Neuvaine de la Pentecôte avec des textes de saint Jean Eudes
Erms partagé
1. ERMS: qu’est-ce ? Le projet d’ERMS partagé du consortium Couperin Note liminaire: Les principaux auteurs du présent diaporama sont: Kareen Louembé et Emilie Barthet: http://www.rnbm.org/cirm2010/Barthet_Louembe_ERMS.pdf Pour ma part, j’ai modifié la présentation et ajouté du contenu (essentiellement: parties consacrées aux statistiques et au SIGB) Pierre Naegelen
25. La norme COUNTER (Counting online usage of networked electronic resources) a vu le jour en mars 2004. Les fournisseurs qui respectent cette norme sont dits : « counter compliant » (voir la liste: http://www.projectcounter.org/articles.html)
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27. Exemple de Journal Report 1 Liste des revues Nb de téléch. par mois Totaux html et pdf
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31. Les ERMS libres ou sous licence, installés localement ou hébergés Paul Linton
33. Les ERMS libres Installation locale Coral (University of Notre Dame) E-Matrix (North Carolina State University) OLLARA ( University of Wisconsin
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44. BC ERMS Résolveur de liens Liste A à Z SIGB ENT CMS Cas des établissements pilotes Linksource (EBSCO) SFX (ExLibris) Millenium Horizon Aleph Loris E-SUP K-SUP Dreamweaver Typo 3 Spip DRUPAL Amethys Maison Maison AtoZ (EBSCO) SFX (Ex Libris) 360 Core (SerialsSolutions)
46. Bases de données Fin 90s-début 2000s: schématisation des étapes de la rech. doc. Résolveur de liens Périodiques électroniques en texte intégral Moteur de recherche Base de connaissances Périodiques électroniques Module de signalement public Bibliothécaire Editeur Fournisseur Hïatus numérique Usager Site Web Bib. Autres ressources électroniques (thèses, e-books, cours en ligne…) Ouvrages, thèses et périodiques papier SIGB
47. 1ère solution: cataloguer les ressources électroniques dans le SIGB (années 2000) SIGB Notices bibliographiques des ressources papier Notices d’exemplaire ou d’état de collection Notices bibliographiques des ressources électroniques Notices d’exemplaire ou d’état de collection
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49. SIGB 2e solution possible si implémentation d’un ERMS: achat de notices MARC liées aux ressources référencées dans la base de connaissances Bibliothécaire Base de connaissances ERMS Fournisseur Notices bibliographiques des ressources papier Notices d’exemplaire ou d’état de collection Fourniture de notices MARC Notices bibliographiques des ressources électroniques Notices d’exemplaire ou d’état de collection
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51. Usager 3 ème solution possible: la convergence Site Web Bib. Base de connaissances ERMS Module de signalement public Bibliothécaire Editeur Fournisseur Outil de découverte Moteur de recherche Autres ressources électroniques (thèses, e-books, cours en ligne…) - périodiques électroniques - e-books Bases de données Résolveur de liens Ouvrages, thèses et périodiques papier + ress. élec cataloguées SIGB
78. Calendrier Rédaction des pièces constitutives du marché Semaine 11 à 16, 2010 Publication de l'appel d'offre par l'ABES Semaine 17 : avril 2010 Remise des réponses des candidats Semaine 25 : juin 2010 Analyse des offres et auditions des candidats Semaine 26 : juillet Semaine 37 : septembre Remise des offres définitives par les candidats Semaine 39 : octobre 2010 Notification Semaine 40 : octobre 2010 Déploiement de l'ERMS, formations A partir de semaine 41 Admission Mai 2011 Fin du pilote Mai 2012
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Notas del editor
Le coût par article en divisant le coût de la ressource par le nombre d’articles téléchargés.
A l’heure actuelle, peu de fournisseurs de bases de données fournissent des statistiques normées COUNTER. Ce qui est ennuyeux dans la mesure où l’on ne dispose pas de critère objectif pour comparer le taux d’utilisation des bases de données.
Les différents graphes que vous avez vus tout à l’heure ont été constitués à partir de données statistiques collectées manuellement soit en se loguant sur le site de l’éditeur, soit à la suite de la réception des données envoyées par l’éditeur. La collecte de ces données représente entre 30 et 40 h de travail… La puissance des outils statistiques des ERMS permet de produire en temps réel tous ces rapports.
Autant d’outils qui se déclinent en une multitude de produits.
Par quelles étapes passait à la fin des années 90 un usager qui effectuait une recherche documentaire…? Il y avait un hïatus numérique, dans le sens où les ressources papier et les ressources électroniques n’étaient pas interrogeables à partir de la même interface. L’usager devait sans arrêt faire l’aller-retour entre les deux types de catalogues pour effectuer une recherche à peu près exhaustive.
En France, les catalogueurs font 2 notices: une pour le papier une pour l’électronique. Il y a autant de notices que de supports. NB: d’autres modes de catalogage sont possibles: à l’Université Concordia (Québec), les deux notices bibliographiques des ressources papier et électroniques sont fondues au sein d’une seule et même notice.
Lenteur des mises à jour: autrement dit, il n’y aura pas de bonne synchronisation de l’information entre le catalogue et la base de connaissances.
- Mise à jour des notices: Daniel Pradis, bibliothécaire à l’Université Concordia, article paru dans la revue Argus, vol. 39, n°1, printemps-été 2010: « La synchronisation de l’information entre le catalogue et la base de connaissances alimentée par les données [du fournisseur de l’ERMS] s’est du coup grandement améliorée. La catalogue n’est jamais en retard de plus d’un mois sur le portail, lequel est mis à jour quotidiennement. » Risque de doublonnage entre les notices d’autorité des ressources papier et les notices d’autorité des ressources électroniques. Par conséquent, il faut prévoir de mettre en place un système automatisé pour améliorer le contrôle d’autorité. NB: en revanche, la conversion des notices MARC21 en UNIMARC ne pose pas de difficultés. C’est souvent le fournisseur lui-même qui s’en charge. Il existe également des « moulinettes ».
L’outil de découverte ou discovery service constitue une interface unique qui permet d’afficher et d’interroger plusieurs types de ressources simultanément: le catalogue papier, les périodiques et les livres électroniques, les bases de Données, etc. On externalise le traitement du besoin de point d’accès unique, en rajoutant une couche supplémentaire. La question qu’il faut se poser alors, c’est : qu’est-ce qu’il vaut mieux pour l’usager? Quel est le meilleur scénario? Quelle est la configuration qui lui permettra d’interroger en un minimum de temps l’ensemble des ressources de la bibliothèque?