2. • Bonjour matelots, je suis le capitaine Lebarca. C’est moi qui dirige
ce bateau au cours de l’expédition. Avec moi cette caravelle va filer
droit. Ici les règles sont strictes: c’est moi qui commande et on ne
conteste pas sinon le fouet
Avec ce bateau nous allons effectuer un tour du monde. Par contre je ne
sais pas qui a fait cette carte mais il mérite la planche, cela te fais rigoler
matelot ? Pour la peine, tu sera de corvée de vaisselle tout au long de ce
voyage
5. Les yeux fixés sur l’horizon, je regardai mon bateau partir.
Sur le port, les familles pleuraient car mes matelots
partaient pendant des mois. Il faut rester honnête, c’est
émouvant mais l’on doit partir découvrir le monde, plus
tard on nous remerciera.Je repris mon rôle de capitaine et
je pense à ces voiles virevoltantes.
6. Je mis ma main dans ma poche et je ressentis une chose
ronde. Une pièce. C’était mon fils Charles, il l’avait glissé
dans ma poche pendant le dîner, je me demandai ce qu’il
faisait. Il y avait un mot. « Je t’aime père ».Je commençais
à verser une larme moi aussi. J’étais fatigué et je rentrai
dans ma cabine et m’endormis.
7. Un bruit court dans le bateau qu’un monstre aurait dévoré
plusieurs bateaux. Ceux qui sont revenus, des naufragés
disent qu’il y a un monstre avec de grandes dents énormes il
se situerait au cap de Bonne Espérance il ne laisserait
passer aucun bateau.
8. En fin de journée, le ciel se dégrade et de gros nuages
arrivent vers nous.L’équipage et moi pensons à une pluie qui
arrive, ce qui n’est pas rare à cette saison.Au loin, je vis une
tempête grande et violente.
Je sentais qu’elle arriverait vers nous.Je dis à mon équipage
de se protéger de cette violence absolue. Je vis que nous
nous trouvons à 100km du Cap de Bonne Espérence.
Depuis 10 à15 minute, une violente force secoue le bateau,
nous nous sommes réfugiés dans la couchette des marins.
On entendait les animaux hurler et nous pensons que les
bêtes sont en train de mourir et que nous n’arriverons pas à
terminer ce voyage.
9. Au bout d’un moment, le bateau heurta un rocher et une fuite
d’eau se trouvait dans la couchette. Nous avons rebouché le
trou avec une planche de bois, un marin l’a fixée avec un
clou.
La tempête se calma et se déplaçea au sud, nous
continuons notre voyage.
10. Au loin, je vis une sorte d’îlot, il bougeait, c’était une sorte
de baleinière. Nous comprimes qu’il y avait une civilisation
car on voyait de plus en plus de pagayiste. Nous nous
rapprochames de plus en plus du port. La plupart des
hommes étaient tatoués et les femmes portaient leur colliers
de fleurs. Arrivés sur le port, les pêcheurs déchargèrent
leurs poissons.Nous eûmes un accueil digne de ce nom.
Pendant quelques jours, ils nous logèrent puis nous
repartîmes à l’aventure en passant tous les caps du sud
avec fierté et enthousiasme. En buvant du Rhum à volonté,
le capitaine levait les voiles puis lança des chants en et en
riant.
11. Après avoir chantonné plusieurs chants marin. Les
harponneurs installèrent des tonneaux de Rhum vide et
mirent des planches de bois par dessus cela formait une
longue table. Tout l’équipage s’y installa, nous vidions les
dernières bouteilles de vin et tuons le dernier
cochon.Ensuite, nous nous rapprochions du port, tout les
matelots commencèrent à baisser les voiles et nous vîmes le
port avec toutes nos femmes et nos enfants qui nous
acclamaient.
Fin