3. Fille de Maríe Auxiliatrice,
Missionnaire à Morona Santiago
Equateur
4. Maria Troncatti, entre dans l’Institut des Filles de
Marie Auxiliatrice, où elle est touchée par la ferveur
missionnaire laissée par Sœur Marie Dominique
Mazzarello et elle parvient à partir comme
Missionnaire en Equateur en 1922 lors du
cinquantième anniversaire de l’Institut.
5. Sœur María Troncatti est prête à accomplir le
mandat de Jésus : en infirmière habile, elle ira
évangéliser et soigner les douleurs de ceux qui
souffrent.
6. Elle séjourna quelque jours à Guayaquil, Chunchi et Cuenca en tant
que catéchiste et infirmière avant de partir définitivement vers les
missions de l’Orient
7.
8. Le groupe missionnaire
des salésiens et des
salésiennes se laisse
guider par la grande
expérience du
Père Albino del Curto
Missionnaire Salésien,
qui dirige l’expédition .
9. Dans son premier voyage
vers l’Orient, Sœur Maria
Troncatti s’expose à des
risques de toute sorte,
sans compter les animaux
de la forêt et les fleuves
qu’il fallait traverser sur
des gués ou des ponts
fragiles ou même
à dos de shuar.
.
10. Durant son voyage, elle rencontre un infirme gravement atteint.
Ainsi elle gagne son passeport d’entrée.
Elle utilise le peu de matériel dont elle dispose, avec de l’alcool elle
désinfecte un instrument ressemblant à un bistouri, elle coupe et
soigne. La personne guérit et ce fait lui ouvre chemin comme aussi
aux missionnaires.
11. Depuis lors le
bruit qu’elle était
une soignante
puissante se
répand, ce qui lui
ouvre les portes
vers le plus
profond de la
forêt.
15. Elle est envoyée
travailler parmi
les Shuars à Macas
et à Sucúa où, avec
d’autres Sœurs,
elle commence
un travail
difficile
d’évangélisation
et de soins
médicaux.
16.
17. Sœur María Troncatti,
accomplit ainsi son
songe missionnaire qui
se présente dans
un champ très vaste;
elle est infirmière,
chirurgienne, dentiste et
anesthésiste, avant tout
Catéchiste, riche en
ressources de foi,
de patience et d’amour
fraternel.
18.
19. À partir de l'humble
et pauvre
dispensaire, elle
arrive à fonder un
véritable hôpital et
forme elle-même les
infirmières.
20. Sœur Maria réalise son
apostolat missionnaire
chez les Shuars à Macas
et à Sevilla, où son
œuvre de promotion de
la femme fleurit et
aboutit à la fondation de
centaines de familles
chrétiennes; constituées
à partir d’un choix libre
et non sur la décision de
quiconque.
21. Sœur Maria soigne les malades chez eux
ainsi elle catéchise le malade
et toute sa famille
22.
23. « Chaque jour je suis très heureuse dans
ma vocation religieuse et missionnaire ! »
24. « Un coup d’œil au Crucifié
me donne vie et courage pour
travailler ! »
25. Son cœur, rempli d’amour pour Dieu et les âmes, lui donne le courage
pour traverser et retraverser de nombreuses fois le fleuve Upano à
n’importe quelle heure de la journée .
26. Les Shuars reconnaissent la bonté de Sœur María Troncatti et lui
expriment leur gratitude de différentes manières.
Voici quelques citations de “Forêt, patrie du cœur” :
27. Sœur Maria, son chapelet à la main, restait auprès de nous,
toujours prompte à dire « Oui » avec joie…
Avec elle on se sentait tellement bien
(Témoignage de Mamach)
28. Voici comment Sœur Maria parlait à Dieu:
“Il y a ici un peuple de la forêt,
converti en peuple de Dieu”.
(Extrait de la Monographie)
29. « Pour moi, Sœur Maria était père et mère: elle soignait mes
infirmités et m’aidait jusqu’à entretenir la maison et
le terrain où j’avais mon potager ».
(Témoignage de Blanca )
30. À Sucúa, sœur María Troncatti était médecin pour le corps et pour
l’esprit. Pendant qu’elle soignait et distribuait les médicaments,
elle conseillait et évangélisait; elle disait souvent:
« Marie Auxiliatrice, priez pour nous ! »
31. Elle fonda le 21 janvier 1964 la
Fédération des Centres Shuars
pour la réconciliation des peuples
Indigènes et Colons.
32. Elle disait : « Je serai si heureuse de pouvoir offrir ma vie pour que
la paix revienne entre les Colons et les Indigènes…
ces deux races ne pourront pas se réconcilier s’il n’y a pas
une victime qui s’offre pour eux.
Puis-je m’offrir, moi ? ».
33. Un jour elle reçoit une révélation mystérieuse
de la Vierge Marie que quelque chose de
grave lui arrivera. Le 25 août 1969 Sr Maria
trouve la mort dans un accident d’avion
pendant qu’elle allait à une retraite
spirituelle ; elle fut la seule victime.
L’offrande avait été acceptée.
34. Ses restes mortels reposent à Sucúa;
son ardeur missionnaire dure pour toujours,
elle intercède pour les Filles de Marie
Auxiliatrice du monde et pour le salut de ses
chers Shuars .
35. Le 08 novembre 2008 la
Congrégation des Saints
reconnait officiellement
l’héroïcité des vertus de la
servante de Dieu,
Sœur Maria Troncatti ,
missionnaire de la première
heure dans la forêt
amazonienne de l’Equateur.
Par cet acte et pour l’Eglise,
Sœur Maria a été déclarée
Vénérable
36. Ensuite, dans l’Archidiocèse de
Portoviejo on a reconnu un cas
de guérison miraculeuse
obtenue par l’intercession de
Sœur Maria Troncatti.
Juste quelques heures de vie
devaient rester à une dame Yolanda Josefa Solórzano Pico,
affectée d’une infection (42 ans) est la dame miraculée
dégénérante avec complications par l’intercession de
multiples, touchant les organes Sœur Maria Troncatti
vitaux. Suite à l’invocation
confiante de la Servante de
Dieu, elle a repris jusqu’à
guérison complète sans aucun
soin ultérieur.