3. Historique du KM antigaspi Tradition Orale Ecriture Méthode ? Qualité ??? Modélisation des processus complexes Formalisation des documents Chartes Qualité !! Certification !!!
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6. Gestion des valeurs de l’entreprise Les normes Qualité au service KM Exemple de risques de perte d’actif et de parts de marché -Turn over, réduction d’effectif (ex : Générale sucrière) -Les restructurations qui modifient les process (ex : SAAB) Actif Passif Capital Structurel Capital humain « Loué » Savoirs capitalisés sous forme de fiches savoir, savoirs faire, Brevets style, adaptation du genre Processus de mise en œuvre, retour sur expérience, suivi qualité Dossiers clients Action commerciale
Historiquement , on peut dire que la prise de conscience de la nécessité de transmettre les connaissances a commencé avec l’humanité. La tradition orale apportait des opportunités d’enrichissement ou des risques de perte à chaque transmission. Le développement de l’écriture puis de la méthode (Aristote, Descartes) a cherché à résoudre ce problème. L’industrialisation, la complexification des process et les problématiques de concurrence ont fait naître l’exigence de la qualité, puis de l’assurance qualité. Des réflexions sur la modélisation des processus complexes et l a formalisation des documents (1950) ont permis de produire des protocoles et des chartes et de permettre aux entreprise de certifier leurs démarches de production et leurs relations contractuelles. Le premier mouvement qui initie de façon systématique les tentatives de capitalisations des savoirs faire de l’entreprise abouti au Chartes Qualité et protocoles de certification ISO. Avec l’accélération des turn-over et la diminution du tutorat, des échecs répétés dans la transmission des connaissances ont montré que le management des connaissances pouvaient être plus que la simple écriture des savoirs partagés. Les hommes de l’entreprise détiennent implicitement des connaissances cruciales qui doivent rester accessibles même en leur absence et qui gagnent à être multipliées et partagées.
Historiquement , on peut dire que la prise de conscience de la nécessité de transmettre les connaissances a commencé avec l’humanité. La tradition orale apportait des opportunités d’enrichissement ou des risques de perte à chaque transmission. Le développement de l’écriture puis de la méthode (Aristote, Descartes) a cherché à résoudre ce problème. L’industrialisation, la complexification des process et les problématiques de concurrence ont fait naître l’exigence de la qualité, puis de l’assurance qualité. Des réflexions sur la modélisation des processus complexes et l a formalisation des documents (1950) ont permis de produire des protocoles et des chartes et de permettre aux entreprise de certifier leurs démarches de production et leurs relations contractuelles. Le premier mouvement qui initie de façon systématique les tentatives de capitalisations des savoirs faire de l’entreprise abouti au Chartes Qualité et protocoles de certification ISO. Avec l’accélération des turn-over et la diminution du tutorat, des échecs répétés dans la transmission des connaissances ont montré que le management des connaissances pouvaient être plus que la simple écriture des savoirs partagés. Les hommes de l’entreprise détiennent implicitement des connaissances cruciales qui doivent rester accessibles même en leur absence et qui gagnent à être multipliées et partagées.
40 ans après, l’informatisation et le développement de l’intelligence artificielle permettent d’imaginer que les idéaux de la capitalisation de connaissance pourront être menés à grande échelle. On rêve déjà à des changements radicaux dans l’économie de la planète.
Mais au quotidien, dans l’entreprise, il est toujours aussi difficile de considérer comment le capital humain, immatériel, fragile, peut faire entrer son « génie » dans l’actif de la société. Les brevets déposés, les chartes qualité, les outils et méthodes de travail formalisés font partie de ce capital actif, ce sont des savoirs faire, des connaissances explicites. Nous allons découvrir dans les documents suivants des crises vécues en entreprise alors que des savoir-faire n’ont pas été suffisamment soignés, explicités.