1. Des doudous venus d’ailleurs
Classe de moyenne section
(Projet mis en œuvre par F. Lhéritier, dans sa classe
de MS, Ecole Volney, Angers)
Projet suivi par V. Bigot
Photos et Ppt : V. Bigot
2. 1. Un doudou qui ne parle pas français : Le doudou de la classe, Chocolat,
et les doudous des élèves se sont donnés rendez-vous pour l’atelier langage.
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5. Ils reçoivent la visite d’un Doudou qui ne comprend rien à ce qu’ils lui disent.
Mais pourquoi ? Les élèves font des hypothèses. On lui a coupé la langue ? Il
ne parle pas français ? Il parle une autre langue, une langue étrangère ? Mais
quelle langue parle-t-il ?
6. Ils essaient de dire quelques mots étrangers qu’ils connaissent et
finissent, avec l’aide de Chocolat (le doudou de la classe qui a
beaucoup voyagé) par découvrir que le nouveau venu parle
espagnol.
7. Ils apprennent mutuellement à se saluer et à se présenter en
français et en espagnol. Le doudou s’appelle Tiberio. Les
doudous des élèves se présentent à lui en espagnol.
8. Le doudou leur apprend une comptine espagnole qui
vient compléter le répertoire des comptines
régulièrement récitées en classe.
10. Les élèves ont ensuite reçu la visite d’un autre doudou
qui ne comprenait pas le français. Les élèves se sont
demandé s’il parlait espagnol comme Tiberio mais non.
En fait, il parle allemand. Il s’appelle Hans et leur a
appris à dire bonjour et aurevoir en allemand. Il leur a
aussi appris une petite comptine en allemand.
11. La venue de Nelson, le doudou bilingue
Un nouveau doudou arrive dans la classe.
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13. Nelson parle deux langues : français et anglais. Comment appelle-t-on quelqu’un qui parle deux
langues, comme Marc, dans la classe ? Et quelqu’un qui parle trois langues ? Et quelqu’un qui
parle plusieurs langues ?
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15. Nelson peut nous apprendre à saluer et à compter en
anglais. La prochaine fois, il nous lira un album.
19. Chocolat, Tiberio, Hans et Nelson reviennent nous dire bonjour dans leurs
langues et chanter les comptines avec nous. Nelson propose de nous lire un
album en anglais.
L’album, La chenille qui fait des trous (Eric Carl, Mijade) avait été lu en classe
et exploité de diverses manières (numération, jours de la semaine,
reconnaissance globale de mots, arts visuels…).
Avec Nelson, il a pu être (re-)lu en français et en anglais.
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