partenariat sans mise
en ligne de documents ou données http://
en.wikipedia.org/wiki/Wikipedia:GLAM/BM
http://www.wittylama.com/2010/07/
end-of-my-residency/
31. Et encore...
Un wikimédien en résidence au château de
Versailles http://www.wikimedia.fr/partenariat-avec-le-ch
%C3%A2teau-de-versailles
32. Facebook pour mettre en valeur les
collections et échanger avec les usagers
Archives de la Manche
33. Encourager les usagers à partager les
contenus sur les réseaux sociaux
Le lecteur exportable de Gallica
34. Twitter pour surveiller son e-reputation
et mettre en valeur ses usagers
Gallica et les Gallicanautes
35. Impact de la présence de Gallica sur les réseaux
sociaux en termes d’audience
Nombre de visites et de pages vues dans
Gallica en provenance de Facebook et Twitter
43. Une dynamique est lancée...
Les portails culturels locaux se multiplient
GeoCulture en Limousin
Banque numérique des savoirs aquitains
(BnsA)
Manioc, bibliothèque
numérique des Caraïbes
44. Mais aussi...
Isidore, plateforme de
recherche pour les sciences
humaines et sociales (SHS)
Gallica et ses 41
bibliothèques partenaires
46. INTEROPERABILITE =
Permettre l'échange de données
entre systèmes d'information
Pouvoir se parler Se comprendre
(transport des (sens des données
données) échangées)
47. L ’interopérabilité en archives
Uniformisation des formats numériques
fondés sur les normes internationales de
description archivistique : XML-EAD, XML-
EAC, XML-EAG
Utilisation du protocole d’échange OAI-PMH
48. OAI-PMH
Open Archives Initiative - Protocol for
Metadata Harvesting (convention de Santa
Fé, 1999). Version 2002 www.openarchives.org
Rendre interrogeables des bases de données
hétérogènes
Collecter massivement les métadonnées et les
stocker
49. CC BY-NC-SA Rantes, Flickr
Les acteurs de l’OAI-PMH
Les fournisseurs de données, qui déposent
leurs métadonnées sur un serveur Web appelé
« entrepôt ».
Les fournisseurs de service (moissonneurs)
qui collectent ces données pour les intégrer à
leur index et permettent à l'utilisateur final de
faire des recherches.
51. Le Dublin Core non qualifié
(ou Dublin Core simple)
Norme ISO 15836:2003, révisée en 2009
Maintenue par la Dublin Core Metadata
Initiative (DCMI)
15 éléments de description, facultatifs et
répétables
52. CC BY-SA See-Ming Lee, Flickr
Les atouts de l’OAI-PMH
Il s'appuie sur les standards du Web.
Le moissonnage est simple à mettre en œuvre.
Les contenus ne sont pas dupliqués.
Les métadonnées collectées sont mises à jour
simplement et automatiquement.
Il s’adapte à des besoins transdisciplinaires sans
interdire des besoins plus spécialisés.
54. Le référencement : qu’est-ce que c’est ?
Améliorer le positionnement d’un site dans les
pages de résultats des moteurs de recherche
On parle aussi de « SEO » (Search engin
optimization).
55. Le référencement : comment faire ?
Une approche technique, pour optimiser le site et le
rendre accessible par les moteurs
Une approche marketing pour la bonne définition
des mots clés et la mise en adéquation des besoins
des internautes avec les contenus/services proposés
sur le site
Une démarche en amont : l'intégration du
référencement naturel doit se faire lors de la
création ou la refonte du site, afin de pouvoir
respecter les critères W3C d’accessibilité
56. Le « Web invisible »
Une part du Web n’est pas indexable par les
moteurs de recherche, en particulier les bases
de données !
Comment rendre accessible ces données ?
- Développer le contenu éditorial
- Créer des liens
- Sortir des bases de données en silo (XML,
interopérabilité, Web sémantique)
57. Comment marchent les
moteurs de
recherche ?
Les robots parcourent le Web de liens en liens
et sauvegardent (indexent) le code des
contenus visités
58. Google… et les autres ?
Top 5 des moteurs de recherche en part de visites web
(2011)
Source : Abondance.
Les résultats d’une recherche sur différents moteurs ne sont pas les
mêmes : chaque moteur a son proprealgorithme de recherche
Ex. “archives en ligne” sur Google, Yahoo!, Bing.
59. Un peu d’histoire… les débuts…
http://www.referencement-blog.net/histoire-du-referencement-1190
60. Un peu d’histoire… et maintenant…
http://www.referencement-blog.net/histoire-du-referencement-1190
62. Les balises <title> et <meta> du code Des URL Une navigation
html de la page, mais aussi les balises signifiantes et intuitive
<h1>, <h2> descriptives
13 conseils pour améliorer votre référencement
(Source : MarketingZeus)
63. Un plan de site Des liens internes Des attributs <alt> La gestion des
XML lisible par les sur les images erreurs 404
robots
64. Savoir parler aux robots… Créer des liens,
utiliser les réseaux
sociaux, soigner sa
popularité
65. Soigner ses contenus : originaux, pertinents, de qualité, stables, mis à jour
régulièrement
68. Des résultats « enrichis »
Voir Choblab,
Extraits enrichis (rich
snippets) : un guide visuel
69. Le rôle des métadonnées : vers des
recherches « sémantiques »
Répondre directement aux questions au
lieu de pointer vers des liens
Schema.org : un schéma de
métadonnées commun
pour les 3 grands moteurs
de recherche, Google,
Yahoo!, Bing
70. Ressources utiles
Dublin Core et OAI-PMH
Site officiel du Dublin Core Metadata Initiative
Guide d’utilisation du Dublin Core à la BnF, 2008
Concordance EAD-Dublin Core
Site officiel de l’Open archive initiative
Le Guide des Bonnes Pratiques Numériques – Version 2, TGE Adonis, 2011.
Référencement-SEO : des blogs spécialisés
Abondance-Référencement
Ramenos
71. Merci de votre attention
pauline.moirez@bnf.fr
CC BY-NC Go Esewhere, flickr
Notas del editor
présence sur site Web/hors site Web, dissémination, duplication des contenus (pas grave, au contraire !)
Le blog Orwell Diaries [1] publie ainsi, depuis 2008, les journaux de George Orwell à partir de 1938 : chaque jour est publié le texte rédigé exactement 70 ans auparavant. [1]
Créé en 2005. La plus grande plate-forme de partage de photographies (en 2010, plus de 4 milliards de photos, 3 millions de visiteurs par jour) Publication d’images, possibilités de tagging et de commentaires, de géolocalisation, etc. Flickr Commons : un espace pour les institutions mettant en ligne des images libres de droit http://www.flickr.com/
Inciter les usagers à partager ces contenus, jouer sur l’effet « viral » des réseaux sociaux : boutons j’aime, boutons de partage sur les réseaux, et même lecteurs exportables sur les sites, blogs, FB Est-il vraiment possible de ne pas être sur Facebook ? Avant 2010, la BnF n’avait pas de page officielle…
Ex de recherche : napoleon
Aider les usagers à retrouver l’aiguille dans la botte d foin